La rencontre de deux timides [PV : Haoga Ryouka] (entrainement Aout)

Un autre cour commençait. Mort ou vivant? Après tout ce temps, on aurait dit que rien avais changé. La seul différence était, qu’ici il y avait un minimum de savoir vivre. Chez les vivants, rare était les personnes qui pensaient à ce qui les entouraient. Ici, on apprend des autres. Des erreurs qu’ils font ou les bons coups. J’étais rentré à l’académie. Je le voulais depuis que j’en avais entendu parler. Le seul problème, était que je me sentais de retour chez les vivants. De retour à l’école. Auprès de ceux qui m’avait maltraité toute ma vie. Cela faisait maintenant deux ans, deux ans que j’étais à l’académie à apprendre à maitriser tous les sortes de combats. Du corps à corps, voila ce que j’apprenais aujourd’hui. Un cour qui allait être long. Nous étions beaucoup à passer et en plus que ce n’était pas un tournoi. Il voulait quoi? Qu’on s’ennui pendant les cours? Je ne savais plus quoi faire, je voulais quitter cette place enfin faire mon nom chez les shinigamis. Je devais commencer par cette académie. Lorsque j’allais réussir plus rien ne pourrais m’empêcher de progresser. Mon tour passa rapidement. Pendant que les autres écoutaient l’enseignant, moi je regardais le vide. Laissant mes pensés fuirent cette place. Je me pris à repenser à Yuka. Il y avait tellement de chose que je voulais lui dire. Tellement de chose que je regrettais de ne pas lui avoir dit et surtout une chose que je regrette d’avoir fait.

Les dernières paroles, de l’enseignant, furent ce qui me sorti de mon rêve. La classe se dépêcha de sortir. Je pourrais presque dire qu’ils avaient fait la course. Je ne devais pas être le seul qui pensait que le cour n’était pas très intéressant. Je me levai le dernier. Le temps que j’avais prit pour enfin me décider à me lever fut le temps que cela prit aux autres pour sortir. Au moment où j’allais franchir la porte, l’enseignant m’interpella : Haoga! Peux-tu aller donner ceci à Mulan Kaosuhewa? Pourquoi me demandait-il cela à moi? Ne pouvait-il pas y aller par lui-même? En plus, j’avais seulement qu’une petite idée de qui était cette Mulan. Il me remit le petit bijou en main. Je pris celui-ci et le regarda longuement. Petit, très jolie et simple, mais jolie. Peut-être un porte bonheur? Je ne pouvais pas le savoir tant que je ne la trouvais pas. Je sortis de la classe puis me dirigea vers l’extérieur. Elle ne devait pas être ci loin que ça.
Beaucoup de temps! C’est ce que j’avais. Non seulement j’avais du temps, mais aussi une stupidité vraiment apparente. Comment allais-je réussir à la trouver? La seule chose que je sais sur elle c’est qu’elle a les cheveux blond et même là. Il y avait plein de blonde ici. Seulement, une fille accrocha mon regard. Une fille qui physiquement avait l’air plus vieille que lui. Une blonde qui avait une tresse rousse. La regardant agir, je crus que je venais de trouver l’élu. L’élu… Je parlais ici bien sur que se devait être elle, Mulan. Je m’approchai tranquillement d’une jeune fille qui avait l’air perturbé. N’étant vraiment pas sur de ce que j’allais faire, je me lançai.

Salut, es-tu Mulan Kaosuhewa? Je pense avoir quelque chose à toi.

Je sortis le petit bijou de ma poche puis lui tendit. Cela m’avait prit énormément de courage, mais au moins je n’étais pas mort en essayant.

Un bel accessoire, pour une jolie fille. Mon regard ne voulait pas dévier. Elle avait l’air aussi timide que moi. Je me sentais moins seul maintenant. Elle était plutôt grande, ce qui la rendait différente des autres filles. Une peau claire qui rayonnait. De beaux yeux qui laissaient paraitre la gène de la demoiselle. Elle avait facilement passé au rouge quand je lui avais parlé. Vraiment, elle ressemblait de plus en plus à mon propre comportement. Je n’aurais jamais cru voir ça un jour. Un merci en bégayant lui donner un petit côté qui me plaisait. Qu’es qui ce passe avec moi? Je suis ici pour lui rendre son bijou. Pas pour l’admirer. Je dus quand même me rendre compte des nombreux bijoux qui ornaient sa tresse. Cela faisait longtemps… Longtemps que je n’avais pas regardé aussi longtemps une fille. Ma dernière fois n’avait pas été celle que j’aurais aimée. C’était mon tour de ressembler à une tomate. Mon teint devint un peu plus rouge quand je compris que je n’avais toujours pas détourné mon regard. Cela ne prit pas grand temps avant que je regarde le sol. Des souvenirs revinrent me hanter. Je revoyais encore la scène qui aurait pu être la dernière fois que je voyais Yuka. Souvent, je me demande comment j’avais fais pour être aussi stupide. Je devais changer ça. Maintenant, j’avais la chance d’enfin refaire ma vie et connaître à nouveau des filles. Pas que tout cela me manquer, mais que je devais par-dessus mon cauchemar.

Euhm… Vous êt… *Hum!* Tu es Ryouka, n'est-ce pas?

Quoi? Comment cela se pouvait-il? Elle connaissait mon nom. Comment? Comment avait-elle fait? Je trouvais que j’avais l’air de passer entre les murs et la peinture. Ce n’est pas possible! Je dois rêver. Je me pris même à pincer mon bras. Ce fut plus douloureux que pratique parce que je ne me réveillais pas. Je devais vraiment être pitoyable maintenant. Je devais être rouge cerise. La tomate venait de prendre le bord. Je n’en revenais toujours pas. Jamais je n’aurais pensé que quelqu’un me connaisse. Même ci le professeur crier mon nom la plupart du temps. C’est vrai, je n’écoute pas souvent pendant les classes, mais bon je suis comme ça. Vraiment ça fait peur… Je lui dis quoi? Je fais quoi? Je fuis? Je reste? Je lui parle? QU’ES QUE JE FAIS? Un peu plus puis je pleurais devant elle. Mes jambes tremblent comme jamais. Peut-être pas! C’est seulement mon imagination qui me joue des tours. Pourquoi je la fais attendre? Euh… Que dire? Maintenant elle me parle des cours. Je ne peux pas lui dire que je trouve qu’ils sont ennuyants. Juste au cas où elle en parlerait avec le professeur. Vraiment, je ne sais pas quoi faire. Pourquoi touche-t-elle autant sa tresse? Serait-elle encore gênée de ma présence? Je la mets mal à l’aise? Je dois partir, c’est trop pour moi. QUOI! Non, je dois rester. Alors, répond lui.

Oui, je suis bien Haoga Ryouka. Les cours… Euhm… Et bien sérieusement, je l’ai trouve plutôt ennuyant.

Zut! Je viens de lui dire. Maintenant, je suis fichu. J’espère seulement que je ne serais pas dénoncé. Je pris ma ceinture dans mes mains pour qu’elle ne remarque pas qu’ils tremblaient énormément. Comment cela se faisait-il? Je ne pouvais pas être autant gêné de parler avec une personne. Des gouttes de sueur perlèrent sur mon front. Je m’empressai de les essuyer. C’était presque traumatisant voir la façon à la quelle je réagissais. Peut-être qu’en essayant de mieux la connaitre je pourrais arrêter de trembler. Un petit entrainement peut-être. En plus de me pratiquer je vais pouvoir mieux la connaitre. Non! C’est peut-être une mauvaise idée. Je dois m’essayer.

Dit? Voudrais-tu t’entrainer avec moi? Je sais que je viens de dire qu’ils sont ennuyants, mais je dois tout de même m’entrainer.

*Et j’aimerais te connaitre, mais ça tu le seras pas.*

Il manque simplement une prière pour qu’elle accepte. Je la fixais. J’essayais de garder mon sérieux en la regardant dans les yeux. C’était très difficile. Ma gène commençait à passer et elle devait passer. Je devais gagner du temps, après ça je pourrais surement la revoir les autres jours. En tout cas, ci elle refusait mon invitation pour s’entrainer quoi. Une grande respiration. Deux grandes respirations. Puis deux grandes expirations. Je n’avais pas l’air convainquant du tout, mais bon.

Tout semblait soudain plus foncé. Un teint orangé parcourait le ciel. La température, elle, avait chuté rapidement. Cependant, il faisait toujours chaud. Le soleil lui commençait à disparaître et de plus en plus rapidement. Se couché de soleil était très magnifique, presque autant que cette jeune femme qui se trouvait devant moi. Je ne savais toujours pas pourquoi, mais chaque couché de soleil me donner une envie de vivre immense. Pourquoi était vraiment le bon mot. Très difficile à comprendre, mais cela ne me dérangeait pas. Parce que les couchés de soleil était magnifique. Tout semblait tellement plus facile, plus beau et plus silencieux. Il y a des moments où j’ai même pensé vivre de nuit. Le ciel n’était pas couvert de nuage. Cela voulait dire qu’on aurait une très belle journée demain. En plus, c’est toujours mieux de même. On peu voir le coucher du soleil.

Quelque chose m’attirait vraiment dans la nuit. Je ne sais pas quoi. J’aurais aimé en n’avoir la raison. Seulement, d’après moi il n’y avait pas de raison logique. J’étais seulement un être spécial et un peu fou. On aurait dit que pour la première fois quelque chose m’attirait à l’extérieur de mon rêve lunatique. Qu’es que cela pouvait-il être? Avait-elle ça place dans cette chose? Ça non plus, je n’en avais aucune idée. Il y a des choses dans ma vie qui était préférable de ne rien comprendre. Et même ci on voulait le savoir. Je n’étais jamais sur de pouvoir répondre.

Pourquoi j’avais prit autant de temps me décider? Décider à approcher de nouveau une femme. Ma raison était-elle vraiment valable? Est-ce que c’était vraiment pour les protéger? Pas vraiment. Je pourrais les protéger en m’approchant d’eux. Alors qu’est-ce que c’était? De la peur? Avais-je déjà ressenti de la peur? Lors de ma mort. J’avais éprouvé du regret, de la haine et de la pitié. Pas de la peur. Quel était cette peur? On parle souvent de la peur de mourir. Pourquoi? Avoir peur de la mort n’est pas bien. Nous devons tous mourir au moins une fois. Cela personne ne peu l’empêcher. Peut-être que j’éprouvais de la peur. Je ne sais pas ce qu’es-la peur. Alors cela doit être ça. Il n’y avait pas d’autre raison. Enfin, j’avais répondu à une des questions qui trottait dans ma tête.

Reprenant mes esprits, je remarquai qu’elle continuait de tripoter sa tresse. Était-elle vraiment gênée de ma présence? De plus, elle n’avait pas l’air de remarquer que son chat miaulait depuis un moment. Elle était concentrée. Moi comme un idiot je continuais de la fixer sans même de raison. Mes yeux s’écarquillèrent lorsqu’ils entendirent la réponse qu’elle me donna.

D’accord? D’accord. Elle voulait s’entrainer avec moi. Quelle journée bizarre! Peut-être même la meilleure depuis un nombre incomptable d’année. Une seule chose me poussa à me questionner, pourquoi voulait-elle aller dans cette forêt? Ce n’était pas vraiment très grave, mais bizarre. J’acceptai de la suivre quand même. Pourquoi pas? Une forêt était un moyen de ne blesser personne qui passerait par là. En plus, cela augmenterait la difficulté du combat. Un combat qui lui serait tiré du réel. Un mélange entre le corps à corps et le combat au sabre. Très rare sont les fois où on a la chance d’assister à cette sorte de combat à l’école et la majeur partie du temps c’est lorsque les plus vieux quittent l’académie. Elle commença à marcher ne direction de la forêt. J’eus une petite hésitation, mais lorsqu’elle se tourna pour voir ci je la suivais, je commençai à marcher. Une petite chose m’achalait et je pense que je le sais. Pourquoi ne m’appelait-elle pas par mon prénom? Cela me gênait et je n’étais pas quelqu’un de supérieur à elle. Je ne méritais même pas d’être vouvoyé ou peu importe la raison. Je n’en fis rien pour le moment et continua de la suivre sans dire un mot. Un chemin qui fut plutôt long. J’essayai de me mémoriser le trajet qu’on prenait pour être capable de revenir sur mes pas. Ce fut lorsque nous arrêtons de marcher que je me décidai enfin à lui dire ce que je pensais, du fais qu’elle ne m’appel pas par mon prénom.

Dit…Euhm Kao? J’aimerais que tu m’appel par mon prénom. Haoga!
Et puis, Comment veux-tu t’y prendre pour notre entrainement?

Notre terrain d’entrainement était la forêt des étudiants. Cette forêt était mise à la disposition des académiciens. C’était une place très grande, qui offrait des cibles à volonté pour ceux qui voulait s’entrainer. Un moyen de pratique toute technique, sans avoir peur de toucher quelqu’un au passage. Certain endroits étaient plus étroit. Rare était les personnes qui se promenaient dans ces parties de la forêt. Regardant où nous étions, je crains le pire. Nous étions vraiment dans cette partie de la forêt. Cela ne pouvait pas vraiment me déranger. Seulement, elle m’avait amené ici. Cela voulait dire qu’elle avait déjà un avantage du terrain. Ce n’était plus qu’un simple entrainement on dirait. Moi j’étais là pour m’entrainer, alors je n’allais pas changer mes plans. Un entrainement comme une autre quoi? Je devais donner un peu de défi. Pourquoi voulait-elle savoir mon niveau de combat? N’était-elle pas dans mes classes? Elle devait le savoir. Malgré que moi-même j’ai de la difficulté à me situer. Pas grave, peut-être que mon silence allait lui donner une réponse. Je ne sais vraiment pas quoi lui réponde à ce sujet. Je n’allais pas m’excuser, mais je suis désoler quand même de ne pas pouvoir t’aider plus. Une boule rouge, une lumière et quoi encore? Je ne comprends pas ce qu’elle essaye de me dire. On dirait vraiment que je devrais écouter pendant les cours. Pas grave… Aah, peut-être elle parle de ça! C’est facile à comprendre alors. Je me sens vraiment idiot de temps en temps. C’est presque le temps que la nuit tombe, je me sentirais enfin dans mon élément.

En parlant d’elle. La nuit bien sûr. Elle ne devrait pas tarder. Le soleil descendait de plus en plus vite. Le ciel n’était plus que simplement orangé. Une petite teinte rosée s’était ajouté. C’était plaisant au regard. Naturellement à cette heure, j’étais assis sur le toit de ma demeure puis regardais le ciel. Moi je trouvais ce spectacle tellement beau. Seulement ce n’était pas le cas pour tout le monde. Cela avait presque l’air d’affecter ma compagne. Je ne vois pas pourquoi. Elle avait l’air très motivé au départ. Cela fera qu’augmenter la difficulté de notre entrainement. Pour moi c’était l’occasion rêvé. Enfin pouvoir pratiquer. Vraiment pratiquer dans mon état naturel. De plus, les arbres cachaient déjà une grande partie de la lumière qui se rendait jusqu’à nous. Cela n’avait vraiment pas l’ai de faire l’affaire de mon adversaire. Alors je pouvais comprendre une chose. Elle n’était pas une fille qui aimait sortir le soir. Pourtant le soir est la meilleure partie d’un jour. La fraîcheur, la beauté de la lune et l’intense envie d’utiliser notre énergie. Pas beaucoup de personne dans le Gotei 13 connaissait vraiment mes goûts. Surtout que je ne l’ai avais jamais vraiment divulgué à qui que se soit.

D’accord, tu ne veux pas m’appeler par mon prénom. Appel moi Ryou ou par un autre surnom. Surtout pas Ryouka s’il-vous-plait.

Cela était enfin clair dans mon esprit. Maintenant place au combat. C’était le temps de démontrer mes intentions. Je n’allais pas me laisser faire, mais je devais laisser le temps à mon corps d’enfin se réveiller. Je me plaçai en position défensive puis arrêta de la regarder d’une façon intriguer pour laisser place à un regard vide.

Je ne te connais pas énormément, mais j’ai cru comprendre en regardant ton visage… Que tu préfèrerais ne pas combattre la nuit. Alors, ne perdons pas de temps avec l’un ou l’autre.

Voila des paroles plutôt intrigantes. Normalement cela aurait plus sorti : Et bien… Euhm… Je ne sais pas, un peu faire comme tu veux. On aurait dit qu’un esprit m’habitait. Qu’es que je dis là, je deviens fou on dirait. C’est peut-être de la fatigue? Non! Ça ce peux pas. Moi fatigué? Non vraiment pas. J’étais juste perdu quoi. Cela arrive à tout le monde de ce laissé aller.

Du zangetsu! Pourquoi pas? Je n’avais rien à perde. Un entrainement comme une autre parce que je venais de recevoir un bâton de bois. Malgré qu’il ressemblait à un zanpakuto cela n’en n’était pas un. Aucun d’entre nous n’allait risquer d’être blesser. Cependant, il manquait un peu de réalité. Le combat commençait. Elle n’avait pas l’air sur d’elle. Un petit coup facile à riposté fut donné en premier. L’intensité du combat ne prit pas son temps pour se faire sentir. On commençait à se donner un peu plus au combat. Cependant, quelque chose ne tournait pas rond. Elle ne se forçait pas. Pourquoi? Me prenait-elle encore pour un débutant? Je dois avouer qu’elle maitrisait beaucoup mieux l’art de combattre que moi. Cela ne voulait rien dire. Je pouvais lui en mettre plein les yeux. Ce n’est pas parce qu’elle me trouve des défauts qu’elle pouvait se venter d’être bien meilleur que moi. Je devais me préparer. Un coup de Hakuda pouvait parvenir à tout moment. La dessus, j’étais content qu’elle n’y ait pas fait recours. C’était plus facile pour moi le combat à main nue, mais je n’étais pas près. Pour le moment! Encore quelque coup se portèrent tous plus difficile les uns que les autres. Je devais vraiment me pratiquer plus. Je ne pouvais être vaincu. Dans un vrai combat je serais surement mort à l’heure qui est.

Pourquoi dansait-elle? Cela commençait à m’étourdir. C’est tout ce qu’elle faisait. Un pas à gauche, un bloc, un pas à droite, un bloc, une pirouette. Cela commençait vraiment à m’agacer. J’eux peur quelque instant. Je pensais qu’elle c’était enfin décidé à faire du corps à corps. Déjà que j’ai peur de la touché avec un bout de bois. J’imagine même pas qu’es qui ce passerais si je la frappais. Non! Non! Pas encore… D’autre conseille? Ne devrait-elle pas arrêter de me conseiller pour combattre enfin comme une combattante? J’avais l’impression de me battre contre une ballerine. De plus, qu’elle continue de danser après m’avoir donné ses conseilles. Combien je donnerais pour avoir un combat. Un vrai combat. Pas une dance. Une ouverture! Voila ma chance. Elle était déconcentrer par je ne sais pas trop quoi. C’était une chance qui ne reviendrait pas deux fois. Donnant du file à retord à ma compagne. Je réussi à la toucher plusieurs fois. Son habileté à se défendre n’était pas aussi bonne qu’au début du combat.

Tu devrais plutôt surveiller tes propres mouvements. Ta concentration laisse à désirer. Tu s’es que ton niveau est supérieur au mien, alors tu me laisse des chances. C’est une erreur flagrante que même quelqu’un plus faible que toi peu en profiter.

C’est vrai, mais pas pour moi. On dirait que je suis fatigué. Quelque chose m’empêchait de bien performer. Bientôt… Je dis bien bientôt, je vais devenir plus fort qu’elle et enfin réussir à la battre. Elle voulait du Hakuda? Alors pourquoi pas? Je devais m’essayer. J’avançai lentement porta un coup avec mon bâton de bois. Facile à contrer, mais ce n’était pas là que tout finissait. J’enchainai quelque coup de zangetsu pour enfin placer un coup direct au genou de mon adversaire avec mon pied. Je ne pris même pas le temps de voir ça réaction pour reculer.

Spoiler:

Une chose de bien! Elle avait enfin compris son erreur. Peut-être que je ne me force pas dans les cours, mais même quand je dors j’entends. Bon c’est un peu exagéré. Pas grave! C’est presque ça. Le professeur parle en avant et je ne le regarde pas, mais l’information qu’il donne rentre dans ma tête. Voila pourquoi je ne prends pas là peine de me forcer. Cela ne me sert à rien. Je n’ai rien à prouver à eux. Ici, je prends ce combat pour un vrai. Je voudrais bien mettre ma vie en jeu dans ce combat. Sauf que… Ça ne sert à rien de mourir aujourd’hui. Je n’ai toujours pas accompli ma destinée. Combattre les méchants, sauver els demoiselles en détresse… Je m’égards un peu du contexte là. Un combat avec une personne qui, oui était là pour m’aider à progresser, mais surtout une personne que je n’aurais jamais cru approcher. Un peu de corps à corps, un peu de combat au zanpakuto. Tout allait très bien en plus de cela. J’avais réussi à la toucher de façon grave. Il en manquait peu. Parce que le combat était sur le point de terminer. La noirceur de la nuit commençait à affecter nos comportements. Kao n’était pas en pleine forme et moi je commençais à ralentir un peu la cadence. Je pouvais toujours suivre ces mouvements. Seulement, on ne pouvait prendre la chance de se blesser trop gravement. On avait cour demain.

Après quelque instant de repos. Où plutôt, après quelle se soit relevé. Le combat recommença. Pourquoi utilisait-elle encore simplement sont zanpakuto de bois? Ce n’était pas la meilleure décision qu’elle prenait. Cela voulait dire qu’elle était vraiment fatiguée. Quelques coups furent donné, la plupart des ripostes était bloquer par l’un ou par l’autre. Le combat n’avait plus l’air de comment il avait commencé. Les coups était plus faible et plus lents peu importe de qui ils provenaient. Des ouvertures se créaient. Aucun des nous deux les utilisaient. De mon côté, je me décidai enfin à utiliser le Hakuda de nouveau donnant une série de coup de poing en direction des hanches. Mon but se n’était pas la blesser, alors se fut des petits coups.

Tu es fatigué? Moi en tout cas mon corps ne suit plus ma tête.

Cela n’avait aucune importance qu’elle sache que j’étais fatiguer et à bout de force. Cela paraissait dans son visage qu’elle ne suivait plus. Le combat allait devoir s’achevé.

Alors nous étions deux. La fatigue était vraiment parvenue à contrôler nos corps. Pour la première fois. Je me trouvais dans une impasse avec le sommeil. Il commençait à gagner sur moi. Mes yeux voulaient se fermer, mais je refusais. Tout mon corps voulait faire le contraire de moi. Seulement quelque chose me surpris. Un contact qui fut bon. D’une douceur. Je baissai mon regard pour voir le chat de ma compagne. Pourquoi se frottait-il sur ma jambe? Je pris le risque de me pencher pour flatter l’animal pendant quelque seconde. Je continuais à me demander comment cette journée avait-elle commencé? Je m’étais réveillé pour finir ma journée ici avec une compagne. Qui maintenant me demandé ci je voulais m’entrainer avec elle encore. Revenir ici? M’entrainer avec elle? Pourquoi refuser? Je ne savais même pas comment lui réponde. Je venais de me faire inviter par une fille à revenir la voir. Ici, dans son endroit d’entrainement. Je ne remarquai même pas la couleur de mes joues au moment où je lui répondis.

Oui, oui bien sur. Je veux bien revenir. Tu n’as cas me le demander en classe et je vais venir. L’entrainement me fera du bien. Pour le soir. D’accord, moi je me sens bien le soir, mais je peux bien faire une exception. Alors on se revoit en classe? Moi je vais aller chez moi. Je commence vraiment à être fatigué.

Ce n’était pas des adieux. Seulement un au revoir. Je me levai pour enfin la regarder dans les yeux. Je devais imprimer ce moment dans ma tête. Son visage aussi. C’est petite joue rouge. C’est long cheveux blond. Ces yeux. Tout ce que je pouvais. Je la saluai puis tourna les talons. Marchant à un rythme un peu plus élevé que lors de notre arrivé pour se rendre jusqu’à chez moi rapidement. Plus beaucoup de shinigami était encore debout à cette heure. Quelques un fêtaient encore. Le bruit que leur fête faisait était entendu de très loin. Je m’arrêtai près d’une source d’eau. Regardant mon reflet à travers cette eau. Mon visage était sale, mes cheveux dépeigner et la sueur était de la parti. Je pris de cette eau pour me nettoyer le visage. C’était rafraichissant. Cela faisait un bien énorme. En arrivant dans ma chambre, cela ne prit que quelque seconde pour m’effondrer sur mon matelas et m’endormir.

La nuit ne fut pas des plus plaisantes. Je fis des cauchemars toute la nuit. Commençant par revoir la mort de mes parents. Puis celle de Yuka, le seul soulagement que je pu avoir ce fut de ne pas revivre son viole. Ce n’était pas ce qui avait de mieux, mais je préférais ne pas revivre cette partie de la mort. Ce fut aussi douloureux que dans mon souvenir. Le poignard qui transperça ma cher. Le sang qui coulait et le froid qui s’emparait de mon corps. Une mort rempli de souffrance. Une longue mort. Ce ne fut pas tout. Des images de Mulan me transpercèrent l’esprit. Comment cela se pouvait-il? Je refusais de croire que ces images pourraient être vraies. Je ne pouvais pas. Personne ne devait mourir encore à cause de moi. Pourquoi ces images m’apparaissaient-elles?

Je me réveillai en sursaut au moment où je me faisais encore tuer. Où allaient les shinigamis qui mourraient? On ne pouvait pas simplement disparaitre. Nous sommes déjà morts. Je devais arrêter de penser à ça. Alors je ne me rendormi pas pour être sur de ne pas retourner dans ce rêve. Je sortis plutôt de ma maison pour aller m’assoir sur le toit et contempler les étoiles. Se fut ce qui je fis tout le reste de la nuit. Je me leva seulement lorsque le soleil décida enfin à se montrer le bout du nez.