Kazuo Kiriyama
Shinigami exilé
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Date d'inscription : 15/08/2010
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Nom du zanpakutô/Nature du pouvoir: Yôganfuro
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 |  Sujet: Fukyuu no Tairiku Sam 5 Mai - 16:23 | |
| Fukyuu no Tairiku
(Continent Éternel) Bonjour, Je suis ici présent pour vous présenter un forum. Ce forum est totalement inventé mais aussi tout jeune et sera ravi d'accueillir des nouveaux membres. Voici donc le contexte en entier. Et pourquoi en entier ? Simplement car aucun résumé du contexte n'a encore été conçu. - contexte:
~~Introduction~~
A l’origine du commencement, deux mondes coexistaient sans se mélanger : Le monde des fées, régulatrices des flux naturels, et le monde des humains, détenteurs du savoir et travailleurs acharnés. Entre ces deux mondes existaient des passerelles : des temples, protégés par des gardiens mi-humains mi-fées. Ces temples étaient à la fois la force et la faiblesse du monde magique : chacun renfermait le pouvoir d’un élément et l’accès au pays des fées puisant dans cet élément pour régner sur les forces de la nature.
Les temples, construits avec des pierres stellaires, et protéger par de fortes incantations, répondaient directement de la lune : Si elle était pleine, le temple disposait de sa pleine puissance. Nouvelle, il ne disposait d’aucune protection et tout et chacun pouvait y pénétrer et dérober le pouvoir sacré. Bien sur, les fées avaient caché ce bien précieux dans des lieux introuvables, où les chemins étaient impraticable ou inexistant, car elles ne connaissaient que trop bien l’avidité et la convoitise humaine. Elles conclurent donc un pacte avec les humains : Elles régulariseraient leur monde et ferait en sorte qu’aucun malheur n’arrive à leur espèce en échange de quoi ceux-ci devaient leur remettre à chaque génération un gardien qui protégerez au péril de sa vie le terrible savoir magique qu’il détenait.
Aussi, concernant les gardiens, il est dit que les enfants naissant avec une tache particulière, non sans rappeler les tatouages rituels, étaient les élus. Ces gardiens, dont la simple évocation terrifiaient les peuples et entraînaient le bannissement de la femme qui en enfanté, étaient précipité dans les puits par les druides de leur village dés leur plus jeune âge en sacrifice. Bien que l’histoire est déformée leur propos et leurs gestes immodérés, les fées récupérer ces petits êtres, les nommaient, les élever durant six ans dans leur pays, puis les envoyés aux temples où ils ne purent jamais retrouver compagnie. Ils ne manquaient ni de nourriture, car les fées leur apportaient pendant leur sommeil, ni de chaleur, car le temple reproduisait la température du ventre humain. De ce fait, il ne manquer que d’amour et de sociabilité, et c’est ce qui causa la perte de nos deux mondes.
L’histoire du monde que nous connaissons aujourd’hui, celle des dieux qui terrorisent nos contrées est liée aux agissements des gardiens. Laissez-moi vous décrire ceux-ci lorsqu’ils étaient sous la bénédiction des fées :
Koori est né sur l’ile de Sahashi à la mi-mars, et son tatouage ne fut pas découvert par les femmes qui lui faisaient sa toilette. Bien entendu, à chaque naissance, l’inspection était minutieuse, mais la minuscule larme qui ornait son pied fut prise pour un bleu. Ce n’est que lorsque la jeune mère langea son enfant qu’elle remarqua que l’hématome supposé s’était étendu et avait une finesse dans les contours qui ne trompait pas. Étant son premier enfant, un gaillard bien portant et aux traits fins, elle hésita longuement entre le cacher ou le remettre aux druides et aux prêtresses, mais la peur conditionnée prit le dessus et relativisa son geste en se persuadant qu’elle était jeune et qu’elle n’aurait aucun mal à avoir un second enfant bien portant… Si ce n’est qu’elle avait oublié que les femmes étaient bannie et marqués afin que nul village ne puissent les accueillir, les condamnant à une vie de hors la loi et de solitude. L’on nous a rapporté qu’il était le gardien du temple des fées aquatiques.
Raijin eut la chance de naitre en octobre sur la péninsule de Washi, là où les gens prêtent peu attention aux pratiques religieuses. Sa mère fut étonnée de lui voir un tatouage sur l’omoplate gauche, mais elle n’y prêta guère attention aux premiers mois de sa vie. Ce fut lors de son baptême, alors que l’on fit appel à un prêtre voisin, prêtre qui défendait fermement les pratiques ancestrales, que celui-ci conjura le sort de l’enfant et celui de ses parents sans grand ménagement. Selon les dires, il serait le gardien des fées aériennes.
Oniwa serait né durant un rude hiver de janvier dans les montagnes de Kuma d’une mère ayant déjà mis au monde cinq enfant. Ce sixième enfant était de toute évidence celui de trop. Déjà bien affaiblie par ces cinq précédente couche, elle ne survécu pas à la naissance d’Oniwa, un grand gaillard qui avait puisé toutes les forces de sa mère pour naître. Lorsque son père remarqua le tatouage sur le deltoïde droit, il n’eut aucun mal à le remettre au druide du village, car l’enfant était responsable de la mort de son épouse, et le garder signifiait une bouche de plus à nourrir. Il avait pour mission de combattre les ennemis qui s’attaquaient au temple des fées de la roche.
Shisaku, quant à lui, serait né dans les brumes de la vallée d’Ookami en plein mois de Mars. Ce sont des chasseurs habitant prés de la forêt Sasori qui l’ont trouvé là, dans les bras de sa jeune mère morte. L’avenir du garçon ne faisait aucun doute en vu du tatouage qui ornait tout son dos en partant des omoplates. Ils eurent néanmoins un doute en se penchant sur la jeune mère dont le visage était marqué de symboles ésotériques et qui avait pour seul habit une longue toge élimée. Ils ne surent jamais de quelle contrée elle provenait et s’accordèrent sur le fait que les tatouages étaient bien trop grossiers pour que sa tribu ait put en marquer le dos d’un garçon, et personne ne revendiqua être le père de l’enfant qui fut aussitôt précipité dans le puits sacré. Plus tard, cette vallée brumeuse fut hantée par les hurlements d’un lycanthrope, et l’on racontait qu’il s’agissait du jeune Shizaku, protecteur des fées de l’esprit.
L’on conte que Toraku connu un sort moins cruel : il vit le jour dans le désert du Biakko, sous le soleil ardant du mois de juillet. Son tatouage gravé sur sa nuque ne laissa aucun doute aux parents qui le déposèrent aux pieds de la hutte du druide du village dans le plus grand anonymat. Après un long chemin vers le puits sacré, le plus proche, le druide l’abandonna à l’intérieur, non sans avoir psalmodié les incantations pour le sauver du triste sort auquel il était soumit et le prier de protéger la tribu d’où il était né afin qu’il n’attire pas le mauvais œil à cause de leur geste. A ce que vous pouvez devinez, les paroles furent entendues… Toraku serait là pour empêcher quiconque de pénétré dans l’illustre temple des fées du feu.
Dokusou, lui, aurait vu le jour dans la jungle d'Hebi pendant la clémence du mois de septembre. Son tatouage fut immédiatement repéré car il s'étendait au dessus de sa poitrine et ses parents se résignèrent à abandonner leur enfant au druide du village. Cependant, alors que la jeune femme était contrainte au bannissement, son mari décida de partir avec elle. L'enfant gérait alors le temple des fées de la nature.
Enfin, Kenzoku aurait été délaissé quelque part dans la forêt Sasori, au mois de Décembre, ses parents, ayant vu le tatouage qui cernait l’envers de son poignet droit l’abandonnèrent sans mal afin de ne pas s’attirer les foudres de leur village. On ne sait pas combien de temps il resta ainsi, sans nourriture ni couverture… Ce fut un druide qui recueillit l’enfant miraculé, et le précipita dans le puits réservé aux gardiens. Sa résistance à cette épreuve est sûrement due au fait qu’il était né pour garder les portes du temple des fées des armes et du métal.
Cette génération de gardien remplissait si bien leur rôle que nous n’entendions aucune nouvelle d’eux, ne les voyons que très rarement mêlé à la foule les jours de pleine lune… Mais vint cet instant funeste où ils décidèrent d’activer en même temps les temples un jour de nouvelle lune, alors que le pouvoir des fées était au plus faible, et de prendre leur pouvoir afin de devenir les Dieux que nous connaissons.
Comment ils eurent cette idée, nous le sûmes plus tard, mais ce qu’il en résultat fut bien pire que ce que nous pûmes jusqu’alors imaginé : Nos deux mondes se mélangèrent. Pouvoir et savoir se rencontrèrent, magie et non magie se côtoyèrent, et le Yin et le Yang, le cœur et la matrice de notre Senkyõ furent réveillé.
L’énergie Yin, que nous connaissons mieux sous le nom de Kurao prit la tête des armées du savoir et combattit le pouvoir qui était trop velléitaire, donc néfaste à son goût. Les fées furent décimées, et seulement une poignée d’entre elles survécurent et se cachèrent dans bien des lieux, se mêlant aux humains et agissant en simple humaine, travaillant la terre, prenant éducation lorsqu’elles le purent et mari afin de passer inaperçu et limité le génocide dont elles étaient témoins, si bien que nous perdîmes toute trace d’elles, ne sachant réellement si elles existaient encore, ou ont réellement existé. Quant à l’action du Yang, nous ne savons toujours pas ce dont il est advenu, s’il se cache, s’il fuit, ou s’il prépare sa défense pour reprendre sa place… Kurao et les nouveaux dieux tyranniques ont eut tôt fait de le renversé afin de ne laisser aucune chance au monde de rétablir l’équilibre originel.
Kurao instaura sa dictature sur les hommes, et bientôt, une nouvelles race connue le jour, celle des Wiccan : des humains capable d’utiliser certains attributs provenant du temps des fées. Deux aspects différents apparurent alors, la lumière put être, pour la première fois utilisée, de même que les ténèbres, tandis que l’art de l’esprit, de l’acier et de l’air disparaissait totalement. Un continent, à l’effigie du monde connu, fut créé pour accueillir ces hommes et femmes dotés d’attributs magiques : Fukyuu No Tairiku. Ce continent reprenait chaque étude du passé, sans pour autant les dévoilés, mettant en place un régime de « Princes » à la tête de chaque clan faisant office de prédécesseur de gardien. Cependant, une quête fut mise en place à travers ce monde, chaque prince reprenait le joyau de l’ancien, et d’autres voulaient leur place. Une guerre des pouvoirs eut lieu, s’en suivit une autre des clans. Une légende naquit de ces idéaux meurtriers, celle d’un cristal composé de ces joyaux qui permettrait, selon certain, d’accordé tous les vœux, selon d’autre, de posséder l’immortalité et ainsi de suite…
Les siècles ont passés, et étrangement, des changements eut lieu, notamment dans une résistance au niveau de la plaine d’Ookami, ou vivent des fées recluses depuis quelques temps. Chacune semble prête à défendre les anciennes traditions, et malgré la race totalement éteinte des fées de l’acier et de l’esprit, nous sommes sur d’avoir entendu l’une d’elle déferlait ouragan et tempête sur des Wiccan qui s’approchaient de trop près. De par les réseaux, mais aussi le ménestrel, vous pourrez sûrement apercevoir la troupe de femme des plus exquises, vous serez d’ailleurs dérobé par celles-ci sans vous apercevoir de quoi que ce soit. Sur ce continent éternel, la donne est bien différente face à sa terre créatrice, certains clans se déclarèrent la guerre, notamment le clan du feu aillant déclarer la guerre à celui de l'eau pour prouver que le feu est capable de vaincre l'eau, le clan de la lumière aurait déclaré la guerre à celui de l'ombre sous prétexte que ce clan ne devrait pas existant étant trop maléfique et répugnant, et enfin le clan de la foudre et du vent serait-en guerre n'apprécient pas d'utiliser tout deux les pouvoirs des cieux. La capitale en elle-même évoque cependant l’attirail des fées de l’esprit, et peut-être, les abrites-t-elles aussi…
Voilà tout ce que je peux vous apprendre. Je terminerai par une dernière remarque : ouvrez l’œil mais restez discret, car les fées qui se cachent de ce champ meurtrier se repose dans l’espérance du changement. Que les cristaux de l’arc-en-ciel soient détenus par de nouveaux gardiens, et qu’une révolte ne tardera pas à avoir lieu. Alors, vous qui vivez sur le continent éternel, quel camp choisirez-vous ? Resterez-vous dans l’ignorance du passé ? Ou ramènerez-vous les anciennes traditions au goût du jour ? Et ferez-vous partis des vainqueurs et possesseurs des cristaux de l’arc-en-ciel ?Remerciement à Deshi, Denchu, Kima et Himeka pour leurs travaux sur ce contexte.
by Akito | |
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