Supa training septembre d'handicapés!Flashback [Tousen]

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\Flashback/

Un peu après mon entraînement avec Yomaku, Aizen-sama me convoqua. Je ne savais pas ce qui se passait, mais d'un air très sérieux je fis mon apparition dans la salle du trône. Je fis une révérence classique et m'avançai d'un pas en sa direction. Je le fixais dans les yeux, prête à devoir lire sur ses lèvres ses mots prononcés. En fait, je ne savais pas que j'étais si douée que cela à lire sur les lèvres au départ. Quand on possède le sens de l'ouïe, on ne se donne pas la peine de se forcer pour lire sur les lèvres de l'autre, on se contente d'écouter et de penser à autre chose en même temps. Il semblerait que mon cerveau ait pris l'habitude de lire sur les lèvres sans que je ne m'en rende compte. Il savait peut-être ce qui allait se passer plus tard, non? J'ai perdu un de mes sens, un sens très important qui me permettait de connaître les déplacements de mon ennemi avec le bruit de ses pas et le son de son déplacement dans le vent. Je devrai trouver autre chose, l'entraînement avec Yomaku m'a beaucoup aidé, mais je ne le remercie pas pour autant. Il m'a rendue sourde, il m'a fait souffrir un calvaire interminable et maintenant, j'ai l'impression que me blesser moi-même me fait du bien...

La preuve, j'ai des marques sur mes joues et sur les bras, les mêmes. Ce sont des traces de mes ongles qui ont traverser mon hierro et ma peau. Je voulais me libérer de cette douleur, puis j'ai trouvé ce moyen plutôt fascinant. La voix dans ma tête ne semble pas apprécier mes gestes, mais je n'y peux rien. Ma psychologie a changé et maintenant, je suis devenue une masochiste:«personne qui ne ressent du plaisir qu'à travers sa propre souffrance». À travers cette souffrance, je me dois de rester en vie, sinon, quel plaisir, quelle sensation de bien cela me provoquera-t-il si j'y laisse ma vie? Cela ne me donnera plus rien. Je me dois de trouver le moyen de rester en vie en abattant mon ennemi, je vais souffrir, mais c'est le sacrifice à prendre pour changer cette souffrance en plaisir. Ce plaisir qui se transformera en joie, des papillotements dans mon ventre agréables.

Dans cette salle du trône, il y avait Tousen tout près qui me surveillait de très près. Lui et moi, c'est une longue histoire d'amour... De vrais animaux qui se sautent dessus parce qu'ils sont en manque... de tuerie. D'après ce que j'ai compris des dires d'Aizen-sama, je me devais de faire une mission avec cet amour de toujours. Est-ce que j'ai vraiment le choix? Pas vraiment, les ordres sont les ordres, je fis une seconde révérence.

À vos ordres, Aizen-sama.

Cette mission consistait à rechercher des Vasto Lordes dans le Hueco Mondo, donc, pas le choix de traverser ce grand désert blanc avec l'autre handicapé... Je me retournais sur mes talons et refranchis la porte sans me soucier de si l'une des pantoufles d'Aizen-sama allait me suivre ou non. Rendue dans les couloirs, je m'empressais de sortir de la forteresse et commencer à marcher dans le désert. Je savais qu'il me suivait, tels étaient les ordres.

Tiens-toi tranquille et ne me parle pas et tout ira bien...

Sur ce, je recommençai à m'ouvrir les veines de mes ongles, là où se situaient déjà plusieurs cicatrices qui étaient presque toutes guéries. Je fermai la bouche, mais je souris. L'homme qui me suivait était une vraie plaie, je devais faire quelque chose pour contrer ces effets à mon corps qui ne demandaient qu'à le finir.

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Quelques temps après leurs arrivé dans le Hueco Mundo, Aizen avait réussît à utiliser une partie des pouvoirs du Hogyoku afin de créer son armé d’arrancar et donner à Tousen un nouveau pouvoir. La construction du Palais était terminé et cela ressemblait vraiment à un Palais cette fois là, Tousen pouvait le sentir qu’il y avait des murs ainsi qu’un toit et d’après ce que lui avait expliqué Aizen, il avait fait un plafond faisant référence au ciel bleu, il faisait donc tout le temps jours dans Las Noches, mais pour Tousen qui était aveugle ça ne l’apportait vraiment rien de plus, Aizen leurs fit à Gin, ainsi qu’à lui une nouvelle tenue ressemblant à celle des arrancars. L’ayant mise sur lui et tout étant dans ses quartiers, il décida d’aller vers la salle du trône. Jusqu’à maintenant les raisons pour lesquels il avait suivit Aizen était inconnu aux yeux de la plupart de toute la Soul Society ainsi que pour les arrancars, qui ne devait certainement n’en avoir rien à faire, mais pour Aizen et Gin cela ne faisait aucun doute que même s’il ne leur avait pas dit, il aurait tout de suite comprit son réel objectif. Pourtant il savait très bien ce qui allait se passer si Aizen créait l'Ouken, des milliers de gens mourraient et de plus un combat sans merci serait livrer contre la Soul Society.

Etant tranquille dans ses quartiers, il touchait Suzumushi avec grâce afin de se souvenir de son amie morte il y a longtemps, il se disait que si il avait fait ça c’était parce qu’il suivait ses convictions après avoir passé un peu de temps devant celle-ci, il se leva soudainement, prit Suzumushi avec lui, sortit de ses quartiers pour aller en direction de la salle du trône afin d'échanger quelques mots avec Aizen, il avait sans doute besoin de parler de ce qui allait advenir de ce monde après l'invasion de Karukura. Il marchait dans les couloirs de Las Noches et rencontra alors Gin qui semblait lui aussi s’y diriger. Pas besoin de le voir pour sentir son sourire habituel, c’était quelqu’un de très dangereux, rien qu’avec ses paroles Tousen était certain qu’il pouvait tuer une personne, mais le connaissant c’était dans sa façon d’être son caractère. L’on pouvait quand même se poser la question sur lui, à t-il des qualités ? Pour l’instant, il ne l’avait pas montré et on pouvait s’attendre à tout, selon Tousen ses défauts son tout simplement ses qualités, mais en aucun cas ce n’est pas un être pur. Gin l’ayant remarqué s’avança et lui lança un bonjour taquin à sa manière :

Gin: Ohayo, Kaname.
Kaname: Bonjour. Je n’ai pas besoin de te voir pour savoir que tu souris toujours.
Gin: Je souris parce que je suis content de te voir... Ou pas.

Tousen ne répondit pas à ça, il se contenta de continuer sa marche et de ne pas faire à attention à sa provocation. Après quelque pas accompagné par Gin, il ouvrit la porte de la Salle du trône où se trouvait bien évidemment Aizen, qui pouvait profiter tranquillement de son règne mais semblait réfléchir plus qu’à autre chose, mais soudainement c’est Aizen qui prit la parole en premier lorsque les deux arrivèrent devant le grand escalier, ses mots semblaient clair et précis comme dans son habitude.

Kaname: A vos ordres, Aizen-sama !
Gin: Kaname-san, je te laisse t’occuper de ça... J'ai mieux à faire moi.

Après ces quelques mot Gin partit de la salle du trône et semblait être occupé à quelque chose d’autres, Aizen n’avait pas besoin d’envoyer ses deux meilleurs hommes un seul suffisait largement pour ce travaille. Soudainement quelqu’un d’autre entra dans la Salle du Trône, Kaname ne mit pas longtemps avant de reconnaitre le reiatsu de la personne qui venait de rentrer à son tour, c’était la jeune fille qui s’était introduit sans autorisation.

Sans faire attention à elle, Tousen se prosterna devant Aizen tout en ajoutant un « J’y vais de ce pas », il suivit la jeune fille qui venait aussi a son tour de dire à Aizen qu’elle y allait, faut croire qu’en fin de compte il va devoir la supporter :

Nu: Tiens-toi tranquille et ne me parle pas et tout ira bien...
Kaname : Je ne suis pas ton ami, jeune fille... Si tu ne veux pas avoir à faire à ma lame une nouvelle fois, je conseillerais de te calmer tout de suite, de plus je suis ton supérieur... Parle moi encore de cette manière et je te préviens que tu ne rentreras pas à Las Noches.

Puis il s’avança et fit comme-ci elle n’existait pas. L’ignorant, il s’avança et commençait à marcher dans le désert du Hueco Mondo, il tenait son Zanpakuto à la main. Le Hueco Mondo était peut être le territoire d’Aizen, mais certain hollow ne sont pas forcément de cette avis et n’hésiterait pas à s’en prendre à quiconque le servait.

Invité

Menace: admonestation, avertissement, chantage, défi, dissuasion, fulmination, intimidation. C'est moi ou il fait exprès? Il me provoque, il essaie d'en tirer quelque chose. Il connaît mon caractère plutôt chaud, il sait que lorsqu'on me provoque, j'apparais. Par contre, avec mes entraînements, j'ai su que je ne devais pas tomber dans les filets de l'ennemi. Je dois tenir tête aux provocations, aux défis qu'on me lance, aux intimidations portées à mon égard, aux avertissements qui me rendent hors-la-loi, au chantage qui me rend dingue. Comment garder son calme devant autant de méchanceté envoyée? Surtout qu'avec mon nouveau caractère d'enfant gâtée, je suis difficilement contenante. Tout doit être évacué peu importe la manière, garder le tout à l'intérieur, ça peut détruire une personne en la dégradant comme de la corrosion. La personne qui souffre, plus tard, décidera d'en finir de sa vie, ne voyant qu'un enfer autour d'elle. Tous les mots envoyés en sa direction ne feront que l'ensevelir d'un noir ténèbres, l'empêchant de revenir à la surface, là où la lumière ne fait qu'attendre son ascension. Dans un autre cas, la personne provoquée qui attend, explosera encore plus fort, se rendant aveugle des conséquences. Ces conséquences pourraient devenir fatales, dangereuses pour sa santé et sa survie, sinon, simplement pour ses relations interpersonnelles. Si cette personne s'attaque à son attaquant, les amis de son attaquant qui sont aussi ses amis risquent aussi de se prendre contre la victime puisque le vilain agira comme un leader. Ce leader ayant plein pouvoirs aura plus d'influence de son côté que de l'autre.

L'influence, ça aussi c'est quelque chose de particulier. C'est quelqu'un de très charismatique qui aura le plus d'influence. Quelqu'un qui sait parler, tel un manipulateur, obtiendra tout ce qu'il voudra. Il fera ce qu'il voudra avec les gens qui l'entourent. Ces gens-là ne feront, en général, rien du tout. Ils ne s'en rendront pas compte ou bien ne veulent rien faire parce qu'ils leur manque du courage en grande quantité. Mais est-ce du courage ou de la volonté? S'ils ne veulent pas, est-ce que c'est parce qu'ils ont peur de la suite? Du reste? Ce qui va en suivre? Du résultat? Ils ont peur de se sentir seuls, d'être abandonnés, de ne pas trouver mieux ailleurs, de n'avoir rien, mais ils ne prennent pas d'avance sur leur futur. Généralement, ce sont des gens timides qui n'osent à rien. Ces timides sont des gens qui ont peur de s'exprimer, peur des conséquences, qui n'osent rien. Je ne suis pas comme eux. Je suis très expressive au niveau de la colère et en réponse à la manipulation.

Après mon commentaire qui disait que je ne voulais pas communiquer avec lui, je me tournais légèrement la tête en sa direction pour voir s'il allait bouger les lèvres. Ce fut le cas et je me concentrai sur ce qu'elles voulaient dire. Il me dit qu'il n'était pas mon ami, que je devais me calmer, qu'il était mon supérieur et bla bla bla... J'eus un sourire en coin qu'il ne voyait pas, évidemment. Mon bras commençait à saigner de plus en plus à cause de mon martyr. Je m'éloignais d'un mètre de lui et secouai ma main en sa direction pour lui mettre de mon sang dans son visage.

Tu es peut-être mon supérieur hiérarchique, mais je ne te dois aucun respect... La seule chose que je te dois, c'est un retour de calvaire... Les arrancars se foutent de toi, tu ne l'as jamais remarqué? Pourtant c'est si évident... on veut tous ta peau. T'as beau être un chien-chien d'Aizen-sama, mais si la mort ne nous attendait pas quand on te tuera, ce serait déjà fait il y a longtemps... Il n'y a qu'Aizen-sama qui nous importe... Toi... t'es rien, Tousen!

Je continuais ma marche, sourire de satisfaction au visage. Il allait peut-être tombé dans mon piège, ou non... Cela déprendra de sa réaction. J'ai appris à réfléchir avec des conseils de combat, mais lui, il a peut-être de l'expérience de plus que moi, mais réagira-t-il de la bonne façon? Je sais qu'il est impulsif et veut punir à tout prix les autres. Je continuais d'un ton moqueur:

J'espère que tu as bien de la patience, parce qu'on doit mener une mission à deux dans tout ça... M'endurer, ouff... un cauchemar, non? Si Aizen-sama me retrouve morte, il te punira sûrement de ta négligence... Il n'a pas vraiment besoin de toi de toute façon, il va en finir simplement...

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Insolence, arrogance, fierté, prétention... Voilà des mots qui définissent ou plutôt qui pourrait définir cette jeune personne, pourtant la première fois qu’il l’avait rencontré, elle ne ressemblait pas à cette jeune fille insolente qui se la raconte tout simplement parce qu’elle était la subordonnée direct de Aizen, mais elle oubliait une chose c’est que si Aizen devait choisir entre elle et moi... La réponse est assez évidente, même un simple Espada ne pourrait pas en sortir indemne s’il venait à m’attaquer, pour conclure le tout elle ne vaut rien du tout à son niveau actuelle.

Flash Back

Il arriva alors devant la porte, il l'ouvrit et pu entendre quelqu'un parler sans doute un arrancar que Aizen avait convoqué, son reiatsu était faible et ce n'était pas une menace du tout, de toute façon personne dans ces bâtiments et même dans ce monde n'était une menace pour Aizen :

Nu: Hum... euh... Aizen-sama? Je peux.... euh... vous dema... euh... dire... euh... vous ?

Tousen était posté derrière et attendait que le jeune arrancar dise ce qu'il avait à dire avant d'aller voir Aizen, celui-ci continuait de parler mais ne semblait pas être sûr de lui :

Nu: Je voulais... je... vous remercier, Aizen-sama! Je... aussi... j'avais peut-être, enfin, je ne sais pas...si vous... mais je... voulais savoir si c'était possible que... enfin... si c'était possible qu'un jour peut-être dans ma misérable vie, je sois plus forte ?

Tousen avança en ignorant celui qui venait d'adresser la parole sans autorisation à Aizen, puis alla se poster à ses côtés et d'un ton assez cru se tourna vers l'arrancar avec une pensé et lui dit :

** Aizen-sama ne l'a pas convoqué ici. **

Kaname: A qui as-tu demandé l'autorisation de franchir cette porte ? A qui as-tu demandé l'autorisation d'adresser la parole à Aizen-sama ?

Le fait que ce soit la Salle du Trône et que le jeune arrancar soit en dessous cela faisait oppression, il devait avoir peur maintenant que Tousen était arrivé à son tour, il était peut être cru mais avait raison, il existe sans doute et certainement des arrancars qui sont contre Aizen. Il ne permettrait pas que ceux-ci entre et vienne le déranger, il avait mieux à faire que de s'occuper d'eux. Lentement il attrapa son katana et ajouta :

Kaname: Pas de réponse ? dit-il au jeune arrancar apeuré. Savez-vous qui est cette personne Aizen-sama ? Si vous le permettez laissez-moi m'en charger, elle vient de faire preuve d'un grand manque de respect envers vous...

Fin du Flash Back.

Après ça il eut un combat que Kaname gagna en un seul coup, mais faut dire que la jeune fille c’était pas mal débrouillé à ce moment. Elle qui avait l’apparence de la jeune fille inoffensif, timide, recherchant quelqu’un pour s’occuper d’elle faut croire que maintenant elle a eut ce qu’elle voulait, mais à quel prix ? Soudainement le temps de penser, Tousen sentit des éclaboussures sur son visage quelque chose de chaud pourtant on n’était dans le désert et de l’eau, il n’y en avait pas du tout de plus ça n’avait pas du tout la consistance de l’eau, c’était un peu plus lourd et ça avait une odeur particulière, celle du sang tout de suite il comprit que c’était la jeune fille qui venait de faire ça car il pouvait en juger qu’elle c’était éloignée juste avant qu’il ne reçoive le sang sur son visage. Provocation ? C'est d’un geste, calme qu'il essuyait tranquillement le sang qui coulait sur son visage. La jeune fille se mit aussitôt à parler une fois de plus :

Nu : Tu es peut-être mon supérieur hiérarchique, mais je ne te dois aucun respect... La seule chose que je te dois, c'est un retour de calvaire... Les arrancars se foutent de toi, tu ne l'as jamais remarqué? Pourtant c'est si évident... on veut tous ta peau. T'as beau être un chien-chien d'Aizen-sama, mais si la mort ne nous attendait pas quand on te tuera, ce serait déjà fait il y a longtemps... Il n'y a qu'Aizen-sama qui nous importe... Toi... t'es rien, Tousen!

Kaname : Je ne suis peut être rien, mais regarde toi ? Tu parles de Chien, mais toi tu n’es pas mieux... Si Aizen-sama, ne t’avais pas donné de pouvoir tu ne seras pas là en train de parler pour rien dire.

Il marchait, mais la jeune fille ne semblait pas vouloir, écouter ses avertissement finalement cela allait se terminer en combat, si tout continuait de cette façon. Kaname n’arriverait plus longtemps à supporter le caractère irritant de cette gamine qui ne cessait pas de jacasser, finalement elle disait ne pas vouloir qu’il lui adresse la parole, pourtant elle ne faisait que ça lui parler :

Nu : J’espère que tu as bien de la patience, parce qu'on doit mener une mission à deux dans tout ça... M'endurer, ouff... un cauchemar, non? Si Aizen-sama me retrouve morte, il te punira sûrement de ta négligence... Il n'a pas vraiment besoin de toi de toute façon, il va en finir simplement...

Kaname : Tu parles vraiment trop, jeune arrancar. Ne disais tu pas, ne pas vouloir que je t’adresse la parole ? Pourtant tu m’incites à répondre à chacun de tes braillements. Si tu ne veux vraiment pas qu’Aizen-sama retrouve ton corps ferme là une bonne fois pour toute. Boke...

Après ces quelques paroles, Kaname commençait à sentir que quelque chose n’allait... Depuis tout à l’heure il marchait et pourtant aucun hollow ne s’était montré pour l’instant a peine cette pensé lui vint à l’esprit qu’il sentit une masse de reiatsu qui venait d’apparaitre autour du couple. Une embuscade ? Oui, c’était bien ça apparemment un groupe d’adjuchas (5) venait de sortir du sable et semblait vouloir quelque chose :

Adjuchas : Hmm, de la chair fraiche. Votre reiatsu a l’air appétissant...

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Plus tôt, enfin, le jour d'avant aujourd'hui:

KYAAAAAAAAAAAAA!!!NOOOOOOOOOONNNNN!!! BORDEL! TOUSEN! JE TE HAIS! T'ENTENDS?! JE TE HAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIISSSSSSS!!!

Je versais des larmes de honte, face contre terre, mais d'une main rebelle, j'allais retirer une première lame et la lança à bout de bras, puis une autre, puis une troisième. Je me devrai d'apprendre de tout. Mais je me devais d'espérer une chose... Est-ce qu'on allait me soigner? Ou bien me laisser crever au bout de mon sang, ici et maintenant?

***
Acariâtre, bilieux, bougon, calomnieux, fielleux, grincheux, luciférien, malintentionné, maudit, médisant, méphistophélique, revêche, ronchonneur, vipérin, repoussoir, maudit, pète-sec.... , désagréable, insignifiant, médiocre, négligeant, méchant, funeste, mauvais, pitoyable, pénible, lâche, boiteux, défectueux, imparfait, incorrect, insuffisant, vicieux, plaie, affliction, damnation... Je le considérais ainsi... Je le considère toujours ainsi... Tousen... c'est... tout ça, et même plus... j'ai oublié un mot: aveugle. Je continue? Non... c'est déjà assez pour vos pauvres petits yeux qui ne comprennent pas trop la moitié des mots... Tousen, l'homme que je méprise le plus au monde, l'homme dont je trancherais la gorge sans réfléchir, l'homme que je respecte le moins de tous les temps, la chose qui bousille mon existence, ma vie, mon présent et mon futur. Si au moins il pouvait arrêter de respirer, arrêter de bouger, arrêter de faire battre son coeur de pierre... s'il pouvait AU MOINS arrêter de m'énerver comme il le fait-là. Juste... arrêter de vivre. Pourquoi Aizen-sama l'a-t-il pris sous son aile? Pourquoi lui et pas moi? À vrai dire, on ne se connaissait même pas encore dans ce temps-là, je n'étais peut-être même pas encore née dans le monde réel, avec ma famille et tout. Je suis encore une jeune arrancar, je suis morte dans mon corps d'humain à l'âge de 11 ans, que puis-je faire de plus? Je n'étais qu'une petite fille. J'ai grandi depuis, enfin, légèrement, mais c'est déjà ça. Je déteste qu'on me traite de petite, de naine ou de minus... Ce sont les pires insultes qu'on peut m'envoyer.

Par contre, parlant d'insultes, Tousen ne m'a pas traitée de petite ou de quelque ce soit d'autres du même type. Tousen... il m'a humiliée devant Aizen-sama, il m'a presque tuée devant lui avec une seule attaque. Presqu'au bout de mon sang, ce fut Yomaku qui vint me sauver de la mort. Bien sûr, Tousen ne l'aurait pas fait. Il m'aurait laissée crever parterre comme une vulgaire chienne qu'on vient de frapper et qui demande de l'aide. À vrai dire, j'aurais préféré qu'il m'achève. À cet instant, j'aurais voulu crever que de voir Aizen-sama qui me regarde en train de salir son plancher royal. La honte... la pire honte... pourquoi continuer de vivre après cela? Pour prouver à Aizen-sama que je ne vaux pas la même chose que le sable du Hueco Mundo? Ou simplement pour me venger de ne pas m'être faite tuée sur place? Qu'est-ce que je veux? Qu'est-ce que je cherche réellement? Pourquoi est-ce que je veux devenir plus forte? Pourquoi toutes ces questions? Ce gros naze ne mérite pas de savoir... Ce gros naze, ne mérite même pas que je le regarde.

Je ne le regarde pas, même en parlant comme ça, pour rien dire, je ne le regarde pas, je ne veux pas savoir ce qu'il me dira, ce qu'il pense de ce que je viens de dire, Tousen ne mérite que de mourir, mais est-ce que mourir est le bon mot? Est-ce que mourir serait sa fin dans tout ça? Je crains qu'il mérite un peu de torture avant de voir la fin de ses jours, il devrait sentir comment je me suis sentie tout ce temps...Il aurait dû m'achever, il aurait dont dû... Je serai la responsable de sa souffrance, la responsable seule de sa peau tombante, la seule responsable de ses os en corrosion, la seule responsable de la douleur dans ses yeux... Tu auras mal... très mal, Tousen... Sache que je ne suis pas là pour te faire de cadeaux... S'il m'entendait penser, il ne ferait qu'une bouchée, ou bien il m'ignorerait en essayant de contrer mes attaques verbales. Je te hais...

Nous marchions sans ajouter un mot de plus à la conversation. Enfin, je n'ajoutais rien. S'il parlait, je n'entendais bien évidemment pas, j'étais sourde. C'était un châtiment et un handicap qui me devait être utile pour mon entraînement. Ça allait me servir plus tard. Je devais me servir de mes yeux, de l'air, de ce qui m'entoure. Bien sûr, l'ouïe est un sens qu'on utilise beaucoup en combat, mais je me devais d'exploiter les autres au maximum. Sur ce sable, contre ce vent, contre notre gré, nous marchions ensemble. Je sentis Tousen craintif un instant, puis, à peine une seconde ne s'était écoulée, nous fûmes pris en embuscade. Un piège, pourquoi? On nous attendait? Qui les avait avertis? Personne ne connaissait notre mission à part Aizen-sama. Je serrai les dents, m'empêchant de porter des jugements négatifs. Je regardais ce qui nous entourait: des adjuchas. Génial... on a l'air d'un buffet? Nous étions à peine deux pour cinq cinglés. Je regardais celui en avant de moi de façon complètement indifférente, même désespérée.

Dégagez de-là... Ou c'est moi qui vous mange...

Les mains sur mes bras, je recommençais à pénétrer ma peau de mes ongles aiguisés. Ils devaient trouver ça bizarre, une fille couverte de cicatrices qui se griffe elle-même, qui se fait du mal sans même avoir l'apparence de souffrir, mais au contraire, donne l'impression d'aimer son geste. Mon regard brillait rouge, un sourire sanglant, d'où mes doigts venaient de se mettre pour me faire goûter à quelque chose, de l'hémoglobine, mon hémoglobine, ce liquide rouge et chaud qui traverse mon corps.

Alors... sois tu t'enlèves... sois... je t'enlève de-là...Choisis!

Il semblait rire de moi, mais marmonna des trucs, ou dit des phrases que je n'étais pas capable de lire, de savoir. Je fronçai les sourcils, attendant un mouvement de la part de Tousen. Yomaku m'avait apprise à ne pas me jeter dans le tas. Ce ne sont que des adjuchas, je ne risque rien, non? En fait, je ne les connais même pas, ils pourraient être très puissants, mais bon, j'ai pas envie de me faire dévorer par des nullités pareil! Et puis, tan-pis! Je bondis de mes pieds et sauta au visage de celui en avant de moi qui ressemblait à un gros écureuil. J'vais t'en faire moi! Grandes dents! Je lui foutus donc une main au visage et avec tout ma force, je le plaquai au sol. Mes pieds atterrirent sur son plexus que j'écrasai d'une autre projection dans les airs pour être derrière lui, donc derrière les autres. Les mains sur les hanches, je les provoquais:

Qui est le prochain?

Je continuais de sourire, mais les deux autour enragés, m'envoyèrent un cero des deux côtés. Peu de chance pour moi de m'en sortir rapidement. Doigt à la bouche, eux bien concentrés, je ne perdis pas de temps pour me mettre sous l'adjuchas déjà au sol, m'accrocher bien fort dans son dos. Il se prit les deux ceros, me permettant ainsi de survivre. Par contre, nous étions enfoncés à quelques mètres dans le sol, moi, très coincée sous lui.

Quelle idée de génie, hein!

La poussière levée, il ne restait plus rien, le sable s'accumulait au-dessus de nous. J'attendais quelques instants avant de faire quoi que ce soit. Je voulais sentir que Tousen se prenait une raclée en haut. Le corps qui me servait de bouclier, se mit soudainement à bouger, lentement, mais il vivait toujours... Et merde....

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Spoiler:

Quelque chose d’intéressant venait de se produire c’était une embuscade, une attaque surprise d’un groupe d’Adjuchas qui semblait vraiment vouloir en découdre avec nous, sans trop se posé de question Kaname qui n’aimait pas particulièrement les arrancars commença à dégainer son Zanpakuto avant de sentir que deux du groupe se dirigeait vers lui à toute vitesse. Il s’empressa d’esquiver l’attaque du premier, avant de sentir l’autre qui attaqua sur la position opposé à son camarade, Kaname utilisa un Shunpo avant de réapparaitre derrière le second qui venait tomber sous le coup qui avait été porté assez rapidement . L’autre se précipita une nouvelle fois vers le justicier aveugle, avant de se faire lui aussi trancher en deux par cette même personne, se tenant debout et se demandant ce qui se passait avec la jeune arrancar, il remarquait qu’elle avait belle eh bien réussit à attaquer, mais bêtement... Elle se retrouvait maintenant coincé et cela Kaname ne savait pas comment elle avait pu faire pour se retrouver dans une solution aussi débile, il utilisa une nouvelle fois un Shunpo pour apparaitre devant l’un des arrancars qui avait lancé le Cero, le doigt pointé sur son front, une lumière bleu en sortit le transperçant directement le front et le tuant sur place, il n’avait pas le temps de jouer avec ces Adjuchas il avait une mission importante qui lui avait été confié par Aizen.

Il réfléchissait à ce qu’il devait, faire s’il la laissait mourir là, elle ne dirait plus n’importe quoi et ce serait des vacances mérité pour lui, elle est facilement remplaçable. Elle a quand même réussit à monter dans l’estime d’Aizen, s’il l’avait choisis ce n’était pas pour rien. Kaname se dirigea vers celui qui restait debout, qui semblait avoir peur de ce qui allait lui arriver à cet instant, cette personne qui est aveugle à réussit à éliminer la majeur partie de leur groupe :

Kaname: Pourquoi trembles-tu ? Pourquoi as-tu peur ? Veux tu dire que tu nous attaqué sans savoir à qui tu avais affaire ?

Il tenait son Zanpakuto à la main et le faisait tourner en même temps qu’il marchait, il arrivait à faire cela grâce au petit anneau qui était situé au niveau de la garde de son Katana, d’un coup il s’arrêta avant de couper le bras droit de son ennemi qui tremblait sous la pression spirituel de ce dernier et cela l’empêchait de bouger. Le bras en sang, de la transpiration, du mal à respirer voilà comment se sentait l’adjuchas qui venait de perdre son bras droit avant de l’achever Kaname sortit quelque mot pour lui expliquer le pourquoi de sa défaite :

Kaname: Tu as les yeux plus gros que le ventre. Quand le bras a failli, l’on en punit la tête...

Puis d’un geste simple et calculé il trancha la tête du malheureux adjuchas qui était sans défense. Il se retourna pour comprendre se que faisait l’autre sous terre :

Kaname: Dépêche-toi ! Je ne t’attendrais pas...

Spoiler:

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Spoiler:

Sang, «Liquide rouge et visqueux qui circule dans tout l'organisme en y jouant un rôle essentiel et multiple, au sens figuré vie, existence, race, famille.» Le sang est notre vie, le sang est notre énergie, le sang est notre couleur d'âme, le sang pâle pour les hyperactifs, le sang foncé pour les obèses. Les sang circule tel le flux de reiatsu qui parcourt notre corps de partout, qui jaillit de nous tel une fusée, notre sang tache de sa couleur, puis avec le temps, paraît de la rouille. Pourquoi? J'ai la réponse à cela. Le sang, lorsqu'on y laisse notre tache, c'est qu'on y laisse notre marque, nos souvenirs, notre vie. Plus le temps passe, plus ces souvenirs et notre passage s'efface, mais il restera toujours-là, à quelque part parce que notre vie, notre passage dans le monde des vivants, fait aux gens une obligation de se rappeler. C'est à ça que sert les cours d'histoire et notre arbre généalogique. On doit se rappeler de nos origines sanguines et territoriales. Notre passage, là où on foule le sol, là où notre odeur s'évapore, là où nos photos ont été affichées, c'est notre vie...

Je sentais leurs reiatsus au-dessus de moi. C'était la première fois que je me concentrais autant juste pour suivre les déplacements d'êtres vivants, pour ne pas dire créatures. Je sentais les adjuchas se faire faucher les uns après les autres par la lame de Tousen, je sentais, par l'odeur, le sang couler et jaillir de ces corps faibles et miteux, je sentais l'ennemi bouger au-dessus de moi, je sentais la peur, je sentais aussi la trahison, je sentais les vibrations de leur corps qui tombait au sol, je sentais le sable qui volait par leurs déplacements et je me sentais de plus en plus lourde. Cet ennemi fut dépecé, son sang me revola partout sur moi. Tousen s'en fichait, il commençait déjà à s'en aller. Je sentis la vibration de sa voix dans l'air, mais je ne savais pas ce qu'il disait.

Je poussai le cadavre hors de moi et sortis de ce trou qui ressemblait étrangement à une tombe. J'aurais pu y rester longtemps, mais bon, s'il n'avait pas été découpé, je crois que je l'aurais fait moi-même, ce sale boulot! Tousen est vraiment comme un chien, un suiveur de décisions et de tout. Il n'a jamais l'air de faire ses trucs par lui-même. Je trouvais ça dommage et il me faisait pitié, peut-être, devrais-je l'achever? Non... qu'il souffre cet enfant de ...! Il ne mérite en rien ma bonté, ni mes sourires sincères. Je regardais Tousen faire quelques pas avant de le suivre avec quelques pas en retrait. Je ne voulais pas être proche de lui, je ne voulais pas être son ami, il me dégoûtait!

Je regardais au loin espérant trouver quelque chose avant cet aveugle. Après tout, il n'y avait que du sable blanc. Et si Aizen-sama nous avait forcé la main pour que nous nous excusions à l'autre? Et si ce n'était que pour que l'on devienne des amis? Pour que nous travaillons ensemble pour de plus importantes mission? Que nous soyons coéquipiers? J'avais le goût de vomir! Je sentais la pression dans ma gorge et je toussai pour la faire disparaître. C'était désagréable. Les rafales de vent devenaient de plus en plus brusques, mais ça ne ralentit pas mon rythme de pas. Je fermai les yeux pour éviter d'avoir du sable dans les sables et sans m'en rendre compte, mon pas s'accéléra et je rentrai tête première dans le dos de Tousen qui marchait juste en avant de moi.

Ailleuh! Non mais! Argh... Laisse donc faire.

Une main pour me cacher le sable, je me devais de regarder où je mettais les pieds. Je me remis donc à jacasser comme une pie:

Tousen? T'as toujours été aveugle, toi? Parce que ça doit être moche, hein! Quand on ne sait pas à quoi ressemble nos parents, on pourrait les confondre avec n'importe qui autour! Je pourrais être ta cousine chiante sans que tu ne saches si c'est vrai ou pas! Tu ne sais même pas à quoi je ressemble, donc bon...

Je me mis à cracher, la bouche sèche, le sable s'y remplissait lentement. Je m'ouvris les veines et y bus le sang qui en sortis. Ça faisait du bien! Je poussai un soupir de plaisir et continuai de boire comme un nouveau-né qui a soif et qui demande la pie de sa mère. Soudain, sous nos pieds, nous pouvions sentir une vibration intense. Je m'arrêtai de marcher, m'apprêtant à découvrir ce que c'était. Tout d'un coup, un vers géant en sortit la gueule par le haut. Je n'eus pas le temps de me tasser qu'il m'avait agrippé une jambe entre deux dents.

Raaaaaaaaa! LÂCHE-MOI GROS TAS DE GRAISSE!

L'animal m'agrippa la jambe avec sa langue, ouvrit la bouche et tira. D'un geste vif, je dégainai mon zanpakuto et le planta entre ses deux yeux pour m'aider à me retenir. Sortit du sable, nous vîmes que ce n'était pas un vers, mais une chenille géante avec des centaines de pattes énormes. Il semblait grouiller sa tête visqueuse pour me faire lâcher prise. D'une cible précise, je visai sa langue d'un cero qui la réduisit en poussière. Elle fit sortir deux espèces de crochets de chaque côté de sa bouche. Elle essayait de me viser avec pour me faire pénétrer. Je donnais des coups de pieds dessus. Puis, je me donnai un élan sur un d'entre elle pour me soulever de sa gueule. Je roulait jusqu'au dessus de ses yeux, sortant ma lame en même temps. Sur le dessus de sa tête, je plantai ma lame dans un de ses yeux. Elle poussa un cri qui aurait pu briser des vitres, mais je n'entendais rien, je sentais seulement son haleine nauséabonde...

Invité

Cela faisait maintenant un moment que les deux protagonistes marchaient sans rien dire, la petite altercation qui venait de se produire avec les Adjuchas était en quelque sorte une distraction dans le sens où ça a changé un peu de la routine qui les menait tout le temps à une dispute sans fin. Cette dispute était toujours pour la même raison au final, qui était celui que Aizen préférait le plus, au fond c’était ce que l’on pouvait penser, mais si on revenait plus loin dans l’histoire on comprendrait mieux pourquoi ces deux personnes ne se portent pas vraiment sur le cœur et oui, ils ont tout les deux un passé qui les oblige bizarrement à ne pas se supporter faisons un petit tour au moment de leur rencontre, ceci se passe la première fois que la jeune Nu Hakujin arrive dans le palais de Aizen, ou plutôt dans Las Noches :

Flash Back

Il arriva alors devant la porte, il l'ouvrit et pu entendre quelqu'un parler sans doute un arrancar que Aizen avait convoqué, son reiatsu était faible et ce n'était pas une menace du tout, de toute façon personne dans ces bâtiments et même dans ce monde n'était une menace pour Aizen :

- Hum... euh... Aizen-sama? Je peux.... euh... vous dema... euh... dire... euh... vous ?

Tousen était posté derrière et attendait que le jeune arrancar dise ce qu'il avait à dire avant d'aller voir Aizen, celui-ci continuait de parler mais ne semblait pas être sûr de lui :

- Je voulais... je... vous remercier, Aizen-sama! Je... aussi... j'avais peut-être, enfin, je ne sais pas...si vous... mais je... voulais savoir si c'était possible que... enfin... si c'était possible qu'un jour peut-être dans ma misérable vie, je sois plus forte ?

Tousen avança en ignorant celui qui venait d'adresser la parole sans autorisation à Aizen, puis alla se poster à ses côtés et d'un ton assez cru se tourna vers l'arrancar avec une pensé et lui dit :

**Aizen-sama ne l'a pas convoqué ici.**

- A qui as-tu demandé l'autorisation de franchir cette porte ? A qui as-tu demandé l'autorisation d'adresser la parole à Aizen-sama ?

Le fait que ce soit la Salle du Trône et que le jeune arrancar soit en dessous cela faisait oppression, il devait avoir peur maintenant que Tousen était arrivé à son tour, il était peut être cru mais avait raison, il existe sans doute et certainement des arrancars qui sont contre Aizen. Il ne permettrait pas que ceux-ci entre et vienne le déranger, il avait mieux à faire que de s'occuper d'eux. Lentement il attrapa son Katana et ajouta :

- Pas de réponse ? dit-il au jeune arrancar apeuré. Savez-vous qui est cette personne Aizen-sama ? Si vous le permettez laissez-moi m'en charger, il vient de faire preuve d'un grand manque de respect envers vous...

Puis commença à s'avancer vers le jeune arrancar qui sentait sa fin arriver, la seule chose qui pourrait le sauver à ce moment là serait une réponse positive à sa requête de Aizen.

Fin du Flash Back

C’est exactement à ce moment qu’il venait de rencontrer, à l’instant où Kaname avait vu cette jeune fille il voulu la tuer tout simplement car elle avait brisé les règles, elle s’était introduit dans Las Noches et avait osé se rendre devant Aizen sans autorisation, ce genre de chose devait être puni voilà quel était là justice selon Kaname (XD).
Maintenant que les deux se tenaient côte à côte il discutait sérieusement tout en se disputant, mais sans le savoir peut être qu’au final le fait qu’il se déteste montrait certainement qu’il ne pouvait se passer l’un de l’autre ou pas, comme c’il était vraiment ami. Kaname pensait tranquillement à ce qui pourrait se produire ensuite, toute les épreuves qu’ils auraient à traverser dans cette forêt accompagné de cette gamine, le vent soufflait, il pouvait sentir le sable qui s’éparpillait au contact de ses lunettes, le son des grains de sable, ce sont irritant était assez insupportable et en plus cela l’autre arrancar vint se fourrer dans le dos de celui-ci :

Kaname : Hmpf...
Nu : Ailleuh! Non mais! Argh... Laisse donc faire.

Non, seulement elle s’amusait à foncer dans le dos dans gens et en plus de ça elle rallait ? C’était quoi son problème à elle, c’était certain elle cherchait vraiment à le provoquer puis elle se mit à jacasser encore plus d’un seul coup peut être qu’elle aimait bien parler en fin de compte, car ce qui suivit l’étonna quand même venant de sa bouche :

Nu : Tousen? T'as toujours été aveugle, toi? Parce que ça doit être moche, hein! Quand on ne sait pas à quoi ressemblent nos parents, on pourrait les confondre avec n'importe qui autour! Je pourrais être ta cousine chiante sans que tu ne saches si c'est vrai ou pas! Tu ne sais même pas à quoi je ressemble, donc bon...

Kaname : J'ai... Quelque chose arrive...

Soudainement, il pouvait sentir des vibrations sous ses pieds tout comme la jeune Nu qui avait aussi comprit que quelque chose arrivait, Kaname continuait sa marche alors qu’elle s’était déjà arrêté afin d’analyser certainement ce qui se passe, mais ce n’était clairement pas le moment d’un coup Kaname sentit que la gravité changeait, qu’il était en hauteur la chose devait être assez énorme, qui ressemblerait à ce que l’on appelle un ver géant qui venait sans doute de se faire capturer par la bête et comme à son habitude, elle jacassait encore. Kaname attrapa son Zanpakuto, le planta dans le dos de la bête avant de se laisser glisser vers le bas ce qui coupa la bête dans tout le dos, celle-ci semblait s’être fait attaquer de l’avant il ne se demanda pas par qui pour la simple et bonne raison que c’était logique que l’autre hystérique se soit déjà occupé de sa tête. Ce qui suivit était assez surprenant, la bête était en faite une chenille ce qui allait être bien plus ardu étant donné sa longueur ainsi que sa résistance, la seule manière de la vaincre était de na pas avoir pitié et de la faire disparaitre très vite avant que l’un ne soit blessé... Pourquoi se préoccupait-il de cette jeune fille ? Aucune idée, peut être parce qu’au fond elle était sous la garde même de Aizen, la perdre serait quelque chose de gênant pour cette mission. Il continua se releva et s’écarta légèrement de la zone de combat pendant une seconde se dirigeant vers la tête de la bête qui semblait se faire comme on pourrait le dire défoncer par quelque chose, fallait le dire cette Nu était vraiment quelque chose, elle n’arrêtait pas d’attaquer la bête mais à chaque fois celle-ci ripostait en un rien de temps, il usa d’un Shunpo, connaissant la vitesse de Kaname il arriva assez vite sur place avant que la bête ne pousse un cri strident, faisant penser à Suzumushi, mais en bien plus aigue. Son réflexe fut d’en faire la même chose pour la déstabiliser et l’empêcher de poursuivre son action qui était d’avaler le minuscule arrancar.

Le Zanpakuto a la main il s’empressa d’agir afin de repousser la bête :

Kaname : Nake, Suzumushi !

Tout à coup il eu un son semblable à celui du monstre présent, mais celui-ci était dirigé directement vers elle ensuite elle s’arrêta d’attaquer pendant quelques secondes les deux protagonistes eurent le temps d’atterrir, tranquillement avant de préparer quelque chose, mais le temps n’était pas à la réflexion, la bête se releva se dirigeant de nouveau vers eux et cette fois dans la ferme intention de les exterminer, même pas le temps de souffler qu’il devait y aller avec détermination. Ce qui était évident, c’est que la bête n’allait pas se laisser faire comme ça le combat était loin d’être terminé pour l’instant. Kaname esquiva dans un premier temps le coup qui venait d’être lancé en utilisant un Shunpo qui l’amena derrière la tête de celle-ci, il tenait l’arrancar rebelle à la main puis la jeta sur le côté :

Kaname : Je n’ai pas envie qu’Aizen-sama soit déçu... Relève toi et combat

Le vrai combat contre cette énorme monstre allait commencer maintenant.

Invité

Avoir un ami c'est avoir un proche, un être qui nous est intime, une personne que l'on désire réellement qu'elle nous côtoie, une personne avec qui on s'entend bien, une personne avec qui on aime partager des activités. Est-ce fondamental à la vie? Avons-nous besoin de superflux pour vivre? Ce superflux auquel on doit prendre soin comme des enfants sinon cette amitié devient fichue? Dans notre cas actuel, il n'est pas nécessaire d'avoir d'amis, de bons alliés sont toujours les bienvenus. Ces alliés viendront nous aider si nous sommes en crise, si nous sommes en train de tomber, de flancher sous les multiples coups de masse. Un ami est semblable à un allié, mais ce ne sont pas les mêmes circonstances. Certes, les deux peuvent nous trahir, mais l'ami nous fera plus mal psychologiquement que l'allié. L'allié, on l'éliminera et on en trouvera un autre. L'ami, on éprouve certaines émotions envers lui, s'il part, on se sentira seul, s'il nous boude, on se sentira mal, s'il nous quitte, on sentira les deux. Où est-ce que ça nous mène réellement? Souffrir autant pour une seule personne ça ne nous mène nulle part. On ne devrait pas souffrir pour si peu, la souffrance ne devrait pas être prise à la légère lorsqu'on sait de quoi il s'agit purement. Je l'ai connue, elle m'a rendue masochiste, quasi accroc à ma douleur proprement infligée. La douleur que d'autres m'infligeront par le futur, je ne la crains pas, je sais qu'elle est minime, qu'elle n'est que le millième de ce que j'ai ressenti.

Qu'est-ce que ça peut bien faire tout ça? Ai-je des amis? Non... des alliés? Yomaku en a l'air de... non? Enfin, je crois. Aizen-sama n'est pas un allié ni un ami, c'est mon maître, mon Dieu, mon père, mon créateur tout puissant. Il est l'homme le plus puissant de l'univers, c'est grâce à lui si je suis devenue arrancar. Ce n'est certainement pas seule que j'ai traversé mon stade d'hollow errant... Je voulais le remercier, mais j'ai l'impression que tout ce que je lui dirai, tout ce que je ferai ne sera pas suffisant pour égaler la gratitude que j'ai à son égard. Aizen-sama... ma vie est vôtre, faites-en comme vous voudrez, je serai à votre service pour l'éternité...Peu importe ce qui m'arrive, j'aurai toujours foi en vous, seulement en vous je croirai, personne d'autre ne sera mon Dieu.

Le gros vers voulait réellement s'empiffrer de deux corps. Il ne lâchait pas prise facilement. Nous devions l'abattre c'était notre seule façon de pouvoir continuer notre route. Nous avions une mission à accomplir et nous venions à peine de la commencer. Nous devions être Tousen et moi obligatoirement. Pourquoi nous obligeait-il à être en équipe? Nous aurions pu partir chacun de notre côté, mais notre chemin se devait de se croiser. Pour ces moments-là, il était très utile que nous soyons deux. Un vers à une personne seule, c'était à se demander s'il aurait survécu. Cette chenille au corps visqueux et à l'haleine de vomi était une dure à cuire. Sur ce coup-là, je devais faire équipe avec Tousen. Que je le déteste à mort, c'était une question de survie. Caprices ou non, je me devais de passer par-dessus ma haine acharnée envers cet homme qui fut autrefois un shinigami. Déjà qu'un shinigami n'est pas très haut dans mon estime, celui-là, il m'a humilié devant Aizen-sama.

Sur la tête du gros truc géant, ça me prenait tout mon équilibre pour parvenir à contrer ce rodéo infernal. Tousen vint à ma rescousse encore, m'agrippa par la main et me projeta sur le côté. La bête venait sûrement d'appercevoir de son oeil unique la silhouette de Tousen en venant si haut. Elle allait sûrement plonger sur lui pour l'écraser, l'agripper avec ses pattes ou allait sortir une langue secrète pour l'agripper. Qui sait, ce monstre avait peut-être plus d'un tour dans son sac malgré sa grosseur et sa stupidité sans borne. Enragé de vouloir manger, s'il ne se basait que sur cela pour mettre fin à nos jours, il allait devoir utiliser toute l'énergie possible pour nous attraper, vu sa lenteur...

Projetée dans le vide, je tournai sur moi-même à plusieurs reprises pour amortir ma chute et atterir sur mes pieds avec grâce et délicatesse. Debout devant ce mastodon, j'étais sûrement de la grosseur d'une mouche. Par chance, sa carcasse n'était pas si difficile à transpercer. Je dégainai mon zanpakuto, sachant fort bien que pour tuer un animal de cette taille, on se devait de le trancher. Peu importe la manière, le trancher mettra fin à ses jours. D'une voix calme et sûre de moi, je prononçai les mots magiques:

Annihile... Alas de la Hoja!

D'une main habile, je pointais mon ennemi du doigt. Mon reiatsu dégagé l'avait attiré. Tant mieux, il frappera un mur de son gros nez!

Fuera de Período de Sesiones!

Je devais utiliser les grands formats pour les gros formats. Il n'était pas question de laisser cette créature vivre plus longtemps. 5 portails gros formats apparurent juste en-dessous du vers où de grosses lames sortirent pour transpercer la chenille à plusieurs endroits. Les lames coupèrent le gros truc, le faisant crier à plein poumons. Le sol bougea de nouveau sous moi, le reste de sa queue m'empoigna avant que je puisse me sortir de-là.

Temee... Si tu crois que je vais me laisser manger si facilement!

Les huit lames qui flottaient dans mon dos agirent comme une scie pour trancher le bout de queue. Ça allait être suffisant pour me faire dégager. Je m'étirai de toutes parts, faisant craquer mes os qui venaient d'être coincés. Le bout de queue gigotait encore au sol et se transforma pour devenir un autre vers. C'est quoi ces conneries, on ne peut plus transpercer maintenant? On ne peut plus rien découper en saucissons sans que ça nous revienne en pleine figure? Ce n'est vraiment pas juste! Je venais de rendre encore plus difficile notre combat. La chenille se mordit elle-même pour couper ce que j'avais couper un peu plus tôt avec ma technique pour se faire un nouveau clone. En tout, trois chenilles de même grosseur. Transpercer... Ne pas trancher mais transpercer! Comme une lance! Mais oui!

Vise son coeur, Tousen! Transperce-le! On ne découpe plus!

Face à un des vers avec qui j'allais jouer aux revolvers, un autre m'agrippa avec sa langue et me tira vers le haut. Ce truc était quasiment au bout de sa queue. J'envoyais mes huit lames dans sa gueule pour qu'elles coupent sa langue, puis, transpercent son cerveau. J'agrippai ensuite une lame dans ma main et frôla tout le ventre de mon ennemi du bout de ma lame juste assez pour le faire saigner. Si son coeur était son point faible, sa carcasse devait être plus dure. Comme prédit, il y avait la peau plus dure à un endroit. Alors que j'allais crier victoire, une queue m'écrasa lamentablement et violemment, me faisant dégringoler le verre qui se relevait tout juste. À croire que ces trucs n'ont pas de cerveau... Me voyant l'armure brisée, le vers m'acheva du bout de sa queue pour m'envoyer encore plus creux dans le sol. Il semblerait qu'il veuille me faire payer pour ses blessures...

Je tournai la tête légèrement vers la queue qui allait me donner un autre coup et disparus dans la fumée abondante. Mon sonido me rapporta sur le point faible du vers. J'invoquai mes lames et les ordonnai de scier avec précision cette carapace. Mon travail accomplit, je dus quitter dans les airs pour éviter une bouche dentelée de me manger. J'attéris sur le dos d'une autre bête et perdis l'équilibre. J'eus une faiblesse à une jambe, elle était cassée. Je retombai le dos dans le sable. Je pointai l'ouverture que j'avais créée un peu plus tôt et prononçai les mots qui allaient mettre fin à la vie d'un des vers:

Todo lo que Desaparecen...

Le portail aux centaines de lame s'ouvrit, détruisant la carapace, transperçant le coeur de la terrible chose. Il s'écroula sur le sol dans un cri terrible, le sable leva en vague sous son poids pénible.

Invité

Maintenant que Kaname était entré dans le combat mêlant la grosse chenille allait bientôt arriver à son terme, à condition que chacun joue son rôle comme il faut et qu’ils ne se jettent pas comme ils le feraient lorsqu’il marche. Il se contenta d’aller porter secours au jeune arrancar qui semblait avoir légèrement du mal avec cette énorme chose, il la posa sur le côté avant de lui faire remarquer que sa perte pourrait décevoir Aizen, celle-ci s’écarta avant de libérer le pouvoir de son Zanpakuto, Kaname comprit qu’elle devenait sérieuse alors que lui restait le plus calme possible afin d’en venir à bout, son tempérament de petite excité allait la rendre vulnérable. Il s’empressa de disparaitre de la vue du monstre qui l’avait remarqué laissa son poids s’abattre tout en voulant s’écraser sur le petit corps mince de Kaname, il contourna la bête qui se semblait se diriger vers Nu pour en faire de même, Il apparut dans son dos et le Planta directement dans son dos une nouvelle fois et essaya de couper horizontalement cette fois, mais c’est comme ci ne sentit rien. A cet instant, il comprit qu’il fallait employer les grands moyens, il s’écarta de la zone de combat laissant Nu faire de son mieux après tout elle était la protégé de Yomaku maintenant, il ne fallait pas que qu’il s’amuse à faire n’importe quoi avec elle.

Il utilisa un Shunpo afin de bien préparer son attaque, ce qu’il comptait faire ? Il comptait utiliser un sort de Kido assez puissant pour mettre à terre la bête, il n’avait finalement pas le temps de rester à assister à un combat sans fin avec cette jeune arrancar excité. Il rengaina son Zanpakuto, c’est alors qu’à ce moment le celle-ci lança une attaque qui eu un effet plutôt étrange au final, elle coupa la queue de la grande bête avant de se transformer elle-même en plusieurs chenille qui s’était éparpillé, Nu comprit sa bêtise et dit à Kaname l’idée qu’elle eu sur le coup :

Nu : Vise son cœur, Tousen! Transperce-le! On ne découpe plus !

Deux des chenilles se dirigèrent vers Kaname, il recula afin d’esquiver l’attaque de la première puis un Shunpo pour l’autre, il sauta assez haut pour ne pas être atteint par les bêtes et redescendit avec son Zanpakuto pour planter directement la bête à la tête et la coller au sol, l’autre ne perdit pas de temps et fonça vers Kaname la gueule ouverte lui laissant l’un des plus grandes ouvertes comme on pouvait le dire, une boule de feu sortit de sa main droit pour directement atterrir dans la bouche du monstre qui se consuma de l’intérieur et disparut en laissant tomber des cendres. Suzumushi toujours planté dans la tête du monstre qui était à terre, il s’empressa de faire la même chose pour ne pas qu’il puisse se reproduire, il venait d’en finir avec les deux bébés chenille et se dirigea vers Nu qui était en très mauvaise posture, la mère chenille l’avait complètement plaqué au sol certainement pour se venger de ce qu’elle l’avait fait juste avant en coupant sa queue. Le poids de la grande bête se laissait tomber directement sur Nu Hakujin afin de l’écraser, Nu ne pouvait pas apercevoir cela car elle devait s’occuper de l’une des trois chenilles. C’est alors que la bête tomba directement sur la jeune arrancar ne lui laissant aucune chance de, en l’écrasant de la sorte il était sur de la mettre K.O, mais l’on pouvait apercevoir que celle-ci avait été stoppé par quelque chose, le sable du désert s’estompait et l’on voyait une silhouette tenant la grosse bête. D’une pulsation, il repoussa la bête avant d’entourer Nu d’une barrière afin quelle ne soit pas touché par ce qui allait suivre.

Il s’éloigna d’elle tout en repoussant la bête avec des coups de sabre dans lesquels, il y mettait de la puissance puis il se mit en dessous de celle-ci pour en finir rapidement :

Kaname: Bakudo n°73… Tozanshō!

Il forma à l’aide de son reiatsu une montagne inversé qui emprisonna complètement le monstre à l’intérieur, puis celle-ci commença à vouloir la détruire, Kaname se releva pointant sa main en direction de la fameuse montagne inversé :

Kaname : La crête de la turbidité s'en écoule. Un navire insolent de folie bouillonnant, niant, engourdissant, clignotant, troublant le sommeil. La princesse d'acier qui rampe. La poupée de boue, qui jamais ne se désintègre. Unissez-vous ! Opposez-vous ! En remplissant la terre, apprenez votre propre impuissance !

Tandis qu’il prononçait ces paroles la bête de débattait et commença à briser la barrière afin de sortir de là et découdre elle aussi avec lui :

Kaname : Hadō n°90... Kurohitsugi...

Un grand cube de couleur noir se forma autour de la montagne de cristal, la recouvrant complètement elle ainsi que la chenille avant de libérer plusieurs pieux à l’intérieur. Le tout se dissipa la seconde d’après et l’on pouvait remarquer la bête la barrière qui ne faisait plus effet, le monstre qui tombait lui aussi transpercer de partout. Il se retourna rangeant son Zanpakuto :

Kaname : Ton incompétence te perdra un jour... Néanmoins, tu as eu une bonne intuition en ce qui concerne l’extermination de cette bête lorsque nous rentrerons, je n’hésiterais pas à en faire pars à Aizen-sama... Et pour répondre à ta question. Oui, j’ai toujours été aveugle et je ne me souviens pas avoir eu une cousine arrancar aussi insupportable, de plus je me serais assuré qu’elle ne soit pas aussi faible...

Il s’avança, dissipa la barrière faisant remarquer qu’il devait repartir le plus vite possible, mais attendant une pause serait une bonne idée.

Invité

Le jeu, c'est un statut, une facette de notre personnalité que l'on cache dans le plus profond de notre être qui est extériorisée lorsque l'on en sent le besoin. Ce besoin, c'est lorsqu'on monte sur scène, ou simplement lorsqu'on veut faire le clown. Lorsqu'on est nous-mêmes, on ne joue pas. Lorsqu'on devient typé, quelqu'un de connu, quand on se prend pour un autre, on entre dans le jeu. Le jeu est aussi un divertissement qui a pour but de s'amuser. Lorsqu'on joue, on entre totalement dans la peau d'un personnage. Pour les émotions, on se sentira comme le personnage se doit de se sentir dans toutes les situations possibles. Il se doit d'être exploré à son maximum pour permettre au comédien de réagir de la bonne façon. Si le personnage est un vieux sénile, il se doit d'agir en tout temps comme un vieux sénile, il ne décrochera pas; à moins que le personnage en soi soit schizophrène. Un personnage schizophrène est très complexe à interpréter parce que tout d'abord, on doit établir la psychologie du personnage de base puis ensuite, on doit faire la psychologie de ses personnalités tout en faisant un lien avec la personnalité de base en tenant compte de l'histoire au grand complet. Ainsi, en connaissant toute l'histoire du personnage, on peut mieux définir l'émotion vécue et ses réactions face aux remarques des autres personnages. Grâce aux émotions dégagées, le personnage sera en mesure de se déplacer en fonction de ce qui est convenu. Si le personnage est vieux, il aura certainement un centre d'équilibre beaucoup plus bas que tout autre personnage et même, il aura certainement le dos courbé. Ces indices sont des images stéréotypées de personnes de cet âge puisque ce ne sont pas tous les aînés qui se promènent ainsi. Le comédien pourrait aussi enrouiller un peu sa voix, faire comme si jusque dans sa gorge, l'âge l'avait pris. Malgré que ce soit toujours un personnage, il se doit toujours d'écouter ce qui l'entoure et réagir comme tel. Si un personnage lui pose une question, il est évident qu'il devra y répondre. Si on fait semblant de lui taper dessus, il devra jouer le geste et faire comme s'il avait été frappé. Même si on le frappe, mais que le coup n'a pas fait mal au comédien, il devra jouer la douleur. Tout n'est que de la comédie, mais reste que ça peut paraître réaliste si tout est bien exécuté. La narration d'un texte et une interprétation sont deux choses distinctes. La narration c'est dire un texte sans prendre de personnalité que ce soit alors que l'interprétation, c'est prendre cette personnalité en faisant vivre le texte. Un narrateur peut narrer, mais il sera représenté comme tel: c'est probablement le rôle le plus facile à jouer. Prendre la personnalité d'un personnage est plus complexe et plus complet.

J'étais en train de me demander si je me devais de jouer le jeu avec Tousen. Est-ce que ça en valait la peine que je fasse semblant d'être de bonne humeur? Devais-je jouer le jeu? Devais-je lui faire croire que j'étais reconnaissante à son égard parce qu'il m'a protégé? Devrais-je faire l'hypocrite? Comment se sentirait-il? Est-ce qu'il s'en fouttrait? De toute façon, en bout du compte, je le mépriserais toujours et ça, il le sentirait peut-être. Devrais-je? Non... ça ne me servirait à rien, ça ne me mènerait nulle part. Les deux, on se déteste mutuellement, mais il me sauve parce que je suis la fraccion d'Aizen-sama et l'élève de Yomaku. Ce n'était même pas par pure honnêteté alors, qu'avais-je à croire à propos de ça? Je n'étais qu'un microbe parmi tant d'autres qui n'attendait que son dernier souffle. On m'écrase, on me bat, on m'insulte, on me méprise, mais je ne cèderai pas à la vie. Peu importe ce qui m'arrive, peu importe ce qu'on pense de moi, ma vie ne s'arrêtera pas lâchement. J'ai une fierté et une quête auprès d'Aizen-sama. Rien ne se doit d'être négligé, coûte que coûte!

Je le regardais combattre ces chenilles comme si rien n'était et bien sûr... avec des pouvoirs de Shinigami... Ça aussi c'est une autre partie de Tousen que je méprise. Je hais les Shinigamis, il est nécéssairement évident que je le hais de la même sorte, mais je ne peux pas... Il me fait penser à Aizen-sama, car lui aussi a été Shinigami dans son plus jeune temps... Normalement, je devrais mettre Gin et Tousen dans ce même panier, mais je ne sais pas pourquoi, je les méprise. C'est comme si, pour eux, ce n'était pas naturel de devenir de la sorte: Comme s'ils étaient de vulgaires chiens de poche sans personnalité propre. Derrière ce bouclier, je m'assieds et croisais les bras en le regardant faire. Les jets de sang revolaient et dégoulinaient le long de cette paroi magique. Les chenilles tombèrent les unes après les autres, faisant revoler le sable dans les airs à cause de leur poids énorme. Tousen s'avança vers moi pour me traiter une nouvelle fois d'incompétente. Par contre, il annoncerait ma super vision de félin à Aizen-sama parce qu'il en était reconnaissant. Il me traitait d'insupportable et de faible. Je poussai un soupir et me relevai debout lentement quand il dissipa la barrière.

Pfff! Quand je deviendrai plus forte que toi, tu demanderas pardon!

Je le boudais encore une fois. Le visage faisant la moue, les bras croisés et le regard évitant sa silhouette, je le suivis. L'odeur de mort commençait à emplir mes narines. Ça sentait la chenille brûlée, ça sentait le sang pourri et la haine. Oui... cette haine que l'on porte l'un à l'autre. Je ne sais pas ce qui lui a pris de m'arrêter dans cette salle de trône, mais s'il n'avait pas intervenu, ça ne serait pas arrivé, on serait moins creux dans notre relation! Tout ça, c'est de sa faute! En me grattant le visage au sang, je commençais à me demander comment allait finir cette histoire. On allait sûrement s'entre-tuer avec le temps.

On est presqu'arrivés?

Je commençais à en avoir marre de la sensation du sable sous mes petits pieds nus. J'avais l'impression que mes pieds s'enfonçaient de plus en plus dans cette masse douillette. J'avais du sable entre les orteils que j'enlevais à tout bout-de-champ. Alors, pendant une de ces manoeuvres, je perdis l'équilibre et tombai en pleine face dans le sable. Je me relevai en soupirant en faisant exprès d'envoyer du sable en arrière de moi avec mes pieds. Tousen était en avant, alors ça ne le dérangerait pas...

On arrive quand? C'est encore loin?

Invité

Le temps semblait passé lentement depuis que Kaname se trouvait avec la jeune arrancar. Il avait beau lui dire de se taire, beau l’insulter, beau la rabaisser mais celle-ci ne flanchait pas une seule seconde, cela prouvait qu’elle n’était pas vraiment du genre à abandonner aussi facilement les choses, elle était vraiment têtue cette gamine. Cependant, au fur et à mesure de sa marche accompagnée de l’indigène ainsi que quelque obstacle qui se dressait sur le chemin, quelque hollows de niveau inférieur, des Gillian pas très inquiétant, ainsi qu’un ver de terre géant qui leur avait quand même fait perdre leur temps. Depuis leur départ de Las Noches, les deux ennemis n’avaient pas vraiment eu le temps de faire une pause, certes Kaname n’en avait pas besoin, mais la chose qui l’accompagnait elle si. Elle n’avait pas arrêté de se trémousser, pendant les différents combat qui ont précédé, elle n’arrêtait pas non plus de parler, de crier, sérieusement c’était quoi son problème ? Si elle souhaitait rendre Kaname sourd, ce qu’elle pouvait savoir c’est qu’elle était sur la bonne voie.

Après s'être reposé pendant quelques minutes, Kaname ne perdit pas de temps pour faire signaler à la petite fille que le temps était venu de se remettre en route, celle-ci se leva légèrement après qu’il ait dissipé la barrière, juste après qu’elle se soit remise debout elle commença déjà à parler :

Nu : Pfff! Quand je deviendrai plus forte que toi, tu demanderas pardon!

Il l’ignora tout simplement et se dirigea vers l’objectif sans l’attendre.

Alors qu’il marchait tranquillement, tout en réfléchissant à l’endroit où il pouvait se trouver, il remarqua que l’atmosphère ainsi l’environnement changeait petit à petit, plus il avançait, plus il sentait quelque chose de différent par rapport au désert de sable qui les entouraient précédemment, il en conclue qu’ils ne se trouvaient plus vraiment dans le désert blanc du Hueco Mondo, mais dans une zone faisant justement partie de ce désert là :

Nu : On est presqu'arrivés ?

Une fois de plus, il ne voulu pas perdre de temps avec les questions et les propos inutiles de Nu. Il se s’arrêta pendant quelques secondes faisant comme-ci il regardait autour de lui, à ce moment là Nu se posa certainement la question de savoir ce qu’il faisait. Puis il recommença à marcher comme-ci de rien n’était, tout en tenant son Zanpakuto à la main comme il le faisait toujours, c’est à ce moment là que comme par hasard Nu se mit à parler :

Nu : On arrive quand ? C'est encore loin ?
Kaname : Nous y sommes… Ne sens-tu pas sa présence ? Vu comment tu attires les ennuis, tu devrais pourtant non ?

Il s’arrêta à nouveau cette fois au côté de la jeune arrancar qui ne semblait pas comprendre grand-chose à ce que disait l’aveugle. Il se trouvait maintenant tout les deux dans une zone remplit de rocher, des blocs de pierre par ci par là, comme ci ils se trouvaient dans des ruines.

Spoiler:

Soudain, depuis les rochers qui vous entourent, sort un Arrancar. Malgré son allure, il n'est pas là pour discuter. Il dégaine son sabre, disparait d'un Shunpo, et réapparait, sa lame s'abaissant vers le crâne de Tosen. Il dégage alors un important reiatsu, son regard sombre démontre qu'il souhaite vous tuer, afin de retrouver sa tranquilité dans ce lieu. Il aurait pu s'en prendre à l'Arrancar, mais visiblement, il préfère attaquer le Shinigami. Normal, pour un Hollow, après tout.

LVL 7

Spoiler:

Invité

Tousen ne me répondait pas, il m'ignorait, ignorait ce que je disais, ce que je faisais. Il n'y avait pas de moyen de communiquer avec lui ça en devenait hallucinant! Nous devions travailler en équipe, mais il faisait pas mal tout le contraire de ce qu'il devait faire pour qu'on soit sur la même longueur d'ondes. En fait, je n'aidais pas non plus à ce que la situation entre nous deux s'améliore. On se déteste, on se hait, nous sommes des rivaux, les pires rivaux que la planète ait connus. Je ne savais pas ce que pensait Tousen de tout cela, je ne savais pas ce qui se passait dans sa tête, mais cet énervement que je provoquais chez lui était bien réel. Après cette mission, comment serait-il avec moi? Comment serais-je envers lui? Je suis encore jeune, pas mal jeune et seule mon évolution, ma croissance me guidera sur le bon chemin avec ce que mon maître m'a enseigné.

L'environnement autour de nous changea lentement pour finalement nous amener dans un sanctuaire, des ruines, une ancienne cité abandonnée depuis des années. Je ne savais pas ce que c'était vraiment puisque ça avait été mis en place bien avant que je sois née. C'était pour cette raison que ma dernière interrogation avait été dite d'une voix légèrement tremblante. Je n'aimais pas me retrouver dans un endroit que je ne connaissais pas. Je préfère traverser les sentiers déjà empruntés que les raccourcis où le Boogie Man viendrait me chercher.

Tousen m'avait enfin répondu en me disant que nous étions arrivés. Les bras croisés, le frisson me parcourant tous les poils du corps, cet endroit ne me disait rien de bon. Qu'étions-nous supposés faire ici? Je ne me rappelle déjà plus. Que vais-je faire à l'âge de Tousen? Je ne me rappellerai plus de mon nom, c'est cela? C'est ridicule... J'ai vraiment une mémoire nulle! Le seul mot que je me rappellerai toute ma vie sera le nom de mon créateur. Peu importe mon état, ce nom sacré résonnera tel un écho à travers tout mon être et continuera de me faire vivre peu importe les situations qui suivront.

Je regardais Tousen qui regardait autour. Comment pouvait-il voir? Comment pouvait-il sentir? Un énorme point d'interrogation sur mon visage, j'étais plantée-là, quasiment en train de baver! Il posa sa main sur son Zanpakuto: ce qui me sortit de mon lunatisme. Je regardais autour et sentis aussi une présence tout près. Elle n'était pas amical du tout. Par réflexe, je serrais les poings fermement.

De derrière les rochers et les restes de bâtiment blancs qui nous entourent, je remarque une silhouette blanche qui sort de son camouflage. Il dégaine et disparaît rapidement de notre vue pour se rapprocher. D'un pas maladroit, je m'éloigne de Tousen, sentant que notre ennemi avait déjà trouvé sa proie favorite. Rapidement, je me faufile à travers les roches pour voir ce qui va en suivre. Si Tousen allait être en mauvais état, devrais-je intervenir ou le laisser mourrir?

Fais-lui la peau!

Dis-je sans me rendre compte que ma phrase pouvait s'adresser aux deux. Tant pis, que le meilleur gagne!

Invité

Cela faisait déjà presque un jour, en effet ça fait déjà presque un jour que les protagonistes ont quitté leur quartier général. Leur mission était simple, l’ex-capitaine de la 5ème Division Sosuke Aizen, avait donné l’ordre de se rendre dans le désert blanc du Hueco Mondo, de trouver l’un des vasto lorde et de le ramener avec eux à Las Noches afin que celui-ci serve le Shinigami traitre tout comme le fond l’Espada accompagné de leur Fraccion. Cependant, Kaname fût quand même surpris lorsqu’il apprit exactement qui devait l’accompagner dans cette mission. Il s’agissait d’une Jeune Arrancar du nom de Nu Hakujin, celle-ci venait d’être recruté par Aizen en tant que sa Fraccion, celle-ci lui vouait un véritable culte. A chaque fois qu’elle le voyait, elle était d’un respect irréprochable ne contestait pas les ordres qu’il lui donnait, pour Kaname c’était certainement l’une des choses qu’il appréciait chez elle, car il remarquait que lui aussi était similaire à elle à ce niveau là. La première fois qu’il l’avait rencontré, elle était d’une timidité pas possible, elle respectait tellement Aizen qu’elle en avait peur, elle n’osait pas lui parler. Tousen trouva ce comportement ridicule et voulu l’exécuter sur le champ, mais par chance le Seigneur Aizen l’épargna, à ce moment là Kaname n’insista pas vraiment car il comprit exactement ce qu’Aizen voulait en faire, il ne s’interposa donc pas et aida plutôt à la décision d’Aizen. Puis après cela c’est Yomaku qui arriva, après qu’Aizen l’ai proclamé comme étant sa Fraccion directe, Yomaku s’occupa de son entrainement… A sa façon.

Quelque jours après ça, voilà maintenant qu’il se retrouvait ensemble dans le désert avec une mission assez importante, il était évident qu’au long de tout ça, les deux protagonistes feraient tout pour impressionner la personne qu’ils servent et cela même s’ils devaient se battre tout les deux. Au fond de lui Kaname savait très bien qu’il n’avait pas besoin de prouver quoique ce soit, mais le problème était sa partenaire, celle-ci était encore une enfant et bien évidemment une enfant pas de tout comme les autres. Elle se plaignait pas presque, mais tout le temps, elle était hyper active et ça il ne pouvait pas le supporter aussi longtemps que ça, si ça avait était quelqu’un comme Muguruma Kensei, cela fait longtemps qu’il se serait débarrassé d’elle.

Tout au long de la route pendant leur différent combat, Kaname était assez surpris par les progrès qu’elle faisait, elle se battait très bien, utilisait son cerveau comme il le fallait, ce qui prouvait une fois de plus que le seigneur Aizen ne se trompait jamais. C’était bien la raison pour laquelle il le servait d’un côté, quelqu’un comme Aizen il y en avait pas deux même simplement penser qu’il en existait une autre comme lui était impossible.

Presqu’un jour qu’il marche, après une pause mérité, voilà qu’il se retrouve des ruines, un sanctuaire, rien de bien concret en faite. Alors que la Jeune Arrancar passe son temps à se plaindre, Kaname lui ressent la présence de l’arrancar qu’ils sont venu chercher, une puissante presque équivalente à la sienne, cela ne faisait aucun doute son adversaire avait les caractéristiques d’une Vasto Lorde. Sans avoir le temps de dire quoique ce soit, celui à peine sortit de sa cachette qu’il s’attaqua directement au Shinigami Exilé. Ce qui n’était pas vraiment une grosse surprise puisqu’il était Shinigami et que les Shinigami étaient leurs ennemis depuis la nuit de temps. Celui-ci attaqua directement Kaname, le sabre se dirigeant vers sa tête. Attaque qu’il bloqua facilement à l’aide de son propre sabre qu’il mit de façon vertical afin de contrer l’attaque du hollows. Puis d’une geste rapide il repoussa celui-ci avec force et recula de quelque pas avant d’entendre Nu Hakujin sortir un :

Nu : Fais-lui la peau!

Kaname eut un léger sourire suite aux mots de la Fraccion qui semblait déjà se réjouir du fait qu’il y est un combat devant elle. Il s’arrêta quelque seconde, le sabre dirigé vers son futur adversaire et plaça quelque mot avant de commencer un combat contre celui-ci :

Kaname : Nous ne sommes pas là pour te combattre. Seulement pour te donner plus de pouvoir si tu le désires… Aizen-sama voudrait que tu fasses partit de ses troupes, si tu attaques une seconde fois c'est que tu refuses et de plus je me verrai dans l’obligation de t’éliminer. Sache que tu fais partit des rares personnes que veut avoir Aizen-sama, donc considère ça comme un honneur.

Faisant une légère pause avant de laisser à son opposant le temps de répondre, il enchaina ensuite sur quelque parole destiné à Nu :

Kaname : Je ne sais pas à qui était destiné cette phrase, mais sache une chose… Depuis le début de notre périple, Aizen-sama a un enregistrement vidéo de tout notre parcours. Je pense que je n'ai pas besoin d'en dire plus, non plus.

Puis suite à ces quelques mots il se tut attendant certainement la réponse de l’un des deux.

Le Hollow avait attaqué le Shinigami, et ce dernier, après avoir contré la lame du premier, repoussa celui-ci avant de s'éloigner un peu. Il semblait ne pas y voir, mais pourtant, le Hollow se sentait observé. La manière d'agir de sa proie correspondait à celle de quelqu'un qui ne sous-estimait pas les gens puissants. Il avait bien raison, car ce Hollow, c'était un Vasto Lorde.

Le Shinigami eut des mots étranges à l'égard de celui qui se devait d'être son adversaire. Etranges, et ridicules. Le Hollow abaissa son arme et fixa le Shinigami d'un air méprisant.

" Me rendre plus fort ? Tu sors ce discours à tous ceux que tu croises, hein ? Si tu pouvais me voir, tu aurais remarqué que je porte la tenue d'un Arrancar et que mon masque est brisé. Je suis devenu Arrancar par moi-même, je n'ai eu besoin de personne pour cela. Cependant, je suis prêt à te laisser me prouver que tu es réellement devenu plus fort grâce à cet homme. Si tu es incapable de me battre seul, sans faire appel à la fille qui se cache dans les ruines, alors je te considèrerais comme un menteur. "

Suite à ces mots, il pointa son sabre vers son adversaire, prêt à en découdre.

Invité

Kaname voulait dans un premier temps éviter de faire couler du sang inutilement, celui qui suivait le chemin de la justice était debout devant son opposant, celle qui l’accompagnait se tenait à l’écart la peur au ventre comme il pouvait s’y attendre. Cependant, c’était la meilleure chose à faire pour elle. Si elle venait à se retrouver au plein milieu de cette bataille, elle se ferait avoir facilement par un coup perdu, non pas de l’aveugle mais plutôt de celui qui les avait attaqué.

Après que Tousen ait commencé à parler et à prévenir la jeune apprenti de Yomaku, il se retourna en direction de l’arrancar afin d’attendre la réponse qu’il allait lui donner :

Arrancar : Me rendre plus fort ? Tu sors ce discours à tous ceux que tu croises, hein ? Si tu pouvais me voir, tu aurais remarqué que je porte la tenue d'un Arrancar et que mon masque est brisé. Je suis devenu Arrancar par moi-même, je n'ai eu besoin de personne pour cela. Cependant, je suis prêt à te laisser me prouver que tu es réellement devenu plus fort grâce à cet homme. Si tu es incapable de me battre seul, sans faire appel à la fille qui se cache dans les ruines, alors je te considèrerais comme un menteur.

Kaname : Très bien. Cependant, j’espère pour toi que tu seras en forme pour aller à sa rencontre une fois que je me serais occupé de toi.

A l’instant où il énonça sa réponse, il usa d’un Shunpo qui le laissa au dessus de son adversaire vers lequel il pointa son arme vers le bas avec la ferme intention de l’empaler en partant de la tête.

Spoiler:

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