Nombre de messages : 414 Âge : 35 Double compte : Kaname Tousen Date d'inscription : 12/12/2009 Fiche Technique : Elle est là !!
Feuille de personnage Nom du zanpakutô/Nature du pouvoir: Totsuka no Tsurugi Niveau: Combattant Surpuissant / LVL 15+1 (Shikaï) (Lvl uped) Reiatsu: (5470/10700)
Sujet: Je me souviens d'une époque... Mer 31 Aoû - 0:05
I remember there was a time...
Des cris, des rires, des cris puis encore des rires c’est ce que l’on entendait dans cette rue remplit de personne diverse, mais habillé de la même façon. La place dans laquelle on se trouve semble être une sorte de marché, il y a de tout des enfants qui court partout des adultes qui sont en train de discuter, d’autres en train de rire au éclat, d’autre en train de se crier dessus pour diverse raison. Dans cette place, l’on peut aussi apercevoir un groupe d’enfant pour être plus précis trois enfants qui semblent chercher quelque chose ? Une fille accompagnée part deux garçons, l’un brun et l’autre était différent physiquement, il avait les yeux rouges ainsi que les cheveux blanc et en plus de ça il portait un Katana sur son épaule, tandis que l’autre jeune homme portait une échelle et la jeune fille un sot vide, les gens qui les voyaient passer savait ce qu’il préparait déjà et souriait simplement lorsque jeune trio passait à proximité d’eux. Ce sont ces mêmes jeunes qui quelques secondes après avoir passé la place marchande s’arrêtèrent net prêt d’un mur au dessus duquel l’on pouvait voir dépasser un arbre sur lequel pendaient plusieurs fruits de couleur orange, c’est à ce moment là que les objets que tenaient chaque enfant entraient en scène les uns après les autres. Le premier garçon s’approcha du mur et y posa délicatement son échelle avant d’y grimper, puis s’en suivit la jeune fille qui attrapa le jeune garçon aux cheveux blancs puis le positionna sur ses épaules en espérant qu’il ne tombe pas pendant qu’elle le porte. Le sot étant posé juste à côté, le jeune garçon aux cheveux blancs frappait assez fort pour faire tomber les fruits tandis que celui qui était sur le mur surveillait les alentours pour voir si personne n’arrivait.
Les secondes passèrent et la cueillette fût bonne cette fois là, personne ne les avaient dérangé, du moins jusqu’à maintenant. Alors qu’il avait rempli leur sot de fruit et qu’il s’apprêtait à partir en direction de leur maison, une personne se dirigea en courant comme-ci elle voulait les attraper. Paniqué de voir qu’ils avaient été repéré, l’un des Gamins attrapa le sot avec une vitesse étonnant et se mit à courir de toutes ses forces suivit par les deux autres qui portaient l’échelle ainsi que le Katana. Celui qui leur courait après ressemblait étrangement à un garde, il courait aussi vite qu’il pouvait pour rattrapé les jeunes enfants qui prenaient beaucoup d’avance sur lui. De la bouche du poursuivant l’on pouvait entendre :
Garde : Bande de voyou !!! Vous n’avez toujours pas compris qu’il fallait arrêter de voler ces fruits !!! Ils appartiennent aux Kuchiki !
Après une demi-heure de course, le groupe avait finalement réussit à semer le garde qui s’était certainement écroulé de fatigue dans l’une des ruelles par lesquelles ils s’étaient faufilés pour le perdre. Cette exploit était dû à leur connaissance poussé de cette partie là du Rukongai, depuis leur arrivé dans cette endroit ils avaient eut le temps de parcourir les moindres recoins et d’en connaitre les différents raccourcis et passage secret permettant de se rendre d’un endroit à un autre sans trop se fatiguer.
Alors arrivé à leur destination finale ressemblant à une sorte de petite cabane qui se démarquait du paysage alentour, celle-ci avait été faite par des gens qui en avaient besoin dans l’absolu. Recouverte de bois tous différents que ce soit en couleur, en taille ou en solidité, la façon dont ça avait été placé montrait que cela n’avait pas été fait par des experts en bâtiment, mais plus par des gamins qui voulaient se construire un petit abri où il pourrait s’y amuser sans que personne ne viennent pour les gêner. Ce qui différenciait cette cabane de n’importe laquelle était que les personnes qui s’y trouvaient y vivaient, celle-ci étaient le logis de trois jeunes enfants qui survivaient par leurs propres moyen dans les rues du Rukongai. C’était ces mêmes enfants qui venaient de rentré dans leur cabane heureux d’avoir pu semer, le garde qui les poursuivait parce qu’ils avaient dérobé des fruits sur un arbre appartenant à l’un des noblesses de la Soul Society, les Kuchiki.
…When I smiled for somebody
Le combat contre les gardes venait de s’achever subitement lorsque l’ancienne Vice-Capitaine de la 10ème Division transperça le cœur du garde royal sans se poser de question, à cette instant Saïga n’eut aucune réaction, il resta immobile contemplant le corps inerte du garde tomber à ses pieds avec Rangiku qui se trouvait juste derrière avec un léger sourire sur la bouche avant de se mettre à parler :
Rangiku : Allons, allons, ne va pas croire des choses ! Si je ne l’avais pas tué, tu ne l’aurais pas fait… Ils ont voulu jouer, ils ont perdu, c’est aussi simple que ça… Et te concernant, ne t’en fais pas, tu m’amuses plutôt assez, et je n’ai pas encore trouvé l’intérêt de mettre fin à ta vie.
Celle-ci commença par lui tourner le dos avant de continuer à parler :
Rangiku : Ecoute, si je suis venue ici, c’est aussi pour une raison bien précise… Je veux bien essayer de te tolérer, mais si tu me gènes… Tu meurs.
Il la regarda se déplacer vers la forêt avant qu’elle ne commence à pointer son sabre en avant et qu’une sorte de poussière ne commence à s’étendre autour d’elle formant une sorte de barrière qui semblait la protéger. Par simple curiosité, Saïga s’approcha doucement et essaye de toucher avec son index mais sentit l’agressivité dégagé par le reiatsu qui formait la barrière. S’éloignant de plusieurs pas en arrière, il se positionna droit en regardant la barrière puis posa un œil sur sa main et d’un air inquiet se mit à parler :
Saïga : « Ils ont voulu jouer, ils ont perdu… » Alors c’est comme ça que tu vois les choses Rangiku-san… « Ecoute, si je suis venue ici, c’est aussi pour une raison bien précise… Je veux bien essayer de te tolérer, mais si tu me gènes… Tu meurs. » Je me rends compte qu’à présent, la prochaine fois que le fer se croisera entre nous ce sera pour savoir qui de nous deux vivra.
Alors qu’il disait tout cela, le décor changeait petit à petit autour de lui. L’endroit où il se trouvait maintenant n’avait pas changé en lui-même, simplement la couleur qui était passé de normal à noir et blanc, le temps s’était complètement arrêté, la barrière qui entourait Rangiku ne bougeait plus comme de la poussière, quelqu’un d’autre se trouvait également dans cette endroit, une présence familière pour Saïga qui se retourna afin de contempler la personne qui avait fait tout ça.
Cette personne qui se trouvait là il s’agissait du Zanpakuto de Saïga qui avait une apparence plutôt amusante au final, celui-ci avait la mauvaise habitude de prendre l’apparence des choses qui l’entourait ainsi que de se matérialisé à l’aide des souvenirs que pouvait avoir son maitre de son enfance. Là il s’était transformé en Saïga enfant avec des oreilles de chat ainsi qu’une queue, celui-ci était tout simplement là assis par terre à regarder son maitre avec un petit sourire :
Spoiler:
Yata no Kagami : Ohayo… Masamune-san. Comment trouves-tu ma nouvelle apparence ? Je me suis fié au Zanpakuto de cette femme ainsi qu’à ton souvenir sur les chats que tu adoptais.
Saïga : Bonjour, je ne vois pas vraiment de quoi tu veux parler, j’ai toujours détesté ces animaux. Ils m’irritent au plus haut point !
Yata no Kagami : C’est bien pour ça que tu les aimes parce qu’ils t’irritent tant. N’est-ce pas ?
Le Vice-capitaine de la 9ème division resta silencieux, il laissa apparaitre un léger sourire sur sa bouche puis tourna la tête vers la barrière de Rangiku :
Saïga : La ferme… Tu l’as entendu non ? Elle me menace, mais elle et moi nous le savons bien que le combat est inévitable à ce stade là. Je commence à croire que je n’arriverais jamais à mon but principal… Je me bats sans arrêt, mais au final comment les choses vont finir ? Je vais devoir me battre contre cette femme et ce qui est certain, c’est que ma propre force ne suffira pas à la vaincre.
Yata no Kagami : Alors battons nous ensemble ! Comme au bon vieux temps… As-tu oublié après tout ce temps ?
Saïga : Il semblerait que oui… Ce souvenir est loin, il est semblable à des morceaux éparpillé dans ma mémoire qui refuse de se rassembler.
Alors qu’il disait cela, il commença à se toucher la tête de façon à comprendre pourquoi il n’arrivait pas à se rappeler de ce moment là, juste à côté de lui son allié se leva et se dirigea vers lui avec un sourire semblable à celui d’une personne comblé de bonheur, il leva légèrement son doigt et le posa sur la poitrine de son jeune maître qui fût assez surprit de ce qui se passait actuellement. Saïga regarda son Zanpakuto qui semblait vouloir lui faire comprendre quelque chose, mais il n’arrivait pas à comprendre. Soudainement il eut une grande lumière qui l’aveugla complètement et le ramena dans l’un de ses souvenirs.
Like Shooting Stars…
??? : Nous n’avons plus d’aile pour voler librement dans le ciel bleu ! Saiga : Nous avons sali nos mains avec le sang de la trahison... ???: Je le pense. Saiga : Ou les becs choisissent notre propre chair ? ???: Je peux tout endurer avec toi... Même être brulé par les flammes de l’enfer. Saiga : L’enfer ne te conviendrait pas... ???: Je ne le regrette pas... as... tu ...peur, Saiga-san ? Saiga: Haruka. Haruka: Quoi ? Saiga: Je veux te toucher Haruka…
…your disappear !
La lumière disparut petit à petit, Saïga ouvrit alors les yeux et comprit ce qui l’empêchait d’avancer depuis si longtemps, la raison pour laquelle il n’utilisait pas le vrai pouvoir de son Zanpakuto :
Yata no Kagami : Et oui… Depuis ce moment, tu ne t’es plus confié à personne. Tu as complètement perdu le sens de la vie… Tu n’acceptes plus personnes. Tu as beau sourire lorsque tu es avec les gens qui t’entourent, te battre avec rigueur, tu n’exploites pas tes capacités comme tu le devrais. Le problème avec tout ça c’est que moi aussi j’en souffre énormément, notre relation est resté la même depuis tout ce temps et n’a pas évolué.
Saïga : Je me souviens d’une époque… Je m’en rappelle enfin. Cette époque où je souriais pour Setsuna, Haruka tout les autres, pour toi aussi Yata no Kagami…
Le matin quand j’ouvrais les yeux, la première chose que je voyais c’était les rayons du soleil qui traversait les trous dans la cabane. D’après l’endroit où il se trouvait, j’étais déjà en retard pour aller à l’académie et puis Setsuna criait depuis l’extérieur « Lèves-toi Masamune-kun tu vas encore être en retard, si tu restes là. Haruka est déjà partit devant ! » Je répondais « Laisse moi encore quelques minutes » Ce qui faisait que je n’arrivais jamais à l’heure le matin et j’étais puni, je devais rattraper des exercices de Kido en plus en retenue chaque fois. Le pire c’était les mauvaises notes que je pouvais récolter sur l’histoire des Kuchiki ! Après les cours justement, on mangeait tous les fruits que nous avions récupérés sur l’arbre des Kuchiki… Au final mes journées se déroulaient plutôt de la même façon, c’était assez monotone. Seulement maintenant… Je comprends enfin que c’est grâce à ces souvenirs que j’ai survécu jusqu’ici parce qu’ils attendaient d’être révélé ! Maintenant qu’ils sont révélé, je sais qu’ils vont me rendre beaucoup plus fort que je ne le suis déjà et de plus je me rappelle maintenant de ce nom ! Ton vrai nom… Totsuka no Tsurugi. Lorsque je suis rentré à l'académie, j'ai pu facilement communiquer avec toi.
Totsuka : Enfin tu te rappelles de mon vrai nom. Tu vas pouvoir te battre à pleine puissance avec une info pareil ! Je m’en remets à toi maintenant, notre prochaine rencontre sera lorsque tu auras besoin de plus pouvoir pour l’instant tu en as assez pour combattre comme tu le dois.
C’est à ce moment là que son Zanpakuto qu’il nomma Totsuka no Tsurugi changea de forme pour se transformer en un simple Zanpakuto sous sa forme scellé. Saïga l’attrapa fermement tandis qu’il revenait à la réalité :
Saïga : De ton œil gauche naît la déesse du soleil, de ton œil droit naît le dieu de la lune, de ton nez naît le dieu de l’orage. Sois portée par dix mains… Totsuka no Tsurugi (L'épée de l'envergure) !
Après avoir prononcé cette phrase, la barrière qui entourait sa partenaire commença à se dissiper lentement, puis laissa sortir la jeune femme qu’il regarda dans les yeux. Le regard de cette femme avait complètement changé et semblait bien plus maléfique qu’avant elle ouvrit une sorte de portail étrange, Saïga comprit qu’à partir de maintenant les choses allaient passer à niveau supérieur :
Rangiku : Je quitte ce lieu. Saiga Magoichi, je ne sais toujours pas pourquoi tu m’as suivi au Hueco Mundo, ni à la Dimension Royale et je dois te dire que je m’en fiche éperdument. Tes intentions ne concernant que toi. Pour ma part, je vais prendre ce portail… Si tu décides de rester ici, c’est ton problème. Si tu décides encore de me suivre, grand bien te fasse, sache cependant qu’à l’occasion, si tu en viens à te comporter d’une façon qui ne me convient pas, je n’hésiterai pas à te tuer.
Suite à cette nouvelle menace, Saïga sourit et répondis calmement tout en étant sûr de lui :
Saïga : Je vois tu es revenu de derrière cette barrière avec des pouvoirs étranges. Je choisis une nouvelle fois de te suivre, mais cela uniquement pour en finir une fois pour toute. Il est maintenant évident que la prochaine fois que nous nous battrons ce sera pour qu’il n’en reste qu’un seul. Sache juste que pour tout le monde je vaincrai ton mauvais côté, si jamais je venais à mourir je voudrais que ce soit par la main de la Rangiku d’autre fois !
Après sa réponse, il se précipita à son tour dans le trou noir qui se referma derrière lui.