Retour du commencement pour tourner la page [pv Santo]

Invité

Je ne savais pas pourquoi j'étais revenu ici. Je n'avais nul par où aller. Me revoilà, complétement rétablit de mon combat - plutôt de celui de Luffy - dans le lieu où ce crétin de singe avait presque vécu. C'était la première fois où il avait rencontré les envahisseurs. J'avais quitté Karakura car cette ville tombait en ruine et elle n'avait pas changé depuis mon départ. A croire que certaines choses restaient inertes. Je ne faisais pas partie de ses choses. Au contraire, j'avais bien changer depuis la dernière fois où les envahisseurs avaient attaqué le lycée pour la première fois. C'était là où Luffy avait rencontré Kazuo et d'autre allier qu'il n'avait.......que nous n'avions jamais revu. Personnellement, je m'en fichais royalement. Par contre, je pouvais encore sentir le Luffy qui était en moi, cette curiosité de savoir où ils avaient bien pu passer.

Je marchais sur cette terre détruite, sur les cendres de ce sol auquel Luffy avait souvent l'habitude de poser les pieds pour subir des jours ennuyants. Je n'avais jamais compris comme il faisait pour supporter les railleries de ces ignorants d'humains. Cette race ne servait qu'à remplir le monde réel. En fait, que les gens vivent ou crèvent, ça ne changeait absolument rien pour moi. Pourtant, quand on est seul......Même la mort ne peut vous sauvez. Non, je ne me plains pas d'être un solitaire, c'est mon choix, mais j'avais besoin d'action. Ah oui, je ne vous avais pas dis comment j'étais habillé......Il faut avouer que ma tenue vestimentaire était très différente de ce que Luffy. J'avais un chapeau noir avec un costard de même couleur, une chemise blanche avec une cravate bleu. Mon Zanpakuto était attaché sur mon dos, cela n'avait pas changé. Fatigué de marcher, je m'allongeai sur un bout de toit arraché à l'immeuble d'origine puis fit une sieste.

[Désolé, c'est court mais je suis toujours aussi nul pour les ouvertures ^^]

Le printemps du Japon ...

Une fine brise parfumée vint chatouiller les narines d'un colosse, entre deux expirations grognonnes et deux éffluves d'odeur de vieux loup mort depuis belle lurette. Alors que les poils noirs de crasse de la veste de l'homme dansaient en douces ondes au gré du vent, un frisson parcourut l'échine du porteur.

Il ne s'agissait pas du froid, la lègère brise n'avait pas suffit à traverser le cuir épais qui servait de peau à cette créature étrange et rustre qui avait si peu en commun avec un être humain normal. Le frisson venait de cette avalanche de souvenirs qui affluaient ça et là à la vue de ce lycée en ruines. Là où tout avait commencé pour lui, où il avait rencontré ces êtres semblables à lui, et où il avait pour la première fois affronté ces horreurs rampantes. Il se souvenait avec délice de les avoir frappé avec leurs propres membres, de les avoir tronçonné jusqu'à l'os, et de les avoir dévoré une fois le combat terminé.

Il baissa les yeux vers son pantalon parsemé de coupures, brûlures, et traces de sang. D'un air nostalgique, il attrapa un lambeau pendant au niveau de la cuisse, et le frotta entre ses doigts. La blessure qui se trouvait à cet endroit lui avait été administrée lors de ladite bataille du lycée de Karakura, ce merveilleux théâtre de violence extrême, et victoire écrasante de surcroît.

Il poussa un profond soupir qui vira en grognement sourd et guttural. En effet, il se posait maintenant un terrible problème au delà de toutes ces victoires : la raison de sa présence sur Terre. Sa mission était désormais terminée, les envahisseurs avaient été renvoyés dans le trou d'où ils n'auraient jamais dû sortir, et y ont péri dans un tourment sans précédent.

Depuis, la voix de la Terre n'avait plus retenti dans son esprit, et il se sentait affreusement abandonné. Ce sentiment de solitude lui était odieux. Comme par instinct, il se mit à vagabonder entre les bâtiments, l'air hagard.

Pourquoi suis-je encore en vie ? Pourquoi la Terre ne me prend-elle pas en son sein pour m'offrir le repos ?

Ses pas semblaient suivre un itinéraire bien précis alors qu'il poursuivait son introspection, comme s'il savait où il devait aller. Le destin, sans doute ?

Il n'y a jamais de hasard. La brise printanière et ses milles parfums, les fissures dans le sol, le chant des oiseaux, tout était là pour générer un chemin tout tracé vers ce bâtiment étrangement intact en dépit de l'attaque, et plus particulièrement vers cette silhouette mince et élégamment vêtue qui y était assise.

Levant les yeux, Santo put apercevoir un humain. A quelques mètres du garçon perché, il ne pouvait en distinguer les traits. L'odeur en revanche était reconnaissable, bien que changée depuis sa dernière rencontre avec les sens de l'humain. Pas de doute possible : le jeune Luffy se tenait juste là.

Tentant d'esquisser un sourire amical, la brute ne parvint qu'à faire sortir ses canines inquiétantes dans une grimace difforme. Intérieurement, il espérait que ces retrouvailles lui donneraient un nouvel objectif. Mais la réalité risquait de ne pas être à la hauteur de cet espoir, quelque chose avait changé, changé le bon en malsain. Une légère poussée d'adrénaline le traversa, puis il comprit.

Chaque jour est le premier jour du reste de votre vie, sauf un : le jour de votre mort.

Invité

Bon sang.....Là où j'allais, je ne pouvais décidément pas être tranquille. J'entendis un gros soupire me réveiller. Déjà que je n'arrivais pas à dormir.....Enfin, c'était une question de principe. J'étais tellement en colère que je voulais buter le Chéri (L) qui avait osé de me déranger. Je me relevai, mis bien mon chapeau sur la tête, dégainant mon Zanpakuto. Je trouvai vite le coupable qui ne m'était pas inconnu. Oui, c'était cette créature qui avait aidé Luffy contre les envahisseurs. Difficile à croire que c'était un humain, celui-là. Il souriait.......Enfin, son sourire n'était pas très souriant. C'était qu'une bête cherchant à survivre, rien de plus. Cette chose.....il était aussi l'ennemi des envahisseurs. Il avait aidé Luffy la première fois et on ne l'avait jamais revu. Alors, pourquoi souriait-il? Pensait-il que j'allais l'accueillir à bras ouverts? Quel idiot....Cela se voyait que cela faisait longtemps qu'on ne s'était pas croisé.

A moins qu'il voulait m'attaquer. Ses canines le montrait. On aurait dit qu'il allait passer à l'attaque. De toute façon, je n'avais jamais compris sa façon de penser, vu qu'il parlait sa propre langue. En fait, d'un côté, c'était plutôt stupide d'aller l'attaquer directement car il m'avait empêché de dormir.....Cependant, j'avais une envie de violence qui voulait que je me batte. Et j'avais trouvé une excuse de lui défoncer la gueule, à cette bête. Oui, c'était son sourire. Je courrai vers lui, rengainant mon Zanpakuto car je savais que je n'en avait pas besoin, pour lui faire un coup de pied retourné en plein visage. Il n'avait pas dû s'y attendre. Encore, ce n'était qu'un échauffement. Je lui pointai du doigt avec mon rire maléfique. Oui, je sais, c'est plutôt gamin quand on décrit comme ça, mais bon. En fait, c'était plus un rire moqueur que maléfique.

Cela t'apprendra à venir me déranger dans mon sommeil, sale bête. Je te donne un avertissement et une chance d'être hors de ma vue dans 5 secondes.

Plus rien ...

Le vent et ses odeurs enivrantes, les oiseaux, la flore qui bruissait ... Tout s'était soudainement interrompu. Plus rien, un silence de mort, un silence de guerre.

La seule chose que Santo ressentait était un profond étonnement. Même si son ami avait changé, pourquoi s'en prenait-il à lui aussi soudainement, et sans la moindre raison ? Peut-être avait-il pénétré son territoire sans autorisation et qu'il s'était vexé ... Mais non, l'homme-bête ne percevait pas la moindre odeur d'urine alentours pouvant attester qu'il s'agissait bien du territoire du jeune vizard.

Le visage encore tourné vers la gauche à cause du coup qu'il avait pris en pleine joue, il se sentait plus perdu et seul que jamais. Mais l'espoir lui revint aussitôt lorsqu'une idée germa dans son esprit en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire : il voulait jouer !

Bien sûr, il ne pouvait s'agir que de cela ! Autrement pourquoi un allié aux côtés duquel il avait combattu en toute confiance s'en prendrait à lui ?

Soudainement fou de joie, il attrapa le bras du garçon et tira de toutes ses forces dessus pour l'envoyer valdinguer dans les airs pour finir entre les arbres.

Seulement, triste ou joyeux, Santo n'avait jamais su viser. Nul ne savait où ni dans quel état allait atterrir Luffy. Regardant la trajectoire de son ami/projectile tout en continuant d'esquisser la grimace difforme qui lui servait de sourire, il sautillait de joie. Après tout, l'instinct animal comprend aussi un enthousiasme sans limite face à toute forme de jeu ...

Sous le coup de l'euphorie, tout revint : le chant des oiseaux, le bourdonnement des abeilles, les parfums du printemps japonais, le monde s'illuminait à nouveau.

Seulement, cette joie abrutissante lui cachait que l'une de ses canines s'était fissurée lors de l'impact, bien plus violent que n'auraient voulu le croire les deux êtres, quelque chose de terrible se préparait ...

Invité

Cette fichue bête était un idiot. Ou alors, il n'avait rien dans le cerveau pour comprendre ce que je lui disais. Il prit mon bras pour me projeter droit dans l'arbre où Luffy avait l'habitude de dormir. La colère m'envahissait encore plus. Même si la force de cet humain était gigantesque, je l'étais encore plus. Je me remis en position, mes pieds trainant sur le sol, dégageant un peu de poussière au niveau de mes chevilles, avant d'arriver à là où j'aurai pu atterrir. A cause de la haine que j'avais, je dégageais mon Reiatsu de couleur bleu. Un Reiatsu remplie de sentiments ténébreux, sombre et destructrice.

Tu veux jouer, hein? Et bah nous allons jouer.....Avec ta vie en jeu.

Je courrai encore une fois sur lui pour lui donner un puissant coup de genoux à l'estomac. Puis, je profitai qu'il ne se remit pas directement de cette attaque pour lui donner un coup de poing afin de le projeter vers l'arrière. Ensuite, je sautai dans les airs pour lui mettre un coup de pied à l'estomac - oui encore une fois - avant qu'il ne put atterrir tranquillement. Mon attaque avait provoqué un petit cratère. Je le regardais avec mon envie meurtrier, oui, mon envie de tuer!

Santo sentait la chaleur du goudron exposé à la chaleur du soleil. Si les angles aigus ne s'enfonçaient pas dans ses côtes et son dos, il aurait pu trouver ce contact agréable. Mais le goudron chaud et la douleur des angles n'étaient pas les seules sensations. La douleur qu'il ressentait çà et là après les coups qu'il venait de recevoir étaient bien plus intenses.

Le mental était loin d'être au maximum lui aussi. Non seulement son ami était passé du mauvais côté et avait un net avantage grâce à l'effet de surprise; mais il était aussi devenu fort, très fort, beaucoup trop fort pour lui d'ailleurs. Le combat était perdu d'avance, à moins de parvenir à ramener Luffy à la raison.

Santo écarquilla les yeux, à l'affut du moindre détail. Il fallait qu'il l'immobilise un maximum de temps pour pouvoir lui faire comprendre qu'il était dans l'erreur. Aussi soudain que possible, il attrapa la jambe droite de Luffy avec son bras fort, le bras gauche. Parfaitement conscient que sa force actuelle ne lui permettrait pas de le tenir en place, il vociféra :

WHOURKR II : RAMPAGE !

Alors que sa peau se recouvrait d'une couche noire et solide comme le roc, ses yeux se firent encore plus bestiaux. Mais alors qu'il se relevait pour être au niveau de son ami sans pour autant lâcher sa jambe, il plongea son regard dans le sien, et posa sa main droite sur l'épaule gauche du garçon.

Ce que Luffy avait face à lui n'était pas la bête berserker capable d'une violence inouïe, mais bel et bien le regard déterminé d'un ami. Un regard intense, plein de sincérité, mais surtout rempli de compassion.

Invité

Cette bestiole était trop stupide. Il me tenait par la jambe droite, comme me supplier. Je le regardais de haut, toujours avec l'air sadique et cruel. Le voir comme ça ne me faisait pas pitié. En fait, cela ne me faisait aucun effet. Santo changea de couleur et ses yeux étaient plus bestial. Il me prit par l'épaule gauche et me lança un regard qui m'était assez familier. Oui, c'était le regard déterminé d'un ami qui voulait sauver un autre.

Tcht

Tel était ma réponse. J'utilisai le pied gauche pour le repousser violemment en lui donnant un coup sur le ventre. Cependant, sa peau était devenu plus dur. Et je ne voulais en aucun cas gaspiller mon Reiatsu pour ce genre d'individu. C'était pour cela que je continuais de le kicker jusqu'à ce qu'il lâchait prise. Ensuite, j'utilisai mon Zanpakuto pour trancher son torse verticalement à la diagonale, de droite à gauche, en partant vers le haut. Une pluie de sang sorti de son corps et salit mon visage ainsi que mes vêtements. J'avais un sourire sadique. Je me jetai sur lui et essayai d'ouvrir encore plus sa blessure afin de voir ses organes internes. C'était dur alors j'utilisais mon Zanpakuto pour faire un trou ovale. Évidemment, j'essayais de laisser Santo en vie pour le faire souffrir. Mais, ses membres me gênaient alors je les séparai violemment de son corps à main nu. Comment allait-il réagir?

Tout était si trouble ...

Sa vision se brouillait dès le premier coup de sabre, ses sens étaient engourdis, le doux parfum, les bruits de la nature, tout était si agréable à peine quelques minutes auparavant. Mais tout cela n'était plus que formes, bruits sourds et méconnaissables, bouffées de chaleur avant la chute de température qui laissait transparaître que ses signes vitaux étaient en pleine dégringolade.

Malgré la dureté de son armure, l'effet de surprise et l'immense écart de puissance entre son ancien partenaire et lui l'avaient condamné. Luffy venait de lui arracher le bras droit et lui avait coupé la jambe gauche. En plus de sa plaie béante au torse et du trou qu'il venait de lui creuser, c'était trop. Même pour Santo.

A genoux, penché sur la droite à cause de sa jambe gauche quasiment tranchée, il fixait son ami d'un oeil perdu, vitreux. Il le savait, sa mission était terminée, les envahisseurs avaient été repoussés, et il y avait contribué avec toute la fureur et la force que la Terre elle-même lui avait procuré.

Se vidant de son sang, et dans un état qui ne pourrait être rattrapé ensuite, il savait son heure venue. Il poussa un profond soupir, puis se mit à sourire, enfin son repos dignement mérité arrivait. Sa récompense était là, face à lui, l'épée à la main et la violence à l'esprit.

Il leva la tête et sourit de plus belle en reconnaissant la silhouette trouble de son ami. Cette fois, pas de grimace difforme de bête sauvage, mais le sourire sincère d'un être humain possédé par de mauvais esprits bestiaux qui allait être libéré de sa malédiction par le trépas. Et le tout prodigué par les soins d'un allié, que demande le peuple ?

Un rayon de soleil surgit d'entre deux nuages, éclairant les deux jeunes gens, dans une scène à la fois belle et morbide. Il ne manquait plus que le coup fatal, et le Ciel les regardait, soit d'un air attendri, soit en pleurant. Dieu seul le sait, comme on dit.

Santo voyait le monde qu'il avait protégé comme derrière une vitre que l'on asperge d'eau, les formes ondulaient et avaient des couleurs ternes. Malgré cela, il put distinguer la forme de Luffy se mettre en position et braquer son sabre.

La bête baissa la tête, et sourit à nouveau de soulagement.

*
**

Chaque jour est le premier jour du reste de votre vie, sauf un : le jour de votre mort.

Invité

Haine, Colère, Folie, Rancœur, Répulsion, Fureur, Cruauté, Férocité, Rancune, Abomination.....
C'était le caractère qui le définissait bien Akuma....

Cette pauvre bête. Elle ne pouvait plus faire grand chose à part baisser la tête avec....un sourire? ?! Soudain une image traversa mon esprit. C'était lors du combat intérieur dans mon âme. Luffy souriait...Le vrai Luffy....Il était sur le point de perdre, mais son sourire ne disparaissait pas. Pourquoi? Je ne comprenais pas!! Cela n'avait aucune sens! Lorsqu'on est sur le point de mourir, on est sensé ressentir de la peur, de la crainte, des regrets...Alors, pourquoi Luffy et Santo souriaient? Mon esprit était confus et cela attisait ma colère. Je voulais que cet animal souffre durant son dernier souffle! Il le méritait!
J'enfonçais ma main gauche sur son trou, tandis que je plantai mon Zanpakuto sur son épaule gauche. Je pouvais sentir le sang et les autres organes internes salir ma poigne. C'était imaginable comment la peau de ce monstre était dur! Et résistant!

Crève! Crève! Crève!

Les yeux écarquillés suivit d'un sourire sadique, je lui gueuler comme si j'étais un fou furieux, un psychopathe. Peut-être que c'était le cas. Je ne savais pas comment le finir. Il y avait tant de choix et tellement de moyen de tuer une personne. Et si je retirais son cœur? Cela tombait bien, j'avais faim. Après avoir enfoncé ma main sur le corps de la bête, je trouvai son organe vital et le retira violemment hors de son corps. Son sang m'avait encore plus éclaboussé.

Enfoiré, tu m'as bien salit. Je dois me trouver de nouveau vêtement maintenant. Enfin, tu ne peux plus m'entendre maintenant.

Son cœur à ma main, je rangeai mon Zanpakuto. Son cœur n'allait pas suffire à mon estomac, alors je pris le pied de ce cadavre et le trainait vers un endroit plus approprier pour mon déjeuner... Je me tenais en haut d'un toit brisé, près d'un arbre en ruine. Avec les bâtons de ce végétal mort et deux cailloux, je fis un feu de camp. J'avais découpé les membres de la bête en plusieurs morceau pour le cuir à point. Lorsque je mangeai la viande, le goût était tendre et délicieux. Cependant, je ressentais un profond regret dans mon âme. Pourquoi? Je ne ressentais rien à propos de cette bête! Je ne l'avais croisé qu'une seule fois! J'essayais d'oublier ce sentiment, mais rien n'a faire....C'était toujours présent. La pluie tomba, éteignant mon feu de camp et mouillant encore plus mes cheveux, mon visage et mes vêtements déjà tâché de sang. Est-ce que le ciel était triste pour Santo? Je me tournai vers le cœur que j'avais décidé de manger en dernier. Un cœur humain.....

Tcht, ça m'énerve....

Je me levai, pris le cœur et l'enterrai près d'un mur. J'avais pris un bloc de pierre en y écrivant:

Ici repose le cœur de Santo, un humain ayant combattu les envahisseur.