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MessageSujet: Du sujet [DONE !]   Du sujet [DONE !] EmptyMer 7 Déc - 18:39

Fiche technique de Toulouse Adachi



Décrivez votre perso physiquement et moralement :

Nom : Adachi

Prénom : Toulouse

Âge : Vingt-et-un ans.


Description Mentale :

......Que les choses soient dites clairement. Pour n’importe quel membre du corps médical, Toulouse est malade. Mais s’il est aisé pour un médecin de traiter un rhume, une grippe ou une rhinopharyngite, allez soigner une addiction. À fortiori, quand celui qui en souffre, non seulement ne se l’avoue pas, mais en plus le cache inconsciemment. Voilà donc jetée la base du personnage : Toulouse est une pharmacie ambulante. Elle avale compulsivement pilule après pilule. Ôtez-lui ses médicaments à vos risques et périls. Et pour les lui prendre, il faudrait d’abord que vous sachiez ce que renferme son sac…
À part cela, Toulouse n’est pas une personnalité particulièrement complexe. Elle a été fortement marquée par la mort (appelons un chat un chat, n’allons pas parler de "disparition") de sa grand-mère, et par celle de Basile, son frère jumeau, il y a de cela plusieurs années. Bien qu'accro aux médicaments, elle n'est pas dépressive pour autant. Triste et errant sans but, elle l'a été. Mais plus maintenant. Peut-être que si elle avait accepté son addiction, elle aurait pu s'en sortir. Quoi qu'il en soit, elle est sortie de sa phase déprime depuis un moment. N'allons pas dire non plus qu'elle respire la joie de vivre. Elle est comme tout le monde, elle a des hauts et des bas.
......Jusqu'il y a peu de temps encore, la personne qu'elle aimait le plus, c'était sa grand-mère Akemi. Celle-ci étant morte, Toulouse n'a plus que ses deux passions : pour les chaussures, et surtout, pour l'histoire. Avant de partir pour Paris, elle était une élève assidue, sérieuse et appliquée. Aujourd'hui, elle envisage de retourner à ses études et de reprendre sa thèse. Ses livres d'histoire sont un peu sa Bible personnelle, et elle passe son temps à se référer à des évènements historiques. L'histoire lui a donné tous ses rêves. Si elle a été déçue, elle reste accrochée à ce qui est le pilier de son existence. Un jour, c'est sûr, son nom sera inscrit en lettres d'or dans le livre des Grands Noms de l'Histoire.
......Terminons sur les "fantômes", puisqu'ils font partie de sa vie. Elle les voit depuis qu'elle est toute petite. Elle s'y est faite, à force. Là-dessus, pas grand-chose à dire. Elle tente de les ignorer. Jeanne d'Arc entendait bien des voix. Elle, elle voit des choses. Chacun son truc, quoi.


Description Physique :

......Il y a des gens sur le passage desquels personne ne se retourne. Ils passent, sans qu'on leur accorde un regard. Ils sont d'une banalité affligeante. Et puis il y a des gens qu'on fixe, qu'on dévisage, qu'on aime regarder. Pas forcément parce qu'ils sont beaux, mais parce qu'ils ont ce petit quelque chose qui les fait sortir de l'ordinaire. Certains appellent ça du charme. Qu'importe le nom qu'on lui donne, Toulouse l'a. Elle n'est pas plus grande qu'une autre, pas forcément plus belle, pas moche non plus (Léa, elle est pas jolie, elle est pas moche non plus). Bon, certes, elle a des cheveux roses, et c'est plutôt inhabituel. Des yeux bleus, ce qui est plutôt ordinaire.
Question vestimentaire, une bonne fille a toujours son placard plein ! Honnêtement, ne nous attardons pas à décrire des vêtements qu'elle changera demain. Néanmoins, elle a une préférence pour les habits colorés. Deux détails supplémentaires : premièrement, elle ne se sépare jamais de son sac bandoulière. Fouillez dedans, vous trouverez des boîtes de pilules, un téléphone sans batterie, des crayons de toutes les tailles et de toutes les couleurs, un tube de baume à lèvres usé, un carnet, un livre d'histoire, un porte-monnaie, des pièces éparpillés, des tickets de caisse dans tous les sens, et j'en passe. Deuxièmement, en raison d'une forte attirance pour les chaussures, Toulouse ne porte jamais deux fois les mêmes. Bottes, ballerines, escarpins, baskets, avec ou sans talons, tout y passe, et de toutes les couleurs.


Histoire :

Chapitre I : Contexte historique.

......Au dix-septième siècle, la France envoie les premiers missionnaires catholiques en Asie, dans ce qui deviendra une de leurs colonies : l’Indochine. Trois siècles plus tard, en 1940, profitant d’une défaite française en Europe, le Japon fait pression sur la frontière nord de l’Indochine. L’occupation par l’Empire du Japon montra la faiblesse de la France et du régime de Vichy. En 1945, le Japon capitule. Après la seconde guerre mondiale, le général De Gaulle, à la tête du gouvernement provisoire, entend récupérer la colonie française. Alors que le Laos et le Cambodge parviennent à faire reconnaître leur souveraineté, le Viet Nâm, malgré les tentatives de groupes indépendants d’asseoir leur autorité, ne peut faire de même, et la France envoie une division blindée pour restaurer son autorité. En 1946 sont signés des accords qui ne durent guère, et, après la mort du général chargé de l’affaire vietnamienne, le principal groupe vietnamien qui tentait de récupérer l’autorité et l’indépendance vietnamienne tente d’interdire à la France l’un des ports. Le bombardement du port qui s’ensuit conduit à la Guerre d’Indochine, qui durera jusqu’en 1954.
......C’est en décembre qu’une insurrection à Hanoï marque le début de la guerre d’Indochine. Dans ce contexte difficile qu’est celui d’une guerre fortement impopulaire, est envoyé en Indochine, quelque part entre 1946 et 1954, un jeune médecin militaire français. À la fin de la guerre, fait prisonnier durant les conflits et désormais libéré, il décide de rester sur place, marqué par ce qu’il a vu et vécu, dans un Viet Nâm partagé par les accords de Genève en deux zones militaires, Nord et Sud. La tentative de dictature en 1956 provoqua la formation d’un Front National pour la libération du sud Viet Nâm et une nouvelle guerre civile de réunification, connue sous le nom de guerre du Viet Nâm.
......De 1954 à 1960, les Etats-Unis mirent en place de nombreuses missions et bases militaires. La guerre aurait pu se terminer en 1963 si le président Kennedy n’avait pas été assassiné. Son successeur annula le retrait des troupes qu’il avait ordonné peu avant sa mort, dans une volonté de détente avec l’URSS, car n’oublions pas que les années 1947 à 1991 furent aussi celles de la guerre froide qui déchira l’entente entre les deux grandes puissances de l’époque. Les Etats-Unis cessèrent ce qui n’était auparavant qu’un interventionnisme pour débuter en 1964 un véritable engagement dans la guerre qui ne devait prendre fin qu’en 1975.
......Marquée par une forte médiatisation, la guerre du Viet Nâm marqua durablement l’opinion publique. Première défaite des Etats-Unis, elle engendra de nombreuses frustrations et problèmes psychologiques. La puissance américaine était divisée entre ceux qui voulaient la victoire à tout prix et ceux qui condamnaient une guerre immorale et violente, une guerre perdue d’avance. Les vétérans de cette guerre eurent de nombreux problèmes de réinsertion qui alimentèrent des œuvres littéraires, musicales et surtout cinématographiques. Persuadés d’être dans leur bon droit et de bien agir, les jeunes hommes qui quittaient les Etats-Unis se retrouvaient enlisés dans une guerre dérangeante et, à leur retour, ne trouvaient que les multiples contestations des années 70, notamment le mouvement hippie, la mauvaise conscience américaine et les fortes critiques à l’encontre de la guerre. Mutilés, troublés psychologiquement et à jamais marqués par ce qu’ils avaient vécu, les jeunes américains firent face à des années difficiles. Crimes de guerre, horreurs surmédiatisées, hommes plongés dans un enfer sans être préparés à voir ce qu’ils virent, vivre ce qu’ils vécurent, séquelles et traumatismes profonds, mensonge américain, brutalité, torture, mort, horreur présentées comme morales : voilà ce que fut la guerre du Viet Nâm. Et au milieu de tout cela, notre jeune médecin français.

Chapitre II : Ceci n’est pas une histoire d’amour.

......Quelque part entre 1964 et 1975, dans un bar à Saïgon, un français rencontre une jeune japonaise en visite chez sa tante. Autant vous prévenir : ceci n’est pas une histoire d’amour. Ceci n’est pas non plus l’histoire d’un coup de foudre. C’est simplement l’histoire de deux personnes réunies le temps d’un soir par ce qu’on pourrait appeler le destin. Lui a vu les pires horreurs du monde en direct, elle les connait à travers les médias. Il a bientôt quarante ans, elle n’en a qu’à peine vingt, aucun des deux ne parle une autre langue que la sienne, et ils communiquent à grand renfort de gestes. Pas de quoi en faire tout un plat, à priori. Du moins jusqu’à ce que, neuf mois plus tard, Akemi accouche d’un garçon. Du père, elle ne se rappelle qu’une nuit dans un Viet Nâm ravagé et déchiré, et un prénom donné dans le tumulte et le bruit du bar. Et puisqu’elle ne connaît pas d’autre prénom français, c’est celui qu’elle donne à son fils. Ce sera Maximilien, et tant pis pour les qu’en dira-t-on.
......Nous sommes dans les années 1970. Le Japon connaît une croissance économique spectaculaire. C’est le miracle économique japonais. Akemi rompt les liens avec sa famille et s’installe à Tokyo avec son fils. En 1975, le père de l’enfant regagne la France. Elle l’a cherché longtemps à Saïgon, en vain, avant de regagner son pays natal. Elle ignore son départ, mais elle se doute qu’elle ne le reverra jamais. Dans les années 80 et 90, la croissance du Japon se ralentit et montre des faiblesses. En 1997, l’Asie connaît même une crise économique. À Tokyo, le petit Maximilien grandit comme il peut, sous l’éducation plutôt rigoureuse de sa mère. Quelque part en France, il sait qu’il y a son père. Il est fasciné par l’Europe, et se voit déjà y aller un jour, découvrir les plus belles villes du vieux continent. Il ira à Vienne, à Berlin, à Londres, à Paris, à Madrid. Mais comme souvent, le temps qui passe efface les grands projets et desseins d’enfance. Maximilien obtient son diplôme et se marie. À la fin des années 80, il quitte son appartement de Tokyo, à l’occasion de la naissance de ses jumeaux, comme sa mère d’ailleurs qui quitte également la capitale pour s’installer à la campagne, dans une vieille maison possédant un grand jardin au fond duquel coule une rivière.
......Jusqu’en 1998, ils vécurent ce qu’on appelle une existence paisible. Du moins, sans heurts. Ils remplirent des albums photo de clichés montrant des gamins édentés, des salopettes en jean à revers, des bottes en caoutchouc, des escargots et des promenades en famille. C’était comme s’ils amassaient des souvenirs avant que tout ne vole en éclats. Partout, c’était leurs deux enfants. Toulouse avec un chapeau rose, Basile un seau et une pelle à la main, Toulouse sur un vélo, Basile avec un chat, Toulouse et Basile sur une balançoire, Toulouse dans son premier uniforme, Toulouse et Basile encore, et encore, et encore… En novembre 1998, alors que les deux enfants revenaient de l’école, une voiture grilla un feu rouge. Basile vola sur le capot, puis rebondit sur le pare-brise, et atterrit à terre, comme une poupée de chiffon. Et sa sœur resta seule. Pour compenser l’absence de son frère et compagnon de jeux, elle s’inventa des mondes inspirés d’une réalité passée.

Chapitre III : De nos jours.

......En raison du contexte historique qui avait vu la naissance de son père, Toulouse développa une passion pour l’histoire, et à l’issue du lycée, elle devint officiellement étudiante en histoire. Née au Japon d’un père à moitié français, Toulouse, comme Maximilien avant elle, avait rêvé Paris. Paris conquérant et impérial, Paris illuminé dans la Belle Epoque, Paris assiégé, Paris déchiré et ensanglanté sous les coups de feu de la Commune. Paris révolutionnaire en 1789, en 1830, en 1848. Paris étudiant de mai 1968. Paris historique, Paris magique, Paris Lutèce, Paris barricadé, Paris ouvrier, Paris noble. Elle avait lu tous les auteurs classiques. C’était Paris Balzac, Paris Victor Hugo. Sur ses cours dansaient en surligné les noms des hommes qui peuplaient ses rêveries de réalité fictionnelle. Elle était l’Impératrice du second Empire, s’enfuyait en ballon avec Gambetta, elle était Delescluze et Blanqui à la fois, Napoléon et Louis-Philippe s’il le fallait.
......Elle avait décidé de terminer ses études à la Sorbonne. Désillusion. Peu à peu, la capitale française était devenue Paris routinier. C’était Paris sali, souillé, craché, pollué, tagué, mendiant, voleur, gris. C’était les mêmes visages fermés chaque jour, les mêmes gens pressés, les mêmes foules compactes. Paris quotidien. Ils étaient bien loin, ses rêves de Paris solidaire, Paris merveilleux. La Ville Lumière ? Quelle Ville Lumière ? C’était le même cirque chaque jour. Marcher dans les couloirs du métro, les yeux fixés sur ses pieds. Ne croiser le regard de personne dans la rame, rester anonyme. Jouer l’effacée. Le matin, Paris est mal réveillé, mal rasé, somnole encore. Le soir, Paris est pressé de rentrer, Paris te bouscule. Toulouse était retournée au Japon avec un paquet de rêves et d’espoirs en moins, avec sous le bras Edmond, son gros chat blanc et mou.
Le Japon ne lui avait pas rendu ce que Paris lui avait pris. Elle s’était exilée chez sa grand-mère paternelle, Akemi, laissant inachevée une thèse qui s’annonçait brillante, espérant retrouver dans le jardin qui avait vu tant de jeux, dans la chambre au papier peint à ramages qui avait écouté tant d’histoires, un reste d’enfance. Cette période avait été courte. Quelques mois plus tard survint le décès de sa grand-mère, qui se noya dans la rivière du fond de son jardin. Culpabilisant comme si elle avait pu l’empêcher, comme si elle aurait dû l’empêcher, la jeune fille regagna sa ville natale. Dès lors, elle s’employa à maintenir les apparences. En public, elle était aussi pétillante qu’elle avait toujours été, minuscule et multicolore. Une fois seule, elle avalait des boîtes de médicaments à la suite. Elle refusa de mettre sur son comportement compulsif le mot qu’on met généralement sur ce genre de choses et se maintint dans un déni total de son addiction. Paris l’avait bouffée de l’intérieur, et la perte de sa grand-mère qu’elle avait tant aimée l’avait déchirée.
......Quelques temps après, elle rencontra dans un magasin de téléphonie un jeune homme, avec lequel elle se mit à sortir. Leur histoire aurait pu aller plus loin s'il n'avait pas commencé à soupçonner une consommation pour le moins excessive de médicaments. Ils rompirent et repartirent chacun de leur côté, Toulouse cessant tout contact. Mais il y avait au moins une chose de bénéfique qu'elle avait pu tirer de cette relation : quoi qu'il arrive, la vie continue. Et puisqu'il devait en être ainsi, qu'à cela ne tienne.

The... Power ! :

De nobis fabula narratur
(Cette histoire est notre histoire)

Description de la nature du pouvoir :
Le pouvoir de Toulouse repose sur l'illusion. Plus précisément, l'illusion historique. Elle peut plonger une ou plusieurs personnes dans une fausse réalité tirée d'évènements historiques réels ou mythologiques. Elle vous plongera à son gré en plein cœur de la révolution de 1830, de l'Odyssée ou de la première guerre mondiale.

Techniques :
En raison de la nature de son pouvoir, Toulouse ne possède ni changements de forme ni un nombre important de techniques.

  • Première technique : Eadem sed aliter (La même chose, mais d'une autre manière)
    L'instant d'avant, vous étiez encore vous. Désormais, bien qu'étant toujours à la même place, vous avez l'apparence d'un personnage historique ou mythologique. Pour vous sauver, prenez garde à vous rappeler votre histoire, car les personnages de l'illusion peuvent interagir avec vous et ont souvent pour but de vous tuer. Par exemple, il ne fait pas bon être un juif au milieu de la seconde guerre mondiale, ou, pire encore, Louis XVI en pleine Révolution.

  • Deuxième technique : Sic itur ad astra (C'est ainsi que l'on s'élève vers les étoiles)
    Cette fois, c'est au tour de Toulouse elle-même de se retrouver dans la peau d'un personnage de son choix. C'est une technique offensive dans le sens où elle se retrouve par la même occasion avec entre les mains l'arme de la personne dont elle prend l'apparence. Néanmoins, n'étant pas vraiment une adepte du combat rapproché, il est probable qu'elle ne fasse pas grand usage de cette arme. Bien que vous restiez confronté aux autres techniques éventuellement utilisées et prisonnier d'une illusion, vous n'avez rien à craindre si elle possède un tank (Déjà parce qu'il faut savoir s'en servir et que ça s'apprend pas tous les jours).

  • Troisième technique : Ecce homo (Voici l'homme)
    Cette technique consiste en une incantation de personnage. Toulouse fait appel à un personnage, issu d'une période qui peut être aussi bien celle dans laquelle vous vous trouvez que d'une autre.
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Shihôin Yoruichi
[Staff™] Shinigami exilé
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Date d'inscription : 27/10/2009
Fiche Technique : Miaou FT

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Nom du zanpakutô/Nature du pouvoir: Inconnu.
Niveau: Combattant Surpuissant / LVL 15 + 1 (Shunkô) (Lvl uped)
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MessageSujet: Re: Du sujet [DONE !]   Du sujet [DONE !] EmptySam 10 Déc - 14:41

Re-bienvenue !

Je n'ai qu'un soucis avec ta fiche :
Citation :
(Léa, elle est pas jolie, elle est pas moche non plus).
Qui est Léa ? u_u

Bref, sinon ça me va. Par contre, ta fiche me rappelle mon année de terminale et c'est assez horrible xD.
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MessageSujet: Re: Du sujet [DONE !]   Du sujet [DONE !] EmptySam 10 Déc - 15:22

(T'es pas culturée. C'est une chanson.)

Edit Ichi : de Louise Attaque si ma mémoire est bonne Smile
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