La fin d'un fou...

Cela faisait plus de trois semaines que je me trouvait ici, dans la prison des shinigamis, une petite cellule que l'on donné au condamné à mort, chaque jour je voyais un de ces stupides personnages s'approcher de moi, mettre le plateau de nourriture à mes pieds et partir en courant
J'allais mourir demain, pourquoi me donnait-on à manger, je n'avais même pas faim, plus faim du tout. Je savais que James ne pourrai jamais venir me chercher, mais je ne pouvais pas laisser ces shinigamis me détruire de leurs mains. Ce serai le plus grand déshonneur qui pourrai m'être accordé. Je décidais donc de prendre ma forme de resurreccion, même si mon sabre était très loin, il prenais directement la forme d'un serpent et venais me rejoindre pour pénétrer mon corps.

Après ma transformation, je devais trouver une idée pour me tuer avant le lendemain car avec les mains liés par un puissant sort de scellement, je ne pouvais rien faire. Je décidais donc d'injecter mon propre venin que j'avais eu le temps de créé depuis ces semaines de détention. Il fut injecter grâce à la lame de mon coude dans l'autre bras. Il ne me restait maintenant plus que quelques secondes à vivre...

-"Je déteste Aizen, mais je vais devoir me ranger de son coté... Shinigamis... Mourez sous sa main !!"

Mon âme quitta ce corps progressivement, je vis mon corps partir en poussière et se désintégrer totalement, ce qui était bizarre c'était le sable qui le composait, il devint étincelant et se déposa sur une majeure partie du Seireitei, comme des étoiles brillant dans le ciel d'une nuit belle et profonde. Les souvenirs que j'avais eu en tant qu'arrancar disparurent entièrement, et à la place je vis ce que j'étais avant, j'avais bel et bien était un humain... J'avais été Yoshikuni Hiro... Le meurtrier d'une soeur qui m'appelait... Ma propre soeur.

-"Ma chère soeur... Je suis libre désormais... La colère ma quittée..."

La lumière qui m'entourait devint très forte et mon âme disparut aussi, comme si je n'avais jamais existé...

-"Je te demande Pardon..."