Un fleuve, mais pas entièrement rouge ... pour une fois [PV Enishi]

Grâce à un magnifique Gargantua qui partait de mon monde originel, le Hueco Mondo, appelait aussi le monde creux par d'autres personnes comme ces foutus shinigamis. D'ailleurs, j'avais créé mon super passage inter-dimensionnel, non pas pour retourner dans leur foutu et me faire latter encore une fois. Mais je me dirigeais maintenant, vers le Monde réel pour voir si les combattants de ce monde méritent mon attention. Comme à mon habitude, dans le gargantua, je ne me dépêchais pas, mais je prenais mon temps tout en laissant échapper idéalement mon reiatsu pour créer un magnifique chemin blanc dans l'immensité noire et qui ne risquait pas de lâcher sous mon poids. Ce voyage fut tout aussi long et ennuyeux que celui pour aller ou s'enfuit de la Soul Society. Mais bon, comme toute chose a une fin, je ne mourrais pas dans mon oeuvre, car au lieu d'attendre paisiblement que la bouche de ma technique s'ouvre dans le ciel, un peu comme une porte. Je fracturais le ciel.

Et là, à l'inverse de la Soul Society, je tombais pile poil sur une ville, elle était plutôt grande, fait de nombreux immeubles, néanmoins ces derniers n'étaient pas des gratte-ciels vu leur faible hauteur. Bien entendu, comme la terre de ce monde n'était pas aussi fertile que celle du mien, il y avait de magnifiques arbres, marrons au niveau de leur tronc et vert au niveau de leur feuillage. De plus, ces arbres étaient surement arrosés par une sorte de larges rivières. Visiblement, le monde réel avait beaucoup plus de points communs avec la Soul Society qu'avec le Hueco Mondo. Mais bon, ce n'est pas cela qui me fit le plus de surprise, c'est que je ne ressentais pas trop de grandes pressions spirituelles, celles qu'il y avait, n'étaient que minimes. La cause était peut-être la nuit, comme le soleil manquait à l'appel et la Lune était perchée tout en haut du ciel. Néanmoins, comme j'avais un peu la flemme, je ne décidais pas de me mettre maintenant à ma maltraitance de combattant, dit communément les massacres.

La première chose que je fis, après avoir regardé ce monde un peu trop endormi. J'allais dans une petite ruelle, essayant de cacher à n'awak mon sabre pour ne pas créer directement des soupçons. De plus la chose que je remarquais, c'est que mon allure n'était pas du tout en accort avec la leur. Alors, je me dirigeais dans une petite ruelle, comme c'était la nuit, il n'y avait pas trop de personnes pour réprimander le vol, ni de personne qui surveillait avec les magasins, ainsi à l'aide de ma main droite, je fracturais la vitrine d'un magasin de vêtement, j'entrais sans trop de faire de bruit et là, dès mon premier pied posait dans la boutique, mon entrée fut gâchée, car la sonnerie retentissait en faisant un bruit qui vous tuait les oreilles, rien qu'en quelques secondes. Ne voulant pas aggraver mon cas, je ne m'éternisais pas dans ma séance de shopping, je prenais seulement un ensemble de ma taille et que j'aimais bien. Puis je ressortais comme j'étais entré, mais en ne cassant pas la vitre cette fois, car trop de dégâts tuent les dégâts. Après être sorti de l'enceinte du bâtiment, j'allais maintenant dans une autre ruelle sombre pour me changer, après avoir fait ça, je ressemblais beaucoup plus à un pingouin épuisé par le travail comme s'il avait bossé 30h dans le désert qu'autre chose.

Puis je retournais dans la centre-ville, me dirigeant maintenant vers le fleuve de la ville, comme à mon habitude, je me perdais dans les endroits que je ne connaissais pas, même en essayant de suivre les multiples indications, alors, j'arrivais tout de même à trouver ma destination en seulement ... 4h au lieu de 30min selon les indications des personnes, soient ces dernières étaient erronées, soit, je ne suis pas du tout doué. Une fois arrivé dans ce parc, je me positionnais sous un magnifique arbre d'Hitatchi, puis je plantais profondément mon sabre dans le sol, faisant un peu exprès de le planter à cet endroit, afin de couper les racines de ce magnifique arbre. Puis je me couchais sur l'herbe légèrement froide et fraiche, mettant mes deux mains sur le côté non coupant de mon sabre et enfin je mettais ma tête dessus et je commençais enfin à dormir. Attendant avec impatience soit que l'on me réveille ou soit que je me réveille pour aller faire ma petite chasse à l'ennemi.

Dans la nuit la plus complète, avec quelques étoiles dans le ciel, ainsi qu'avec une magnifique lune dans le ciel qui éclairait la terre à quelques endroits. Mais bon, les lampadaires faisaient beaucoup plus ce boulot et mieux. Bref revenons au dur et au vrai, donc au combat, le Cero que j'avais formé, foncé sur mon adversaire, ne voulant faire qu'une seule bouchée de lui. Si jamais, il se le prenait en pleine gueule, il ne pourrait surement plus continuer le combat. Mais bon, comme il n'était pas entièrement masochiste, à l'aide d'un large saut, il osait se jeter dans l'eau froide du fleuve. Après qu'il fit un joyeux plouf' et que mon Cero avait créé une gigantesque explosion, accompagnée d'un joli de nuage de fumée et poussière grises. L'homme que je venais d'attaquer, venait de regagner l'une des rives à l'aide d'une nage plutôt rapide. Et là à ce moment, un léger rictus se formait sur mon visage, car l'homme n'avait aucune blessure, mon attaque n'avait servit à rien, à part à le tremper. D'ailleurs, tellement que j'étais déçu, un sourire encore plus sadique se formait sur mon visage, je voulais voir son sang, je voulais que ce dernier coule sur le sol ou que son possesseur me supplie de l'achever. Je prenais mon sabre, je le mettais sur mon épaule, comme j'avais un sale goût dans la bouche et j'essayais de m'en débarrasser à l'aide d'un gros mollard qui allait droit vers un arbre. Après avoir fait ça, l'homme me posait une question, il voulait savoir qui j'étais, si j'étais bien un humain, banal comme lui ou autre chose. Après avoir réfléchi durant de longues secondes, pendant lesquelles, l'homme avait dégainé son sabre, visiblement, ce n'était pas un simple humain, ni un hollow, mais comme je l'avais pressentit quelques minutes plus tôt, c'était un simple shinigami, avec un reiatsu qui était plus sombre que celui des anges de la mort. Mais bon, la chose qui me réjouissait, c'est que je pouvais me venger de la taulée que m'avait infligé ce Shuhei Hisagi. Je décidais enfin de lui répondre à l'aide d'une puissante voix :

• Toi, je ne sais pas t'es qui, mais t'es malpoli, car avant de demander le nom de quelqu'un, faut dire le sien. Mais bon, comme je suis l'assassin qui va te tuer, je vais quand même te dire mon nom. Je suis l'Arrancar Número 66, James Suishinryoku. Ouai je sais, le nom ne fait pas trop espagnol, mais bon ce n'est pas trop grave, tant qu'il est cool.

Après avoir dit ces quelques baffes, tel un boeuf enragé qui voyait la vie en rouge. Je me mettais à foncer sur mon ennemi, à l'aide de grandes et puissantes foulées, toujours avec mon sabre dans ma main droite. Une fois asses proche du jeune homme, je prenais mon sabre de mes mains, puis je brandissais mon arme, haut vers le ciel, puis d'une courbure de mon dos, je la fis descendre de haut en bas, avec un léger angle, pour qu'elle le touche au haut de son épaule droite, juste à côté de son épaule, jusqu'à sa hanche gauche. Tout en ayant la ferme intention de vouloir le battre.