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| Ce n'est qu'un au revoir! | |
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Invité Invité
| Sujet: Ce n'est qu'un au revoir! Ven 19 Fév - 16:23 | |
| - Bien, j'ai dû être un peu sur les bords là. On prend tout le monde et c'est partit. On a le droit à une seule entrée dans la Soul Society, on a une chance. Sinon on devra partir avec nos propres moyens.
Akikaze acquiesça en silence. Il était temps de partir. L’ambiance qui régnait au Hueco Mundo commençait à l’oppresser. Il ne considérais plus ce monde comme le sien, et puis comment un amoureux de forêt pourrait-il être en paix dans un paysage aussi austère. Ce désert vide d’arbre et de toutes plantes le privait d’une partie de ses pouvoirs et laissait comme un vide en lui. Lorsqu’il restait trop longtemps dans des lieux désolé comme celui-ci, l’arrancar avait l’impression qu’il allait imploser. L’arrancar s’apprêtait à suivre Nell dans le garganta qu’elle venait d’ouvrir lorsqu’il eut l’impression d’oublier quelque chose. Il chercha pendant une seconde mais ne trouvant rien il s’apprêtait à retourner dans le portail. C’est alors qu’il se rendit compte que Rose avait de nouveau disparu. Elle devait surement les avoir quitté durant le combat. Peut être était-ce pour cela qu’ils se rendaient à Karakura et non directement à la Soul Society. Il se demandait d’ailleurs comment ils comptaient s’y rendre. Akikaze n’était pas rester assez longtemps à Las Noches pour qu’on lui apprenne à ouvrir un garganta vers le monde des shinigamis. Mais peut être Nell en était-elle capable. Après tout elle était une ancienne espada et ce genre d’exercice ne devait lui poser aucun problème. Tandis qu’il traversait l’obscurité du garganta, il vit Apache se débattre avec Ozeki pour faire son entrée dans le monde réel sur ses deux ambes et non dans se bras.
- Laisses la donc marcher, à moins que porter une fille dans tes bras ne sois un de tes vices cachés.
Akikaze sourit en voyant le rouge monter aux joues du shinigamis qui manqua de faire tomber son fardeau en voulant la libérer trop rapidement. On avait beau se dire expert dans l’humour ou indifférent à celui-ci, dès qu’il concernait une personne du sexe opposé, une personne normal ne pouvait s’empêcher d’être gêner. Lui même n’était pas exclu de cela. La preuve en était de son comportement avec Nell.
Mais tandis qu’il était perdu dans ses pensées, la lumière du jour fit son apparition et ils atterrirent en plein milieu d’un marché pour humain. Dès qu’il vit la foule pressante et le brouhaha qui s’en éleva, Akikaze se sépara des autres en quelques bonds afin de se trouver loin de ces gens bruyants. Les vendeurs clamaient la beauté de leur salade ou autres légumes tandis que les femmes voyageaient d’étalages en étalages cherchant les meilleurs prix. La ville commençait reprendre vie et malgré la destruction d’Aizen, les humains commençait déjà à réinstaller la routine dans leur vie. Akikaze ne put s’empêcher de ressentir une pointe de dégout pour une telle vie, si monotone et carrée. Les humains étaient-ils donc incapables de vivre du désordre, de voir la beauté de ce brin d’herbe dépassant vaillamment ses compères taillés à ras. Il avait été un jour un humain mais il se sentait totalement différent aujourd’hui. Jamais il ne pourrait accepter de remettre sa vie dans les mains de quelqu’un d’autre. Pas même dans celles du destin. Il était le seul maître de sa vie et il n’était pas prêt de la partager.
- En es-tu si sur ?
- Comment ?
- …
Mais Aki Satsubatsu refusa de lui en dire plus. C’est donc pendant qu’il méditait sur cette phrase mystérieuse qu’il le vit. Une hypothèse selon laquelle il s’était peut être dévié de son chemin commençait à se former dans son esprit quand un immense hollow, surement un Gillian, apparut dans le ciel à proximité du toit de l’immeuble où il se trouvait. Akikaze le regarda une seconde avant de se dire qu’il n’avait pas besoin d’intervenir. Il n’y avait pas d’humain à proximité et puis Nell ne tarderait surement pas à le tuer. Mais surtout que risquait-il ? Les hollows ont beau être stupide ils n’osent jamais s’attaquer à des arrancars surtout quand ils ont un niveau comme le sien. Il n’était pas prétentieux en pensant cela, il avait juste une parfaite connaissance de ses pouvoirs et il savait très bien qu’il aurait pu tuer ce hollow juste en libérant une petite partie de son reiatsu.
Et pourtant rien de se qu’il avait prévu n’arriva. Non plutôt que de s’éloigner vers les humains, le hollows dirigea son immense patte droit vers sa figure. Il s’était trop éloigné des autres pour qu’ils aient pu intervenir et il se retrouvait du coup obligé de bouger. Sans s’inquiéter outre mesure du coup qui fusait vers son visage, Akikaze se leva en prenant le temps d’épousseter sa tunique. Au moment exact où les griffes qu’arboraient les pattes du hollow s’apprêtaient à le déchiqueter, Akikaze fit mine de trouver quelque chose sur le sol et se baissa en laissant passer l’attaque au dessus de lui. Je dis des énormes patte car si on lui retirait son masque, le hollow était plus proche d’un ours géant que sa véritable nature. Sans laisser paraître sa surprise, l’ours décida d’attaquer de manière plus massive en oubliant toute prudence. Il joint ses deux énormes mains et les utilisa comme une masse à l’endroit exact où se trouvait Akikaze. Où se trouvait Akikaze. Celui-ci, sans même prendre la peine d’utiliser un sonido. Ce glissa sous la garde du hollow et les bras de celui-ci s’abattirent en l’entourant sans pour autant pouvoir le toucher. Maintenant qu’il était sans défense, l’arrancar n’avait plus qu’à l’achever d’un coup de zanpakuto. Ce qu’il aurait fait…si celui-ci n’avait pas disparu. Le hollow, profitant du temps que perdit Akikaze à fouiller vainement ses poches comme si sa lame aurait pu si dissimuler, pour ramener ses bras et en frappant pour la troisième fois. Totalement bouleversé, Akikaze n’eut pas le temps de réagir et il pris le coup en pleine figure. Etrangement, ses griffes lui tranchèrent le dos alors que la force du coup ne parvint pas à le déplacer. Il avait donc perdu tout le reiatsu qui résidait dans son corps mais il avait gardé sa force physique. Il restait ainsi une âme exceptionnelle mais une âme quand même. Il avait perdu tous ses pouvoirs. Il était à présent trop perturbé pour s’amuser dans un combat aussi inutile. Il n’avait pas besoin de ses pouvoirs pour vaincre ce stupide hollow et il l’acheva d’un coup à la mâchoire accompagnée d’un coup de genoux bien placé.
Ceci fait, il s’installa confortablement sur le toit sans se préoccuper outre mesure de ses compagnons.
« - Aki Satsubatsu !!
- …
- Satsubatsu !!!
- …
- Mais vous êtes où ?!
- … ...
- Personne ne te répondra.
- Aki ? Où sont les autres ?!
- Ils sont partis.
- Parti ? Mais pourquoi ?
- Tu ne le sais pas ? Mais ils sont partis avec toi !
- Avec moi ?!
- Oui, avec toi. Tu ne m’appartiens plus qu’à moi même s’il faut que je récupère ce corps. Je suis encore trop faible pour le moment mais leur départ te plongera dans le désespoirs et alors… »
Akikaze était presque dans une crise d’angoisse. Son cœur battait la chamade et sa respiration était saccadée. Son souffle trop rapide apportait trop d’oxygène dans son sang et tout son corps fut rapidement pris de douleur. Une migraine croissante le tourmentait en l’empêchant de réfléchir aux raisons de leur départ…de son départ ? Il se sentait comme mutilé. Il s’était avec le temps habitué à l’étrange liaison qui le liait à son shinigamis et son zanpakuto mais maintenant qu’elle était brisée il se sentait comme vidé. Une partie de son âme semblait avoir été déchiré. Se calmer ! Il devait se calmer. Il avait appris que l’exercice physique était une bonne façon d’évacuer le stress, c’est pourquoi il se remit debout et se mit à courir sans réfléchir à sa destination. Rapidement sa respiration reprit un rythme stable, les battements de son cœur ralentirent, il pouvait enfin réfléchir. La dernière chose que lui avait dit Aki Satsubatsu était qu’il n’était plus vraiment maître de lui. Etait-ce vrai. Avait-il vraiment partagé les décisions de sa vie. S’il se souvenait bien il avait toujours tout décidé seul. Il avait choisi lui même de combattre Nell, et toujours lui même de la suivre. Malgré la gravité de la situation il sentit encore une fois le rouge lui monter aux joues à la pensée de Nell. Qu’avait-il donc à rougir ainsi ? Etait-ce vraiment le moment. Il ferait mieux de chercher à retrouver ses pouvoirs. Il ne pourrait vivre eux alors qu’ils lui permettaient de protéger sa liberté. Ils formaient sa dernière et unique barrière et elle aussi avait disparu. Il était seul, plus encore qu’il ne l’avait jamais été.
C’est alors qu’il se rendit compte qu’il était de nouveau face à Nell et à Ozeki. C’est alors qu’il comprit tout. Il avait entendu un jour parlé des chaines des sentiments et c’est alors qu’il comprit qu’elle était fausse. Les sentiments n’étaient pas des chaines si l’on est capable de s’en séparer. Et si ils avaient disparu c’est parce qu’il en avait été pendant un moment incapable. Et il allait leur prouver que c’était faux.
Sans attendre, il se dirigea d’un pas rapide vers le shinigamis et l’arrancar qui était surement à se recherche. Un plan rapide se monta dans sa tête et sans plus attendre il allait l’exécuter. Il se dirigea tout d’abord vers Nell. Une fois arrivé devant elle, il resta une seconde à admirer sa beauté et il recula devant les phrases toutes préparées qui maintenant refusait de sortir. Aux lieux de cela il se plaça aux côté d’Ozeki et tandis qu’il lui prenait le bras, il dit enfin un mot : le premier et le dernier.
- Adieu.
Et avant qu’elle n’ai pu réagir il disparu dans un sonido avec Ozeki. Le fait qu’il est d’ailleurs pu en effectuer un prouvait que ses pouvoirs commençait déjà à revenir. Ils réapparurent devant le même hangar où ils avaient combattu quelques jours plus tôt. A peine arrivé, il s’écarta d’Ozeki avant de se mettre en garde et de tout lui expliquer d’une voix dure et un visage fermé.
- Maintenant combats moi. Si tu veux me quitter en vie bats toi de toutes tes forces. Peut être même pourras tu me vaincre puisque pour le moment je suis privée de presque tous mes pouvoirs. Mais fais vite car je les sens déjà revenir. Combats moi où c’est moi qui viendrais te combattre.
- Spoiler:
Au revoir Nell, Apache et Rose, ce fut un plaisir de rp avec vous. Peut être à une prochaine fois ^^
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| | | Ozeki (inactif) Shinigami exilé
Nombre de messages : 252 Âge : 30 Date d'inscription : 07/08/2009 Fiche Technique : Cliquez ici
Feuille de personnage Nom du zanpakutô/Nature du pouvoir: Sanbai Keijou Niveau: Shinigami Expérimenté / LVL 11 Reiatsu: (4100/5100)
| Sujet: Re: Ce n'est qu'un au revoir! Dim 21 Fév - 20:37 | |
| Et voilà. Ils étaient revenus à Karakura. Leur groupe, Akikaze et Ozeki, agrémenté de ...Nulial et d'Apache. Le banni détailla du regard l'endroit où ils se tenaient, où le garganta avait libéré un passage. Peut-être était-ce voulu par Mr.A, mais c'était en plein devant un marché en cours, rempli d'étals. Et, étrangement, ce lieu ne respirait plus comme avant. Il s'était toujours sentit bien ici, au milieu de tous ces gens qui déambulaient sans but précis, ces personnes qui suivaient toujours les mêmes routines, qui vivaient leurs vies si rapidement, sans prendre le temps de vraiment vivre, hors du temps, hors de tout ce monde si pressé. A Karakura, il se sentait comme un poisson dans l'eau. Pourtant, à son arrivée, il s'était senti comme prisonnier, prisonnier d'une nasse qui l'aurait capturé lors d'un passage dans la rivière. Avant, il était comme ''eux''. Et voilà que le contact avec cet arrancar si spécial avait changé toute la personnalité d'Ozeki. Et voilà que lui-même parlait de Karakura, sa ville qu'il aimait tant, avec dédain, avec une envie de cracher dessus. C'était incroyable, la façon dont quelques jours avaient changé Ozeki. Quelques jours ?... Ou peut-être quelques semaines ?... Il ne savait plus. Apparemment, il avait aussi perdu la notion du temps, en compagnie d'Akikaze. Depuis quand était ils en contact ? Mais malgré cela, Ozeki ne pouvait pas parler d'idylle. Akikaze l'avait aidé, c'était vrai, mais il avait besoin d'un petit retour aux sources. Car tout était différent, désormais... Ozeki remarqua qu'il s'était à nouveau perdu dans ses pensées. Il reporta son attention sur la ville devant lui, et claqua la langue comme pour manifester son mécontentement. Là, quelques passants marchaient, pas très loin du garganta ouvert par Akikaze. Une masse qui ne cessait d'augmenter. L'ensemble de ces gens avaient l'air seuls... Si seuls... Ils ne se saluaient pas du tout, et quand deux ou trois d'entre eux le faisait, c'était bref, sans entrain, juste parce qu'il fallait le faire. Ozeki remarquait parfois un homme ou une femme qui marchait lentement, en profitant de ce qu'il l'entourait. Mais c'était rare. Et il y avait autre choses... L'odeur qui planait dans la ville n'apportait pas la moindre sensation de bonheur. Pas une odeur de poisson frit, ou une odeur de terre fraichement remuée n'embaumait l'air. C'était irrespirable, comment faisait-ilssans odeur de la nature ? Les narines de l'exilé frémirent à l'idée de respirer ici, maintenant, cet endroit clos, entouré de centaines de gens inconnus, ne cherchant même pas à devenir connus. Même les nuages, auparavant si accueillants, ne ressemblaient à rien de reconnaissable. Pas de cochons géants, ni d'oreillers, alors qu'ils étaient si présents lorsqu'Ozeki vivait ici. Dans ses bras, Apache commença à s'agiter. Elle ne voulait surement pas débarquer au monde réel dans les bras de quelqu'un, telle une infirme. - Laisses la donc marcher, à moins que porter une fille dans tes bras ne sois l'un de tes vices cachés.Ozeki se sentit rougir, et lâcha précipitamment Apache, qui ne put se rétablir et chuta sur le sol de béton. Il n'avait jamais été gêné par des commentaires sur l'autre sexe, mais là aussi, Akikaze l'avait changé. Non pour se cacher à la vue moqueuse de son ami, mais pour se détourner de la vue de cette ville de Karakura qui n'était plus la même, Ozeki quitta le groupe en sprintant, et quitta le sol pour se retrouver dans les airs. Comme lorsqu'il se retrouvait dans les nuages, dans les deux sens, il devenait rêveur et partait loin de là où son corps physique était. Il s'était assez éloigné pour ne plus distinguer Noiul d'Apache. Ah, si, celle de droite était Nilel, car elle avait... disons, une poitrine ... plutôt abondante... Personne dans le groupe ne remarqua son absence, et même Akikaze quitta Apache et Nelol pour se ressourcer. Ozeki perdit Mr.A de vue, et se détourna de sa pensée pour se concentrer sur les étals. Il s'approcha d'un vendeur de miel, un ... Mieloculteur ? Le vendeur criait : ''Elles sont belles mes bouteilles de chouchen ! Achetez mes bouteilles de chouchen ! Achetez mon miel des forêts, mon miel au sarrasin, mes autres miels : miel aux fleurs, miel de saison, miel de maïs, miel de poisson, miel de grenouilles, miel de canards du jardin, miel du canal !'' L'homme avait une figure mince et svelte, et deux ou trois cheveux blancs pendaient à son crane, tandis que un cheveu voltigeait doucement vers le dos perclus de rhumatismes et courbé. On ressentait plus qu'on ne voyait les cernes sous les yeux fatigués de ce pauvre homme... Il aurait choisir un métier plus facile, un métier où l'on ne passait pas deux jours à mettre de l'alcool de miel en bouteilles, surtout quand on avait des allergies au miel... Il aurait dû faire le métier parfait, où l'on gagne facilement sa vie, tout en s'amusant : éleveur d'escargots ! Mais oui, héliciculteur, c'était un métier génial, où l'on attrape les bêtes au lasso, avant de les passer au four après les avoir enduits de beurre à l'ail... - Spoiler:
Hrp/ Aki, le prend pas mal... ^^
- Oh, regardes Ozeki : un menos grande, de la classe des gillians ! Il va se faire poutrer par Mr.A, lui !- Hein ? T'as dit quoi toi ?- ... Tiens, t'aurais pas un kilo de sushis à me donner, toi, par pur hasard ?- Ah, ouais, c'est vrai que tu dois lui en donner...- Hey, fait pas ton innocent Sanbai ! Toi aussi t'as participé !- ...- Ok, alors vous faites comment ? Un demi-kilo chacun ?- Va te faire voir Sushii !- Euuh, Ouais, va te faire ... endormir... chez les ... chinois ! Na ! Fallait pas me chercher !Les bâtiments cachant la vue d'Ozeki, il ne put suivre le combat de son maître et du hollow, mais ne doutait pas sur l'issue du combat. L'arrancar n'allait pas rater son compatriote hollow ! Il était bien plus puissant qu'un menos de la classe des gillians... Akikaze était tellement puissant qu'Ozeki était, ... émerveillé par sa force phénoménale. Et, quand le banni s'améliorait, ... il s'améliorait, ... beaucoup plus. Et effectivement, Akikaze mit rapidement au tapis son adversaire... C'était étrange qu'un hollow attaque l'un de sa race, même si en plus il était largement plus fort que lui... Que c'était il passé dans le minuscule cerveau de ce monstre ? Peut-être qu'Akikaze n'était plus ''fiché'' en tant qu'arrancar par leur maître à tous, Aizen Sôsuke. Il était sans doute resté trop longtemps hors du Hueco Mundo, et trop longtemps avec lui, un shinigami. Mais maintenant qu'il y pensait, il ne connaissait rien du passé de son ami arrancar. Peut-être qu'il avait déclaré à Aizen qu'il n'était plus des leurs, et que ce shinigami renégat avait finalement trouvé un moyen d'enlever ses pouvoirs à Akikaze. Non, ce n'était pas possible, Aizen ne pouvait pas être inquiété par un arrancar qui n'était pas encore très puissant selon ses critères... Mais, Mr.A était devenu plus fort maintenant... Pendant qu'il y réfléchissait, Ozeki marcha vers Apache, et Sanbai Keijou se matérialisa à ses côtés. - Il semblerait qu'Akikaze aie perdu ses pouvoirs... Il n'a pu trouver son sabre, et s'est fait toucher par le hollow... Nyark, il est trop pourri !- Sanbai... Même sans pouvoirs il est plus fort que nous...- Ouais, bah n'empêche qu'il a failli se faire poutrer... Tiens, regarde, il revient vers nous.Akikaze resta planté devant eux pendant une bonne minute sans prononcer un seul mot. Il semblait comme pétrifié, et ne remarqua sans doute pas qu'il ne bougeait pas, et que l'arrancar plantureuse le dévisageait comme s'il était pestiféré. C'est alors qu'il reprit ses esprits, et lança dans un souffle : - AdieuIl attrapa au vol le bras d'Ozeki, comme s'il était pressé de l'emmener au loin. Pourtant, leur destination n'était pas si distante. Ils disparurent dans un sonido, et se retrouvèrent dans le même lieu où ils avaient combattu plus tôt, au début de leur amitié, et avant d'aller au Hueco Mundo. Le banni comprit vite ce qui se passait... Il s'en doutait, il le savait qu'Akikaze allait le laisser un jour ou l'autre. Là, ils allaient surement combattre à nouveau, avant de se quitter... C'était inévitable, mais cela déchira le cœur d'Ozeki. Bien déterminé à ne rien laisse paraître, il prit un air nonchalant, avant de se détourner et de sortir Sushii de sa poche. Il s'approcha d'un lampadaire tout proche, et, serrant sa sphère dans sa main droite, commença à frapper le lampadaire. En deux coups, c'était fini, même si il avait frappé relativement peu fort. Cela l'avait défoulé, et il se retourna donc vers Akikaze calme, et prêt à écouter. - Combats moi. Si tu veux me quitter en vie, bats toi de toutes tes forces. Peut être même pourras tu me vaincre puisque pour le moment je suis privé de presque tous mes pouvoirs. Mais fais vite car je les sens déjà revenir... Combats moi, où c’est moi qui viendrais te combattre.Ozeki ne répondit rien, et se résigna. Il avait vécu son temps avec Mr.A, et il fallait maintenant qu'il découvre autres choses. Mais, comment allait il pouvoir combattre cet homme qui était son ami ?... Il n'allait pas pouvoir frapper de toutes ses forces sur lui, ce n'était pas comme lorsqu'il avait combattu Apache, car il ne la connaissait pas... Et puis, qu'allait il se passer après ?... Peu importait, car c'était un nouveau tournant dans sa vie qui était maintenant devant lui; ils devaient se séparer, pour découvrir de nouveaux horizons. Peut-être qu'Ozeki allait retourner dans la Soul Society, retrouver sa huitième division... Était-ce toujours Kyoraku Shunsui le capitaine ? Oui, surement, il était là depuis assez longtemps pour qu'il soit facile d'imaginer un autre capitaine à sa place... Toujours avec Subarashii dans la main, Ozeki revint à la question du combat. Il allait combattre non pas son ami mais sa tristesse, il allait métamorphoser Akikaze en un homme portant la tristesse de la séparation... Ozeki leva les yeux au ciel, et remarqua un oiseau qui volait bas, très bas dans le ciel. Et un nuage ressemblait à un moulin ! L'attention de l'exilé s'évapora, et il tritura sa boule dorée, en la faisant léviter, et en la lançant en l'air puis en la rattrapant. Il avait toujours cette étonnante capacité à se désintéresser complètement de ce qui se passait, et ce même pour les questions graves, à l'image de cette situation. Il parvenait ainsi à évacuer le stress rapidement et sans danger, quel qu'il soit. - Alors Rensei, comment tu vas faire ? On va bien le combattre non ? Tu l'as entendu, il a dit qu'on pouvait gagner !- Ouais, mais bon, même sans aucuns pouvoirs, il nous bat, moi j'en suis persuadé...- Oh, toi, on te demande pas ton avis ! Toi, t'es juste un déchet de moi...- Hey ! Tu m'insulte pas ! Je suis aussi légitime que toi, euh... d'être ici ! Même que je suis sûr qu'Ozeki m'aime bien aussi !- Ah ouais, tu crois ?- Ouais, pourquoi ?- TAISEZ-VOUS, BANDE D'ABRUTIS FINIS !!! On a un arrancar très puissant à combattre, c'est pas le moment de se disputer, ESPÈCES D'IDIOTS !!! Si je vous entends une seule fois, je vous défonce !!!- Et... Comment tu veux nous défoncer ? On n'a pas peur, hein Sushii ?- Ouais !- Eh bien, toi Sanbai, je te plonge dans ce que tu as le plus peur... Et toi Sushii, je te prive de sushis et je te lance dans la flotte ! Et ... Sanbai, ne t'inquiètes pas, je sais ce dont tu as le plus peur...- ...- On s'est compris. Ok les gars, je compte sur vous !Ozeki tira son sabre de son fourreau, enveloppa à l'aide de son réiatsu Sushii sur sa main gauche, pour plus de punch, et se mit en garde. Il n'allait surement pas gagner, mais il n'allait pas se laisser faire, c'est ce que Mr.A aurait voulu. Il allait utiliser tout à son avantage, le Kidoo, les shunpos et les techniques de son zanpakutoh. Cela allait être un dur passage, mais il allait s'en sortir, et avec brio... enfin, il l'espérait. Et Akikaze n'allait pas le laisser gagner sans se démener non plus... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ce n'est qu'un au revoir! Jeu 25 Fév - 18:49 | |
| Sous le choc, le shinigamis resta une bonne minute immobile, le regard vide. Akikaze connaissait cette expression puisqu’il l’arborait lui même régulièrement. Enfin, tout ça c’était avant et il priait pour qu’il puisse de nouveau l’arborer. Ce regard fixe qui ne regardait rien en particulier, l’absence de lumière dans son regard, ses épaules légèrement affaissé, Ozeki était plongé dans son esprit. Peut être était-il avec son zanpakuto ou encore cette personne qu’il ressentait depuis peu en lui. Cette petite sphère d’argent qui occupait continuellement les mains d’Ozeki, même en plein combat. Il ne voyait pas l’utilité qu’il lui trouvait mais le shinigamis et sa sphère était devenue inséparable. Akikaze comprit que son ex apprenti, à présent, pouvait avoir besoin de temps pour se faire à cette idée et dans un de ses rares moments de respect, il attendit calmement en souffrant du silence et du vide qui régnait en lui. Il se rendait peu à peu compte de l’importance qu’ils occupaient pour lui. Il n’oserait jamais le dire à voie haute mais même les blagues de Satsubatsu lui manquaient. Son humour si décalé et stupide qui le faisait toujours sourire même si parfois il lui arrivait de se mettre hors de lui. Les moments qu’ils avaient partagé tous les trois commençaient à lui remonter à la mémoire et avec eux, un pic de glace semblait s’enfoncer dans son cœur. Comme si chacun de ces bons moments donnait un coup sur un pieu que le départ d’Aki Satsubatsu et Satsubatsu avait planté en lui. Un barrage semblait s’être brisé en lui et tous ses souvenirs défilaient à présent.
Tout avait commencé…Tout avait commencé.
Premier Flash :
Il se revit, jeune arrancar, déambuler dans Las Noches au hasard. Il était vraiment en mauvais état. Son ancienne tunique d’arrancar était déchiré à de nombreux endroits et du sang séchés ou encore frais tachait ses vêtements. I boitait quelques peu en trainant la jambe gauche et il se vit lui même disparaître avant de se retrouver dans une immense forêt automnale qui lui était à présent familière. Il vit pour la deuxième fois mais de l’extérieur cette fois-ci son propre zanpakuto s’approcher en silence de lui même. Il se vit afficher un visage surpris et il sourit en pensant que la première impression qu’il avait du donner à son zanpakuto était très mauvaise vu l’expression stupide qu’il arborait. Il fut surpris en se voyant dégainer son sabre et courir stupidement vers Aki Satsubatsu en poussant un cri tout aussi ridicule. Il avait oublié certaines choses et il se rendait à présent compte à quel point il avait changé. Cet épisode datait d’il y a moins d’un an et pourtant il lui semblait être à des éternités.
Nouveau flash :
Il se trouvait toujours au même endroit mais cette fois ci une heure après. Il se souvenait parfaitement du moment où il avait voulu vaincre Aki Satsubatsu avec un simple cero. Contrairement à la première fois il vit tout les mouvement de son zanpakuto et le sonido qui lui avait paru si rapide était presque ordinaire maintenant qu’il possédait une telle puissance. Enfin encore une fois, tout ceci c’était avant… Il était très troublant de se regarder perdre sans pouvoir réagir. Il était à la limite de crier « Attention moi même ! » Mais il comprit que c’était inutile et surtout ridicule. Il observa donc en silence son cero partir dans le vide et la goutte de sang qui perla sur sa propre nuque. Il était vraiment faible à cette époque. Il se demandait même comment il avait fait pour gagner face à cet imbécile de vizard dont il avait depuis longtemps oublié le nom.
- Et bien je peux te dire bravo. Tu as réussi à m'obliger à utiliser mes véritables capacités. Tu as gagné le droit de me conserver. A la prochaine. Et ne t'inquiète pas nous nous reverrons plutôt que tu ne le pense.
- J'espère plutôt que c'est un adieu.
Le Akikaze actuel fut surpris de reconnaître dans ces paroles cette ironie mordante qu’il avait à présent perdue. Cette prétention et cette pertinence qu’il conservait en toute occasion. Il avait cru avant que cela avait été un bien mais maintenant il se demandait s’il ne s’était pas perdu lui même. Si en changeant il n’avait pas laissé derrière lui le plus important…lui même…
Nouveau flash :
Il se retrouva cette fois-ci sur le toit de Las Noches. Il se revit entrain de frapper Aki Satsubatsu sous sa forme de sabre cette fois ci. Il l’avait attaché à une immense poutre et celui-ci tournoyait au vent et se balançait sous les coups d’Akikaze en sueur. Il se souvenait là aussi des circonstances de ce moment. Il avait été abandonné par Hallibel après sa défaite contre un shinigamis. Il était revenu au Hueco Mundo dans le but de s’améliorer et depuis ce jour il s’était mis à courir et à exécuter toutes sortes d’exercices avant d’en choisir un plus stupide et plus dangereux que les autres. Celui-ci. Il failli pousser un cri d’horreur en revoyant sa lame bousculer par une bourrasque esquiver son bras et frôler son avant bras avant de se ficher dans sa poitrine après avoir former une magnifique parabole dans le ciel. Quel imbécile il était à cette époque.
Nouveau flash :
- Bien, finit l'échauffement, commençons sérieusement.
Toujours le même entrainement, mais lieu différent et difficulté augmenter. Il se trouvait dans la forêt de son monde intérieur et Aki Satsubatsu appuyé à un tronc d’arbre dirigeait le vent afin de rendre la lame imprévisible. Cette lame, accroché à un arbre par un mince bout de corde, qui n’était rien d’autre que la feuille qui compose son zanpakuto lors de sa résurrection. Le sabre qui n’en était pas vraiment tournoyait à présent à une vitesse stupéfiante et lui, se retrouvait acculer peu à peu contre le tronc de l’arbre où était attaché la lame. Akikaze fut surpris de reconnaître le tronc qu’il avait frappé lors d’un de ses entrainement avec Aki Satsubatsu. Ce même tronc qu’il lui avait aussi servit dans ce souvenir et qui lui avait peut être servit à d’autre moment encore. Cet arbre n’était surement rien d’autre que le représentant de son acharnement lors de ses entrainement. Peut être chacun des arbres qui formaient cette forêt avait-il une fonction semblable.
Son lui du passé avait à présent les yeux fermé alors que le sabre fusait en tournoyant vers lui. Il se souvenait parfaitement de ses pensées à ce moment là. Ce moment où il avait appris les différents mots qui devaient diriger sa vie. Des mots qu’il avait par la suite oublier.
Réflexe...Instinct...Maîtrise...Précision...
Réflexe…Il n’était pas que physique. Il ne l’avait jamais comprit mais les réflexes étaient bien plus que de simples mouvements en combat. Ils étaient une manière de pensée. Sa manière de pensée. Tout son esprit n’était que reflexe et depuis peu il passait trop de temps à réfléchir pour prendre ses décisions. Il ne devait agir que par réflexes et rien d’autre.
Instinct… L’allié des premiers. A eux deux ils devaient diriger sa vie. Le premier s’aidait du second pour prendre ses décisions, rien de plus compliqué. Il avait oublié depuis trop longtemps d’écouter ces deux guides et il s’était perdu. Il devait maintenant faire marche arrière pour retrouver son chemin. Il avait bifurqué à un endroit et il partait en quête de cette bifurcation.
Maitrise… Il devait être maitre de son destin. Ne pas laisser son cœur prendre le dessus sur ses décisions. Ne pas laisser ses sentiments prendre le dessus sur le reste mais plutôt les traiter avec égalité en maintenant l’équilibre dans son âme.
Précision…Il devait frapper dur et avec précision. Il devait retrouver ce moment et ne surtout ne plus le lâcher. Pour cela il avait besoin de précision car il n’aurait qu’une seule chance.
Des maitres mots… Il lui en restait surement beaucoup à découvrir mais le peu qu’il en connaissait il les avait oublié.
Nouveau flash :
« BOUUUUUUUGGGEEEEE!!!!!!!!!!!!!!!! »
- C’est bon je suis pas sourd.
Akikaze se trouvait maintenant dans l’antre où il avait une fois affronté un arrancar. Surpris par le cri qu’il avait poussé dans le passé il avait répondu spontanément sans se rendre compte qu’il était juste dans un souvenir et que ses paroles ne changeraient rien. Il se revit à l’arrêt devant la figure d’horreur de l’arrancar dans cette grotte détruite par les flammes où régnait avant un jeu d’ombre et de lumière. Ce lieu qui résidait encore en lui mais qui était, comme beaucoup d’autre, tomber dans l’oublie lorsqu’il s’était perdu. Il réentendit la conversation entre lui et son zanpakuto mais n’en retint qu’une chose.
Réflexe...Instinct...Maîtrise...Précision... et maintenant, il venait de la comprendre, harmonie...
Harmonie. Un autre de ces maitre mots. Encore une chose qu’il avait oublier. Il avait perdu cette harmonie qui à l’époque régnait en lui. Cette harmonie qu’il partageait avec tous ceux qui résidaient en lui.
Fin des flashs.
Akikaze fit un retour éclair dans la réalité. Le choc de toutes ces visions l’avait laissé pantois et un grand bouleversement émotionnel s’installait en lui. La dernière pensée raisonné qu’il eut fut que dans ces cas là la plupart du temps il avait fini par être pris par une folie temporaire qui pouvait parfois le pousser à effectuer des choses qu’il regretterait ensuite. Lorsqu’il se mettait dans de tels états, les conséquences pouvaient être minime tel qu’une simple inconscience ou alors elle pouvait se traduire par une folie complète et meurtrière ou encore pire, par la prise de contrôle de Aki.
Pendant ce temps là Ozeki fonçait vers lui armé de son sabre et de sa sphère de métal qu’il avait modelé afin qu’elle enveloppe son poing et lui permette de porter des coups plus puissants. Akikaze ne savait quand lui était venu cette idée et il s’en fichait pour le moment car il devait pour le moment agir au plus vite afin de reprendre le contrôle totale de son corps. Perdu dans ses souvenirs, il sentait la puissance de Aki monter à ses côtés et s’égaliser au niveau de la sienne. L’être qui se trouvait maintenant en face d’Ozeki n’était ni Aki ni Akikaze. Il n’était rien d’autre qu’un mélange des deux. Sous cette forme il possédait la puissance et la violence d’Aki mais gardait le comportement enfantin d’Akikaze et sa puérilité. Ce mélange donnait un résultat très hétéroclite. Bien qu’il gardait sa forme arrancanisé, ses yeux avaient changé. Plutôt qu’un orange brillant il changeait à ressent constamment de couleur. Un sourire à la fois sadique et enfantin s’installa sur son visage et s’est en riant qu’Akikaze évita un premier coup de sabre. Il était désarmé mais peu lui importait. La puissance d’Aki le protégeait des coups et il était bien décidé à s’amuser. Qu’importait les risques qu’il prenait. Peu lui importait non plus l’état dans lequel pourrait se trouver son corps. Pour le moment il devait profiter de ce combat et de l’absence partielle d’Akikaze pour s’amuser. Et ce petit shinigamis ferait parfaitement l’affaire pour le moment.
Akikaze, si l’on pouvait toujours l’appeler comme ça remarqua dans les yeux de l’exilé une pointe de peur. Non, il se trompait ce n’était pas de la peur, plutôt du doute. Une certaine crainte à le blesser et surprise ! Une pointe d’amusement qui contrastait avec le reste. Il comprenait à présent mieux pourquoi Akikaze l’avait choisi. Ce gamin ne voulait que s’amuser. Et bien puisqu’il ne savait faire surement que cela, amusons nous !
Un deuxième coup fusa, encore plus lent et sans réelle conviction. Akikaze en profita pour se glisser discrètement dans son dos et tandis que le shinigamis frappait dans le vide, il fit remonter ses doigts le long de son échine en imitant d’une certaine façon les pas d’une araignée.
- C’est l’araignée qui monte, qui monte et qui descend ! Ah ! Un escargot !
En effet, sur l’épaule droite d’Ozeki un escargot s’accrochait tant bien que mal à son tee-shirt en résistant aux secousses du combat. Le tee-shirt noir sur lequel il se trouvait le dissimulait des regards extérieur et il fallait y regarder de près pour le repérer.
Akikaze, lui, avait toujours eut horreur de ces horribles bêtes visqueuses. Elle lui faisait peur et dès qu’il en voyait un, il entrait dans des états pas possibles. Dégoutés par cette vision d’horreur il recula sur plusieurs mètres en faisant de petits bonds et faisant des mouvements des mains comme s’il avait été touché par quelques chose de contagieux. Ce premier rituel effectuer il courut en tous sens pour trouver du bois en criant à tue tête.
- Toucher du bois, je dois toucher du bois ! Dommage j’ai oublier ma patte de lapin ! Et du sel !
Lorsqu’il trouva enfin une vieille planche de bois il s’en frotta rudement tout le corps et ceci fait il retrouva enfin des état normaux. Ozeki lui n’avait toujours rien remarqué et le regardait stupidement sans comprendre. Akikaze, comprenant qu’il devait tout faire lui même. Se faufila de nouveau derrière le shinigamis et attrapant un pan de son tee-shirt, il rabattit la toile sur l’escargot. La présence du monstre n’était à présent marquée plus que par une légère bosse sur l’épaule du shinigamis. Puis en faisant une grimace de dégout, «Akikaze rabattit son poing sur l’épaule en écrabouillant le monstre et son repère. Ceci fait, il lâcha le tee-shirt qui se rabattit en dévoilant une immonde tache verte sur l’épaule accompagné de quelques morceaux de coquille. Puis l’arrancar se précipita sur la planche de bis qu’il avait laissé tombé afin de se frotter de nouveau le bras.
- Beurk ! Beurk ! Beurk !
Une fois qu’il avait retrouvé ses esprits, le pseudo Akikaze se redressa avec une figure plus noble et fit de nouveau face au shinigamis.
- Bien à présent bats toi réellement sinon tu vas mourir. Ne crois pas que je n’oserais pas le faire. Je ne suis pas celui que tu connais.
Akikaze se demanda pendant une seconde comment il faisait pour faire preuve d’un tel charisme après une scène aussi ridicule.
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| | | Ozeki (inactif) Shinigami exilé
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| Sujet: Re: Ce n'est qu'un au revoir! Dim 28 Mar - 13:52 | |
| Et voilà ! Il se retrouvait de nouveau à combattre Akikaze alors qu’il n’en avait pas la moindre envie. Comment pouvait-il se sortir de cette situation ? Il ne voulais pas ce battre avec son maitre. Il avait appris à le respecter et il trouvait que c’était une faiblesse que de profiter de ce moment de faiblesse pour tenter de le vaincre. D’un autre côté, pensait que cela pouvait être amusant et puis, il connaissait trop Akikaze pour savoir que même affaibli, il serait difficile de le vaincre. Et puis, il ne pouvait pas non plus l’abandonner ici. Premièrement parce qu’il ne voulait pas qu’ils se quittent sur un tel moment et puis, Akikaze avait toujours favorisé sa vitesse et ainsi il ne pouvait se mentir et croire qu’il pourrait lui échapper. L’arrancar l’avait démontré tout à l’heure. Il lui restait encore assez de pouvoir pour maitriser ses sonidos et ceux-ci étaient encore plus rapides que les shunpos de l’exilé. Il n’était pas lent, loin de là mais c’était juste qu’il n’avait pas développé ses capacités de la même manière que son maitre. Celui-ci avait basé la plupart de ses atouts sur sa vitesse et son agilité alors que lui, avait toujours préféré la polyvalence. Tout comme ses pouvoirs possédait trois phases de pouvoir équitable, sa force, son agilité et sa vitesse était placé sur un même palier. Mais le moment n’était pas à réfléchir, surtout qu’il venait de lancer un assaut plus proche d’une tentative de suicide que d’une véritable attaque. C’est alors qu’il portait sa première attaque qu’Ozeki se rendit compte qu’Akikaze avait changé. Un sourire sadique s’affichait à présent sur son visage et ses yeux brillants d’habitude d’une lueur orangés étaient à présent d’un rouge profond qui lui rappelait étrangement tous ces hollows qu’il avait tué. Perturbé par ces changements, le premier coup d’Ozeki fut porté sans véritable réflexion. Akikaze fit un petit saut sur le côté pour éviter la lame et sans profiter de l’avantage de sa position, il attendit que le shinigamis se remette en place. Ozeki n’était pas habitué à combattre quelqu’un de désarmer mais cela lui posait plus de problème technique que morales. Car malgré l’avantage que lui apportait la longueur de sa lame, Ozeki savait que l’arrancar n’avait jamais été un épéiste dans lame et que le fait qu’il soit désarmer ne le dérangeait pas vraiment. Akikaze avait toujours préféré jouer avec ses adversaire et bien souvent les lames mettait fin aux combats trop rapidement. Ozeki porta un deuxième coup mais la conviction n’y était toujours pas. Son sabre, qu’il tenait à présent à deux mains s’abattit lourdement sur le sol tandis qu’Akikaze esquivait aussi facilement que la première attaque. Il laissa la lame filer près de son corps et sous le regard impuissant d’Ozeki, il laissa son doigt glissé le long du bras du shinigamis. Une fois qu’il l’eut perdu de vue, Akikaze craignait un coup dans le dos mais au lieu de cela il senti le bout des doigt de son maitre glisser le long de son échine en imitant les pas d’une araignée. Il remonta ainsi jusqu’à son épaule avant qu’il ne retire vivement sa main. - C’est l’araignée qui monte, qui monte et qui descend ! Ah ! Un escargot !Sans vraiment comprendre, Ozeki regarda l’arrancar reculer vivement en secouant vivement sa main. Un défilé de grimace de dégout s’afficha sur son visage et tandis qu’il admirait le spectacle Akikaze se mit à faire des bonds en tous sens et en poussant de petits cris surexcité. Après quelques secondes d’immobilité, l’arrancar se remit en mouvement et couru en tous sens à la recherche d’une chose inconnu. Lorsqu’il la trouva il la ramassa en poussant cette fois-ci des cris de joie et sans laisser le temps à Ozeki de reconnaître l’objet, Akikaze se mit à se frotter tous le corps avec en s’écorchant par la même occasion la peau et en arrachant quelques pans de sa tuniques. Il semblait avoir complètement perdu la tête. C’est à ce moment qu’Ozeki comprit que l’homme qui lui faisait face n’était pas Akikaze. L’Akikaze qu’il connaissait, bien que enfantin, préférait user d’un humour plus subtil que lui seul comprenait sur le coup. Ozeki avait bien souvent ri d’une tirade de l’arrancar plusieurs heures après qu’il l’ai prononcer. Les gens bien souvent le prenaient pour un fou, mais lui qui le connaissait mieux que quiconque savait que tous ses gestes étaient réfléchis. Jamais il ne faisait quelque chose par hasard. Tout était prévu et ce qui le rendait si dangereux. S’il agissait parfois stupidement, c’était simplement pour donner une impression de folie à son adversaire. Sa ruse l’avait bien souvent sauvé et s’il était arrivé à son niveau actuel, Ozeki ne doutait pas que c’était en grande partie grâce à cela. Personne ne pouvait prévoir ce qu’il allait faire et même si Ozeki ne pouvait toujours pas prévoir ses gestes il savait au moins qu’il y a certaines choses qu’il ne ferait jamais délibérément. Et déchiré sa tunique en faisait parti, tout comme abimé son corps alors qu’il en prenait tant soin en dehors des combats. Il avait reconnu l’objet que maniait Akikaze et cela le réconforta dans son idée. Ce n’était plus Akikaze. Il n’aurait jamais laissé sa tunique entrée en contact avec une planche de bois vermoulue alors que celle-ci n’aurait manquait de la tacher. - Tu as raison. L’homme qui te fait face n’est plus Akikaze. En tout cas pas entièrement.- J’en étais sur. Mais comment ? Je suis sur que c’est lui qui m’a amené ici alors où est-il ? Il n’a pas pu quitter son corps. - Non… Ne peux-tu donc pas le deviner. D’après toi pourquoi veut-il te combattre ? Te quitter ? - Je sais pas moi pour un pari ? Il aurait très bien pu parier une boite de chocapic qu’il m’aurait vaincu sans ses pouvoirs.
- Non ! - Pour des frosties alors ? - Mais non !! Ne peux tu pas être sérieux deux minutes. Si tu continues comme ça je crois que tu vas connaître le même sort que ton ancien maitre. - Je vais gagner des Coco pops ? - NOOONNN ! Ne comprends-tu pas que son zanpakuto et son shinigamis intérieur l’ont quitté. Ces âmes que tu ressentais en lui et qui te troublait ? Ne vois-tu pas qu’elles l’ont quitté. - Maintenant que tu le dis… Mais il reste encore cette part de sobre qui résonne en lui. Je peux la sentir et… Non ! C’est elle qui contrôle le corps d’Akikaze en ce moment. - En partie oui ! Mais ne t’inquiètes pas, tout n’est pas perdu. L’homme que tu aimais n’est pas mort. Il est juste parti reconquérir ceux qui le composent. Ozeki. Comprenait mieux. C’était pour cela qu’il agissait aussi étrangement. Il reconnaissait maintenant en lui encore une certaine marque d’Akikaze. Cette gaminerie qui le contrôle à présent est le signe qu’il est toujours présent. Si jamais elle disparaît pour laisser place à une folie pur alors c’est que Akikaze sera mort et que cette chose en lui aura le totale contrôle de son corps. Il devait à tout pris le vaincre avant que son maitre ne meurt. Ozeki n’éprouvait à présent aucun doute. Il n’avait plus peur de blesser l’arrancar. Il ne pensait d’ailleurs presque plus à son maitre disparu. Tous ce qui comptait à présent c’était de vaincre et de savourer ce moment de plaisir. Perdu qu’il était dans ses pensées, Ozeki ne vit pas l’arrancar se glisser dans son dos. Il ne repéra sa présence que quand celui-ci souleva son tee-shirt pour le rabattre sur une chose qui, maintenant qu’il le remarquait, reposait sur son épaule depuis le début de son combat. Sans qu’il n’ait le temps de réagir Akikaze abattit son point sur son épaule en écrasant une chose visqueuse sur son épaule. En plus de la douleur dans son épaule, Ozeki sentit un liquide froid glisser le long de ses omoplates. Se tortillant pour regarder derrière son épaule, Ozeki parvint enfin à remarquer une immense tache verdâtre parsemée d’éclat de coquille brune. Il reconnu là les restes d’un escargot qui formait surement son animal préféré avec le nuage. - Mais le nuage n’est pas un animal ! - Ah bon ?!Mais revenons en à nos nuages, euh… nos moutons. Dépité par la mort d’un de ces petits compagnons Ozeki arracha son tee-shirt désormais définitivement hors d’usage. Il fut parcouru d’un frisson lorsqu’il sentit le vent frais fouetté son torse musclé. Les lignes de ses muscles étaient parfaites et ses tablettes étaient si flagrantes qu’elle lui donnait presque faim de chocolat. Sans faire attention au froid, le shinigamis étala les restes de son tee-shirt sur la terre battu et il prononça quelques mots en l’honneur du jeune regretté. - O toi qui nous quittes trop tôt. Je suis désolé de n’avoir pas eut le temps de mieux te connaître mais tu nous quittes malheureusement déjà. Je prie pour que tu rejoignes le pays des escargots où tu pourras te gaver de salades géantes. Ne pouvant faire autre chose en ton honneur je vais te venger. Son discours finit, il frappa le sol et le tee-shirt avec tant de force que celui-ci s’enfonça dans le sol en disparaissant à jamais dans le sol avec les restes du décédé. Ceci fait, Ozeki alla chercher la même planche qu’Akikaze avait utilisée un peu plus tôt et il y grava de la pointe de son sabre. « Ci-gît : Kiki l’escargot. » Puis après un moment d’hésitation il ajouta un peu en dessous. « Mon ami regretté pour toujours » Une fois qu’il fut certain que la mémoire de son ami fut sauvée, Ozeki se releva pour faire face à l’arrancar. Il était à présent empli par un sentiment de vengeance et il comptait bien utiliser sa colère pour vaincre mais avant qu’il n’ait eut le temps d’esquisser un geste, Akikaze éteignit sa fausse colère et la remplaça d’une joie sans fin d’une simple tirade. - Bien à présent bats toi réellement sinon tu vas mourir. Ne crois pas que je n’oserais pas le faire. Je ne suis pas celui que tu connais. - Tu crois ? Je l’aurais pas deviné !L’ironie qui perçait dans sa voix n’avait pas d’autre but que d’énerver son adversaire. C’était la première fois. Il comprenait mieux à présent. Il comprenait mieux le plaisir qu’éprouvait Akikaze à faire rager ses adversaires. Quel plaisir ! L’arrancar restait immobile en attendant calmement comme les autres fois que ce soit le shinigamis qui engage le combat. Plutôt que de montrer directement à son adversaire qu’il était prêt, Ozeki fonça sur son adversaire en mimant un mélange de colère et de peur. Son coup semblait sans conviction. Sa lame avança mollement vers la gorge de l’arrancar et celui-ci n’esquiva le coup qu’en se contentant de baisser la tête. C’est alors qu’il remarqua le poing enveloppé d’acier qui masqué par le zanpakuto fusait à présent vers son estomac. L’arrancar n’eut pas le temps de l’esquiver et il reçut le coup avec violence. Mais avant d’être propulsé en arrière, il eut le temps d’effectuer un coup de pied fouetté dans le coude du shinigamis qui sous le coup lâcha son arme. C’était décidément devenu une manie. A chaque fois qu’il combattait l’arrancar il ne cessait de perdre son arme. Sans laissé le temps à l’arrancar le temps de reprendre l’initiative. Ozeki plongea pour récupérer son arme et à peine ses pieds eurent-ils repris appuis sur le sol qu’il disparaissait dans un shunpo afin de se retrouver juste derrière Akikaze qui se relevait à peine. Sa lame fusa dans un sifflement mortel. - Spoiler:
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Dernière édition par Ozeki Rensei le Dim 28 Mar - 14:13, édité 1 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ce n'est qu'un au revoir! Dim 28 Mar - 14:11 | |
| Pendant que son corps était occupé par les esprits de sa folie, Akikaze continuait le défilement de sa vie. Il revoyait tous ces évènements qu’il avait partagés avec Aki Satsubatsu et maintenant Satsubatsu en commençât par sa découverte : Flash :
Akikaze se retrouvait en compagnie de son « lui » du passé dans un long couloir au mur orange métallique. Il se souvenait parfaitement de ce lieu même s’il n’y était venu qu’une fois : l’intérieur de son zanpakuto…et à cet époque la prion de Satsubatsu. Un Satsubatsu qui fit son apparition de manière plutôt sobre pour une fois. Il se tenait devant Akikaze et le toisait du haut de ses quarante ans et de ses tempes grisonnantes. Akikaze sourit en pensant que l’homme qui se tenait devant lui, bien que identique physiquement, ne correspondait pas du tout au Satsubatsu qu’il connaissait. Dans sa colère d’être retenu depuis des années, Satsubatsu avait perdu son humour qu’il ne pouvait faire taire aujourd’hui. Du moins avant qu’ils ne disparaissent. Le shinigamis se tenait bien droit regardant Akikaze avec des éclairs dans les yeux. On pouvait remarquer facilement qu’il ne se retenait que de justesse de se précipiter sur l’arrancar et de le frapper jusqu’à ce qu’il reprenne le contrôle du corps qui l’emprisonnait pour le moment. Perdu dans ses pensées, Akikaze n’avait pas porté attention à l’échange de paroles effectué par l’arrancar et son shinigamis. Il n’avait pas besoin d’écouter puisque chacune de ces paroles étaient marqué dans sa mémoire. Il fut pourtant rappelé à la réalité lorsque Satsubatsu, attaqua Akikaze sans prévenir. Celui-ci, même s’il était meilleur que le souvenir précédent n’avait pas encore le niveau du Akikaze actuel et il fut très vite dominé par le shinigamis. Il venait tout juste de commencer à combattre qu’Akikaze avait déjà une longue balafre à la hanche et il crachait du sang à a suite d’un coup au ventre, tandis que Satsubatsu, lui, était toujours intact. C’est alors qu’il revit une scène qu’il avait oubliée. Il se revit recevoir chacune des paroles de Satsubatsu comme un coup en s’affaissant un peu plus à chaque mot. Une fois que le shinigamis avait fini sa tirade, Akikaze était à genoux par terre. La tête baissée, ses cheveux dissimulant toute expressions. C’est alors qu’à son grand étonnement il comprit. Les soubresauts de ses épaules, les légers hoquets, il pleurait ! Il ne s’en était même pas rendu compte lui même mais de lourde larme s’écrasait sur le sol, créant rapidement une petite flaque sur l’humus qui recouvrait le sol. Soudain, les larmes cessèrent de couler et l’arrancar se releva, fou de colère. Il attrapa le shinigamis à la gorge et le propulsa contre le mur en le maintenant cloué à la paroi d’une poigne de fer. Sa colère était dirigée contre lui même mais il ne pouvait la contenir plus longtemps. Alors plutôt que l’évacuer par des coups, il se mit à parler. Les coups auraient peut être été moins douloureux pour le shinigamis mais il n’aurait jamais pu le convaincre avec autant de force. Nouveau flash : -A peine t'es-tu rappelé de nous que tu t'égares déjà vers d'autres pensées.
- Oui, on commence à se poser de sérieuses questions. A moins qu'il ne faille t'accrocher un panneau devant les yeux pour que tu ne changes pas de sujet toutes les deux minutes.Oui ! C’était vrai ! Pas étonnant qu’ils soient partis. Il n’arrêtait pas de les oublier. A chaque fois il les avait abandonné dans leur solitude, et ils étaient toujours revenus, souvent pour le sauver d’une situation où il risquait de mourir. Quel égoïste il était. A chaque fois il ne pensait qu’à lui. Il en venait même à se demander comment Aki Satsubatsu et Satsubatsu avaient fait pour le supporter sans tenter ne serait-ce qu’une seule fois de reprendre le contrôle de son corps. En s’alliant ils y seraient surement arrivé et à leur place, Akikaze n’aurait surement pas hésité. Mais voilà, tout était là. Il n’était pas à leur place et cela valait surement mieux. - Pffff, on ne peut pas avoir la paix. Aki Satsubatsu, Satsubatsu, vous savez ... c'est pas plus mal sans vous mais apparemment je vais encore devoir vous supporter quelques temps. Et puis regarde moi ces noms, j'ai toujours l'impression de me répéter avec vous. - Tu n'arrêtes apparemment pas de changer de personnalité. - Oui, c'est vrai. Lorsque je t'ai connu tu n'était qu'un fou sanguinaire qui ne pensait qu'au sang; puis tu as commencé à te poser des questions et pour échapper à la culpabilité tu as décidé de n'agir que contraint, ce qui t'as formé une réputation de faignant et c'est aussi pour cela que tu n'as affronté que un seul véritable adversaire digne de ce nom; ensuite tu t'es perdu dans tes sentiments et tu en est ressorti, il y a quelques temps comme un … illuminé dans les deux sens du terme; et à présent te voilà devenu, et bien, tu es toi. - Tu as peut-être raison mais je dirais plutôt que je suis nous.Ah…Humour quand tu nous tient. Ces échanges philosophiques avec ses deux compagnons lui manquaient. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas pu échangé leur point de vue en rivalisant d’ironie. Il se rappelait à présent : Les regards des gens qui le croisait en souriant bêtement au moqueries de ses amis que lui seuls pouvait entendre. Même ses adversaires le prenaient parfois pour un fou lorsqu’il éclatait de rie en plein milieu d’un combat. Il fallait vraiment que tout revienne comme avant et qu’il puisse de nouveau rigoler librement. Lui qui disait vouloir s’amuser, il délaissaient les deux personnes qui lui apportait le plus de bonheur ! Quel imbécile ! Nouveau flash : - Nous t'avons demandé d'ouvrir ton esprit... - Et tu nous as offert ton âme. - Tu ne peux pas savoir à quels points ce don nous fait plaisir.Akikaze ne fit aucun commentaire sur ce moment d’émotion, les larmes qui coulaient sur ses joues suffisaient à exprimer tous ses regrets ! Nouveau flash :Il approchait, bientôt il serait arrivé, bientôt il aurait fini et il pourrait se libérer de ses chaines, ou disparaître dans l’oubli et dans le passé. Il se trouvait désormais en plein sur le champ de bataille de Karakura. Au loin résonnaient les coups des différents combats qui avaient lieu. Le joker, différents capitaines, une jeune femme, et surtout, lui et Isshin Kurosaki. Enfin… Pour le moment leur combat ne ressemblait pas vraiment à ce que l’on appelle en générale un combat. Akikaze se voyait lui même courir en tous sens, détruisant tout sur son passage, son reiatsu s’échappant en tous sens. Il criait, déniait, tuait… Ses yeux, fous, roulaient en tous sens ne fixant rien en particulier et se désaxant complètement. Akikaze regarda avec amusement, un écureuil tombé du haut d’un arbre, raide mort à l’endroit exact où se trouvait la tête de lui dans le passé. Mais il était tellement perdu qu’il ne remarqua pas la présence du cadavre. Non au lieu de cela il perdu connaissance afin de s’envoler avec Aki Satsubatsu qui encore une fois l’avait sauvé. Nouveau flash :Il nageait, il nageait dans les tourments du fleuve parmi les poissons et les sacs plastiques qui se laissaient porter par le courant en étouffant parfois les autres. Il nageait et pourtant il était sec, il était sec et il flottait. Il n’avait pas besoin d’être d’apnée ni de se maintenir à niveau, il n’était qu’un fantôme et un fantôme ne respire pas, il ne nage pas, il flotte dans les airs comme dans l’eau. A côté de lui, l’Akikaze qu’il avait été coulait, il coulait en jouant les dramaturges se lamentant parmi ses pensées. Akikaze sourit encore une fois en pensant qu’il aurait fait u très bon acteur. On croirait presque qu’il tombait en pleine déprime. Il réussissait à nous faire oublier qu’il n’avait même pas utiliser sa résurrection. Il avait dupé tout le monde…tout le monde, sauf eux. « Imbécile… Je ne pensais pas que tu aurais besoin de moi pour se combat. Et puis qu’est ce que c’est ce mélodrame. Tu n’as pas bientôt fini de te plaindre. » « Tu me connais. J’espère toujours pouvoir te faire pleurer sur mon corps. Je sais pas pourquoi mais cette image me paraît si drôle que je ne peux l’effacer de mon esprit. Toi l’homme si fort et si puissant pleurant sur le corps décharné d’un meurtrier n’ayant toujours pas eut le temps de racheter les vies qu’il avait volé. » « Ah ! Ah ! Ah ! La prochaine fois tu la fermeras Aki ! » « Tais toi ! Cette histoire ne te concerne pas. Bien alors tu ne crois pas avoir attendu assez longtemps. Je crois que ton retour en scène est nécessaire sinon ton adversaire risque de partir en disant que tu n’étais qu’un imbécile prétentieux. Je ne veux pas dire mais pour le moment tu as tellement bien tenu ce rôle que même moi j’y ai cru. Quoi ?! Ce n’était pas un rôle ?! » « Aki Satsubatsu Vs Akikaze : Combattez ! » « TAIS-TOI SATSUBATSU !!! » « Bon tu as gagné, j’y vais. » « Attends ! Une entré en scène ça se travaille. Toi qui aimes tant surprendre, tu ne peux pas y retourner dans cet état. » « Ah oui ! Et comment tu veux que je fasse. Tu veux peut être que j’y aille à po** ! » « Non mais t’es c** ou t’en fais exprès. T’as vraiment un don pour oublier ce que je t’apprends. Tu ne te rappelles pas avoir appris quelque chose qui s’appelle résurrection ?! »
« Non mais j’en faisais exprès » « Oh l’autre ! Comment il essaie de se rattraper » « Mais tu vas la fermer !!! Bon bah c’est parti : « kokyuu aki satsubatsu » » « Et les flots fur fendu par le pouvoir des feuilles. J’ai toujours eut une âme de poète » « Satsubatsu…Ton cas est vraiment désespéré. »Cette fois-ci ce ne fut pas un sourire que lui tira cet échange mais un fou rire long et incontrôlable. Akikaze était plié en deux et il en pleurait de plaisir. Il était si heureux qu’il ne remarqua même pas sa résurrection s’effectuer, il ne lança pas un regard à ce balai de feuille, l’éclat de rire l’avait emporté au loin, lui montrant un peu plus le manque que laissaient ses deux amis. Retour à la réalité :
Le shinigamis avait agi avec une dextérité impressionnante. Ses yeux à présent reflétaient d’un éclat métallique et ses attaques étaient plus précises et plus rapide. Plus aucun doute ne l’habitait et il était prêt à le tuer s’il le fallait. Akikaze avait été stupide, il avait cru que le shinigamis était toujours habité par ses troubles et que ses attaques étaient véritablement sans conviction. L’exilé avait agi avec une ruse et une vitesse désarmante. Tandis qu’une attaque qui n’était qu’un leurre fusait vers sa gorge et que l’arrancar s’appliquait à léviter, il en vit qu’au dernier moment le poing renforcé par l’acier qui vint le frapper au niveau de l’estomac en le propulsant en arrière. Lorsqu’Akikaze sentit ses pieds décollés du sol, il eut le réflexe de profiter de sa position pour frapper d’un coup de pied le coude du shinigamis. Tandis qu’il s’étalait sur le sol, Akikaze perçut du coin de l’œil un éclat argenté qui lui signala que le coup avait porté et que son apprentie avait encore lâché son arme. Il aperçut une forme sombre se déplaçant vers l’arme mais il ne put rien faire pour empêcher le shinigamis de récupérer son arme. Il se releva en vitesse et releva la tête juste à temps pour voir Ozeki, de nouveau armé, disparaître ans un sonido. Vu sa position, Akikaze ne pouvait contrer l’attaque et il ne put que plonger en avant pour éviter que le coup ne le décapite. L’acier frôla son dos en traçant une longue coupure dans sa tunique déjà taché et déchiré. Il y eut quelques étincelles quand la lame entra au contact avec sa peau mais le reiatsu qui coulait en lui arrêta le coup sans qu’il put le trancher. Faisant de nouveau face à son adversaire Akikaze passa pour la première fois à l’attaque. Il courût vers le shinigamis et alors qu’allait être sur lui il disparu dans un sonido avant de réapparaitre juste au dessus de lui. Le poing pointer vers le bas et le corps à la parallèle du sol. Son attaque bien qu’original ne l’était pas encore assez pour Akikaze. Au moment où son poing allait frapper l’exilé il retourna tous son corps d’un mouvement des hanches afin que ce soit ses deux pieds qui percutent avec force la poitrine d’Ozeki. - Spoiler:
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| | | Ozeki (inactif) Shinigami exilé
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| Sujet: Re: Ce n'est qu'un au revoir! Mar 13 Avr - 12:43 | |
| Ozeki avait été trop sur de lui. Il avait cru parce que son coup avait porté une fois que la victoire lui était donnée. C’était une erreur qui lui faisait souvent tord. Plusieurs fois déjà, ses maitres l’avait réprimandé pour une trop grande sureté de soi et plus souvent encore pour sa distraction. Depuis, Ozeki n’avait cessé de conserver ces défauts et aujourd’hui encore il le mettait dans une position délicate. Trop sur de sa victoire, le shinigamis n’avait porté qu’une attaque dénué de véritable volonté et sans aucune malignité. Sa charge était des plus classique et ne correspondait pas à son esprit si libéral d’habitude. A peine quittait-il un moment de mollesse qu’il replongeait déjà dans sa « molle attitude ». Le mouvement hippies dont il avait été un des membres durant son vivant avait marqué sa vie et aujourd’hui encore on pouvait voir en lui les marques de ces années de bonheur. Il avait par ailleurs gardé certains rites crée par lui même à cette époque dont la sieste de 17h. En ce remémorant sa jeunesse, Ozeki remarqua au placement du soleil qu’il approchait de l’heure sacré et que s’il ne se dépêchait pas de finir ce combat il manquerait au rite, brisant ainsi des années de ferveur spirituelles. Il remercia à l’occasion son père qui avait eut la bonne idée de l’envoyer chez les scouts ce qui lui avait permis de se balader sans montres et surtout quelques pièges pour torturer les animaux comme les humains qui lui avait déplu. Il se souvenait tout particulièrement d’un jeune garçon. Un petit blond à lunette, l’intello classique quoi ! Il représentait tout ce qui l’énervait en plus du simple fait d’exister, ce petit effronté avait tout fait pour le faire renvoyer des scouts. Ce qu’il avait réussi d’ailleurs mais cela lui avait coûté cher.
Flash Back :
Ozeki était déjà mal vu par les « patrons » comme il les appelait pour ce moquer d’eux. Surtout depuis que les provisions de nourritures avaient disparu et qu’il avait cherché à s’innocenter avant même que les « patrons » ne se rendent compte de l’enlèvement. Depuis qu’il était arrivé, ce petit garçon dont je vous ai parlé plus haut, le regardait d’un œil noir et surveillait le moindre de ses gestes. Cela avait le don d’exaspérer le garçon qu’il était, qui, bien que encore jeune, possédait déjà des idées libéralistes. Même s’il n’avait aucun mal à semer le gamin trop pataud pour le suivre à travers les bois, il possédait quand même le don d’apparaître par hasard au moment où Ozeki était en train d’accomplir un forfait, ce qui représentait à la plupart de son temps car en plus d’échapper au travaux quotidiens pour perpétuer de courtes siestes, Ozeki possédait un esprit espiègle et son passe temps favori était de persécuter avec humour ses camarades. Donc comme je disait, le petit gros du nom de Peter, un nom on ne peut plus niais si vous voulez mon avis, avait un don pour le surprendre et disparaître aussitôt afin de prévenir au plus vite les tyrans qu’étaient les « patrons ». C’est pourquoi lorsqu’il avait volé le chocolat, Ozeki avait cru se faire surprendre par Peter et avait donc couru rejoindre les scouts d’élite pour s’innocenter. Ce qu’il avait oublier, c’était qu’il courrait lus vite que le gros Peter et que donc celui-ci avait surgi en plein milieu de ses incompréhensible explications, et rouge de honte, Ozeki comprit alors son erreur : Il venait de s’accuser lui même, et tout ça à cause d’un gamin pas capable de courir plus vite qu’un poulpe. Oui je sais, déjà à cette époque, Ozeki faisait des comparaisons des plus douteuses Son acte eut pour conséquences une interdiction de trois semaines de confiseries ce qui était stupide sachant qu’Ozeki avait réussi à voler la provisions d’un mois de 15 garçons. Bien que la punition était vaine, Ozeki se sentit vexé au plus profond de lui et mit en place un plan diabolique qui n’avait pour d’autre but que sa vengeance envers Peter. Il mit donc tous cela en place et Pan ! Ca fait des chocapic !!! Et oui, je suis désolé de briser cette magnifique histoire ainsi mais Ozeki vient de se rendre compte que les scouts n’ont jamais existé au Japon, surtout qu’il s’apprêtait à affirmer qu’il appartenait à l’élite, « les scouts d’Europe. C’est pourquoi je suis désolé mais je me vois dans l’obligation de mettre fin à cette histoire et de recommencer depuis le début. Ozeki se souvenait particulièrement d’un petit blond qui faisait parti du même dojo que lui... Mais non ! Je déconne !! Ca doit être l’influence d’Ozeki mais je ne peux m’empêcher de vous voir marcher dans mes histoires comme des imbéciles, mais revenons en a présent et à ce combat entre Ozeki et son maitre, enfin, ex-maitre. Akikaze donc plongea en avant pour esquiver la lame qui ne déchira que son vêtement sans parvenir à traverser sa peau renforcer par son reiatsu. Les étincelles projeter par le choc entre la peau et la lame le prirent par surprise et par un reflexe stupide il leva son bras devant son visage afin de se protéger les yeux. L’arrancar en profita pour retrouver ses appuis et reprendre l’attaque. Il fonça droit sur lui et Ozeki ne le vit qu’au dernier moment au travers de ses doigts. Réagissant plus par habitude que par véritable réflexion Ozeki retourna sa main afin de tenter de contrer l’attaque mais au moment où Akikaze arrivait sur lui pour le frapper, il disparut dans un sonido. Il était rare qu’il réussisse cet exploit mais son maitre étant affaibli, Ozeki réussit pour une fois à suivre son mouvement. L’exilé le vit réapparaitre dans son dos et tout en se retournant il leva sa lame pour contrer le poing qui fusait vers son visage. L’arrancar avait choisi une position plutôt étrange pour frapper. Placé à la parallèle du sol, sa vitesse lui donnait certes une certaine puissance mais elle l’empêchait de réagir en cas de besoin. C’est alors qu’il comprit. Ce n’était qu’une deuxième feinte. Il aurait du le deviner lus tôt en découvrant la position d’Akikaze. Il regarda donc impuissamment, l’arrancar arquer ses reins pour retourner tous son corps et atterrir avec puissance sur le torse du shinigamis, les deux pieds en avant. Et au moment même où ses pieds atteignirent la poitrine du shinigamis, juste dessous sa lame, il prit une impulsion afin de se dégager et propulser au loin Ozeki. Ce dernier vit l’arrancar décoller dans une pirouette avant de retomber, dos à lui. Il ne put rien voir d’autre car le choc l’atteint enfin. Il fut propulser en arrière et il alla s’écraser sur un mur du hangar en s’enfonçant de quelques centimètres dans le béton armé. Son dos le faisait souffrir et sa poitrine portait maintenant la marque des chaussures de l’arrancar. On pouvait même lire le petit 11 ½ indiquant la pointure des chaussures. - Tiens ! Des chaussures américaines ! Très joli d’ailleurs ! Tu me diras où tu les a acheter. - Plutôt que de dire des conneries tu crois pas qu’il serait temps de passer au chose sérieuse ? - Comment ça ? - Tu te souviens pas avoir appris dernièrement un truc qui s’appelle Shikai ? - Ah oui c’est vrai.
- … - Et bien ?
- Je ne peux pas. - QUOI ? - Je ne veux utiliser mon shikai face à un homme affaibli. - Mais tu tiens vraiment à crever ! T’es vraiment trop C** ! Sale déb*** ! Je vais te crev** ! - Non je déconnais. Je voulais juste t’énerver.
- Conn*** - Ryougae, Sanbai Keijou !!
Et pan ! Ca fait encore des chocapics ! Je crois qui vas falloir que je ralentisse sur les céréales. Reprenons. Et dans un grand éclat de fumée parsemé de gouttes d’eau et de morceau dont ne sait quoi. Ozeki réapparut avec maintenant avec un long fouet composé d’eau à la place de son sabre. Sans perdre une seconde il prit son élan et sauta au dessus de l’arrancar afin de se trouver quatre mètres au dessus de lui. Une fois en place, il lança tout de suite le plan qu’il venait de mettre en place dans son cerveau. - Canon liquide !Un long jet d’eau se forma au bout de son sabre dirigé vers Akikaze et se lança sur lui. A peine la technique s’était elle former qu’Ozeki frappa trois fois de son fouet. Les eux première fois pour séparer son jet en trois morceau qui s’écartèrent juste assez pour encercler l’arrancar dans un triangle isocèle de degré 45. Le troisième coup lui, visait l’arrancar directement. Akikaze comprendrait-il que l’attaque n’était qu’un leurre et que le véritable danger était les trois jets sensé l’empêcher d’esquiver ? - Spoiler:
3900-300(canon d'eau)+300(shikai)=3900
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| Sujet: Re: Ce n'est qu'un au revoir! Jeu 15 Avr - 11:33 | |
| Akikaze réapparut dans ce qui ressemblait à des restes de parc. Surement celui de Karakura. A côté de lui, son l »lui » passé était allongé et semblait dormir tandis que derrière les restes calciné du buisson où il se reposait, avait lieu un combat peu impressionnant du fait que les combattants étaient encore faible. Akikaze eut un sourire en reconnaissant Ozeki qui combattait un vizard. Il avait bien évolué depuis ce temps là. En les quelques mois seulement qu’il avait passé à côté de lui, il était passé de simple shinigamis exilé à un danger possible pour la Soul-Society même si celle-ci ignorait surement encore son nouveau niveau. Il devait encore être classé dans les débutants. Peut-être même lui même était aussi classé dans ce groupe. Après tout avant Nell, il n’avait combattu personne d’important et ne s’était encore jamais rendu à la Soul-Society. C’est alors qu’il se souvint d’Isshin. Il l’avait oublié. L’ex capitaine était revenu du côté de La Soul Society, il les avait surement prévenu du danger qu’il représentait et peut être même aussi de sa neutralité et donc d’un possible recrutement. Mais il n’était pas là pour réfléchir à ça. Il réfléchirait à son futur lus tard. Il fallait d’abord qu’il retrouve son passé. Malgré le calme environnant, Akikaze savait qu’il devait y avoir quelque chose d’important pour que ses souvenirs l’aient conduit ici mais il ne voyait pas quoi. Tous ses souvenirs étaient en relation avec son zanpakuto ou son shinigamis intérieur donc il aurait du se trouver dans son monde intérieur. A moins que… Mais oui, il était décidément imbécile pour ne pas être capable de se souvenir qu’il devait écouter avec sa tête et non pas ses oreilles. « … n’as pas bientôt fini tes histoires ! Je te rappelle que je suis là ! » « Eh ! Arrête de faire comme si je n’existais pas Aki. C’est parce que t’es le plus vieux que je n’importe pas. Sans moi comment il ferait pour trouver le sourire. Parce que je ne veux pas dire mais t’es un peu chiant comme mec Aki ! » « Put*** !! Vous ne pouvez pas me laisser déprimer en paix. Vous comprenez pas que je serais toujours seul ; Vous avez beau avoir votre propre pensée vous ne remplacerez jamais un ami. Tout comme n ami ne vous remplacera jamais. De toute façon pas de risque pour vous puisque je ne pourrais jamais en avoir. » « Tais-toi ! Toujours à te lamenter ! Toujours à te plaindre ! De la solitude, de ta faiblesse, de ton incertitude et jamais tu ne nous écoutes moi et … Moi ! Ne comprends-tu pas que tu n’as pas besoin de compagnon. Que tu n’as qu’à tourner le dos à ton passé que tu trouves si horrible. Essaie de comprendre un peu !! » « Arrêtes Aki tu vas le faire pleurer le petit ! »
« Comprendre ! Comprendre ! Toujours comprendre ! Mais j’en ai marre de comprendre !! Comprends toi que je ne peux oublier tout mes gestes ! Comprends que je devrais toujours vivre avec eux, qu’importent mes gestes ! Comprends que j’en ai marre d’être seul avec pour seul compagnie un zanpakuto qui ne pense qu’au combat et un shinigamis qui ne peux pas rester sérieux plus de 3 secondes. »
« Quatre s’il te plais ! Et puis d’abord ce n’est pas vrai. Et puis pour une fois écoutes le ton zanpakuto. Écoutes le ! Si t’as vraiment besoin d’un compagnon et bah trouves en un. Et s’il est trop faible, tu n’as qu’à le rendre plus fort ! Si tu ne peux oublier ton passée et bien acceptes le, acceptes les changements en toi et vis avec lui. Prend le comme exemple de ce que tu ne dois surtout pas faire. Utilises le pour te rappeler pourquoi tu as changer de but dans les moments de doute. Fais en ce que tu veux mais réagi ! J’en ai marre de faire de l’humour tout seul. »
Et oui… Encore une fois, ils l’avaient sorti de sa solitude. Il n’avait jamais été seul. Il s’était toujours enfermé tout seul dans son impuissance. Il n’était vraiment qu’un imbécile. Nouveau Flash :
Il n’avait plus de temps à perdre, il arrivait au souvenir ultime. Il avait compris toutes ses erreurs, il ne restait plus qu’à observer l’élément déclencheur. : Il n’y avait rien. Aucun élément déclencheur. La seule chose qui voyait le dégoutait, il se voyait lui. Cet élément déclencheur qu’il avait tant cherché ce n’était que lui. Une chose immonde et égoïste. Une chose qui en voulant devenir plus forte avait tout abandonné. Jusqu’à lui même et ses amis. C’était fini, il devait revenir à présent. Il devait retrouvé son amour pour les autres, pour le cinéma^^. Pour tout. - Aki Satsubatsu ! Satsubatsu ! Excusez moi ! Je suis désolé ! Pardonnez moi ! Je suis vraiment qu’un sombre crétin. Je le reconnaît mais revenez !!!Il avait fini sa phrase à genoux, le visage inondé de larmes. Les mains croisées devant lui, il implorait le monde invisible où semblait s’être réfugié tout ce qui lui manquait. Au fur et à mesure qu’il implorait. Une lumière apparut dans l’obscurité de son âme. Une lumière qui emplit très rapidement toute son âme et libéra en son centre deux ombres. Deux silhouettes tant implorer. - Aki Stasubatsu ! Satsubatsu ! - Très joli ! Tu es toujours aussi doué pour le tragique. - Enfin bon maintenant tu pourrais te relever avant que mes chaussures ne soient tremper par tes larmes. - Et puis surtout. N’oublions pas le plus important. Tu pourrais m’apprendre à pleurer en le faisant exprès. Cela peut être très utile tu sais. - Je joue bien ? N’est-ce pas ? - Allez c’est bon. Je crois qu’il n’y a rien à ajouter. Alors, allons vite vaincre ton apprenti avant qu’il ne nous mette notre branlé. Pardonnez l’expression. - Si une chose : Merci !Akikaze était l’homme le plus heureux. Enfin l’arrancar le plus heureux. Il retrouvait enfin ces joutes orales qui lui avaient tant manqué. Mais il était tant de montrer qu’il était de retour. Retour à la réalité :Akikaze se réveilla avec une sorte de fouet composé d’eau entouré autour de son cou le tout enveloppé dans un immense nuage de fumée provoqué par trois explosion autour de lui. Alors que le fouet le retenait toujours il sentit le sol se briser sous ses pieds. L’explosion avait fragilisé le sol si bien qu’un vide immense s’étendait maintenant sous les pieds de l’arrancar. Akikaze se trouvait maintenant dans une position plutôt embarrassante. Sous ses pieds s’étendait un vide immense s’ouvrant sur une de ces nombreuses salles d’entrainement qui parsemait maintenant le sous-sol de Karakura. Il ignorait à qui celle-ci appartenait et il s’en fichait pour le moment. Il avait d’autre chose à réfléchir car il ne tombait pas sans raison. S’il ne tombait pas, c’était parce que le fouet le retenait toujours en l’étranglant. Il ressemblait à présent à un pendu dont la branche et la corde était crée par Ozeki et son zanpakuto. C’est donc pour sortir de cette situation dangereuse qu’Akikaze cherchait vainement à attraper son zanpakuto. Lorsqu’il réussit enfin à empoigné son sabre, il lui restait tout juste assez de souffle pour souffler quelques paroles : - Kokyuu Aki Satsubatsu.
Le fouet d’eau ne referma alors que sur une seule petite feuille qui lui échappa rapidement pour rejoindre les autres qui se regroupait déjà derrière Ozeki qui n’avait toujours pas réagi. Le shinigamis ne devait surement jamais comprendre comment se combat prit fin mais pour vous je vais vous décrire les derniers mouvements d’Akikaze dans ce combat. Alors qu’Ozeki n’avait toujours pas eut le temps de se retourner, Akikaze avait déjà empoignée le poignet de l’exilée qu’il, d’une simple torsion, le força à lâcher son arme. L’acier n’avait toujours pas tinter sur le sol qu’Akikaze s’était déjà glisser devant Ozeki afin qu’il puisse voir son sourire lorsque son pied le cueillerait au même emplacement où apparaissaient encore les marques de l’ancien « Akikaze » Et tandis que le shinigamis faisait une visite éclair des cieux de Karakura il lui adressa un mot d’adieu avant de disparaître dans un sonido. - A plus !- Spoiler:
6200+600(résurrection)-100(sonido)-600(Fin de résurrection)=6100
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| Sujet: Re: Ce n'est qu'un au revoir! | |
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