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 Le rapport du capitaine Komamura

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Komamura Sajin
Capitaine de la 7ème division
Capitaine de la 7ème division
Komamura Sajin


Masculin Nombre de messages : 61
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Fiche Technique : Komamura Sajin

Feuille de personnage
Nom du zanpakutô/Nature du pouvoir: Tengen
Niveau: Capitaine / LVL 14 (Lvl uped)
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MessageSujet: Le rapport du capitaine Komamura   Le rapport du capitaine Komamura EmptyDim 9 Jan - 6:43

" Enfoiré...je regrette d'avoir a passer plusieurs jours en reconstitution totale...mais au moins je ne serait pas parti sans te voir suffoquer de ma toxine... "

Furent les mots de Mayuri Kurotsuchi alors qu'il fuyait lâchement le châtiment que lui avait réservé le capitaine de la septième division à savoir : la mort. Ne pouvant rien contre le directeur du bureau de recherches, Sajin fut quelque peu frustré mais la frustration parti bien vite lorsqu'une vive douleur monta dans sa poitrine. Comme venait de le dire Mayuri, le poison faisait de plus en plus effets et donc la santé du capitaine-renard se dégradait de plus en plus. Il fallait qu'il s dirige vite vers les quartiers de la quatrième division qui pourrait sûrement l'aider. Komamura rappela Tengen qui disparu aussi soudainement qu'il était apparu puis s'élança en direction de l'hôpital du Seireitei. Plus le temps passait et plus ses pas étaient lourds, un shinigami ordinaire aurait déjà succombé car au poison s'additionnait la fatigue et les blessures dut au combat de titan entre les deux capitaines. Ses yeux voyait de plus en plus trouble mais dans sa classe infinie Sajin continuait à marcher droit la tête haute, si il devait mourir il le ferait au moins avec classe. Le capitaine à la posture impressionnante était quasiment arrivé à destination et il avait déjà tenu très longtemps...trop longtemps. Le temps d'un pas, d'une longue inspiration, le colosse tomba inconscient à plat ventre contre le sol sentant la mort venir à lui lentement ces dernières pensées allèrent vers Yamamoto,Hisagi et la dernière personne qu'il eut à l'esprit fut Tousen. Était-ce la fin du capitaine de la septième division Komamura Sajin ?

Une lumière blanche fit son apparition, la même lumière que les humains disent voir lorsqu'il meurent. Ce fut cette même lumière que Sajin aperçu, elle fut d'ailleurs accompagné d'une petite piqûre au niveau du bras et ensuite d'une sensation de chaleur dans tout le corps. Le capitaine entendit même un brouhaha assez léger, avec un peu plus de discernement il sut que c'était une voix et même une voix de femme. C'est à ce moment là que Sajin se rendit compte qu'il n'était sûrement pas mort, la lumière qu'il apercevait était en faite les rayons d'un jour nouveau qui venait se poser sur ses yeux qui étaient restés fermés trop longtemps. La voix quant à elle appartenait à Kione Kotetsu vice capitaine de la quatrième division. Quand elle remarqua que Komamura avait reprit connaissance elle afficha un sourire de soulagement avant de s'adresser à lui...

" Komamura-taisho j'ai bien cru que vous n'alliez jamais vous réveillez ! On a dut vous administrer six doses d'antidote en plus de celles que je viens de vous administrer pour vous sauver la vie. "


" C'était donc ça cette piqûre suivit de cette sensation de chaleur "


" Vous êtes en chaleur [ Pas de remarques bizarres hein ! ] parce que vos anticorps se battent toujours un peu contre le poison."

" Comment avez vous trouvez l'antidote... et d'ailleurs comment suis-je arrivé ici ? "


" Kurotsuchi Nemu nous a fait parvenir un échantillon que nous avons dupliqué ensuite. Je croyais que vous étiez arrivé à l'hôpital tout seul, on vous a retrouvez inconscient devant nos portes..."

" Je dois partir maintenant j'ai quelque chose d'important à faire ! "


" Mais vous n'êtes pas encore totalement rétabli !"


N'écoutant même pas son argument Sajin se le va de son lit qui d'ailleurs semblait presque avoir cassé sous son poids. Le capitaine de la septième étant torse nu il se dirigea vers l'endroit ou l'on stockait les vêtements des patients. Il en ressortit avec son haori qui était flambe en neuf, les capitaines avaient droits à quelques privilèges et ceci en faisait partie. Ne perdant pas plus de temps, Komamura prit la direction des quartiers de la première division,son but : informer le capitaine-commandant Yamamoto de la traitrise de Mayuri et de Kazuo !


Il ne fallut que très peu de temps avant que le capitaine de la septième division arrive à destination. Comme d'habitude les gardes présents faisait la révérence pour montrer leur respect envers le grade de Sajin. Il pénétra les lieux arrivant jusqu'aux portes des quartiers personnels de Yamamoto et devant cette porte se trouvait un seul et unique garde : Chōjirō Sasakibe vice capitaine de la première division. Celui-ci s'inclina aussi devant Sajin avant de lui adresser la parole...

" Bonjour Komamura-taisho quel est l'objet de votre visite ? "

" Bonjour Chojiro, je suis venu voir Yamamoto-sama afin de lui transmettre d'importante informations concernant Mayuri Kurotsuchi et un membre de ma division Kazuo Kiriyama "

" Je vais lui en parler attendez quelques secondes ! "

Chojiro alla s'entretenir avec Yamamoto pour savoir si il était disposé à recevoir le capitaine Komamura. Il revient quelques minutes plus tard et fit signe à Sajin qu'il pouvait rentrer. Le capitaine-renard entra dans la pièce et se retrouva face à son mentor de toujours qui ne lui disait toujours rien attendant sûrement qu'il commence son rapport.

" Bonjour Yamamoto-sama je viens vous informer de la traitrise de deux membres de la Soul Society. Le premier d'entre eux et un jeune membre de ma division du nom de Kazuo Kiriyama, il se serait lier d'amitié avec un vizard du nom de Luffy et lui aurait servit de guide dans l'enceinte de la Soul Society."

Il laissa quelques secondes s'écouler avant de continuer d'un ton plus sérieux

"Le deuxième traite est lui encore plus coupable car il est capitaine d'une des divisions du Goteï 13 et précisément de la douzième division : Mayuri Kurotsuchi. En effet le directeur du bureau des recherches de la Soul Society serait responsable de l'infiltration du même vizard. Il semblerait qu'il aurai passé un marché dont j'ignore encore les conditions. Lorsque j'ai essayé d'intercepter le vizard, le capitaine Mayuri s'est interposé entre lui et moi et nous avons livrez une bataille que j'ai remporté mais qui a quand même permis à Luffy et Kazuo de s'enfuir de la Soul Society. "

Sajin passa maintenant à sa requête...

" Ils ont volontairement déroger à une règle que vous instaurer vous manquant gravement de respect ! Ne pouvant accepter cela j'ai décider de radier Kazuo Kiriyama de ma division et cela définitivement. J'aimerais d'ailleurs qu'il soit exilé définitivement de la Soul Society. Pour Mayuri Kurotsuchi étant je demande à ce qu'il soit destitué de ses fonctions de capitaines et qu'il soit renvoyé au repaire des asticots endroit duquel nous n'aurions peut être jamais dut le retirer !"

Sajin attendait patiemment la réponse du capitaine commandant qui devait sûrement être choqué d'apprendre tant de choses.
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MessageSujet: Re: Le rapport du capitaine Komamura   Le rapport du capitaine Komamura EmptyDim 9 Jan - 22:32

« Vent craque les branches
Cerisier pleur ses pétales
La chaleur grisonne »


Une belle journée, n'est-ce pas ? Un ciel authentique, bleu, sans nuage, et où la boule d'hydrogène en fusion de brillait pas trop fortement. Le hic ? Aucune nature, aucun grillons. Un petit point qui enlevait légèrement de charme à ce temps pour une sieste parfaite. Mais Kyôraku n'allait pas ce plaindre. Son chapeau sur les yeux, Nanao-chan à ses côtés, il interprétait doucement, de mi-voix, son léger poème en boucle. Le vent soufflait à peine. Les yeux fermés d'aise, Kyôraku humait l'air chargé du doux parfum de sa vice-capitaine. Nanao-chan était une femme parfaite, se répétait-il sans lasse. Sérieuse, elle savait où porter ses énergies. Belle, elle n'avait pas à se soucier de son physique. Délicate, elle pouvait s'occuper des malheureux. Intransigeante, elle parvenait à tenir tête à Kyôraku. Ce-dernier point était de loin le plus important, car c'était celui qui forçait le vieux pervers à toujours réchauffer sa flamme. Il sourit à cette pensée.
Nanao-chan n'appréciait pas autant ce calme revigorant. Elle n'aimait pas laisser des dossiers sans surveillance, des tâches sans travail. Elle était l'opposé même de son capitaine, et c'était ce qui faisait d'elle la candidate parfaite. Tellement comme Lisa-chan, pensa Kyôraku dans un petit rire niais. Nanao-chan capta malgré lui ce rire.

« Capitaine, ne croyez-vous pas que l'on devrait maintenant rentrer ? »

« Nanao-chan, profitons encore un peu de ce soleil ! On se doit de se reposer, de temps en temps, au milieu de la routine quotidienne. »

Cela cloua le bec de la lieutenante, qui laissa un soupir d'exaspération filtrer entre ses lèvres. Heureusement, le chapeau de paille masquait le sourire agrandit du capitaine. Bon, allé, une autre heure puis on rentre, se promit Kyôraku. Il passa les mains derrière le crâne, et leva une jambe, venant la porter en croisée sur l'autre. C'était si amusant de voir quelques militaires de bas rang parcourir les dédales labyrinthique du Seireitei alors qu'eux, le capitaine de la huitième et son vice-capitaine, gardait de bons pieds de hauteur, sur les tuiles des murs.
Étrangement, l'activité de ses jeunes shinigamis s'intensifia. Le claquement des sandales de cordes sur le marbre des planchers reproduisit la cadence de course. Kyôraku porta un doigt à son chapeau, le soulevant quelque peu. Une moue interrogative sur ses traits. Mais la réponse ne se fit pas tarder. Et il en fut tout surpris. Deux explosions de reaitsus distinctifs — Kyôraku n'était pas encore sûr, mais il reconnaissait Komamura-san et Kurotsuchi-san. Ils activaient leur Bankai ? Pourtant, il n'y avait pas d'alertes concernant une quelconque approche envahisseurs... D'un bond, Kyôraku se releva. Des plans pour mettre en colère le vieux Yama-jii.

« Yare-Yare, les jeunes font toujours tous à leur têtes... »


Nanao-chan aussi semblait capter les deux présences féroces. Ses yeux s'écarquillaient. C'est vrai qu'un trouble aussi intense pouvait apporter de graves conséquences. Mais Kyôraku restait calme. Ce n'était pas les premières humeurs entre deux capitaines en désaccords, au sein de la Soul-Society, et un Bankai avait parfois été libéré pour moins que ça. Pourtant, ils n'y avaient pas de grands changements, quelques petites punitions. Par les temps qui couraient, tous étaient anxieux — sauf Kyôraku — et pouvaient laisser le bouchon du geyser émotionnel exploser, sans vraiment le vouloir, suite à une légère faute des autres. Kyôraku porta la main à son chapeau. Il baissa la tête. Le vent se levait. Au loin, il voyait les sombres silhouettes des deux bankais énormes s'évanouirent. Les reaitsu tombèrent. Au moins, les dégâts se calculeraient en deux semaines maximum de réparation.
Mais tout de même, Kyôraku voulait s'assurer qu'aucune erreur ne se produirait. Inévitablement, l'un des deux capitaines iraient voir le commandant-général, pour blâmer l'autre. Selon l'issu de l'escarmouche, Komamura-san serait sûrement le plus porté à cette alternative. Kyôraku pourrait donc le rencontrer plus tard, à la première. Il se tourna vers Nanao-chan.

« C'est bon, tu peux y aller. Ne t'inquiètes pas, des incidents comme le leur, ça arrivent souvent. Ça va vite s'arranger. Maintenant, va t'occuper des dossiers... J'ai quelques jours de retard, et si tu pouvais t'assurer de tout... »

« Bien. »

« Ho ! Merci, Nanao-chan ! »


ll présenta ses lèvres, mais elle les ignora et partit. Kyôraku replaça son chapeau de paille. Il n'était pas pressé. Son air devint légèrement plus dur et il s'épousseta les manches. Il partit pour la première division. Avec de la chance, il arriverait premier. En cas contraire, cela ne devrait pas être trop grave.
Les portes étaient déjà grandes ouvertes. Kyôraku souffla. Il capta une bride du rapport du renard.

« ... je demande à ce qu'il soit destitué de ses fonctions de capitaines et qu'il soit renvoyé au repaire des asticots endroit duquel nous n'aurions peut être jamais dut le retirer ! »

De toutes évidences, il parlait de Kurotsuchi. Kyôraku peignit son visage d'une sombre hostilité. Le problème était peut-être plus grave qu'il ne le croyait. Il resta sur le seuil de la salle de réunion. Il ne voulait surtout par attisé de par son intrusion la colère de Yama-jii... Enfin, que personne ne soit destituer de ses fonctions, souhaita Kyôraku.
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Yamamoto Genryuusaï [PNJ]
Capitaine Général 1ere Division
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Yamamoto Genryuusaï [PNJ]


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MessageSujet: Re: Le rapport du capitaine Komamura   Le rapport du capitaine Komamura EmptySam 15 Jan - 10:34

Assis à son bureau, le capitaine commandant contresignait les rapports qui lui étaient parvenus tôt le matin, notamment les dossiers concernant les divisions dont les officiers s’étaient rendus à la dimension Royale. Heureusement aider par les capitaines restés à la Soul Society à qui il déléguait une partie de son travail, Yamamoto passait cependant le plus clair de son temps dans la grande pièce réservé aux officiers de la première division afin de maintenir une gestion irréprochable du Sereiteï. La tâche se révélait difficile et ardue, surtout en l’absence d’un bon nombre de hauts gradés, mais elle n’était pas insurmontable, notamment grâce à l’implication du vice-capitaine Chôjirô Sasakibe, qui prenait son rôle très au sérieux, se révélant très efficace dans l’administration et la bureaucratie.
Plongé en pleine lecture, Yamamoto leva les yeux lorsqu’il entendit deux voix familières s’entretenir momentanément derrière la porte. Celle-ci s’ouvrit d’ailleurs quelques secondes plus tard, et le vice-capitaine l’informa alors expressément que le capitaine Komamura souhaitait lui communiquer un rapport urgent concernant deux shinigami… Chose que bien évidemment, le capitaine commandant accepta dans la seconde, celui-ci ayant pour principe de ne pas négliger ses subordonnés. De plus, pour que l’officier en chef de la septième division en vienne à ce genre de recours, l’affaire ne pouvait être que sérieuse…

Restant silencieux, Yamamoto écouta d’une oreille attentive l’homme-renard, celui-ci relatant certains faits s’étant déroulé à la Soul Society. Décidément, depuis que Aizen avait créé la clé permettant d’accéder à la DR, les choses allaient de mal en pire… Notamment concernant l’investissement des shinigami dans leurs tâches. Bon nombre d’entre eux désertaient leurs postes, se fichant des règles et du code d’honneur qui, pendant des centaines d’années, avait fait la fierté du Goteï 13. A présent, tout partait à vau-l’eau, ce qui inquiétait le vieux shinigami. L’ordre et la discipline étaient les fondements même d’une institution solide, et il semblait qu’en cette période de trouble, là où ces préceptes auraient dû être renforcés, ils étaient au contraire délaissés par une jeunesse ne comprenant pas les enjeux qui s’y rapportaient.
Yamamoto se leva, après que Komamura ait fini son rapport. Le pardon n’était pas la solution, pour aucun des deux shinigami cités par le capitaine de la septième division, mais le Général était conscient de ne pouvoir se séparer de Mayuri, car bien qu’il dépasse à de nombreuses occasions les limites imposaient par Genryusai, il restait une aide précieuse et possédait des facultés essentielles pour l’avenir de la Soul Society.


- L’attitude de Kazuo Kiriyama est intolérable et ne saurait être pardonnée. Nul shinigami n’est au-dessus des règles imposées par leurs supérieurs, quelque soit leur son degré d’implication. Encore une fois, votre jugement est juste, capitaine Komamura, ce genre de traitrise ne peut rester impuni et la sanction que vous avez proposée est adaptée. Le shinigami Kazuo Kiriyama, membre de la septième division est désormais considéré comme banni de la Soul Society. Un rapport en bonne et due forme sera rédigé par le vice-capitaine Sasakibe en trois exemplaires, l’un d’entre eux vous sera remis.

Pas de pardon, pas de deuxième chance. Lors de l’apprentissage à l’académie, il est enseigné à ceux désirant s’investir dans une carrière de shinigami de respecter les décisions de leurs supérieurs, sous peine d’une lourde condamnation. L’insouciance de la jeunesse et la témérité de certains leurs jouent souvent des tours. Le prix à payer ? L’exil. Ou parfois l’emprisonnement.

- Concernant le capitaine Kurotsuchi Mayuri, nous statuerons de ses pénalités en temps voulu… Un simple soldat peut être remplacé, mais en ces temps de troubles, se passer d’un capitaine n’est pas envisageable. Je sais ce que vous pensez, capitaine Komamura… Sachez que je ne tolère pas non plus ce manquement à la discipline.

Marquant un temps de pause, Yamamoto fixa son interlocuteur, lui faisant ainsi comprendre que sa décision était prise et qu’en aucun cas elle ne pouvait être discutée.

- Depuis la destruction de Karakura, j’ai reçu de nombreux rapports témoignant de comportements indignes au statut de shinigami. Soyez vigilent, capitaine Komamura, ne tolérez aucun écart de conduite. L’unité est et resta notre force.

Tapant d’un coup de bâton contre le planché, Yamamoto signalait là son désir de voir la grandeur du Goteï 13 retrouvée… Avant de se rendre compte qu’une figure qu’il appréciait particulièrement se tenait sur le pas de la porte.

- Vous pouvez entrer, Capitaine Kyôraku.
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MessageSujet: Re: Le rapport du capitaine Komamura   Le rapport du capitaine Komamura EmptyMar 18 Jan - 1:20

On lui donnait l'autorisation, d'une voix mi-enjouée, mi-neutre. Kyôraku obtempéra, s'incrustant dans la salle. Yama-jii se dressait fièrement dans son siège et était fidèle à son image traditionnel : soit celui du vieux autoritaire. Kyôraku rejoignit Komamura-san, se plaçant à son niveau. Le capitaine se considérait grand, mais aux côtés du renard, et se sentait toujours petit. Pourtant, Komamura-san ne le dépassait que d'une tête. Kyôraku sourit en arrivant à ses côtés, l'adressant d'avantage au commandant général qu'à on homologue de la septième.

« Si tu nous le permets, Yama-jii, nous allons maintenant disposer. Selon moi, Komamura-taisho et moi-même prenons conscience des prochaines conséquences qui seront sûrement appliqués dans l'enseigne du goteï 13 et peut-être d'éventuelles réformes. »


Il venait encore de parler à ce vieil homme respectable d'un ton empreint de respect, malgré son relâchement prononcé sur les pronoms personnels. Il adorait être témoin des décisions de celui qu'il considérait comme son paternel, et chaque fois, il s'émerveillait du bon sens de pépé Yamamoto.
Il se tourna vers Komamura. Il releva son grand chapeau, pour scruter le visage velu du capitaine. L'homme-renard tourna son regard jaune vers son aîné, et Kyôraku comprit qu'il en avait effectivement fini. Shunsui avait entendu les réponses de son entraîneur personnel, et il se doutait que peut-être cela ne pourrait pas satisfaire l'esprit droit de son homologue. Cependant, il devait également savoir que Yama-jii était excessivement sensé, et que chacune de ses décisions ne se faisaient jamais sans une étroite concentration. Les deux capitaines prirent congés.

Sasakibe-san les reconduit aux portes de la salle, puis les referma tranquillement. Alors, Kyôraku se tourna vers Sajin, pour le fixer dans les yeux. Il semblait quelque peu contrarié.

« Yare-Yare, Komamura-taisho, et si nous allions discuter derrière un verre de saké ? Ah moins que vous ne désiriez prendre quelque temps pour vous... Ou encore, voulez-vous délier vos muscles ? »


Il était bien rare que le capitaine de la huitième prenait ainsi un peu de temps en présence de coéquipiers de travail — excluant les membres de sa division et Juushiro ou bien Matsumoto (compagne disparue de beuverie) — et bien sûr, il prenait toujours un certain plaisir à ainsi approfondir ses relations. Bien sûr, ce n'était pas rare qu'on lui refusait grossièrement ses invitations (on parle d'ici notamment de Kuchiki, Kurotsuchi et en autre Soi Fon). Et Komamura n'avait encore jamais été dans ses "intimes". Quant à Toshiro, il était encore trop jeune... Enfin, qu'allait demandé le renard ? Saké, saké, saké, espéra sourdement Kyôraku. Il lia les doigts, alors qu'il rentrait sa main dans son uniforme ouvert sur son torse.

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