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 Dekai No Koji

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Ima Soyokaze (inactif)
Shinigami
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Ima Soyokaze (inactif)


Féminin Nombre de messages : 247
Âge : 30
Double compte : Momo Hinamori
Date d'inscription : 20/08/2008
Fiche Technique : Fiche Ima (V2)

Feuille de personnage
Nom du zanpakutô/Nature du pouvoir: Yami Ni Tori
Niveau: Combattant Puissant / LVL 5
Reiatsu:
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MessageSujet: Re: Dekai No Koji   Dekai No Koji - Page 2 EmptyDim 1 Mar - 11:23

Yesh ! Vive les femmes xD
Certes ce chapitre confirme que les filles sont bavardes mais bon...
Continuez ainsi ^^

Spoiler:

Edit Shuzo :

Spoiler:
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Invité
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MessageSujet: Re: Dekai No Koji   Dekai No Koji - Page 2 EmptyDim 8 Nov - 1:29

IV


Les deux hommes regardaient la jeune femme accompagnée par Oïshi s'éloigner lentement, l'air complètement étonné. Oniyoku ramassa une pierre, la serrant de plus en plus fort en essayant de la broyer, seule façon qu'il ait trouvée pour apaiser sa colère. Il se tourna vers Nagakatsu et le regarda avec des yeux emplis de haine, qui lui-même le regardait avec une certaine pitié dans le regard. Le soleil couchant au loin projetait d'étranges ombres sur le sol, les faisant ressembler à deux monstres des anciens temps se faisant face. Soleil qui se couchait d'ailleurs de plus en plus tôt, annonçant l'arrivée imminente de l'hiver.

-"Espèce de faible, a cause de toi on a perdu le combat. Mon honneur est a jamais souillé d'avoir perdu contre une femme! Si seulement tu étais un peu plus solide, son petit front n'aurait pas brisé ton nez.

-Perdu le combat a cause de moi ? Est-ce moi qui, en un contre un, n'ait même pas réussi a la toucher avec un sabre trois fois plus grand que ses bras ?

-Ce dont on est sûrs, c'est qu'il est trois fois plus large que les tiens"

Ne continuant pas la discussion, Nagakatsu se remit le nez en place et arrêta le saignement a l'aide d'un bout de tissu. Il sortit un petit pot de baume de sa tunique qu'il lança a Oniyoku en désignant ses genoux éraflés et gonflés.

****


Pendant ce temps, Oïshi et Miki marchaient d'un pas décidé vers le nord. Il marchèrent toute l'après- midi, n'échangeant que peu de paroles, préférant garder leur énergie pour marcher, et leur salive pour étancher leur soif. Il ne s'arrêtèrent que lorsqu'il fut trop dangereux de se promener a deux, autrement dit quand il fit trop noir pour déceler une embuscade. A quelques mètres de la route, il trouvèrent un petit abri de bois et de feuilles et depuis longtemps abandonné vu la quantité de poussière et de toiles d'araignée qu'il contenait. Étant trop fatigués pour remarquer des détails comme ceux-ci, les deux compagnons s'assirent autour d'une table et sortirent leur repas, constitué de fruits et de viande séchée.

-"Oïshi j'aimerais savoir, pourquoi m'aides tu ? -Oïshi ouvrit la bouche pour commencer a répondre lorsqu'elle l'interrompit Non,je ne veux pas d'excuse comme "Tu m'as dit que c'était mon destin", je veux une vraie raison."

Le Taikais eut l'air de réfléchir et, avant de répondre, avala un morceau de pomme;

-"Je sais pas vraiment, je pense que Nagakatsu le fait pour la récompense et Oniyoku tout simplement pour s'amuser mais moi ? Quelle est ma raison de t'accompagner ? La réponse la plus proche de la vérité serait sûrement que je n'aime pas laisser une jolie fille sans défense, même si elle sait se battre.
Tu sais,je ne peux plus rentrer dans mon village sans que la honte pèse sur moi. J'ai raté l'épreuve finale pour faire partie des soldats d'élite de taikyuu. Le jour ou le sort de mort nous a atteint j'étais sensé ramener les plans de l'armée Tsuyosate mais je n'ait pas pu les dérober. Ma mission ayant échoué, le seul moyen de me faire accepter est de faire un autre acte de bravoure. Que peut-il y avoir de plus courageux que de sauver le monde ?"


-" Tes raisons sont nobles en effet, bien plus que les miennes. Je ne fais que suivre mon désir de vengeance. Je me pose souvent des questions sur le bienfondé de ma quête, je me demande parfois si je le fais vraiment pour sauver le monde, ou tout simplement pour me sentir mieux. Est-ce que je dois continuer si ce n'est que pour moi que je le fais ?"

-" Bien sûr que tu dois continuer Miki car quelles que soient tes raisons de te battre, sans toi le monde est mort, l'humanité telle que nous la connaissons ne sera plus. Nous avons besoin de toi Miki, n'oublie jamais ça. De plus, nous avons besoin de dormir maintenant. Bonne nuit Kajin."(Jolie fille)

Oïshi souriait tandis que Miki détournait la tête pour ne pas montrer qu'elle rougissait du compliment. Lorsqu'elle releva les yeux, le guerrier était déjà dans son lit, la tête dirigé vers l'autre coté. A son tour elle alla se coucher, prête a affronter les épreuves du lendemain.
Pendant près de deux semaine,il marchèrent vers le nord et Sokudo dans une routine constante : Le matin ils avançaient jusqu'à midi ou ils mangeaient sous le soleil puis pendant une heure ou deux, ils s'entrainaient, pour ensuite reprendre la route jusqu'au soir. Lorsqu'ils arrivèrent au bout de leur voyage, Sokudo se dessinait dans le ciel, derrière les nuages. Encore une nuit de marche et ils pourraient enfin dormir dans un vrai matelas, manger un vrai repas. Profitant de ce dernier jour, leur entrainement dura plus longtemps, et se fit cette fois avec de vraies armes.
Sous le soleil au zénith, le métal de l'épée étincelait et reflétait la chevelure rouge du Taikais. En face de lui, Miki se tenait en position de garde, ses deux tonfas en main. Ce fut elle qui, contrairement a son habitude, attaqua en première,bloquant l'épée de son compagnon avec un tonfas et visant son estomac avec l'autre. Connaissant cette botte, Oïshi vrilla sur lui-même et évita l'arme, tout en se remettant face a la jeune femme en position d'attaque. Pendant près de dix minutes, les deux combattants ne s'arrêtèrent pas, ne trouvant pas de failles dans la défense de leur adversaire, se connaissant maintenant trop bien chacun. Les deux étant exténués, le premier qui ferait une erreur perdrait le combat.
Et ce fut Miki qui la commit la première. D'un coup du côté de la lame, Oïshi dévia un tonfa et pénétra dans la garde de son adversaire... qui parvint a l'éviter en se courbant, sa tête touchant presque le sol. Continuant son mouvement, elle fit une roue arrière et arracha l'épée des mains du Taikais en la prenant entre ses pieds. Oïshi leva les deux mains vers le ciel, signe de sa défaite et de son abandon.


-"Bravo Oïshi, tu a enfin réussi a me faire utiliser mes pieds. Tu progresses vite."

-"Quoi tu veux dire que depuis deux semaine, tu ne te bats pas a ton meilleur niveau ? Tu es bien trop forte pour nous Miki et je suis sur qu'a toi seule tu pourrais vaincre toute l'armée de Kagero"

Le sourire qu'avait Miki suite a sa victoire s'effaça, laissant place a un visage triste.

-"Si seulement ca pouvait être vrai... si seulement. En route Oïshi, nous ne sommes pas encore arrivés et nous avons trainé dans ce combat."

Le soleil continua lentement sa course vers l'ouest et la lune fit son apparition, sonnant l'heure pour les deux jeunes gens de trouver un abri pour la nuit. Comme lors de leur premier jour, il dénichèrent une petite bâtisse dans laquelle ils élurent domicile. Elle était vraiment exigüe, mais cela suffirait pour une nuit. Au moment d'aller se coucher, Oïshi se rendit compte qu'il n'y avait qu'un lit, il alla donc chercher son sac de couchage pour dormir ailleurs.

-"Miki je te laisse le lit, je dormirais a la belle étoile, ca me rafraichira un peu"

Alors qu'il allait sortir, il senti une main attraper son bras et le ramener vers l'intérieur.

-"Un lit suffit amplement pour deux Oïshi"

L'homme se tourna et vit que Miki avait un sourire au coin des lèvres. Sourire qu'il lui rendit avant de la suivre pour la dernière nuit qu'il aurait a passer avant de rentrer dans Sokudo.

Ils eurent une très grande surprise a leur réveil. Tout autour d'eux, le paysage était blanc de neige, tout simplement magnifique. Il n'y avait plus un carré de vert, et pourtant, il ne faisait pas si froid que ça. Le soleil se voyait bien dans un ciel sans nuage et commençait déjà de fondre cette couche de glace. Les deux compagnons étaient émerveillés, jamais ils n'avaient vu d'hiver aussi beau, et tout cela en seulement une seule nuit, comme si le ciel lui même récompensait leur amour, la lueur dans leur yeux lorsqu'ils se regardaient.
Cependant,il reprirent vite leur esprits et firent ce pour quoi ils étaient venu, et arriverent en moins d'une demi journée devant les porte de Sokudo, ou les ascenseurs plus précisément, la ville étant située a une cinquantaine de mètres du sol, par un système de levier caché des plus grands architectes de la ville. Ils grimpèrent et dans les machines, le froid les gagnant de minute en minute. La ville était haute, plus exposée et ici, le vent était très présent. Les deux jeunes gens se sentaient surement a part, en manches courtes alors que tout le monde portait un manteau.
Cela les força à se presser jusqu'à la grande bibliothèque, qui n'était vraiment pas dure a repérer. C'était l'édifice le plus imposant de la ville. On la disait même plus grande que la célèbre cathédrale de taikyuu et Oïshi ne pouvait pas dire le contraire a vue d'œil. Juste a côté de celle ci se trouvait un énorme manoir, qui semblait presque petit placé si près d'un tel bâtiment.


- »Non mais regarde moi un peu ces nobles pitoyables, tous les pouvoirs pour eux. Je suis sur que je rentre ma maison dans une de leurs chambres. »

C'était Oïshi qui s'était exprimé, le visage exprimant presque de la pitié envers de tels bourgeois. Avant de rentrer dans la bibliothèque, il eurent juste le temps de voir le bout d'une plaque sur la grille d'entrée, il y était marqué "..atsu". Des qu'ils pénétrèrent dans la bibliothèque, ils furent envahis par l'aura sacrée qu'il s'en dégageait, comme s' ils rentraient dans une église. Sans perdre de temps, il se dirigèrent vers le rayon des anciennes légendes et commencèrent à fouiller, à lire tout ce qu'ils pouvaient trouver sur le sujet. A la fin de la journée, ils n'avaient cependant rien trouvé, pas même un petit indice, et furent vite chassés par les gardien de la bibliothèque, ces derniers leur conseillant une auberge proche, où les deux compères se rendirent.
C'est donc après avoir pris leur repas qu'il firent leur compte rendu de la journée. Ce fut la jeune femme qui s'exprima d'abord.


-Pourquoi autant de livres si on ne trouve même pas ce que l'on veut ! On pourrait passer des années ici sans avoir lu un seul rayon entier, et d'ici la Kagero aura déjà ravagé tout Dekai … As-tu une idée, Oïshi ?

Ce dernier releva la tête a la mention de son nom, comme sortit de ses pensées.

-Hein,euh … quoi ? Ah oui, une idée. Non, je ne vois pas ce que l'on peut faire a part continuer a chercher, encore et encore jusqu'à trouver ce que l'on veut. Mais tu sais, ces lectures ne sont pas inutiles, savais-tu par exemple, qu'une légende mentionne un jeune natif de Taikyuu qui aurait eu plus de mille conquêtes a son actif, tout cela du a son incroyable beauté... Je dois être l'un de ses descendant , tu crois p...

Il fut arrêté net par un oreiller, l'allongeant sur le lit. Le regard de Miki le força a ne pas recommencer a parler, et a dormir.
Lorsqu'il ouvrit les yeux, le soleil brillait déjà dans le ciel. Tournant la tête, il découvrit un lit vide a coté de lui, et un petit mot lui signalant que sa compagne avait déjà repris les recherches, se réveillant à l'aube pour ne pas perdre de temps. Il la rejoignit des qu'il pu, mais elle n'avait toujours rien trouvé... Ils avaient à peine lu un dixième du rayon, et il y en avait une cinquantaine rien que dans cette section. A cette allure, ils n'en sortiraient jamais. Miki ferma le livre qu'elle lisait actuellement et se releva avec le regard décidé, puis ferma les yeux, comme pour se concentrer. Elle avança ensuite bizarrement, comme si elle était en transe, se dirigeant vers le coin le plus sombre et le plus poussiéreux, tirant un livre qui devait dater de plusieurs siècles. L'ouvrage était entièrement recouvert par la saleté. L'amenant a leur table, elle ne le lâcha que quelques centimètres avant, mais cela suffit pour déclencher un nuage de poussière a son atterrissage. Aussitôt que celle-ci fut partit, Oïshi se précipita sur le livre et commença a le feuilleter, bien vite rejoint par Miki, qui avait l'air de se demander ou elle était. Elle fut néanmoins bien vite mise au travail, le livre étant écrit en ancien langage, le jeune Taikiais ne pouvant se référer qu'aux illustrations.
Ce qu'ils cherchaient se trouvait a la fin. Des informations sur les Sakkis, disséminés a travers le monde. Une fois qu'ils auraient rejoint Nagakatsu et Kyô, la plus proche était sans doute Fundo, l'immense hache capable de vous faire entrer dans un état dans lequel un berserk passerait pour une mouche. C'était d'ailleurs l'arme dont on avait le plus entendu parler pendant la Grande Guerre. C'était le Sakki du leader de l'un des clans, qui avait massacré tous les autre chef avec, réduisant même en ruines la capitale d'un des pays a lui seul.
Il faudrait ensuite aller chercher Hansu, l'épée qui pouvait se transformer en une armure incassable, offrant la plus grande des défenses jamais vues, tout ce dont un soldat pouvait rêver.


-Wahou, me la faut celle la!

-C'est sérieux la Oïshi,c'est pas un jeu.

Sans comprendre les marmonnements de son amant, Miki se replongea dans sa lecture pour chercher la toute dernière arme, l'une des plus ancienne de toutes les Sakkis. Yûrei, la dague permettant de se rendre invisible, de ses dissimuler au yeux de tous. Vérifiant que personne ne la regardait, la jeune femme arracha la localisation des armes et sortit de la bibliothèque, préfèrant se remettre en route le plus tôt possible.

****


Allant aussi vite, voire même plus, trois ombres avançaient dans le gigantesque territoire glacé du nord. Les étendues de glace ne les ralentissait pas du tout, leur semelle étant parfaites pour ce territoire. De plus, elles connaissaient parfaitement leur route.
Celle-ci se terminait par un grand palais blanc, qui se fondait parfaitement dans l'étendue de neige. Les trois ombre ne s'arrêtèrent même pas a l'entrée, gardée par plusieurs sentinelles. On savait qui elles étaient. Elles ne s'arrêtèrent pas non plus devant la salle de dévotion, ou une centaine de personnes étaient à genoux devant une gigantesque statue. Non, elles allèrent directement faire le rapport de leur mission, dans un des coins les plus reculés du château, ou aucun bruit ne perçait les murs. Elle entrèrent dans la pièce et cette fois-ci, s'agenouillèrent devant leur "patronne"


-Bonjour, maîtresse Hidemi, nous avons rempli a bien notre mission et localisé la cible.

-Bien les filles. Comme d'habitude, vous ne m'avez pas déçue. Faites-moi votre rapport par écrit mais d'abord, un résumé oral de suite.

-Bien. Nous avons trouvé Miki lorsqu'elle est sortit du village central de Honkyo, puis nous l'avons suivie jusqu'à son arrêt au village de Sokudo, ou nous n'avons pas réussi a trouver ce qu'elle cherchait. Elle est maintenant en route vers le sud, surement pour retrouver les compagnons de son amant.

-Préparez vos affaires, nous allons la retrouver. Les ordres ont changés et sa vie ne semble plus nécessaire. Je vous accompagne, nous partons demain.

-Non ! Nous partons dès maintenant.
C'était une voix grave et forte qui s'était exprimée … Ekans était entré dans la pièce, les trois filles s'agenouillèrent une nouvelle fois.

-Nous partons dans une heure et je viens avec vous. Kagero est de retour et m'a laissé le quartier libre. Cela fait longtemps que je ne me suis pas dégourdi et cette occasion est inespérée.

La fille qui avait fait le rapport releva la tête et ouvrit la bouche.

-Mais monseigneur, il faut aller vite, nous avons été entrainées pour ça et, sans vouloir vous offenser, vous allez surement nous ralentir.

D'un pas,il fut a quelques centimètres d'elle et son poing s'écrasa sur son visage, la projetant contre un mur. Elle se redressa difficilement et un filet de sang coulait de son arcade, maculant ses sourcils et l'empêchant d'ouvrir son œil droit. Ce dernier serait surement de plus tuméfié pendant plusieurs jours.

-Pour qui me prends-tu, misérable ? Penses-tu que je ne puis pas courir a ton pitoyable rythme ? -Il se retourna vers Hidemi – Dans une heure devant la grande porte, je ne tolérerais pas de retard.

Une heure plus tard donc, à l'heure convenue, un groupe de cinq personnes repartit vers le sud, a une vitesse surprenante et inimaginable pour un humain normal. Il leur faudrait moins de dix jours pour rattraper leur proie.

****


-Bon,je crois que cette fois,on est vraiment dans le pétrin.

-Je suis d'accord avec toi pour une fois Nagakatsu, on était peut-être pas obligés de les insulter.

Au moment même ou Ekans parlait avec Hidemi, Kyo et Nagakatsu étaient entourés d'une quinzaine d'hommes, l'air plutôt décidé à les tuer, sans aucun moyen de s'échapper.

-Bof, si c'était a refaire je le referait. C'était plutôt marrant quand même.

Le Sokoudard eut a peine le temps de finir sa phrase que leurs ennemis chargèrent, les noyant sous leur nombre.
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Dekai No Koji
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