Echapper au poison du clown! [pv. Unohana PNJ...ou Unohana s'il y en a une]

Invité

J'en avais assez d'attendre. Cela faisait déjà....une demi-heure que j'étais là. Oui, je n'étais pas patient et ce scientifique m'énervait de plus en plus. Il me traitait vraiment comme un simple objet. J'avais mes propres sentiments! Même si j'étais un Hollow, la patience n'était pas mon point fort! J'avais passé mon temps à me questionner sur la solitude, mais ça n'avancerait à rien de me morfondre sur ça. Heureusement pour moi, cet idiot de scientifique voulait me préserver pour ses expériences, il m'avait donné un antidote contre son poison, mais c'était avec un effet temporel. Et puis, il était naïf, de me laisser dans une salle close avec mon Zanpakuto. j'activais alors mon masque de Hollow pour détruire le mur et courir dans les couloirs. Les Shinigami de la 12e division avaient été alerté à cause de l'explosion que j'avais causé. Lorsque je les croisais, je les tuais sans même qu'ils eurent le temps de faire quoi que ce soit. En fait, je courais qu'ils ne pouvaient pas me voir. Je détruisais les caméras de surveillance, ou ceux qui permettaient aux scientifiques de pouvoir me voir depuis leur salle de contrôle. J'avais bu l'antidote qui avait un effet limité, je devais trouver où était l'autre. Arrivé dans une pièce, les portes se renfermaient. Les enfoirés, ils croyaient pouvoir m'arrêter avec ça? Je n'avais donc pas le choix....

Sanzai suru, kemono no hone ! Sentō, kōshō, kōtetsu no sharin. Ugokeba kaze, tomareba sora. Yariutsu neiro ga kōjō ni michiru! Hadō no roku jū san : Raikōhō!!

Et voilà, je perdais du Reiatsu juste pour pouvoir m'échapper d'ici. Je fis un trou vers le plafond. Tout se portait à croire que j'étais dans un sous-sol. En sautant pour aller à l'étage supérieur, je découvris que mon Kido avait touché d'autres scientifiques. Tant pis pour eux, ils étaient en train de subir l'erreur de leur capitaine. Comme, lors de mon dernier passage à la Soul Society, Mayuri m'avait invité à rester dans sa division, je savais plus ou moins où se trouvait la salle informatique. Enfin, la salle où se trouvait les ordinateurs et les données principaux....Vous voyez ce que je voulais dire? Bref, ça faisait un moment que je n'étais pas revenu ici alors....En fait, je dis "je" alors que c'était Luffy, ce petit con, qui avait passé ses journées à bouffer. Je trouvais les escalier et les montait afin de retrouver la porte principale. Je ne pouvais pas me venger vu mon état actuel, mais la vengeance était un plat qui se mangeait froid. Un jour, Mayuri paiera pour ce qu'il m'avait fait....

Après un moment de recherche, j'arrivais enfin à la porte principale. Mon katana était tâché de sang de mes victimes. Certains devaient être encore vivant, je n'avais pas fait attention à ce que je faisais. Même si je pouvais quitter cette endroit, il me fallait trouver l'antidote. Je me rappelai donc d'une rumeur qui disait que la capitaine de la 4e Division, Unohana Retsu, pouvait créer des antidotes contre le poison de Mayuri. Elle n'était pas allée à la Dimension Royal, heureusement pour moi. Le temps pressé, je pouvais mourir d'une minute à l'autre. Je courrais encore une fois - le sport, caylebien comme on dit - vers les quartiers de la 4e Division, où j'avais dans le cœur de Luffy des souvenirs marquantes....Plus le temps passé, plus je m'approchais de ma destination, plus la fatigue me montait à la tête. J’accélérais pour arriver le plus vite possible, mais je ne faisais que perdre plus d'énergie. Et puis, les Shinigami de la 12e Division n'allait pas tarder à envoyer des messages à toute la Soul Society pour leur prévenir qu'un Vizard en liberté se balade dans le Sereitei. Arrivé à la 4e Division, j'étais en sueur, je respirais encore plus rapidement et fortement. Je tenais mes vêtements au niveau du cœur, comme si je voulais les déchirer pour atteindre le muscle et me l'enlever de force pour stopper cette souffrance....Enfin, je n'avais pas mal, c'était juste que j'avais du mal à respirer. Mon Zanpakuto était toujours dans ma main, je serrais le poignet, prêt à combattre ceux qui voulaient me faire du mal. Ma vue était de plus en plus flou, mes jambes étaient lourdes et....Alors que je voyais tout en double, en triple, en quadruple, je vis alors.....le néant.

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