Au claire de lune. (Training décembre Nu et Eeïko.)

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La mort ? Qu'est-ce que s'était vraiment ? Quel effet ça faisait de mourir ? Que se passe-t-il après la mort ? C'était les questions que se posait Eeïko, qui, quelques jours avant était passé très près de cette mort. Un combat facile, un adversaire sur les nerfs, une stratégie implacable voilà ce qu'avait mis en oeuvre l'arrancar. Mais il avait oublié que ces shinigamis ont quelque chose que lui n'a pas, un but, une volonté de vivre. Après tous, rien de retenait l'arrancar, mourir maintenant ou mourir plus tard ça n'avait pas tellement de différence à son niveau.

La mort après tous, ce n'était pas la chance de vivre une nouvelle foi ? Et s'il avait déjà vécu avant de devenir un Hollow ? Et s'il avait été humain un jour ?

La vipère ignorait beaucoup de choses, pour elle, elle s'était réveillée un jour d'été affamé dans le Hueco mondo et depuis, Eeïko avait mangé pour survivre, mangé pour devenir plus fort... manger, car tous simplement il n'avait que ça à faire. Manger devait être son but ultime durant sa période de Hollow, mais maintenant qu'il n'avait plus faim, que recherchait-il ?

L'arrancar marchait les yeux vide de sens dans le désert blanc, un esprit enroué de pensées naïve et insolente. Et si la mort était une personne à combattre ? Et que si on la tuait on devenait un dieu suprême ? Et si son but était de battre la mort ? Après tous s'il devenait plus fort, il serait peut-être capable un jour de la battre, mais bon si des espadas avait laissé péri et n'étaient jamais revenus, un simple arrancar comme lui n'avait aucune chance.

Avant de vouloir battre la mort, Eeïko devrait combattre la vie, tuer des humains, tuer des shinigamis !

Mais tuer un shinigamis ce n'était pas si simple. Ils combattaient pour leur idéaux, pour leur envie de protéger ses misérables âmes errantes. Les arrancar se battaient par pur plaisir et surtout parce que c'est la seule chose qui les tiens en vie, combattre pour devenir plus fort. Si un jour Eeïko arrivait à percer le secret des shinigamis, il aurait un avantage sur eux et il pourrait ainsi les tuer tous ! Et lorsqu'il sera l'être le plus puissant, il ira défier la mort pour la battre et devenir un dieu. Eeïko le dieu ! Le grand maître du monde. L'arrancar premier. La vipère Dieu, sa sonnait bien dans sa tête, il avait plus qu'à tous faire pour devenir un dieu.

Réfléchir était une bonne chose, mais fallait-il encore qu'il se rappelle où il était ! L'arrancar marchait depuis quelques heures déjà sur le désert blanc et il était plus que visible, il risquait sa peau et restant par là, il n'était pas près de devenir un dieu s'il mourrait maintenant, la mort le vaincrait facilement.

Eeïko cacha par réflexe son Reaitsu lorsqu'il aperçut une femme au loin, ça devait être une arrancar, elle avait des cheveux blancs et un trou dans la poitrine, ce n'était donc pas un shinigamis. Elle possédait un Zanpakuto assez simple, mais la confiance qu'on pouvait lire dans ses yeux assuraient qu'elle se sentait en securité. Pris d'excitation, le jeune arrancar ne prit pas le temps de sonder son energie spirituelle, il faisait une erreur, mais c'était trop tard pour s'en rendre compte. Il fonça sur elle comme un obus et lorsqu'il fut assez près il décocha un coup de pied. Sur le coup il avait visé les côtes, mais à la fin ce fut de l'air qu'il découpa.

Etait-ce un mirage ? Il avait entendu parler des mirages, ce que les gens voyaient qui n'était enfaîte que la volonté de leur imagination, mais pourquoi aurait-il imaginez une femme, de plus elle avait l'air si réel...

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\Flashback/

Je marchais sur ce sable toujours aussi frais. Je marchais dans ce désert éclairé d'une unique lumière sans fin. Je ne savais pas où ce désert allait me mener. Ce que je savais, c'est que je me devais de retrouver Yomaku. Peut-être qu'il est revenu au Hueco Mundo après son départ et je ne l'ai simplement pas senti. Ma solitude dans ce monde me rendait presque malade. J'ai toujours été accompagnée de quelqu'un, un homme surtout. Maintenant que je me retrouve toute seule, j'ai l'impression d'avoir perdu mon sens de l'orientation. Ça fait réellement bizarre. Tsuhide a disparu, Yomaku a disparu. Je me suis attachée en quelques sortes à ces deux individus. Tsuhide, il est devenu un arrancar, étant à la base un humain. Il m'a écoutée, il a su se détacher de cette fausse aura chaleureuse que dégagent les Shinigamis. Je ne sais pas pourquoi, mais les humains ont tendance à s'attacher facilement avec ceux-là. Je ne voulais pas que mon nouvel ami ne devienne un esclave comme eux. Je voulais qu'il soit libre à sa façon. Il a réussi, heureusement pour lui. Mon Pesquisa, même s'il est encore plus évolué qu'avant à cause de ma sourdité, ne le détecte dans aucun des mondes où j'ai fauché de mes pieds nus. Serait-il mort? Un shinigami l'aurait sûrement achevé lâchement. Je serrais les poings, l'air pensive, je fixais le sol.

Je pensais ensuite à Yomaku. Il a disparu le même jour que Tsuhide. Seraient-ils tombés sur le même ennemi et les deux ne s'en sont pas sortis indemnes? Je me les imaginais ensanglantés, les vêtements déchirés, rampant comme des escargots sur le sol souillé. Puis, après quelques secondes, mourrir sous les yeux du sadique esclavagiste. Si mon maître de combat est mort, alors que pourrais-je faire contre cet ennemi puissant? Certes, il m'est possible de dépasser les capacités de mon maître, mais pour l'instant, je ne crois pas être au niveau. que devrais-je faire? Devrais-je rassembler des fidèles serviteurs d'Aizen-sama et poursuivre à mort cet intrus? Ce meurtrier? Cette enflure pleine de pue? Je devais d'abord retrouver les cadavres de mes alliés avant de faire une supposition de la sorte. Il ne fallait pas précipiter les choses et se rendre à l'évidence. Yomaku est quasiment invincible, je ne voyais vraiment pas quel imbécile heureux pourrait en venir à bout. D'ailleurs, s'il est aussi fort, c'est grâce à Aizen-sama. Si Aizen-sama n'était pas là, beaucoup d'entre nous n'auraient pas vu le jour, ne seraient pas aussi forts et aussi déterminés à se battre.

Je marchais sans croiser qui que ce soit. D'ailleurs, je me douterais bien que ceux que je croiserai seraient des ennemis d'Aizen-sama. Les alliés d'Aizen-sama sont tous dans la forteresse à attendre les résultats de la conquête de notre Dieu. Personnellement, je crois que si Aizen-sama était parti là-bas lui-même, c'est qu'il ne reviendrait pas. Rendu là-bas, il aura pris la place du Roi et règnera sur tout ce qui existe. Rien ne peut arrêter Aizen-sama. La seule chose qui puisse le faire, c'est lui-même en personne. Je ne crois pas qu'il puisse mourrir même s'il le veuille. Aucune lame ne peut l'atteindre. Aizen-sama, lorsque je retrouverai Yomaku, je vous retrouverai ensuite. Je serai de nouveau à vos côtés et je ne vous décevrai pas. Je suis votre esclave, votre serviteure personnelle et rien au monde ne me fera changer d'avis. Sans vous, je n'existerais pas, sans vous, je suis rien. C'est vous qui me permettez de vivre.

Je relevai enfin la tête. J'appercevais une silhouette qui marchait dans ma direction. Je n'avais jamais senti ce reiatsu avant. Donc cette ombre serait un inconnu. Je n'avais rien à perdre de le questionner sur Yomaku. Après tout, il est tellement puissant que les gens commencent à croire qu'il est une légende. Peut-être qu'ils me diront s'ils ont vu cette légende. Je n'ai rien à perdre de demander. Après tout, son Reiatsu ne me semble pas si élevé que cela et je ne risquerai rien s'il ose s'en prendre à moi. Alors que je le sondais déjà, je sentis son énergie spirituelle disparaître d'un coup. Je continuais d'avancer malgré cela, confiante. Lorsque je pus enfin voir quelques caractères sur son visage, l'étranger me chargea et décocha un coup de pied au niveau de mes côtes. J'évitais donc le coup avec toute ma vitesse et me mis dans son dos, les bras croisés, un sourire amusé au visage.

Ahum! Je suis ici! J'ai une question pour vous.

J'attendais de voir la réaction de ce type. Je n'étais pas nerveuse face à lui et je savais que je n'avais pas de temps à perdre avec lui. La recherche de Yomaku était plus importante qu'un combat sans but. Peu importe la riposte de l'arrancar, j'allais l'éviter agilement. Je voyais très bien son mouvement, sa façon de se battre. Je n'avais rien à craindre.

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La femme était bien réelle, ce n'était pas une imagination, elle était devant lui les bras croisés et un sourire amusé. Il fallait croire que cette femme était bien plus forte qu'elle le laissait paraître, c'était peut-être le début de la fin, des gouttent de sueurs tombaient du front d'Eeïko, cependant il ne tremblait pas, sa fierté le poussait à garder son calme, il allait devoir jouer de sa maîtrise en manipulation pour ne pas mourir. L'arrankar avançait, en direction de son opposant, il souriait malgré lui et fut surpris parce que lui avait demandé cette femme. Elle avait une question, ça tombait bien, la vipère en avait aussi, enfin il en avait depuis maintenant trente secondes.

"Ca tombe bien, moi aussi j'en ai, je t'ai attaqué car je voulais savoir si tu avais le niveau suffisant pour pouvoir me répondre et lorsque je t'ai vu éviter mon attaque, j'ai su que tu étais l'une des meilleures, je suis désolé d'avoir agis comme ça, c'est mon esprit curieux tu sais, j'ai des petits soucis pour différentier les grosses cylindrées aux petits calibres. Les gentlemen diraient les femmes d'abords, donc si tu permets, je t'écoute. Je suis assez médiocre en réponse, je connais pas grand-chose du monde à vrais dire, mais si mon peu de connaissance suffit, je suis tout à toi."

Eeïko jouait à un jeu dangereux, il avait inventé ça de toute pièces et se permettait de tutoyer cette parfaite inconnue. Sil elle s'énervait, l'arrancar devrait utiliser sa fourberie pour se sauver, encore fallait-il en avoir le temps. Il avait enfoncé son pied dans le sable, près à lui jeter à la figure, le reste ferait l'affaire, son art de camouflage et sa vitesse au sonido pourrait lui donner de l'avance et ainsi se cacher dans la forêt. Seul un problème persistait, la forêt se trouvait à environ 2km des deux arrancars.

Il fallait réfléchir et vite trouver une solution de secours, après tous elle voulait lui poser une question, elle cherchait peut-être juste le grand château des trois humains ? Non pas possible vu le niveau qu'elle avait il était même possible qu'elle y vive dedans.. Un compagnon de route ? Devenir le chien de cette femme serait vraiment une torture, l'arrancar aimait le faîte qu'il soit libre comme le vent, faire le lèche botte à longueur de journées n'était pas dans les options d'Eeïko, mais après tous, il n'aurait pas le choix, vivre ou mourir ? Tel est la question ?

Et si la mort n'était enfaîte qu'une délivrance ? Ce qui permettrait de quitter l'esclavagisme ? Une sorte de clef secrète qui ouvrait la porte d'un nouveau monde ou tout le monde serait au même niveau ? Non c'était ridicule. On ne peut pas être au même niveau, Eeïko voulait devenir le maître du monde, s'il s'avérait que la mort était un tout autre monde, ça ne valait pas le coup. Et puis être le toutou d'une puissance divine cela avait ses avantages, au fur et à mesure on deviendrait plus fort et quand l'occasion se trouverait la vipère tuerait sa maîtresse et deviendrait le nouveau maître du monde... Eeïko le divins.....

-"Avant toute chose, je suis bien mal élevé, j'ai oublié de me présenter ! Je m'appelle Eeïko, l'arrancar numéros 69. La particularité de ce numéros et que les deux chiffres qui le composent sont inversés l'un à l'autre alors même lorsque je suis à l'envers, on lit mon numéros à l'endroit. Pour te servir mademoiselle. On me surnomme la vipère, pourquoi je ne peux te dire..."

Il murmura.

"-C'est un secret.."

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L'arrancar devant moi parlait beaucoup trop. Il m'énervait de plus en plus. J'aurais dû le détruire quand j'en avais eu la chance. J'écoutais ma conscience qui me disait de me calmer et de prendre mon mal en patience. Ce type parlait beaucoup, il ne disait pas grand chose qui m'était utile sauf sa fin de monologue. Il me racontait qu'il ne savait pas ce qu'il devait faire. C'était presque comme s'il ne savait pas d'où il venait. Peut-être serait-ce une opportunité pour moi de le faire chavirer du côté d'Aizen-sama. Oh... il serait tellement fier de moi! J'entendais encore les paroles inutiles de l'arrancar dans ma tête. Il me disait que c'était pour me tester. Ah bon? À son niveau si bas? Non mais il me prend pour qui? Je croisais les bras, perdis mon sourire. Je sentais la colère monter en moi. On ne se moque pas de moi! Oh non! Nu Hakujin n'est plus une enfant, elle sait maintenant comment s'en tenir avec les gens!

Alors que j'allais parler, il me coupa sèchement pour continuer de bavarder. Je serrai le poing, me retenant de lui envoyer à la figure drastiquement. J'avais un plan en tête et le frapper maintenant serait tout à fait inutile. Il me donna une définition de comment on écrivait son numéro d'arrancar. Colère... comme tu es belle, mais retiens-toi! Ton tour viendra! Il se nommait Eïko, Eïko la vipère. Ce surnom est un secret? Et bien, de toute façon, je m'en fous! Je tapais du pied, mon impatience allait me faire exploser! Quand il termina sa phrase, je crachais presque mes mots. Je m'étais retenue tellement longtemps de m'exprimer que ça ne pouvait pas faire autrement.

JE SAIS LIRE! Tu n'avais pas besoin de m'expliquer comment on écrit soixante-neuf! Appelle-moi Nu. Je cherche un Yomaku, c'est le Cero Espada. Il est pas mal grand, costaud, habillé de noir de la tête aux pieds. Il a un regard de démon aussi. Ça te tient quelque chose?

Ouf! Ma jolie colère se dissipe lentement. Parfois, ma colère me rend aveugle et sans mes yeux, je ne peux pas lire sur les lèvres. Déjà que j'ai un handicap, deux me rendraient folle! Mon Pesquisa n'est pas encore assez évolué pour me permettre de sonder les formules mathématiques des sons et des voix. Le programme dans mon armure de resureccion n'est pas assez récent non plus pour le faire! Alors, il vaut mieux que j'attende que ça passe, plutôt que de me jeter dans la gueule du loup. Pas qu'il soit dangereux, mais il pourrait avoir des informations importantes... J'écoutais sa réponse avec attention avant de lui proposer mon plan:

J'ai remarqué aussi que tu semblais perdu dans tout ce monde. Je sais où nous sommes et je sais pas mal de choses utiles avec lesquelles je pourrais t'informer. Une seule chose par contre... pour les obtenir, tu devras te donner à fond physiquement et mentalement. Je veux te voir te battre jusqu'à ta dernière goutte de sueur. Tu m'attaqueras sans cesse et lorsque j'aurai une ouverture, je la prendrai avec joie. Alors?

Mon sourire revint, mais il ressemblait d'avantage à celui d'un démon. Peut-être croirait-il que j'étais la soeur de Yomaku? Ce qui serait totalement faux de croire. Je ne suis la soeur de personne, l'amie de personne! Je ne suis qu'une combattante qui sert son maître, rien de plus, rien de moins! Je n'espère rien en retour de mon maître parce que je sais que la seule chose qu'il ait fait pour moi, m'a permis d'avoir totalement confiance en lui.

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Eeiko en avait beaucoup trop fait et commençait à se mordre les doigts, si elle s'énervait, il allait en payer de sa vie.

Elle cherchait un dénommé Yomaku, qui ne le connaissait pas ? C'était la puissance absolut de tous les Hueco Mondo, seul Aizen était au dessus de lui enfin c'était d'après les rumeurs. Eeko avait beaucoup plus peur de Yomaku que de l'humain. Elle proposait ensuite de répondre aux question de la vipère en échange d'un combat ou il devrait se donner à fond. Il aimait se genre de combat mais, il savait que s'il était amené à être trop faible elle le tuerait sans regrets, il allait devoir se donner à plus de 100%.

-"Pour ma propre sécurité j'accèpte, je me retiendrais pas, j'espère que je ferais bonne figure pour que tu accepte que j'ai un potentielle et ne pas me donner la mort. Je pardonne mes actes à l'avance....."

Il souleva son pieds d'un coup et des millions de particule de sable fin foncèrent sur l'arrancar femme qui créa un nuage de fumé intense, la vipère utilisa son don de camouflage et dissipa ainsi son reaitsu. Il se mit à courir loin de son adversaire et lorsqu'il fut à bonne distance en profita pour lancer une série de Bala. Il savait qu'elle les esquiveraient son forcer, mais le nuage de fumée que l'attaque créait allait l'arranger pour la suite. Il chercha son reaitsu et le trouva sur son côté droit c'est alors qu'une nouvelle série de Bala eu lieu créant encore plus de fumées.

-"Ça fait quoi de ne rien voir, rien sentir et entendre une voix qui résonne !! Ah ah ah."

Il commença sa torture morale, c'est elle qui devait avoir pour effet de plaire à son adversaire. Il ne pouvait pas compter sur la force brute elle était bien au dessus, ni sur la force spirituelle par peur d'être broyé, mais le langage que crashait la vipère était le plus énervant, le plus sifflant et le plus agressif.

-"Je suis par la poupée"

-"Ah non j'ai changé d'endroit !"

Lorsque la fumée se dissipa, on ne voyait Eeïko nul part, il s'était enterré dans le sable ne laissant ressortir aucun membres, il guettait les passages de l'arrancar femme, elle ne le sentait pas, elle allait peut-être croire qu'il s'était enfuit, mais il était encore la.

Les minutes passèrent et la femme regardait les alentours, ce n'était pas le moment de bouger.

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