L'innocent Joueur de Flûte de la Soul Society [Terminé]

Division souhaitée :

Nom du Zanpakutô :

Type de votre Zanpakutô :

Techniques Shikai:

Description du Zanpakutô Bankai: 

Flûte en bankaï:

Techniques Bankai:

Au coeur de la nuit, je marchais. Non pas que je m'ennuyais de ses longues heures de promenade intempestive, mais j'adorais ça. Depuis la fin de ma formation à l'académie, je ne savais faire que ça, me promener, changer d'air, explorer le village de fond en comble. Les forêts aux alentours devaient regorger de nombreuses découvertes, mais le temps n'était pas encore venu pour moi de m'y aventurer. Au dessus de moi, les oiseaux dansaient sous le ciel sans nuage. La clarté de cette belle journée ne pouvait que me donner envie d'avancer, de regarder, sans rien demander. Il n'y avait pas grand choses d'intéressants, mais plutôt agréables à regarder. Les champs des paysans, remplis de blés, qui faisaient pousser de belles récolte de la saison d'été. Les habitants du village qui pour la plupart, était accueillant et souriant lorsqu'ils ne se mettent pas à m'insulter en me demandant de regarder ailleurs. La Soul Society est un endroit remarquablement beau. Les nobles, du haut de leurs palais, devaient avoir une vue surprenante au Seireitei. J'aurais aimé un jour, moi aussi, voir de la haut ce qui se passait en bas. Mais bon, j'étais mal barré. Pourquoi n'irais je donc pas prendre une tasse de thé chez madame Aka, oui son nom portant la couleur des nez de clown, était un peu drôle la première fois. Mais je ne parle pas de nez de clown pour rien, car cette femme est vraiment drôle. Elle devrait avoir dans les quarante ans en apparence, son vrai âge, je ne pouvais le connaître. Remarque, elle non plus elle ne le connaissait pas. Je voulais revoir sa maison, une décoration d'intérieur particulièrement sobre, des vieilles chaise de paille, des cadres de poupées en porcelaine, des drapeaux de France partout dans sa chambre, elle avait vraiment une drôle de maison. Je voulais donc contempler tous ça une nouvelle fois, car ça faisait depuis mes débuts à l'académie que je n'avais pas remis les pieds chez elle. Au bout de la petite vallée, j'aperçu sa maison. Une simple demeure modeste, pour une seul personne. Il y avait une porte en bois joliment décorée de dragon de pierre. Après avoir frappé à la porte, celle ci s'ouvrit, me laissant apercevoir avec surprise, le visage de cette chère Myko Aka, qui tenait son verre de saké dans les mains. Pour une fois que ce n'était pas la bouteille...

Certes, je n'avais rien d'autres à faire dans le coin. Elle était habillé comme une saisonnière, avec un tablier à carreaux. Je n'aimais pas du tout ce genre de vêtement, de tout façon qu'est ce que je peu bien aimer moi ? Elle me fis entrée dans sa petite pièce servant de salon, m'installant dans un canapé en cuir, comportant sur la petite table basse, un plateau remplis d'amuse bouche. Je l'observais une nouvelle fois, elle était derrière le comptoir, sur ma droite. Un petit bar où se trouvait derrière, une petite cuisine. La maison de pierre, était décoré de tout genres de meubles en bois, ours empaillés, et autres truc de vieux. Si je venais ici, s'était surtout pour entendre les nouvelles du quartier, car elle s'amusait à espionner et critiquer tous le monde, même moi d'ailleurs. Un escalier donnait accès à la chambre, je me demande encore en ce jour, s'il y avait une salle de bain ici. Ses cheveux blond sec comme la paille, me répugne de jour en jour.

Elle me fixait avec des yeux énormes comme son ventre, presque surprise que je pose cette question, le sourire allongé, les yeux fermés, hochant ma petite tête, j'exprimais la même expression de visage que le capitaine Gin, d'ailleurs nous avons un peu trop de point commun je trouve, qui sait, mystère... Après tout de nombreux gens peuvent se ressembler, même si c'est rare, nous avons tous un homonyme.

Ah bon ? Cela m'étonnerais, elle est obèse, remplis de boutons, crasseuse, comment un homme pourrait l'épouser ? Enfin j'appris juste après en faite, que c'était elle qui allait l'épouser, bien que je n'avais pas écouter sa phrase, j'en compris tout de suite le sens, ainsi donc madame Aka était lesbienne, intéressant. Mais finalement ses histoires commençaient déjà à m'ennuyer, elle s'endormie sur son comptoir à cause du silence de mort qui pesait dans la pièce. Je sortis donc de sa maison, avant de constaté que nous avions finalement passé cinq minutes à dire trois mots. La nuit tombait, c'est alors qu'un type se retrouvait face à moi, le sourire jusqu'aux oreilles. Derrière lui, un autre type le frappa de toute ses forces en le l'insultant de voleur, je vis deux shinigami arriver pour calmer les choses. Au moins il y avait eu de la distraction à court terme. Lassé de tout ça, je pris la direction du Seireitei afin de rejoindre ma nouvelle division, avant de trébucher comme un imbécile par une racine d'arbre dépassant légèrement le sol. Quelle poisse ! Sur la route je ne croisa rien d'intéressant à part un piaf qui fut agressé par une pie, puis une grosse pierre dont la trajectoire se termina par mon crane, portant désormais une bosse légèrement visible. Le gamin m'ayant lancé cette pierre, fut simplement attrapé, afin que je puisse lui mettre une fessée. C'est du moins ce qui aurait dû se passer, car le gamin était un petit roux avec plein de tâche de rousseur, les habits sales, de couleurs vertes. Je pensais que ce serait facile mais non. Après m'être prit un coup de pied dans les parties génitales, le lâchant alors que j'étais à la base partis pour le soulever. Après m'être remis de ce coup, je remarquais avec stupeur qu'il s'était déjà enfuit. J'étais un peu dégoûté au fond, mais je me rendis au Seireitei, comme si de rien était.