Décrivez votre perso physiquement et moralement :
Nom : Kouyama
Prénom : Mitsuki
Age : 17 ansDescription Morale : Mitsuki n’aimait pas tant que ça son prénom, et préférait d’avantage qu’on l’appelle Tsuki. D’un naturel très enjoué, pour ceux qui la connaissent, évidemment, pour les autres, elle ferait preuve d’un humour débile, noir, et tout ce qui va avec. Reine du sarcasme, elle est assez douée pour tourner le couteau dans la plaie et serait capable de sortir des vannes tout aussi pourries lors d’un enterrement pour redonner le moral aux autres, du plus mauvais effet…
Tsuki ne connait pas le mot « modestie » ni ses dérivés. Elle passe son temps à se jeter des fleurs, même quand elle a commit des erreurs. Adore jouer les entremetteuses, autant quand c’est voyant que quand il ne le faut pas. Elle aime faire la fête et n’a aucun préjugé sur les relations amoureuses du même sexe, assez volage elle-même, vous ne la verrez jamais deux fois avec un garçon, sauf si celui-ci est un simple ami. Elle évite cependant les relations amoureuses et préfère la liberté du célibat. Complètement folle de nature aussi, elle aime être la chef et fait la guerre/mène la vie dure à tous ses supérieurs.
Description Physique : Mitsuki n’était pas très grande, environ un mètre 57 pour quarante-huit kilo, et 1m 45 de chevelure brune et soyeuse aux reflets bordeaux. Elle se refusait de les couper, ce serait un signe de soumission. Ses yeux, d’un mauve très pale, sont encadrés de longs cils noirs, lui donnant un air de femme mure qu’elle n’est peut-être pas encore. Le tout accentué par son visage enfantin parcouru de traits fins et graciles.
Son corps était assez harmonieux en lui-même malgré une allure frêle et légèrement androgyne, sans pour autant paraitre masculine. Sa peau était rose pale, parsemée de tache de rousseur très peu appuyées, et entachée de cicatrices et de bleus. L’une d’elles partait du centre du dos, au niveau des omoplates, et traçait un arc de cercle jusque sur sa dernière côte de gauche. Une autre sur son poignet, lors de sa tentative de suicide, caché par un fin bracelet d’argent sur lequel est gravé son nom en lettre de sang. Une cicatrice sur sa nuque, partant de l’oreille droite et s’arrêtant sur pomme d’Adam. Une autre encore sur sa cuisse gauche, descendant sur 7 cm de longueur. Une étant le souvenir du clou qu’elle s’était enfoncéedans le pied à trois ans en ayant parcourut le champ de construction de sa cabane en bois. Et une dernière marque, très significative. Celle qui la marque à vie, clamant qu’elle appartient à son ancien Maitre, un dragon marqué à l’encre blanche (fait par son oncle, un shinigami exilé dont elle ignorait la véritable identité).
Pas du tout choquée par son allure ou son physique, Mitsuki portait souvent de légers décolletés ou encore des chemises à manche courtes. Des mini-jupes ou des jeans, serrés le plus possible sur ses atouts féminins. Ses cheveux sont rarement lâches, trop longs pour cela d’ailleurs. Mitsuki les noue assez fréquemment en un large chignon désordonnés, ou en deux tresses de chaque cotés, retenus par des grelots argentés.Mais cela, ce n’est que dans le monde des vivants, lorsqu’elle est à la soul society, ou plus fréquemment dans les rues du seireitei elle à pour habitude de porter de large kimono d’argent, rouge ou bleu et de belles coiffes d’or fleuries.
Histoire uniquement pour personnages inventés: Enfance de folie
Née la veille du jour de l’an, le trente et un pour être précis, elle fut adorée par son père, étant son portrait craché, et rejetée de sa mère qui était d’un strict insupportable. Son premier mot fut étrangement « banzai » qu’elle prononça le jour de la naissance de ses frères, des jumeaux, nés deux ans après elle. Son enfance se passa joyeusement, bien que entrecoupée de sermons des plus insistant et vieux jeux qui soient du style « une fille convenable ne grimpe pas aux arbres ! » ou encore « veux-tu bien te taire, ces mots ne devraient même pas figurer dans ton vocabulaire » etc…
Entre ses batailles contre sa mère pour pouvoir s’habiller comme les garçons, vivre comme eux, et être aussi forte qu’eux. Mitsuki savait aussi s’amuser comme tous les enfants. Les rares moments qu’elle passait à s’entendre cordialement avec sa mère, était ceux de la cuisine. Les deux filles s’appréciaient mutuellement lorsque venait le moment de faire les gâteaux et les repas. Si bien que ce fut là que Tsuki réussit le mieux. A la cuisine. Très douée pour les brioches fourrées et les bouchées à la viande, elle faisait aussi très bien le thé kanro mais le réservé à sa famille. Très peu malade, et pleine d’entrain, il était fréquent qu’elle revienne couverte de sang, entre les chutes dans le Puits, les cachettes dans les buissons du jardin et ou les sauts périlleux de l’arbre maison. Elle appréciait particulièrement Kou enjun, qui lui avait un jour dessiné un dragon dans le dos, sans savoir qu’il était et son oncle, et son parrain.
Adolescence à problèmes(âmes sensibles s'abstenir)
Son adolescence changea tout de celle qu’elle avait été enfant. Oui car Tsuki n’était pas vraiment une enfant de cœur. Et par toutes les insultes qu’elle était capable de débiter pour rien, il y avait celle qu’elle envoyer pour faire mal à celui qui se trouvait en face. Ses phrases fétiches les voici « BANZAI ! » « Non d’un canard albinos » « oui, et c’est la marmotte qui met le chocolat dans le papier alu » bref, très sarcastique. Mais tout ne se passa pas aussi bien qu’elle l’espérait. Sa première année au collège fut une réussite, scolairement parlant, un désastre niveau social, et c’est là que cela se corse, car tout commença lorsqu’elle avait treize ans.
Oui, à treize ans, vêtue de mini-jupe, maquillée comme un camion volé, et regardant les autres de hauts, Mitsuki faisait sa crise. Elle se croyait forte, belle et désirable… Une pétasse, une vraie. Elle commença à sortir avec des garçons, souvent plus vieux, pour prouver qu’elle était grande, mais n’en aima aucun. C'était juste des gars plutôt beaux, pas vraiment intelligents, avec qui il faisait bien de s'afficher. Des adolescents sans importance pour elle. Jusqu'au jour où…
Ou elle rencontra ce type, Kota Shimoura, il était le garçon le plus populaire de l’internat ou elle se trouvait, toutes les filles lui tournaient autour comme des mouches, et elle en fit vite partie. Des yeux bleus à tomber. Un sourire charmeur, qui avait vite fait de la convaincre qu'il lui fallait ce mec. Une araignée qui tissait sa toile. Et un jour, ils sortirent ensemble. Ça a duré un peu plus d'un mois, et il fut adorable : le petit-ami parfait. « Il m'a emmené sortir avec lui –on faisait le mur la nuit-, et il m'a fait découvrir les boîtes de nuit de Tokyo. »Celles qui n'étaient pas regardantes sur l'âge de leurs clients, en fait. Ce fut ainsi pendant un mois, l’initiant à l’alcool, il profitait d’elle par la suite. Tsuki se sentait invincible, adulte mais en vérité, elle était juste conne…
Un soir, il l’a fit boire plus que d’habitude et l’emmena dans un endroit reculé, une rue déserte et sale, elle ne perdit pas sa virginité cette nuit-là. Au dernier moment, elle hésita, et le repoussa, il partit en fanfare et brisa leur couple. Ça n'était pas totalement vrai : avant de casser, il avait voulu « lui donner une dernière chance », selon sa propre expression. Et quand elle avait persisté, il avait éclaté. Il s'était presque jeté sur elle, et avait hurlé :
« Inutile de lutter. Tu n'es rien, Kouyama Mitsuki: juste une petite morceau de plastique qui ouvre les cuisses pour n'importe qui. Alors maintenant fais ton job ! »
Elle rentra à l’internat, et le lendemain, retourna dans la boite favorite de Kota, s’habillant des fringues qu’il préférait, et s’étant persuadé que couché avec lui résoudrait le problème et leur permettrait de se remettre ensemble. Et elle le vit : il était sur la piste de danse, et il pelotait une autre fille, qui devait avoir sensiblement le même âge qu’elle. Lui aussi l'avait vue. Et il lui avait sourit, en embrassant sa nouvelle conquête, un clone de Tsuki, qui minaudait et gloussait comme une poule.
Alors, tout se passa très vite, elle se jeta sur le premier garçon venu, l’entraina dans un coin sombre – il avait un préservatif, elle en avait prévu un aussi- Ce n'était pas agréable, mais pas désagréable non plus. Le garçon avait procédé aux préliminaires correctement, et faisait attention à ne pas la blesser. Il aurait pu être un petit ami potentiel. Kota avait fait irruption à ce moment précis, et ses yeux avaient rencontré ceux de Mitsuki.
Même plus de trois ans après, elle se souvenait parfaitement de leur message : « J'avais raison : t'es juste une morceau de plastique, Mitsuki ».
Après ça, elle fit n’importe quoi. Pendant six mois, Mitsuki ne fit que des conneries –mais des grosses-. Boire, fumer et baiser avec n’importe quoi. Des fois sans préservatifs. Elle aurait put tomber enceinte, ou même chopper n’importe quelle maladie, et étrangement, elle réussit à éviter tout cela. C'était une spirale infernale. Ce fut sa meilleure amie qui l’en sortit. Chizuru, qui lui avait tout d’abord foutu deux claques. Elle lui avait fait un long discours, dont Mitsuki ne se souvenait plus, mais qui était plein de colère, de leçons de morales, et d'autres paroles du même acabit. Elle avait une capacité vocale assez impressionnante, et la brune était restée scotcher par le son qui sortait d'un aussi petit bout de femme. Elle l'a plantée là, et Mitsuki rentra à l'internat, en réfléchissant sur ce qu'elle lui avait dit. Elle l'avait intrigué, et c'était la première fois qu'une autre personne que sa mère lui faisait la morale.
:Elle la retrouva le lendemain, et pendant une semaine, elles parlèrent toutes deux. Elles avaient parlé de tout et de rien. Chizuru avait expliqué à Mitsuki comment sortir, boire, et coucher « proprement ». Parce que malgré ses bonnes paroles, Chizuru n'avait jamais été une sainte, mais son rythme de vie était meilleur que celui de Mitsuki, qui avait bu ses paroles comme de l'eau. Elle s’entendirent si bien qu’elles devinrent rapidement meilleures amies, cependant, Chizuru déménagea à la fin de l’année pour une petite ville appelée Karakura, et Tsuki ne la revit plus.
La mort c’est cool, si on enlève le principal inconvénient, évidemment…
Après, et bien… c’est là que la mort l’a frappé. Écrasée par un chauffeur complètement ivre. Elle contempla environs quelques minutes le chef-d’œuvre de son cadavre, se plaignant et gémissant qu’on l’avait forcé à disséquer une grenouille pour rien. Puis, après s’être rendu compte qu’elle était morte et…disons fantôme… elle constata enfin qu’elle portait les mêmes vêtements que la seconde d’avant, étant affublé d’un uniforme d’arlequine particulier, noir et blanc, qu’elle ressemblait légèrement à un clown avec d’ailleurs, et que bizarrement, elle pouvait faire bien des choses puisqu'il était à nouveau en état.
Sa première expérience avec un hollow… je parle d’un combat là hein ? Pas de ce que vous pouvez imaginez avec votre cervelle dérangé ! Bref… fut des plus instructive puisqu’après avoir :
-plan A : fuit le hollow en courant
-plan B : tenté d’amadouer la bête et de faire la conversation.
-retour plan A : fuit de nouveau et prier toutes les stars du combats, les dieux and overs, de l’aider.
-plan C : tabasser le hollow avec le peu de force physique qu’elle avait.
-plan D : utiliser son répertoire d’attaque manga, et voir si l’une d’elle a fonctionné.
Rien de tout cela marcha, mais par chance, un pauvre shinigami qui passait par là dégomma le monstre et lui permit de s’enfuir. Néanmoins, Mitsuki avait eu peur du hollow, et celui qui avait massacré le monstre, était encore plus puissant, et donc plus dangereux. Elle s’était donc hâtée de fuir les deux. Elle ne fit cela que pendant six mois, fuyant hollow et shinigami avec insistance, gagnant de jour en jour, de l’endurance. Mais un beau jour, alors qu’elle fuyait une scène de combat entre un shinigami et un hollow, elle ne vit pas qu’elle fonçait droit sur un autre kimono noir. Lorsqu’elle leva les yeux, se fut pour découvrir deux orbes anthracites la fixait avec douceur. Elle fondit littéralement sous ces yeux et bue les paroles de l’homme, qui après lui avoir expliqué le fonctionnement de la soul Society, à quatre reprises « il était tellement beau que je n’arrivais pas à saisir le sens de ses mots » lui appliqua légèrement le manche de son zampakuto sur la tête. il ne vit pas le dragon sur les reins s’illuminer.
Lorsque Mitsuki ouvrit les yeux, se fut pour se rendre compte qu’elle était en pleine forêt, au beau milieu du rugonkai, mais cela, elle l’ignorait. Elle pensa un bon moment à ce « Petit conard en sucre de shinigami à la face d’apollon » et finit par se faire à l’idée que le paradis était humide, froid et boisé. Elle se jura de pouvoir le dégommer lorsqu’elle en serait capable, ignorant par la même, que le fait de se souvenir, n’était pas normal pour une âme.
Elle avait l’habitude, étant enfant, de vivre comme les sauvageonnes, et ces aptitudes lui revinrent facilement. Elle se construisit une mini cabane, et y vécut un petit moment, sans avoir besoin de se nourrir. Mais étrangement, dans ce lieu, la faim la tiraillait.Elle comprit peu à peu certaines choses toute seule, ou avec l’aide de sa conscience, peu aimable cela dit. Oui, car évidemment, depuis qu’elle était ici, elle entendait des voix ! Elle fut ensuite reconduit au rugonkai, 24eme district sud, par des enfants âmes qui l’avait apprécié. Elle s’inscrit à l’académie des Shinigamis par ordre de sa grand-mère, une vieille femme ayant vu les capacités qu'elle pouvait avoir, et y figura deux ans, où elle se dissocia des groupes ordinaires en pratiquant facilement le kido, cependant, son corps n’était pas fait pour le sports, et, hormis la course, elle s’épuisait très vite et devenait la risée des autres élèves.
Sakura Osakawa, sa camarade de chambre, mais aussi son pire cauchemar (une folle de Kuchiki Byakuya qui ne jurait que par lui) passait son temps à la réprimander sur son comportement, sur le fait qu'elle ne faisait pas d'efforts et ainsi de suite. Si bien qu'au bout d'un moment, alors que Sakura flânait en compagnie d'autres apprenties du même gabarit, Mitsuki joua à l'infirmière. Elle fit importer directement du rugonkai toute une panoplie de plantes étranges prise dans la forêt où les enfants l'avait trouvé. Elle fit cuire la plupart d'entre elles avec un sort de kido, et en broya deux autres, formant un étrange poison. Elle en fit boire à sa camarade la nuit suivante, et la rendit malade. Elle fit ça avec bon nombres d'élèves qui l'avaient énervé, les empoisonnant, leur donnant de l'urticaire et bien d'autres problèmes.. Mais ce jeu ne dura qu'un temps, car elle fut repéré par le directeur.
Son renvoi fut la plus horrible des choses qu'elle eu à endurer après son adolescence "si vous continuez ainsi, nous ne pourrons rien faire de vous, vous mourrez avant même d'avoir atteint le shikai, vous être trop faible, Kouyama Mitsuki, de plus, malgré tout nos conseil, vous passez votre temps à vous amusez et à dégrader les locaux de notre prestigieuse école!" Heureusement pour elle, cette agitation était parvenue aux oreilles de tout le seireitei, y compris celle d'un savant fou capitaine. Qui, en apprenant le renvoi de la jeune femme, se précipita à l'académie avant que celle-ci ne la quitte définitivement. Elle fut prise dans la douzième division, et les autres l’aidèrent hâtivement à découvrir le nom de son « crétin » de zampakuto.
Sa carrure chétive et légèrement sauvage, mais aussi son caractère morbide avait plu à la douzième division. Kurotsuchi Mayuri, donc, l’avait immédiatement faite mandé. Et bien qu’elle soit encore une apprentie, il était impératif qu’elle fasse désormais partit de la douzième division, le capitaine ayant réellement apprécié son esprit assez particulier. Elle se retrouva donc lâchée au milieu des scientifiques tous plus cinglés les uns que les autres.
Beaucoup de savants se moquait d’elle due à sa maladresse mais aussi au fait de son zampakuto complètement inutile pour une shinigami digne de ce nom. Alors, lorsque ceux-ci commencèrent à la harceler, à l’empoisonner pour tenter de l'utiliser, Mitsuki devint réellement ce qu'elle était, une vraie teigne!, utilisant à tout bout de champ son/sa cher (e) Namida, ou des concoctions de poisons faites par elle même. Hélas, Mitsuki était encore faible, et bien qu’elle sache utiliser son zampakuto, celui-ci demeuré instable due à son manque de maturité, et l’affaiblissait tout autant que son entourage, si ce n’est plus.
Néanmoins, Mitsuki était encore jeune, et ayant commencé des études pour devenir shinigami, qu’elle n’avait jamais terminé, Kurotsuchi lui avait simplement dit de trouver le nom de son zampakuto si elle voulait pouvoir rester dans sa division. Cependant, elle ne savait toujours pas le nom de son arme, et bien qu'elle fasse énormément d'efforts pour le découvrir, l'expansion de l'âme semblait être contre l'idée de donner son nom. si bien qu'elle décida de le nommer elle même, et Namida devint Nono.
Le capitaine fut étonné qu’une telle enfant puisse ne pas scier à sa personne, et lorsqu’il vit la jeune shinigami lui répondre qu’elle n’avait aucunement besoin d'ordre et qu'elle y arriverait seule, et ce avec un langage châtié. Il accepta tout de suite de dompter la tigresse qu’était la jeune fille de 18 ans post-mortem. Et lorsqu’elle n’était pas en salle d'entrainement, elle était en compagnie de son maitre qui, l’ayant au bout d’un moment, refourgué à l’un de ses sous-fifres, l’observé tout de même d’un œil amusé, hormis quand elle piquait ses crises de nerfs ou l’appeler « Tonton Mayuri », mais ça, c’était juste Mitsuki…
Uniquement pour Shinigami :
Division souhaitée : douzième division
Nom du Zanpakutô : Tsukino-namida
Type de votre Zanpakutô : Namida est de type aquatique/pluvieux si j’ose dire ainsi.
Description du Zanpakutô non libéré : une grande lame (katana), environ 1m30, décorée d’arabesque d’or tout le long. Le manche est recouvert de soie mauve, gravé de kanji inversé en forme de croix sur lequel repose un croissant de lune bleu. Il peut être tenu dans le dos. Son fourreau est, contrairement au manche, d’un bleu très prononcé et croisé d’or. Sous forme humaine, il est impossible de définir si Namida est un homme ou une femme. Très androgyne, il/elle porte un loup doré sertie de plume bleue au niveau des yeux, qu’il/elle à violets. Vêtue en tout et pour tout d’un long Yukata bleue, couvert d’arabesque d’or et d’argent, il est simple et peut être porté par les deux sexes. Des cheveux argentés et lui arrivant aux épaules, noués par deux liens à l’arrière de la tête et fermé par un saphir en forme de larme.
Description du Zanpakutô Shikai (non acquis) : la lame se change en long manche d’acier qui se termine par une pointe à double tranchant, unifié par un croissant de lune au centre. Un ruban bleu est accroché au croissant et se balance librement, le dos de la lame est recouvert d’un poison obtenu après distillation des larmes de lune de son porteur. La lame à double tranchant possède la première légèrement arrondi, comme un départ de fau (pensez à la grande faucheuse), et la seconde a la forme d’un os, qui une fois planté, écarte ses extrémités pour infliger plus de dégâts. Sa libération se fait sur les trois mots suivant : Mizu no iwai Tsukino-namida
Techniques Shikai: Le shikai est composé de trois techniques, trois chagrins pour être précis, chacun d’eux se délimite par la monté d’eau/larmes qui compose le zampakuto :
« Namida no Dekishi (bunsan)» Noie les de tes larmes, crée un étau d’eau salée autour du visage de son ennemi qui se resserre au fur et à mesure que l’autre bouge. Si elle rajoute la « dispersion », ce n’est plus un étau aquatique qui se forme, mais cinq qui attachent l’ennemi et le prive de son arme.
« Namida no umi ni tobikomi » Plonge les dans l’océan de tes larmes. Mitsuki forme un pentagramme en marquant le sol d’une fissure avec son zampakuto, et crée une sorte de lac ou s’y reflète un croissant de lune très fin. Il faut ensuite qu’elle réussisse à faire toucher l’eau par son ennemi, ce qui le fera tomber dans un lac de torture, et ce avant que le croissant de lune ne devienne lune pleine.
« Namida no tekina utau » chantes tes larmes. Mitsuki lève pointe sa lance vers le ciel, la larme qui se trouve en son centre s’illumine et donne naissance à une pluie étrange qui se focalise sur l’ennemi et l’emprisonne dans une bulle d'eau gélatineuse dont il ne peut sortir
Description du Zanpakutô Bankai: le zampakuto en bankai reste le même qu’en Shikai, cependant, Mitsuki revêt le yukata de Namida, le masque à plume, et ses cheveux sont noués en chignon haut à l’aide d’un croissant de lune bleue.
Techniques Bankai (non acquise) :
(ultime) « Tsuki no mizu no masutādearu » soit maitre/sse des eaux lunaires. Mitsuki prend donc l’apparence de son zampakuto sous forme humaine, et fais tourner la lance au dessus d’elle. Un rayon bleu clair quitte le ciel et la transperce, la transformant en particules d’eaux, celle-ci s’insinue ensuite dans les poumons de son ennemi et le noie de l’intérieur. Sous cette forme, elle peut maitriser toutes les eaux alentours si l’une de ses particules s’y est mêlée. Néanmoins elle reste vulnérable à toute sorte de chaleur.
"Namida no bakuhatsuha" explosion de larme. Soit un anneau d'eau se formant autour de la taille de Mitsuki, puis explose ensuite dans un rayon de deux cent mètres, les ennemis touchés sont alors englués dans cette eau. peut être évité en cas de forte chaleur.
"Namida no bushin" Lors d’un combat sous cette forme, elle peut créer un clone ou deux, aqueux afin de détourner l’attention de son ennemi ou le combattre, cela double la puissance de son reiatsu et l'ennemi ne peut discerner la vraie de la fausse.
"Jinsei no namida" larmes de vie. Permet à Mitsuki de se soigner, ou soigner une autre personne, en colmatant les blessures avec de l'eau salée, permettant l'arrêt momentané du saignement et de la douleur.
Test RP "mauvaise journée/ mort prématurée"
:
Le jour où je suis morte, j'avais seize ans.
Croyez-moi, crever le jour de son anniversaire, c'est vraiment pas terrible.
La journée avait pourtant bien commencé… Alors pourquoi j'étais morte ? C'est vraiment pourri cette histoire.
Je regarde mon corps, étalé sur le bitume comme une mouche après un coup de tapette, qui se vide lentement de son sang… et de tout ce qu'il y avait dedans. La cervelle sort, les tripes font une ballade et tous les autres organes vont faire coucou au goudron. Quand je pense que je me suis donné un mal de chien pour disséquer une bête sourie et voir ce qu'il y avait à l'intérieur quand il suffisait que je meurs pour assister à la dissection de mon corps en direct ? J'aurais du y penser plus tôt.
Le conducteur de la voiture qui m'a percutée –non mais quel chauffard celui-là, même pas capable de voir plus loin que le bout de son nez !- et resté sur son siège, à croire qu'il se fout de m'avoir tué… Mais c'est qu'il s'en fiche vraiment en plus !
Les gens n'ont plus aucune morale de nos jours…
Mais je parle, et j'oublie de me présenter –remarque, j'ai des circonstances atténuantes, après tout, je suis morte ! J'ai le droit d'être sous le choc, non ?-
Je m'appelle Mitsuki Kouyama, mais je préfère Tsuki. Juste Tsuki, ok ?
J'ai les cheveux bruns, très longs, les yeux mauve, un bonnet F… nan c'est pas vrai, en fait, je suis pratiquement aussi plate qu'une planche à pain, et je suis actuellement en train d'essayer de ne pas sombrer dans la dépression en recourant au sarcasme et à l'humour, débile de préférence.
Mourir, ça fait un choc. Mais j'y survivrais, après tout, j'ai vécu pire que ça, non ?
… Non.
Un jour, un mec a dit qu'on meurt comme on a vécu. Eh bien dans mon cas, ça se résume en un mot : Stupidement.
J'ai traversé la rue pour aller à la librairie, une voiture a déboulé, et la suite, vous la connaissez.
Je détourne les yeux de la scène. Bon, maintenant que je me suis apitoyée sur mon sort, il est temps de faire le point sur ma situation.
Je suis morte, soit.
Je suis sous la forme d'un… fantôme ? En tous cas, j'ai la même apparence, mais mes vêtements semblent...différents.
Je porte une… chemise blanche et noire, les manches remontées jusqu'aux coudes, mes mitaines noires et blanche sont comme neuve (c'était du cuir ?) aux mains, un pantalon noir et blanc large, des bottines blanches et noires, en cuir, et… le must du must, une cravate noire rayée blanche, pas nouée entourant le col relevé de ma chemise.
Ma tenue préférée, que j'avais cru voir disparaitre sous le sang est entière. Géniale ! Excellent, super, magnifique ! Ça vaudrait presque le coup de mourir, juste pour avoir la vision de ses vêtements remis à neuf !
Je remarque un truc au niveau des mitaines : il y a… du métal ? Au niveau des premières phalanges, comme un renforcement. Encore plus génial.
Je suis trop contente. La mort, c'est cooool… Si on enlève le principale inconvénient, évidemment.
Bon. C'est pas tout ça, mais faudrait que je me bouge les fesses, moi. On vient de mettre mon corps dans une ambulance, qui fonce vers l'hôpital. Mais quels abrutis.
Ils ne voient pas que je suis déjà morte ? C'est pourtant clair, non ? Voiture + accident + cervelle et tripes par terre = cadavre !
Manifestement, ça ne l'est pas.
…
M**** ! P***** de m**** ! L'ambulance vient de se tirer ! Je fais comment, moi, pour retrouver mon corps ? Faut bien que je le surveille, non ?
Je vois une tache blanche qui roule. L'ambulance, alléluia ! Je me mets à courir pour rattraper l'engin. Croyez-moi, si j'avais su que c'est ce que je ferais de ma journée, eh ben je serais restée couchée, aujourd'hui.
_BAAANZAAAI !
Je galope. La tache blanche se rapproche… Hourra ! C'est bien l'ambul… ah bah non, c'est pas l'ambulance.
C'est… un machin avec un masque sur le visage, et un trou dans le torse.
Un Pokémon ?
Le machin en question se tourne vers moi, et sa bouche s'ouvre, avec un grand sourire plein de dents -pointues, les dents- dans le genre « super, un poulet rôti à point vient vers moi, et ça tombe bien, j'avais trop faim ! » et s'avance vers moi.
Re-Banzai. Mais dans le sens contraire au truc, cette fois. Je galope de toutes mes forces.
_AU SECOUUUUUUUUR !
Je cours, encore et encore. Quand j'étais vivante, c'est-à-dire moins de dix minutes auparavant, j'avais des problèmes d'endurance –comprenez que courir plus de deux minutes était totalement au-dessus de mes forces- mais avoir un Pokémon affamé à ses trousses aidant, je ne ressentais aucune fatigue ou problèmes respiratoires.
_WHAAAA ! JE SUUUUIS PAAAAS COMESTIIIBLEEE !
Ca, c'est moi.
_Reviens-ici, petite âme, tu ne peux pas m'échapper !
Ca, c'est le Pokémon.
On dirait un dessin animé ; moi, en train de courir comme une dératé en hurlant, et ce truc en train de me poursuivre.
Je m'engage dans une ruelle. Le Pokémon me poursuit. Je tourne à droite, à gauche, à droite, et encore à gauche.
Je tombe sur un ***-de-sac. C'est bête.
Le Pokémon s'arrête.
_Salut, marmonnais-je.
Je risquais un sourire timide. Bon échec du plan A « on cours et on le sème ». On passe au plan B « sympathisé avec le Pokémon »
_Ca va ? Et ta famille ? Tranquille ? Et les gosses ?
_J'ai faim, petite âme, laisse-moi te manger…
Mais oui, bien sur. Il ouvre la gueule. Des sueurs me coulent dans le dos.
_Bon… ben c'est pas tout ça, mais je dois y aller hein… On s'appelle !
Je commence à me déplacer sur le côté. Malheureusement, le monstre s'élance vers moi. Je saute dans la direction opposée. C'était juste, j'ai failli finir en pâté pour Pokémon.
Attendez une minute. Depuis quand j'ai les réflexes de Bruce Lee, moi ?
Pas le temps de réfléchir, Pikachu version monstre se lance à nouveau vers moi. Je re-saute, et fais une petite prière à Bruce Lee, Jackie Chan et Superman pour que mes supers réflexes durent encore un peu.
La patte du monstre m'atteint. Zut ! Je suis touchée à la jambe… Ah bah non, en fait. Quoique… M**** ! Les griffes de ce machin ont déchirées mon super pantalon ! J'y crois pas ! Je meurs, je me retrouve avec la tenue de mes rêves, qui se fait aussitôt déchirer par une réplique de Pikachu !
Je suis maudite.
_Alors ça, tu vas le payer, espèce de cafard géant !
Je suis très, très en colère. Et on ne met jamais Tsuki -et ses nouveaux réflexes de la mort qui tue- en colère. Pas sans le regretter. J'enclenche le plan C : « baston ».
_BANZAI !
Je fonce dans le tas et met un pain au Pokémon. En plein dans le masque, yes ! Je l'ai touché !
Je m'écarte un peu, pour ne pas manquer l'explosion qui devrait faire péter le monstre. Je pointe mon doigt sur le Pokémon :
_Haha ! Tu fais moins le malin, mainten…
Le reste du mot s'étrangle dans ma bouche. Le cafard n'a rien, mis à part une petite fêlure dans son masque. Il avance vers moi, et il semble encore plus affamé.
C'est bêêêête… J'ai toujours su que Bruce Lee n'était qu'une lavette.
_Maaangeeer… beugle le monstre.
Oups. Je suis très très mal.
Soudain, j'ai un flash (comme dans les films, ouais). Je vois… Dragon ball !
Aucun rapport, mais c'est pas grave…
Attendez… Je peux peut-être essayer le Kaméhaméha… De toute manière, au point où j'en suit…
Je me met en position. Je suis tarée, mais au moins, j'aurais tenté.
_KAAAAMEEEHAAAMEEEHAAA !
Je tends la main et là….
Rien.
Je suis vraiment maudite.
Le Pokémon me regarde d'un drôle d'air. Il doit se demander si une folle comme moi est comestible.
_Ce n'est pas comme ça qu'il faut faire, petite âme… Laisse-moi te montrer… Je te mangerais après…
Il ouvre la bouche.
_Ça tombe mal, je suis pas comestible… J'ai un gout vraiment un gout affreux, vous savez…
Quelque chose de rouge se forme, une… boule d'énergie ? Ou une attaque Tonnerre ?
Quoique qu'il en soit, ça fonce sur moi et… MERDEEUH ÇA FONCE SUR MOI !
En désespoir de cause, je fais la même chose que lui. En adressant une prière à tous les héros de mangas que je connais. Et à tous les saints. Et à tous ceux qui sont susceptibles de me sauver. N'importe qui, je ne suis pas difficile. MAIS QUELQU'UN PAR PITIÉ !
Je ferme les yeux, me concentre et… quelques secondes passent. Je rouvre les yeux.
… Je ne suis pas morte. Enfin, techniquement si, mais pas une deuxième fois. Bonne nouvelle.
Le Pokémon est allongé sur le sol, il n'y a plus que la moitié de sa carcasse. C'est gore, mais c'est une bonne nouvelle.
C'est moi qui ait fait ça ? Je fixe ma main d'un air critique. Aurais-je réussi à faire Kaméhaméha ? Il semblerait que oui. Je me permets un sourire victorieux, et pointe mon doigt vers la dépouille encore fumante :
_Tu aurais du savoir qu'on ne provoque pas la fille cachée de Sangoku impunément, cafard !
Le cadavre s'éparpille en milliers de petites étoiles noires. J'observe, fascinée. Cool…
Je lève la main et reforme un fais le signe de victoire, direct vers le ciel. Puis, après le signe, viens la danse, pas très classe, mais j'ai le droit d'exprimé ma joie...
Je me remet à sourire.
Mitsuki Kouyama est morte (c'est le cas de le dire), et Tsuki la killeuse de Pokémons démoniaques est née ! MOUAHAHAHA !
…
Qu'est-ce que je viens de dire, là ? Je commence à débloquer complet, moi.
Je m'éloigne de la scène du crime, sans savoir très bien ou aller. Soudain, apparait un autre Pokémon démoniaque. Il s'avance vers moi, et je tends la main :
_Tu as eu tort de croiser le chemin de Tsuki, Pokémon ! Il est temps pour toi de rejoindre tes ancêtres ! BANZAI !
Je ferme les yeux, comme les héros de BD, tout en prenant la pose. Et un Pokémon en moins, un !
Je me retourne, et m'apprête à partir, quand une sensation bizarre m'assaillit.
Il ne s'est rien passé, Pikachu est toujours entier, et il vient vers moi à toute allure. Faut vraiment que j'apprenne à viser. Je me remet à courir comme une (dé)ratée.
_KYAAAAAAAAAA !
Un bruit sur ma gauche me signale que pokemon numéro deux vient de succombé, en face de moi, plus de pokemon, juste un gars en pyjamas noir, sourire d'aliéné et gros couteau à viande à la main. Une minute? couteau à viande?
bizarrement, j'ai l'impression que les pokemons étaient plus affectueux, pas vous? bon, ben c'est pas tout, mais moi je dois y aller hein! et je repars dans un sprint, franchement, qu'ai-je fais au seigneur - s'il existe évidemment - pour mériter ça?
Sujet: FT de Mitsuki "on dit Kou Kihi-sama!" (terminée) ![[Staff™] Vizard Ultime / Bring me to life](https://2img.net/r/ihimizer/img401/8716/bringmetolife.png "[Staff™] Vizard Ultime / Bring me to life")
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