Fubuki Shimura.

« Bonjour ou bonsoir chers téléspectateurs ! Nous sommes en direction de l'émission "Recherche d'une patate glacée", sponsorisée par le capitaine Hitsugaya Tôshirô, et tous nos invités sont là ! Nous allons commencer par vous présenter le premier d'entre eux. Il est grand, il est beau, faites un accueil chaleureux à Mr. Shimura ! »

L'homme entre, vêtu de son habituelle tenue, les mains dans les poches. Il jette un regard aux alentours, avant de s'avancer sur le plateau. Sous le tonnerre d'établissement qui s'installe, il s'assoit sur une chaise en face de son interlocuteur. Celui-ci le gratifie d'un grand sourire, que Fubuki tente de lui rendre tant bien que mal. Il prend ses aises en s'appuyant sur la table, l'interviewer commence donc la partie.

« Bienvenue ! Pour cet interview, nous avons beaucoup de questions à vous poser ! Désirez-vous un café ?
- Non merci, allez-y cash.
- Vous avez quel âge ?
- Non mais ça va, vous, vous vous croyez où comme ç...-
- C'est vous qui m'avez dit d'y aller cash !
- Bien, d'accord. Pour vous répondre, j'ai 18 ans.
- Oh ! L'âge de la fête, de l'alcool, et tout ça ! et des...
- OUI ! MERCI ! Mais je suis bien trop professionnel pour me livrer à ce genre de pratiques.
- Bien, bien. Je vous crois. Puis-je connaître votre nom ?
- Eh bien, mon prénom est Fubuki. Quant à mon nom, le présentateur l'a cité : Shimura.
- Que de révélations !
- ...
- A propos, monsieur Shimura... »

Silence.

« Qu'êtes-vous réellement ...?
- ...Non mais vous allez bien ?! C'est quoi cette histoire de venir me voir et de demander "Qu'êtes-vous réellement ?! Comme si je pouvais être autre chose qu'un Humain !
- ...Un humain bizarre, cependant.
- LA FERME ! Espèce de... ! »

Et ainsi, après qu'une dizaine de gardes aient retenu Fubuki pour le calmer, l'interview reprit.

« Et côté coeur, monsieur Shimura ?
- .. À vrai dire, je ne sais pas trop. J'ai pas fait ma cardio', ce mois-ci.
- Euh... niveau amour.
- Ah, eh bien, je suis célibataire.
- Je vois. En voilà des heureuses ! A présent, je vais vous laisser. Vous allez devoir passer les épreuves du jeu ~ !
- Attendez, il n'a jamais été question de...
- Bonne chance ! »

Et il se dirigea vers le micro pour commencer un discours. Fubuki entra dans une pièce ronde. Il s'avança et regarda autour de lui avant d'entendre un bruit métallique. La voix entra alors en action. Une voix féminine, vous allez voir que c'est flagrant.

« Sujet identifié. Fubuki Shimura. Description de l'apparence. Le sujet a des cheveux noirs mi-longs, coiffés en pics. Ses yeux sont noirs, également, bien qu'il aime gratifier les gens d'un regard noir, en vue de la tête qu'il est en train de faire. Il possède une sorte de cicatrice au niveau du front, horizontale. Sa peau est légèrement bronzé, mais il n'a pas l'air bien musclé... Quoique, il faudrait peut-être vérifier ça. Il porte une chemise hawaïenne et un jean noir. Vu leur état, on dirait qu'il les porte depuis des lustres. En plus, il a un collier autour du cou, qui possède une forme bizarre. On dirait une croix, ou une sorte de petite épée en kit. Comme les jeux dans les Kinder Surprise.
- Je...Je vais te tuer... »

C'est ainsi que ce magnifique entretien prit fin. Inutile de préciser qu'après ça, Fubuki n'était pas loin de péter littéralement un plomb. Quand bien même, il arriva dans la salle principale et remplit la totalité du questionnaire qu'on lui remit. Quand arriva le moment le plus horrible : décrire son caractère. Soit. Fubuki se mit donc au boulot...

Je ne pense pas être quelqu'un d'arrogant. Je dirai même que je suis relativement modeste, si c'est un tant soit peu crédible. En revanche, sachez-le, mon caractère est loin d'être celui d'une personne respectable. Je suis très colérique, votre journaliste pourra en témoigner. Ma Mon impulsivité me joue des tours, je dirai même que j'ai besoin d'actions. En réalité, je ne déteste pas le combats, disons même que je le trouve amusant dans certains cas. Cela étant, je déteste que l'on mette sa vie en danger dans des affrontements, je trouve cela plutôt idiot. Certains trouvent que j'ai l'air vieux à faire des sermons stupides, mais je sais bien que le discours n'est pas mon point fort. Pourquoi s'embêter à parler quand on peut frapper pour tout faire rentrer directement ? Vous aurez compris que j'appartiens davantage à la catégorie des gens violents qu'à ceux qui pensent avant d'agire. En revanche, certains trouvent quelques fois mes répliques ~~asser~~ assez bizarres. C'est vrai que j'essaie en général de détendre l'atmosphère avec des blagues - avoisinant l'humour noir, certes - mais je suis tout aussi capable de m'énerver que les autres. Je peux parfois m'énerver pour un rien, et rester calme face à quelque chose qui en ferait péter les plombs à plus d'un. Si vous désirez me comprendre, bonne chance à vous !

Il reposa son stylo, satisfait. Bouffe ça, teme. Tu veux des questionnaires pourris, t'auras des réponses pourries. Fubuki s'avança en direction de la pièce suivante où l'attendaient le présentateur et le public qui ululait. Avaient-ils forcé sur l'herbe ? Le jeune homme ne se posa même pas la question et fit demi-tour pour s'en aller par l'endroit où il était venu. Il irait voir un psy, c'est moi qui vous le dit. Ce qu'il fit, d'ailleurs. Et chez le psychologue, quelques heures plus tard...

« [...] Je vois. Vous avez eu une enfance difficile pour avoir de telles réactions ? Racontez-moi tout, je vous en prie. »

Ne pas taper, Fubuki. Ne pas taper. Bref, le jeune homme se redressa du canapé sur lequel il était allongé et entama une belle histoire pour raconter son passé au psychologue. Mais nous allons faire ça sous forme d'un joli flashback, c'est d'autant plus stylé.

Histoire :

Note à lire:

L'histoire de Fubuki est ennuyeuse, du début à la fin, laissez-moi vous avertir. Le jeune homme est né comme un noble, et a fini comme un imbécile, c'est la seule différence entre le début et la fin de sa vie. Si vous n'êtes pas patients, arrêtez-vous de suite. Fubuki est né dans une famille assez riche, mais pas assez pour être noble cependant. Son père était un riche homme, et sa mère, elle, journaliste française. Lors d'une voyage d'affaires important, il l'avait rencontrée. Ils avaient tous deux eut LE coup de foudre, et bien qu'ils n'avaient pas que de sages attentions en s'approchant au début, ils sont inévitablement tombé l'un amoureux de l'autre. Elle avait sans hésité accepter de l'accompagner au Japon après avoir revendu son logis et abandonné son travail.
Un mois après leur installation, la mère du jeune homme annonça à son mari une merveilleuse nouvelle : « Je suis enceinte ». Cette phrase avait provoqué chez lui de la surprise, puis du réconfort. Il allait, lui, avoir un enfant ! Bien qu'il n'ait que la trentaine à ce moment-là, il se réjouissait de pouvoir, lui qui avait vécu dans la solitude jusqu'à présent, donner la vie à quelqu'un. Il espérait que sa femme et son enfant survivraient tous deux à cet accouchement. Finalement, ils attendirent ensemble les 9 mois et le jour propice, ils étaient prêts.

A ses côtés, le père était inquiet. Les médecins n'étaient pas tendus, ils voyaient que pour le moment, tout se passait bien. D'ici quelques minutes, le bébé allait sortir, et ils l'attendaient. Ils emmenèrent le brancard dans la salle des urgences, puis s'équipèrent. Enfin, ils se lancèrent dans l'opération, mais quelque chose clochait. L'accouchement se passait normalement, mais du sang s'échappait du corps de la future mère.
Les médecins s'activèrent, tentèrent de trouver une solution, mais ils comprirent bien vite qu'il n'y avait rien à faire. Un être supérieur, un dieu, avait décidé qu'il était temps de trancher le fil de vie de cette femme, et personne ne pouvait aller à l'encontre du destin, de la décision du Tout-Puissant. Au bord de la mort, la mère, puisque les enfants avaient été sauvés, demanda à voir son mari. Ce dernier, en larmes, alla au chevet de sa femme. Il lui fit part de ses inquiétudes en la bombardant de questions, mais elle refusa en secouant la tête.

« Non... je sais que tout s'arrête là pour moi. S'il te plaît, écoute-moi jusqu'à la fin. »

Il attrapa sa main, elle le fixa dans les yeux.

- « Ton nom est si... triste... je veux que l'aîné s'appelle Fubuki. Dans ma langue natale, cela signifie tempête de neige. »

Boum... Boum... son coeur pouvait être entendu : il ralentissait considérablement et significativement.

- « Ce sont des jumeaux... son frère, je veux qu'il s'appelle Ochiru. Ce sera l'automne, et son frère et lui seront comme les deux côtés d'un miroir. Ils s'entendront bien, tu verras. Je vous... »

Ainsi s'éteignit la vie de Mme K. Shimura. Toute sa vie, elle s'était senti heureuse pour la bonne raison qu'elle croyait au bonheur simple, au bonheur autonome. Son mari n'avait jamais été au courant de ce mode de pensée si triste pourtant. Cette femme avait aimé sa famille, avait aimé son mari et aimé ses enfants même si elle n'avait pas partagé de moments à leurs côtés. Et là, elle s'était éteinte, ne laissant derrière lui que son mari et ses enfants. Elle n'était pas vraiment heureuse, elle essayait de persuader les autres qu'elle l'était, bien que cela ne soit pas le cas. Elle ne partageait ses secrets avec personne, et le secret de sa maladie disparut avec elle.

*****

Une douzaine d'années étaient passées depuis. Fubuki, aîné de la famille, avait 15 ans, c'était un garçon aux cheveux noirs et aux yeux noirs ; il profitait de la vie, comme sa mère, et était souriant comme personne. Son frère, Ochiru, était le second, et accessoirement jumeau de Fubuki. Ses cheveux étaient marrons, et ses yeux verts, à l'inverse de son frère. Pourtant, ils se ressemblaient énormément. Ils avaient une vie convenable puisqu'ils côtoyaient un lycée assez respectable, et leur père travaillait énormément dans le commerce, il vendait... du vin. Il ne s'était pas remarié depuis la mort de sa femme, et n'approchait même plus une personne du sexe opposé. Mr Shimura avait déclaré qu'il avait assez souffert et qu'il était bien assez heureux ainsi.
Il avait fondé sa propre entreprise et la fortune de sa famille montait en flèche, à telle point qu'il avait déménagé et possédait même une maison très imposante. C'était malgré tout assez modeste comparé aux grandes familles du pays, mais il se débrouillait. Il avait, même dans le monde de l'économie, des rivaux, mais il ne baissait pas les bras et se battait dans son travail.

Les deux garçons, eux, avaient d'excellentes notes à l'école. Ochiru frôlait le plafond des notes alors que son aîné stagnait dans les 10 premiers sans avoir une moyenne hors du commun. Il était bon, et cela lui semblait largement suffisant. Leur avenir semblait tout tracé mais c'était idiot de penser que leur petite vie allait se terminer ainsi, avec une happy end. Dans le monde humain, rien n'arrive par hasard et les conséquences de nos actes forment ce hasard, et il ne faut pas négliger des détails de notre vie.

- « Les affaires sont excellentes, je crois que nous allons pouvoir prendre des vacances. »

Mr Shimura avait annoncé cela à ses enfants d'un ton réconfortant, et ces derniers l'avaient cru. Ils pensaient que leur vie se poursuivrait de cette façon, c'était penser naïvement ! Son père devenait un homme de plus en plus influent et important qui faisait maintenant de l'ombre à beaucoup d'autres entreprises concurrentes et ignorait les réclamations de ces dernières. Il était devenu bien plus travailleur depuis le départ de sa femme, et cela n'avait pas été en vain : sa fortune s'étendait de plus en plus.

Et ce qui devait arriver arriva.

« Je n'aurai pas dû survivre. J'ai fais quelque chose de mal, et c'est cela qui a causé ma survie. Je ne mérite pas d'être encore en vie. » Fubuki n'habitait pas loin de son établissement et venait à pied là-bas... puis revenait à pied. Ce jour-là, était le jour il avait fait deux erreurs consécutives. La première avait été de répondre à un professeur et de collectionner un total de trois heures de retenue qui l'avait fait arriver en retard, et la seconde de survivre. Lorsqu'il arriva chez lui, sa maison était en feu et il ne voyait presque rien en sortir.
Il entra, se faufila entre les flammes et chercha son frère et son père : aucune trace d'eux. Fubuki martela le mur de coups de poing, ses larmes ruisselant à présent sur ses joues. Ils avaient dû survivre ! C'était impossible qu'ils meurent ! Par la fenêtre, le garçon observa une silhouette monstrueuse partir en courant, et alors la rage prit le dessus. Il se redressa d'un bond et courut à l'extérieur, poursuivant cette chose en fuite. Un hollow ? Peut-être, mais de toute façon, il ne connaissait pas ces créatures. Il s'était bien passé plusieurs choses étonnantes dans sa vie, mais.. il ne comprenait plus ce qu'il lui arrivait ! Il fila entre les arbres mais trébucha sur une racine et tomba. Il tenta de se relever et courut à nouveau mais se rendit vite compte qu'il s'était perdu. Fubuki tenta de marcher, en vain, il ne faisait que s'épuiser. Alors ses quelques pas le guidèrent vers la sortie de la forêt : il tomba à genoux puis s'écroula au sol.

*****

Quelques jours étaient passés lorsque Fubuki se réveilla. Il ouvrit les yeux et remarqua qu'il était propre, dans de nouveaux habits. Allongé dans un lit, il se trouvait chez une personne qu'il ne connaissait pas. La demeure était assez petite et modeste, mais la décoration était assez belle. Il tourna la tête de droite à gauche et se redressa, pour observer à travers la fenêtre qui se trouvait à sa gauche. C'était la ville, il était donc dans la maison de quelqu'un qui habitait dans un espace urbain.

- « Tu devrais rester allongé. », lui conseilla une voix.

C'était une femme assez vieille qui l'avait interpellé. Elle s'avança de quelques pas sous son regard méfiant, mais il se détendit en voyant le verre d'eau qu'elle tenait. Lorsqu'il le prit, il la remercia d'un mouvement de tête et fit volte-face, le posant, une fois vide, sur le rebord de la fenêtre.

- « J'ai connu ton père. » poursuivit-elle.

Il resta silencieux, le regard vide et neutre. Le seul fait de se remémorer ce moment le faisait souffrir.

- « Je ne te veux pas de mal. Je savais à quel point il était studieux, et cette mort, c'est... »

- « Je le sais aussi ! » répliqua le jeune homme, troublé. « Il travaillait comme personne, tout ça pour nous ! Et je sais que c'est pas arrivé par hasard, cet incendie, quelqu'un a mis le feu a la maison, je le sais ! » Il frappa le lit du poing, maintenant totalement réveillé. « Si je retrouve cet enfoiré, j'le bute ! Ochiru aussi est mort, par la faute de ce type avide d'argent ! » Fubuki serra la couverture du poing en baissant la tête. « Et moi, je suis pas mieux. J'étais en retard parce que j'avais pris une retenue ! Ochiru lui, a jamais rien fait, il a toujours été à l'heure, et voilà ce qui lui est arrivé ! Si j'avais été là... J'aurai pu les sauver ! »

A sa grande surprise, la femme resta silencieuse. Elle était triste, cela se voyait à son visage. Il regretta aussitôt ses paroles : elle aussi devrait être touché par la mort de sa famille, après tout.

« Je vous remercie pour votre hospitalité. » déclara-t-il en se levant, lui décrochant un cri de surprise. « Je vais partir maintenant. J'espère que l'on se reverra. J'ai une dette envers vous que je n'oublierai pas. A bientôt. »

A ces mots, il prit un sac qu'elle lui avait préparé au préalable et quitta la maison sans demander son reste. Il glissa le sac sur son dos et partir. Il aurait bientôt 16 ans, il allait vivre comme il l'entend. Oui, à sa manière... dans ce monde pourri qu'il haïssait. Cher meurtrier, tu ne paies rien pour attendre. Fubuki Shimura te trouvera et se vengera, tu peux y compter. Qui que tu sois, cries, pleures, fuis... tu ne pourras pas te cacher éternellement !

[...]

Alors Fubuki, tu fus satisfais. Tu vécus seul quelques temps, découvrant finalement un pouvoir qui était unique : le Fullbring. Il semblerait que tu étais capable d'utiliser une sorte d'énergie spirituelle, spécialement après cet incident. Alors, Fubuki, tu appris à le maîtriser, et tu recherchas de toutes tes forces le meurtrier de tes parents. Tu finis par le trouver, ce monstre, un hollow. A vrai dire, le combat ne fut pas sans difficultés, mais tu réussis à gagner à force de persévérance. Tu étais encore faible, mais tu t'en fichais, tu avais déjà effectué ta vengeance.
Mais là, ce fut le drame pour le jeune homme. Quelques jours après, Fubuki trouva un autre hollow qu'il réussit à tuer, non sans mal. Il se rendit vite compte qu'ils étaient très nombreux, et qu'il ne pouvait savoir lequel avait tué ses parents.
C'était le désespoir. Fubuki en resta enfermé une journée entière, troublé. Entre l'impuissance et la frustration, il ne savait plus quoi penser. Finalement, à force de réflexion, il finit par se relever de lui-même... pouvait-il réellement penser toute sa vie à cela ? Non ! Il allait avancer de l'avant... il ne laisserait personne d'autre subir le même sort que lui !

Informations:

Description Physique:

Description Morale:

Uniquement pour Humains :

Description de la nature du pouvoir : Pouvoir de glace. L'objet utilisé pour ce fullbring est le collier que porte en permanence Fubuki autour du cou. C'est un pouvoir de matérialisation qui peut faire apparaître de la glace. Plus la quantité est grande, plus le reaitsu utilisé est fort. Cependant, la glace qu'il utiliserait pour des choses comme refroidir son verre n'est pas la même que celle avec laquelle il combat. Elle ne contient pas de reaitsu pour la durcir, et est donc de la glace normale. De ce fait, elle gaspille très peu d'énergie mais est très fragile.
L'utilisation de son fullbring fait apparaître dans sa main deux pistolets, qui ne crachent non pas des balles, mais de l'énergie spirituelle. Notons qu'ils ne peuvent être utilisés qu'après la première libération.

Techniques non libérées :

Koori Yari : Technique qui consiste à créer des lances de glace, depuis sa main. En réalité, ce sont comme des rayons de glaces très fins qui se dispersent un peu partout autour des mains de Fubuki avant de foncer vers l'ennemi d'un coup.

Koori Tsurugi : L'utilisateur créé un rayon de glace très dur qui fonce de façon linéaire vers l'ennemi. Il ne peut se déplacer que de cette façon, et non autrement.

Koori Kaigara : L'utilisateur croise les bras devant lui et une coquille de glace se forme autour de lui (et non seulement dessus), le protégeant des attaques ennemies. Un feu normal ne serait pas suffisant pour détruire cette glace là, ou plutôt, il mettrait pas mal de temps (2, 3 posts).

Koori Kanazuchi : L'utilisateur créé un marteau géant qui se dresse au dessus de l'ennemi avant de s'écraser sur lui.

Techniques 1ère libération:

Koori Hakujin : L'utilisateur créé des lames de glace au niveau de ses coudes pour frapper avec. Il attaque de ce fait avec ses bras, et rend ces lames tranchantes.

Seven Slice Dance : Requiert l'utilisation de la technique précédente. La combinant à un shunpô, l'utilisateur frappe l'ennemi sept fois à une intervalle de temps très courte avant d'apparaître derrière lui.

Koori Chiryou : L'unique technique de Fubuki qui ne soit pas axée sur le combat. Consiste à poser ses mains sur son propre corps et le recouvrir de glace entièrement. L'utilisateur est toujours conscient et ses mouvements sont un peu ralentis à cause du poids de la glace, mais aucunement gênés. Une fois que la glace a explosé, les blessures ont cessé de saigner et sont soignées pour la plupart.

Techniques 2ème libération:

Koori Kouhou : Créé des pics de glace qui sortent du sol pour aller empaler l'ennemi. Ils sont très gros en envergure. Les pics peuvent être créés dans les airs pour encercle l'ennemi avant de tenter de le transpercer, mais ceux-là sont bien moins gros, 30 cm au maximum.

Koori Shichiya : Consiste à plaquer ses mains sur le sol qui se transformera en glace. Des pics en sortiront alors, assez grand pour transpercer les pieds de l'ennemi et en ressortir par le dessus. Il est donc conseillé de rester en hauteur pendant que cette technique est présente !

Koori Senpuu : Cette technique a un principe très simple : une tornade de glace. L'utilisateur plaque ses mains sur le sol et le sol sous l'ennemi est violemment secoué. Du vent commence à tourbillonner autour de lui et une tornade se lève : constituée de glace et de vent. Elle frappe sur une zone de 5m, et dans tous les sens, autour de l'endroit où elle est lancée.

Hiyori Sarugaki

Bienvenue !
C'est une très bonne fiche dans l'ensemble, mais j'aurais besoin de plus de précisions concernant la nature de ton pouvoir. Les techniques me vont, c'est pas la question. C'est juste qu'on sait pas comment il a eu ses pouvoirs. Ce n'est pas expliqué dans ton histoire et c'est ce que j'aimerais que tu explicites.

Sinon, ça me va Smile

Voilà, j'ai modifié ça !

"Par la fenêtre, le garçon observa une silhouette monstrueuse partir en courant, et alors la rage prit le dessus." Donc ce n'est plus un humain, mais un hollow qui les attaque. On peut très certainement lier ça à la présence de reiatsu chez Fubuki.
L'explication du pouvoir a un rapport avec cet évènement, les précisions dans un paragraphe que j'ai rajouté à la fin de l'histoire ! =)

Edit : Une question oO. Les techniques de libération coûtent 300, celles en "non-libération" aussi ? Merci d'avance.
Edit du 09/02/12 : J'ai rajouté une dernière phrase dans la description de la nature du pouvoir. Je voulais armer mon personnage. Je suis bien entendu conscient que les dégâts avec les coups de ces armes seront quasiment nuls sur un personnage de haut niveau, et bien moins puissants dans tous les cas que les pistolets deStark, par exemple, qui tirent des coups très puissants.

Hiyori Sarugaki

Non elles enlèvent 100 de reiatsu ! Je viens de remarquer que c'était pas dans les règles... Désolé !