Comment apprendre à des enfants...[Entraînement Décembre]

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Flashback

Sous ce cerisier, dans la division où j'ai été affectée depuis le début, est né un éternel amour secret. Un amour qui est né à quelque part, qui vient de quelque part, qui s'est développé, qui s'est fait reconnaître, qui s'est fait avoué: Un amour, un simple amour qui est apparu sous mes yeux, à mes oreilles, dans mon coeur, à mes lèvres. Comment? Pourquoi? Avec qui? Sous ce cerisier, il s'en est passé des choses.

En fait, la première fois où on s'est réellement parlé, ce fut à la quatrième division où je fus transportée parce qu'une de mes batailles contre un hollow a mal tourné. J'ai gagné, oui, mais j'étais dans un état pathétique qui méritait des soins appropriés. Saleté de hollows. J'ai dû me sacrifier les genoux pour l'abattre. Mais... cette visite à la 4ème division en a valu la peine.

Je lui ai parlé de ce qui s'était passé: le pourquoi j'étais rendu dans cet état lamentable. Il me souriait pour faire passer les mauvaises émotions... et ça fonctionnait. Un si beau sourire, léger, mignon, à craquer, qui fait tomber, qui fait rougir... Si ravageur... Il a un regard si mature, si... homme. Comment résister? Ses yeux bruns plongés dans les miens. Je savais qu'il était en plus mauvais état que moi. Je n'avais que les genoux alors que lui, il avait de la difficulté à respirer et crachait du sang quelques fois.

Il avait été battu par un traitre, un ancien Shinigami qui s'est rebellé et qui s'est exilé dans le monde réel. Il a voulu le combattre pour l'empêcher de commettre des actes irréparables, mais il a échoué. Nous sommes arrivés en groupe à son aide. J'ai dû les quitter pour le hollow. Ce sont les autres qui l'ont ramené. Je ne savais pas quoi dire, que faire. La seule chose que je voulais lui dire, c'était de m'excuser. Je ne savais faire que cela, m'excuser. C'était pathétique, mais rien ne me venait en tête pour être désolée à sa place.

Nous avions ainsi parlé de l'événement et de mon entrée à l'académie. Cet homme était plus que sympathique. Depuis que j'ai entré à l'Académie comme élève, je l'ai toujours perçu comme un modèle à suivre tout comme mon "oncle", Kyoraku Shunsui. Il avait aidé ma mère dans ce qu'elle avait besoin. Il ne l'a jamais laissée tomber. Même en tant qu'inconnu, l'impression qu'il donnait était comme si elle était une femme importante pour lui. Il avait une promesse à tenir et il l'a tenu comme demandé.

Sous cet arbre, sous ce cerisier dans la 13ème Division j'ai rencontré un homme qui se démarque par son caractère et ses cheveux. Cet homme avec qui j'ai passé du bon temps a appris à me connaître comme j'ai appris à le connaître. Après cette rencontre sous cet arbre, nous nous voyions un peu plus fréquemment, échangions des sourires, des rires et des pleurs. Depuis le début j'ai utilisé le suffixe de "taichô" quand je m'adressais à lui même s'il ne le voulait pas. Il n'aimait pas vraiment quand c'était trop formel. La formalité était pour les urgences.

Quelques temps après, je me ramassai au bout d'une allée avec un tapis rouge au sol, des centaines et des centaines de Shinigamis de chaque côté et moi, j'avais une grande robe noble à la japonaise. J'avais une coiffure que je n'ai jamais eu avant. Les Shinigamis de la deuxième division surveillaient les alentours pour empêcher quiconque de s'interposer.

Je m'avançai enfin sur ce tapis en marchant avec des lanceuses de pétales de cerisiers en avant de moi. À mon passage, les gens tournaient la tête pour voir ma fière allure de tous les côtés. J'avançai pas à pas vers mon futur mari: un homme de loi, un homme respecté. J'arrivai finalement à ses côtés et lui souris, il me sourit de même. Après avoir entendue toutes les règles du mariage, le prêtre nous demanda chacun notre tour:

Inugami Yinoa, voulez-vous prendre pour mari Ukitake Jushiro, promettant de le chérir, de l'aimer jusqu'à ce que la mort vous sépare?

-Oui, je le veux!

Ukitake Jushiro, voulez-vous prendre pour mariée Inugami Yinoa, promettant de la chérir, de l'aimer jusqu'à ce que la mort vous sépare?

-Oui, je le veux.

Vous êtes maintenant Mari et Mariée.

Nous nous regardions ensuite dans les yeux, la passion se transférait à l'un et à l'autre. Les gens applaudissaient et acclamaient les nouveaux mariés de la Soul Society. Nous avions ainsi donc fêté toute la soirée, avions été félicités par beaucoup de gens. C'était vraiment émouvant comme soirée. J'aurais tant aimé que ma mère soit là pour voir sa fille mariée à un Capitaine, sa fille enfin heureuse pour en être fière. Je suis certaine qu'à quelque part, elle était-là et me félicitait avec tout son coeur. La nuit tomba et mon mari et moi en profitions comme un couple enfin libre de leurs actions tout en étant en secret.

Fin Flashback

Quelques temps après, l'Académie me demanda d'enseigner une journée parce qu'un professeur était malade. Je ne savais même pas ce que je devais faire et on me jette dans ça, devant plein de nouveaux élèves. Ça n'allait pas être chose facile, mais je n'avais pas le choix et honorer les Shinigamis.

Flashback

Ils étaient tous rassemblés en haut de cette falaise. Tous les capitaines ou presque et leurs lieutenants étaient-là et attendaient quelque chose. Alors que des humains courraient par-là, des Shinigamis se préparaient à autre chose attendant ce moment. On amena une jeune femme en blanc et aux cheveux noirs près du bord pour lui faire quelque chose.

Moi je courrais vers ce lieu, devançant ces humains, alors qu'un autre survolait le tout pour arriver dans le bon temps. La jeune femme se fit suspendre sur une croix et élevée dans les airs. Alors que le portail s'ouvrit pour faire place au phoenix de feu et tuer cette pauvre jeune femme, le Shinigami qui volait attérit sur la croix et à l'aide de quelques attaques, stoppa la peine de mort. La jeune femme réouvrit ses yeux et tourna la tête pour voir de qui il s'agissait:

ICHIGO!

-Yo, Rukia. Je t'avais dit que je viendrais pour toi...

-Ichigo...

Moi je courrais comme un fou pour arriver presqu'en même temps. Je shunpotai finalement pour arriver en avant des Capitaines qui se demandaient ce qui se passaient... surtout le Capitaine-Commandant Yamamoto Genryusai Shigekuni... Il n'était vraiment pas d'humeur. Cet homme faisait respecter les lois à la lettre peu importe ce qui en coûte.

Le rouquin détacha Rukia de la croix et la souleva dans les airs. Moi j'étais là à regarder ce qu'il faisait. Ichigo fit balancer Rukia en avant, puis en arrière. Rukia s'en rendit compte:

Oi! Ichigo! Regarde ce que tu f...

Du même coup, je me rendis compte des intentions du Shinigami. Il voulut me balancer Rukia en me la lançant. Le signe que mes sourcils firent indiqua que j'étais perplexe et nerveux à cette idée complètement folle. Alors que j'allais parler de mon désaccord, il lança Rukia dans ma direction sans réfléchir la faisant pousser un cri de terreur monstre. PAF! Un lancer parfait, mais qui aurait pu coûter la vie de notre amie si elle avait été lancée ailleurs. Étourdi par son attérissage, ça me prit quelques secondes avant de m'en remettre. Je me relevai finalement debout, Rukia dans les bras.

ICHIGO! Espèce de malade! Qu'est-ce que tu penses qui serait arrivé si t'avais loupé ton lancer, HEIN?!

Renji... Cours et protège Rukia avec ta propre vie...

Sans répondre, je tournai les talons et me mis à courrir à pleines jambes avec Rukia. Bien évidemment, les Capitaines de Division envoyèrent leurs lieutenants pour m'arrêter. Alors qu'ils nous barraient la route, je continuais de courrir comme un tarré. Ichigo shunpota et se débarrassa des lieutenants en quelques secondes si facilement. Je courrais pour protéger mon amie qui m'était chère. Après tout, depuis que nous sommes tout jeunes que nous nous connaissons. Et depuis que je suis tout jeune que je...

Fin flashback

Je me remémorais de ce passé en marchant dans la Soul Society. J'arrivai tout près de l'Académie en me disant que ça ne me ferait pas de tord d'y aller. Après tout, mon Capitaine est à la Dimension Royale. Je n'ai pas eu d'ordres particuliers, alors je vagabonde comme-ci, comme-ça. Je pénétrai dans les jardins de l'Académie et m'assieds au pied d'un arbre quelques instants. Je ne m'attendais à rien...

Invité

Le cours que je donnais à l'Académie était plutôt facile, même s'il ennuyait pas mal les étudiants. Ils sont jeunes et ne sont prêts que pour l'action. C'était l'étude de la Soul Society. En bref, je devais mentionner ce qu'était le rang de lieutenant, de Capitaine et comment les obtenir. Je devais aussi parler des différents Capitaines et Lieutenants de toutes les Divisions. La galère quoi... Certains sujets les intéressent, les autres, les élèves s'en fouttent totalement.

En fait, maintenant je comprends les professeurs. Alors que moi-même j'ai suivi une formation à l'Académie, les professeurs semblaient exaspérés à leur tâche parce que ce n'était pas tout le monde qui était intéressé. Les plus intéressés étaient ceux qui performaient le plus et qui voulaient absolument entrer dans une Division. Moi j'étais là pour suivre les cours, apprendre à me développer, mais pas nécessairement pour entrer dans une Division.

Après la mort de ma mère, je devais me fixer un autre objectif que de la protéger. Parce qu'il faut dire que protéger un mort, ce n'est pas très utile... Mon objectif était de réussir tout simplement. Vous allez me dire que ce n'est pas un objectif, mais une vision des choses? C'est vrai, mais mon but alors serait d'arrêter Aizen. Je veux que cette guerre, cette violence cesse. Je ne veux plus voir de sang couler. Les gens meurent par eux-mêmes et c'est bien assez. On n'a pas à raccourcir leur vie pour le plaisir de le faire ou par vengeance personnelle. Il y a un autre moyen, il y en a toujours un, peu importe ce que c'est.

Le cours terminé, je fus relevée de mes fonctions par l'Académie et remerciée. Ce fut intéressant d'être replongé dans un passé si mémorable. C'est ici que j'ai tout appris. J'ai même croiser mes anciens professeurs et les salua d'un signe de tête. Ils devaient être fiers de moi... ou pas. Après tout, c'est leur travail de nous faire réussir et c'est le nôtre de donner l'effort.

Je sortis par les Jardins de l'Académie pour apprécier mes derniers moments. En plissant les yeux, je remarquai une tignasse rouge accompagnée de l'être au complet sous un arbre. Je souris et m'approchai pour voir si mes yeux me trompaient. Je remarquai le lieutenant somnolant.

Lieutenant Abarai?

Je l'avais sûrement fait sursauter par ma manière de l'aborder. Cela accrocha un sourire moqueur à mes lèvres et me poussa à me pencher à sa hauteur en me retenant de rire:

Hum... Pardonnez mon impolitesse, Lieutenant, je suis Inugami Yinoa, Shinigami de la 13ème Division. Serais-ce trop demandé de connaître les raisons de votre présence en ces lieux? Je veux dire, vous avez la sixième Division à vous seul depuis que Capitaine Kuchiki est parti à la Dimension Royale, pas vrai?

Voyant que j'étais indiscrète je perdis mon sourire et remonta mon tronc en attendant une réponse de sa part.

J'étais si bien sous cet arbre, enfin... Pour une fois, j'avais l'impression d'être veinard, paresseux et insolent. Ce sont des adjectifs qui s'accordent bien avec moi. Pourtant, dans mon état naturel, je ne les sens pas. Peut-être parce que je suis trop borné ou bouché pour les entendre. Les autres me les crient, les voient alors que moi j'en ai que faire de ce que j'ai l'air parfois. Ce n'est pas ce que j'ai l'air qui compte, mais ce que je fais. J'ai quand même sauvé les Shinigamis avec Ichigo parce qu'on est des bons.... des... des potes, c'est ça. Ou peut-être que ce n'est qu'un nigaud... Un mec aux cheveux oranges qui se balade avec un masque de cinglé pour faire peur aux enfants... Qu'est-ce que tu dis-là Renji, Ichigo, Kurosaki Ichigo est un bon ami à toi... Est-ce que je vire fou? Qui est-là?... Il semblerait que ce soit moi qui ai deux manières différentes de penser...

Relaxer, relaxons, le vent dansait dans mon visage, dans mon uniforme, dans mes cheveux. C'était une belle journée, rien pour nous embêter, même pas le Capitaine pour nous remettre à l'ordre. C'était bien, mais ça pouvait être long et lassant à la longue. Je voulais me battre mais le monde savait déjà d'avance qu'ils allaient perdre alors ils laissent tomber. Ichigo n'est pas là pour me servir de punching bag, Rukia est occupée à quelque part et les autres sont en mission à Karakura. Il n'y a vraiment rien à faire... et pourquoi au fait Hinamori est à la Dimension Royale? Elle veut affronter Aizen toute seule ou quoi? J'aimerais bien comprendre ça... Elle a beau être avec d'autres Capitaines, ça ne change pas le fait qu'elle soit fragile. Soupire... Pourquoi Kuchiki Taichô ne m'a pas amené avec lui? J'aimerais bien savoir ça... Quand j'le verrai, je lui poserai tellement plein de questions qu'il m'amènera avec lui la prochaine fois. Ah non... Je ne peux pas lui faire face... Kuchiki.... Taichô... je lui dois un grand respect... il est le frère de Rukia.

Dans mes pensées je pensais... alors qu'une voix douce de femme me réveilla de mon songe et me fit sursauter. Je la regardai avec des gros yeux pour lui faire comprendre qu'elle avait réveillé un homme qui était en paix avec son âme.

Oui? Quoi? Qu'est-ce qu'il y a?

La jeune femme ressemblait à une plante sous forme humaine. Elle avait des cheveux verts et était élancée. Plutôt jolie, mais elle ne comprend toujours pas qu'on ne réveille pas un homme qui dort! Elle se présenta sous le nom d'Inugami Yinoa, une fille de la 13ème Division... Ouais, ce nom me rappelle quelqu'un, un mariage ou j'sais plus trop.

Non... vous avez le droit de savoir. Êtes-vous journaliste, Inugami?

Je voulais savoir, j'étais curieux de connaître la nature de ses questions. Ainsi, je pourrai répondre à toutes et devenir célèbre. Je continuai en disant:

Je passe le temps, simplement. J'aurais aimé m'entraîner, mais sans partenaire je ne peux pas y faire grand chose... Et puis, tu dois sûrement le savoir, Inugami, que je ne suis pas doué en Kidos et lancer des boules sur des cibles, c'est pas mon genre... Et voir des airs familiers autre que ma division peut faire du bien de temps à autre, n'est-ce pas?

Je souriai pour la première fois dans notre conversation et me levai debout. Elle était vraiment plus petite que moi la jeune... Son nom résonna encore dans ma tête, mais les souvenirs ne vinrent pas...

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Mon approche ne semblait pas appropriée. Voyant la réaction du lieutenant, je le dérangeais plus qu'autre chose. J'aurais aimé qu'il pense autrement, qu'il voit dès le premier regard, quelqu'un d'intéressé et d'intéressant avec qui parler de tout et de rien... Mais non! Il a fallu qu'il sursaute et que je paraisse comme criminelle... Crimielle pas tant que cela, mais tout de même, je suis coupable et s'il était mort d'une crise cardiaque? Il n'a vraiment pas l'âge pour mourir de cela, mais bon. Sa réplique me déconcertait et me rendait mal à l'aise à l'instant, me faisant détourner le regard et rougir quelque peu.

Journaliste, moi? Mais pas du tout... Je suis simplement curieuse, Lieutenant Abarai...

Il me racontait alors ce qu'il faisait assis sous cet arbre. C'était comme s'il était privé de faire ce qu'il veut faire le plus. Il disait aussi que voir de nouveaux visages ne lui feraient pas de tord. Il me sourit et je lui souris en retour. Je trouvai cela sympathique de sa part. C'était comme si j'étais en train de me racheter du départ... Il se leva debout et il était bien grand. Je me sentais encore mal à l'aise, mais j'osai lui demander ce qui me tourmentait l'esprit.

Lieutenant Abarai... puisque vous vous cherchez un adversaire... Aurais-je l'honneur de l'être? Je veux dire, j'ai besoin d'entraînement, voudriez-vous m'aider?

J'attendais sa réponse avec impatience. Ça me dégourdirait et me permettrait de devenir plus forte. J'en avais réellement besoin. Cela faisait un moment que je n'avais pas fait de un contre un. Mes derniers combats avaient été contre des hollows seulement. C'était difficile, mais je n'avais pas le choix. Et j'imagine que le combat à venir sera encore plus difficile que les précédents. Je fis une mine timide et demanda gentiement:

S'il vous plait, Abarai-sama?

La jeune dame me dit alors qu'elle n'était pas journaliste. C'était dommage... très dommage même. J'aurais bien aimé m'exposer dans le journal torse-nu avec comme titre: Abarai Renji, top-modèle des temps modernes. Grosse tête? Nah, pas du tout. Juste un peu narcissique, voilà. J'imaginais l'article comme quelque chose qui donnait des conseils en matière de Zanpakuto. Oui... Zanpakuto. Comment le manier et tout là... La jeune femme rougit, ce qui me fit hausser un sourcil, ne comprenant pas sa gêne. Puis, je réalisai que c'était ma réaction qui avait été un peu trop à l'extrême...

Bon, ça va, ça va... Tu n'as pas à être gênée pour si peu, Inugami...

Je soupirai, montrant que ce caractère me lassait. Ouais, j'avais des fans, mais celles qui m'énervent le plus sont celles qui sont gênées à l'arrière. Elles sont coincées ou quoi? Qu'est-ce qui leur prend à vouloir se mêler à une foule si elles ne veulent pas voir leur idôle, ni même confronter leur peur et leurs craintes? Elles ont un grand et long bout de chemin à atteindre. Et voilà son expression qui revient, qui recommence comme une gamine qui ne peut s'empêcher de recommencer la même erreur plusieurs fois. La jeune femme était presqu'en train de me supplier pour l'entraîner. Pour mon ego, je ne passerais plus par les portes normales tellement, à ce moment précis, j'étais fier de moi-même. Je lui fis un grand sourire et pris un air sérieux avant de déclarer le plus neutre possible:

Sache qu'il y a des règles à suivre... dont une c'est... ne JAMAIS BAISSER SA GARDE!

Du même coup, tout préparé, je dégainai mon Zanpakuto et attaqua la jeune femme d'un coup vertical. Elle devait être prête à tout avec moi, je ne laisserai rien passer. Avec un minimum de réflexes, elle allait pouvoir esquiver cette attaque brute et chargée en force. Je souriai à la façon d'Ikkaku, mordu du combat et ne m'attarda pas à attaquer une nouvelle fois l'arbre parlant. Nous allons observer tous les aspects des attaques et des possibilités en combat... Elle sera prête... ou juste crevée.

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