Signe d'une civilisation?

Ryu étant partit en éclaireur, il fut le prmeier à aperçevoir celà. Une plaine faite de glace à perte de vue. Au lin, une forêt de pins recouvert également de neige s'annonçait au devant d'une colonne de fumée qui pouvait bien être un signe de civilisation. S'avancantplus amplement ver sune zone de glace presque transparene donnant sur une infinité noiratre, probablement un lac, le visard se risqua à marcher dessus. Un pied puis l'autre, lorsqu'il put enfin dire que c'était sur, il revint sur ses pas prévenir les autres. mais d'étrange craquements se firent alors entendre suivit d'un cri d cassure d ela glace. Hayabusa-kun s emit à courir mais très vites les fissures se rapprochèrent et il se décida finalement à sauter pour rester dans les airs. Les trois premières secondes de son ascension s epassèrent bien, c'est lsqu'il vout s'arréter sur les airs que tout foira. Ayant bon envoyer son reiatsu en grande quantitè, celui-ci n'arrivait point à contracter des particules spirituels pour former une plate-forme invisible. heureusement, il re tomba sur les rives du lac à quelques centimètres des eaux mortelles.

** Je l'ai échappé belle on dirait**

Du au vacarme assourdissant les autres arrivèrent rapidement s'assurant du bien être du visard, celui-ci leur répondit:

-Ouais-ouais, ça va. Par contre faites gaffe !!! On marche sur du verre ici et n'éspèrez pas user de vos pouvoirs shinigamien vous permettant d emarcher sur les airs, ici, impossible de voler.

Après que tous aient constater le même phénomène, le quintro repris la route à pied, fesant bien attention où ils marchaient mais plus d'une fois, ils manquèrent de peu la chute mortelle. Ryu se trouvait toujours en tête, à plat contre une paroi à marcher sur une petite marche pas plus large que 3 cm avec dans le dos, le néant entre deux montagnes. Au bout de leur peines, ils arrivèrent finalement à la forêt de pins enneigés.

Toujours sur ses gardes, le visard ultime passa en premier jugant bon de s'assurer de la sureté du chemin. Celà fesait désormais deux personnes ayant trouver leur postes au sein du groupe: Keikoku Toya, le superviseur de sopérations et Ryu Hayabusa l'éclaireur. C'est ainsi qu'évoluerait désormais le groupe le plus important selon tous envoyés par karakura et Soul Society. La marche fut cependant tranquille comparer à la plaine enneigée. Ils se surprirent même à discuter de choses et d'autres pour s'occuper l'esprit.

Finalement, l'orée du bois fit son apparition pour donner sur un petit village en contre-bas de la colline. Sur un geste silencieux de la main du visard, l'abaissant vers le sol, tous scéllèrent du mieux possible leur reiatsu. Tous entamèrent ensuite leur marche vers le village lorsqu'Hayabusa-kun les arréta en leur fesant signe du menton les rares gens présent au-dehors. Tus avaient des tenues si différentes de celles de nos amis qu'ils comprirent vite qu'il se ferait remarquer directement avec leur accoutrement. pendan que tous réflchissèrent à une solution, le visard ultime s'éclipsa.

Approchant doucement d'une maison, il sauta sur son toit pour en observer l'arrière. Une femme habillé comme au moyen-âge mettait à sécher des vêtements au-dessus d'une sort de grille posée au-dessus d'un feu à une hauteur de 5M environ. A ce que put voir le visard, celà ressemblait à de longues capes brunes assez ample pour cacher toutes les parties de leurs anatomis et une capuche était aussi présente pour masquer jusqu'à leur moitié supérieur leur visage et leur tête entière.

**On peut dire que la chance nous sourit**

D'un shunpô éclair, les capes disparurent de la grille tandis que Ryu s'en allait déja rejoindre ses amis tendit que la femem s'étonnit de plus voir ses capes sur le feu mais très vite elle alla se coucher en haussant les épaules.

De retour auprès de ses amis, le jeune Hayabusa leur tendit à chacun une cape qu'ils enfilèrent raidement. En même temps, celles-ci prirent instantanément les dimensions de son porteur ne manquant ps de les tonner mais bon, celà devait être normale ici.

-Intéréssant cette dimension, j'y reviendrais faire du shopping.

Ne manquant pas de faire rire la troupe, Hayabusa descendit en leur compagnie jusqu'à la taverne.

Keikoku avait été émerveillé à la découverte du paysage : une immense étendue de neige, un climat polaire.. Ils avaient apparemment atterris dans une zone très froide, et leur kimono risquait d’être bien juste pour la région. Au moins, les capacités de Hitugaya se verraient sûrement décuplées, et il devait se sentir dans son environnement. Ce serait un avantage indéniable, si jamais un ennemi venait à arriver dans le coin. Alors qu’il admirait le paysage, Ryû annonça qu’il allait explorer les environs. Il s’en fut, et les laissa seuls. Quelque temps après, ils entendirent un craquement sonore, et un cri. Ryu avait sûrement eu des ennuis.

*Le crétin…*

Il accourut vers le lieu d’où provenait le bruit, pour voir ce qu’il était arrivé. Ils le retrouvèrent au sol, à quelques mètres d’un lac aux eaux sombres. Selon ses dires, il avait essayé de marcher dans les airs, et était tombé : dans cette dimension, il devait être impossible de se mouvoir dans les airs. Keikoku éclata d’un grand rire. Ils auraient au moins un avantage sur Aizen : eux pourraient se mouvoir dans les airs, pas lui. Ce pourrait être un grand avantage, bien qu’il ne soit sûrement pas décisif lors de la bataille finale. Qui plus est, Aizen ignorait tout de Keikoku, ils pourraient donc jouer sur l’effet de surprise, si jamais ils avaient besoin d’attaquer pas la voie des airs.
Il décida cependant de ne pas en informer pour l’instant ses compagnons, de ne le leur dire qu’à l’instant propice.
Après que Ryu se fut remit de ses émotions, le Quintet (et pas quintro xD) partit à travers une corniche glacée, où tout glissait, ce qui rendait la traversée encore plus dangereuse, et qui fut la cause de nombreuses chutes qui auraient pu être mortelles.
Ils arrivèrent enfin en lisière d’une magnifique forêt de conifères, recouverts d’un épais manteau de neige. Ils marchaient vers celle-ci, et vers une mince colonne de fumée, qui laissait présager que des personnes vivaient là : sûrement trouveraient-ils là des débuts de pistes, et des renseignements. Sur un signe de Ryu, il scella son reiatsu.
Un problème se posa alors : leurs habits si dissemblables de ceux que devaient porter les « autochtones » les feraient sûrement remarquer. Alors que Keikoku cherchait une solution, « l’éclaireur » se sépara d’eux. Il revînt quelques minutes plus tard, des capes dans les bras. Keikoku haussa un sourcil : il était probable que Ryu avait volé ces capes, puisqu’il n’était sûrement pas assez bête pour prendre contact auprès des habitants tout seul. Cela ne faisait pas son affaire : si la personne à qui les capes avaient été volées les rencontrait, et reconnaissait les capes, cela ternirait d’office leur réputation dans le village, et ils ne pourraient alors se faire aider par les habitants. Cependant, Keikoku ne voyait pas d’autre solution.. Il choisit alors de réduire un peu le risque d’être suspectés. Le capitaine prit de la neige et l’étala sur la cape, afin qu’elle soit un peu mouillé, et un peu enduite de neige, afin de prouver qu’ils avaient fait une longue route, et que les vêtements volés ne paraissent neufs alors que leur visage témoignait d’une assez longue odyssée : en effet, Keikoku était plein de sueur, et avait une petite bosse sur le front, à cause d’une stalactite qu’il n’avait pas vue.
Il fit signe aux autres de l’imiter, et se dirigea vers le village sans regarder s’ils l’avaient imité. Il se ravisa cependant, et se retourna vers eux :

- Soyez sympa, évitez de parler de la raison de notre venue dans l’auberge.. les auberges sont les endroits où les nouvelles se répandent le plus vite. Nous ne parlerons de cela que devant le chef du village, et c’est uniquement pour savoir qui il est que nous allons à l’auberge.. Toujours pas d’objections ?

Il se détourna, et descendit vers le village. S’il y avait bel et bien des objections, elles se feraient sur le chemin.