♣ Le maître corbeau, Kazuo ♣

Kazuo Tokaji:

Nom : Tokaji
Prénom : Kazuo
Age : 27 ans (Humain)

Description Morale : Kazuo Tokaji, une personne peu bavarde pour beaucoup d'intelligence. Il à toujours été un solitaire. Ayant eu une enfance assez difficile, il ne connait pas la notion de l'amour et de l'amitié. C'est un grand passionné de lecture, possédant un livre qu'il lit et re-lit sans cesse, dont personne n'en connait le titre et l'histoire mis à part lui même. C'est une personne dont le caractère est assez "étrange" et dont il est parfois difficile à cerner. Il n'aime pas la violence physique, car il trouve que cela fait "brute" et "imbécile", mais préfère voir ses ennemis souffrir, perdre leurs proches, les mettre à bout pour au final, les voir mourir. C'est à dire qu'il n'aime pas voir une personne mourir d'un coup ou d'un choc violent mais préfère la voir se dégrader, au fil du temps, pouvoir profiter en quelques sortes de chaque instant. Les gens pourraient le prendre pour "fou", mais non. Kazuo veut simplement faire ressentir aux personnes qui ne le comprennent pas, son manque d'amour et ses nombreuses séquelles qu'il a pu recevoir, durant son enfance. Pour lui, un bon adversaire est un adversaire sachant combattre en se servant de stratégies multiples et complexes. Il trouve horriblement faibles et ennuyeux, ceux qui se la joue "rentre dedans". Essayer de sympathiser avec Kazuo n'est pas simple, car il faut le comprendre, lui dire les bons mots et d'après son caractère si étrange, ce n'est pas chose facile. Des ennemis et pire ennemis, il n'en a aucun. Tout comme ses amis. Car pour lui, chaque personne reste neutre et faible. Il pourrait se lier d'amitié seulement, avec une personne pouvant le comprendre, une personne de même type, ayant reçu des séquelles dans son passé. Une personne en laquelle il pourrait se reconnaître d'une certaine manière. Les femmes ne l'intéressent pas et ne l'ont jamais intéressé, une fois de plus, à cause de ce manque d'amour. Kazuo est un excellent épéiste, pouvant parfois par ennui, lire son livre d'une main et se défendre de la deuxième, selon le niveau de l'adversaire bien entendu. Il combat toujours sous forme de stratégie, montrant de simples coup d'épées à ses adversaires au départ pour terminer le duel en beauté, et avec grâce en leurs montrant sa véritable puissance, si l'adversaire aura survécu jusque là. Ils n'aiment pas les personnes qui se surestiment et offre toujours à ses adversaires une petite phrase, issue de son livre, ayant un certain rapport avec le combat se déroulant entre eux. Kazuo a une manie étrange de souvent parler à son adversaire, lorsque celui-ci est mort. Il leurs dit différentes choses, dépendant de l'adversaire, mais ayant toujours un certain respect envers eux. Tel un corbeau, Kazuo n'hésite pas à observer chaque mouvement, et chaque manie de sa future proie, pour mieux cerner ses actions et attitudes. Il est courageux et silencieux, c'est une personne que l'on peut, ne pas remarquer. C'est une personne patiente, ne connaissant pas la joie, et les bonnes choses de la vie.

Description Physique : Kazuo Tokaji, un mètre quatre-vingt, pour soixante-treize kilos. Ses cheveux sont d'un châtain assez clair et mi-longs, lui arrivant à la nuque. Kazuo laisse ses cheveux comme ils sont et n'en fait aucune coupe originale. Ils sont comme ils sont, alors pourquoi changer ? Ses yeux sont d'un turquoise assez sombre. Ni bleu, ni vert, "turquoise" est la couleur définissant le mieux ses yeux. Les traits du visage fins et d'ailleurs, son expression au visage reste toujours neutre ou peut parfois faire apparaître un léger sourire. Il porte deux boucles d'oreilles représentant des "cristaux", de la même couleur que ses yeux. Pour ce qui est de sa tenue vestimentaire, Kazuo est vêtu d'un uniforme de cuir noir, par dessus lequel il enfile une veste d'un rouge assez sombre avec des épaulettes d'un même noir que son uniforme. Un pantalon sombre, d'un gris foncé et deux ceintures lui donnant un style original. Il porte aussi des gants d'un même rouge que sa veste. Quant a ses chaussures, se sont des bottes de cuir noir fixées par deux sangles a boucles de fer. La partie de son masque restant se trouve juste au dessus de son sourcil gauche et remonte jusqu'en haut du crane mais n'est pas visible à première vue puisque ses cheveux mi-longs, le cache.

Voici mon histoire:

Ma vie humaine, une vie ennuyante. Je ne me souviens pas de ma plus jeune enfance. Etant né de parents inconnu, je ne connais pas l'amour, l'amitié. Je n'ai pas pu prendre exemple sur eux mais qu'importe, j'utilise ma non-connaissance de l'amour comme un avantage. Vers mes dix ans, j'ai rencontré une bande de jeunes de mon age. J'ai commencé à traîner avec eux sans leurs accorder d'importance dans mon coeur. je les voyais comme des personnes neutre mais eux disaient m'aimer. A vrai dire c'est plutôt eux qui me demandaient de les suivre. N'ayant rien à faire mis à part la lecture de mes quelques romans, je les suivait. Oui, à environs dix ans je lisais des romans. N'ayant pas beaucoup d'endroits où aller, je fréquentais souvent la bibliothèque du quartier, pour m'occuper, et apprendre à lire. J'ai réalisé un bon nombre de délits avec la bande que je suivais, comme des vols de porte-feuille, de portables, parfois des intrusions chez des personnes pendant leurs absences mais n'y trouvait aucun plaisir, jusqu'au jour où à l'age de dix-sept ans, suivant toujours la même bande, on me demanda de tuer un homme. Il était attaché à une chaise et les autres m'avaient laissé seul, avec lui. Je pris un couteau et avant de le poignardé, je lui ai entaillé le bras. Voyant son visage remplis de souffrance, j'ai continué et l'ai tailladé de tout le haut du corps. Il n'en pouvait plus, l'homme n'avait plus de force pour relever sa tête. C'est à ce moment là que je l'ai simplement poignardé. Le voir en souffrance me donnait comme du "plaisir", même si la notion de plaisir m'était inconnue, cela devait forcément y ressembler. A l'age de 26 ans, je suivais toujours la même bande, du moins, il y avait eu certains nouveaux et certains anciens nous avaient quittés. L'idée ce jour là était simple, braquer un bureau de tabac et se faire un peu d'argent. Nous étions trois sur le coup. A vrai dire, j'étais avec des frères, Guriko Abunai et Kangeki Abunai. Notre braquage fut réussit mais le soir même, lors du partage de l'argent, Kangeki brandit son arme contre moi. Son pistolet visait clairement ma poitrine. Il m'a regardé et fait un large sourire. Je ne dit rien mais ressentait en moi, comme une rage, une haine.

-"On s'est bien amusés Kazuo.. Mais pour toi, l'aventure s'arrête ici.."

D'après les livres que j'avais lu, lorsqu'une balle vous traverse le coeur, il vous reste huit seconde de vie et de conscience. Tombant au sol, je voulais vérifier cela, j'essayais de compter dans ma tête, mais n'y parvenait pas. Ce jour là fut mon dernier de vie en tant qu' "humain".

A quoi cela servait-il de vivre ? Si c'est pour au final, se retrouver mort ? Je me posais des tas de questions. Je ressentais en moi, une haine et une rage immense. Je me sentais comme supérieur à l'être humain alors que j'était constitué de la même sorte. Je voulais au final, la mort de chaque être humain, et ce, dans la souffrance totale. Ma haine et ma rage ne se ressentaient pas contre Kangeki, mais contre chaque humain. Peut-être à cause de cet amour une fois de plus, que je n'ai jamais connu et que personne n'a jamais essayé de m'apporter ? Je ne sais pas.. J'ouvrit les yeux un simple instant et me vit à genou dans cette ruelle ou je fut tué. J'avais une chaîne reliée à ma poitrine, l'endroit exact de mon coeur, l'endroit exact où je fut touché par cette balle. Je voyais la chaîne se consumer et arriver petit à petit à ma poitrine, ressentant une grande douleur, une douleur profonde et inexplicable. Ce moment était pour moi interminable ! Cette haine, cette rage ! Cette douleur ! Je ressentais en moi de la noirceur ! Plus je voyais la chaîne se consumer, plus je trouvais la douleur intense. C'était tellement long, je voulais à tout prix que ce moment se termine..

Kazuo était devenu un simple Hollow. Possédant une paire d'aile, des pattes mais pas de bras. Un long bec fourchu et un regard, sinistre. Au départ, il se nourrissait de simples humains, mais commençait à force à toujours avoir ce même gout, devenant pénible. Il attaqua alors l'un de ses confrères Hollow, au Hueco Mundo. Il ne trouvait pas de différence de gout mais sentait en lui, un changement. Il se décida alors à dévorer d'autres confrères jusqu'à remarquer son changement physique. Son stratagème pour avoir ses confrères était simple. Etant pourvu d'ailes il se cachait dans les hauteurs, et attendait l'arrivée d'Hollow. Voyant ses proies arriver il se mit à planer à rentrer dans ses proies, leurs donnant un coup de bec pour leurs arracher les membres petit à petit et ainsi arriver au final, à en finir avec ses proies sans même se faire toucher. A force de tuer ses propres confrères, Kazuo commençait à prendre la forme d'un corbeau et finit par devenir, Adjuchas. Il avait réussit à se changer physiquement et mentalement. Devenir Adjuchas était une bonne chose mais Kazuo était certain qu'en continuant sur cette voie, il arriverait à se changer encore et encore jusqu'à devenir le plus puissant de ses confrères. Il continua donc sur cette voie, jusqu'au moment où il ne sentait plus de changement. Était-ce réellement terminé ? Était-ce réellement cela, le résultat final de tout ces meurtres ? Un jour étant en plein vol et en pleine observation, Kazuo vit au loin des hommes en blanc. Ils avaient une épée et une longue veste blanche. Après tout, pourquoi ne pas essayer de les tuer ? Son pouvoir pourrait alors grandir après en avoir finit avec eux ?! Il n'hésita pas une seul seconde et fit un piqué dans leurs direction, les pensant faibles. Mais Kazuo les avaient sous-estimés. Arrivé à leurs portée il se fit avoir par les hommes en blanc, il tomba au sol et l'un d'entre eux lui retira son masque de force. Kazuo voulait se débattre, mais n'y parvenait pas..

Lorsque j'ouvrit les yeux, j'étais au sol, allongé dans le sable. Moi qui pendant tout ce temps n'avait pas de bras, ressentait pourtant ces membres. Je me sentais, autre. Je me sentais comme, libéré. Ayant eu du mal à me relever, je me vit dans un corps, autre qu'auparavant. J'avais enfin des bras et voyait au sol, une épée et un livre. Je ne savais pas qui j'étais devenu, pourquoi était-je ici et ce que je devais faire. Je prit alors l'épée en main, le livre de l'autre et marchait, dans une direction intuitive. Au fil du temps, j'apprit à faire connaissance avec moi même. J'ai apprit à me servir de mon épée, et fit la connaissance de mes nombreux pouvoirs. Je marchait et marchait toujours dans la même direction, ne sachant pas dans quel but mais je voulais espérer trouver quelque chose ou quelqu'un. Durant ma marche, je lisait ce livre que j'avait trouvé près de mon épée. Il contient beaucoup de thèmes, beaucoup d'histoires différentes, il m'instruit. Je l'ai lu et re-lu. Je le garde toujours près de moi. Durant ma marche j'ai aussi apprit le nom de mon épée. Ne me demandez pas comment mais, étant seul avec ce livre et cette épée toujours en main, j'ai apprit à communiquer avec. Cela peut paraître étrange certes, mais avoir un lien avec mon arme m'a permit de me renforcer, spirituellement. Je me sens encore plus changé. J'ai apprit à me servir de mon arme, et l'ai utilisée tellement de fois face à ses simples Hollow que mes vêtements en sont devenus rouge sang. Bien entendu je ne compte pas nettoyer ma veste. Toutes ces traces de sang, me laisse un souvenir de la souffrance qu'ont eu toute mes victimes et me procure d'une certaine manière un plaisir. Aujourd'hui je suis à la recherche de quelqu'un, ou de quelque chose. Moi même ne sais pas ce que je recherche, mais je le sens, il y a un but à toute mon histoire..

Mes pouvoirs :

Nature du pouvoir : Cuervo (Signifiant : Corbeau)
Description du Zanpakutô non libéré : Un Katana banal, dont la lame est d'une couleur dégradée. En effet de la pointe jusqu'à la garde, la lame part d'un blanc pour finir d'une couleur sombre qu'est le noir. La garde du Zanpakuto est rouge, correspondant bien avec la veste que porte Kazuo. Le fourreau de son Zanapkuto est noir avec deux raies d'un meme rouge que la garde, à chaque extremité du fourreau.

Techniques non libéré :

• La visión del cuervo (La vision du corbeau) : Cette technique permet à Kazuo d'améliorer sa vision et donc de voir plus loin et avec plus de précision. Elle lui permet aussi d'anticiper très légèrement la technique de ses adversaires. C'est à dire d'avoir de meilleurs réflexes pour esquiver ou parer une attaque.

• Grito ronco (Cri rauque) : Kazuo pousse un cri de et lâche une énorme vague sonique se dirigeant vers son adversaire, pouvant le blesser et l'étourdir.

• Necrófagas (Nécrophagie) : Plus Kazuo touche et blesse son adversaire avec son Zanpakuto, plus sa lame devient tranchante, mais sa puissance n'augmente pas. Seul le tranchant de sa lame s'améliore.

Description de la forme libérée du Zanpakutô : Pour sa résureccion, Kazuo range son Zanpakuto dans son fourreau et prononce "Observado Cuervo" (Observe, corbeau). Lorsqu'il sortira le Zanpakuto de son fourreau, il aura changé de forme. Sa lame sera devenue totalement rouge, un rouge sang. La lame sera aussi plus longue de deux ou trois centimètres. La garde quant à elle, aura totalement changée. Une garde d'un style gothique, avec une boucle reliant les deux extrémités du manche, pour une maniabilité plus facile de l'arme. En sortant son arme du fourreau, une multitude de plumes sortiront elles aussi, se dirigeant vers le dos de Kazuo. Les plumes se rassemblent, s'enfoncent dans l'omoplate gauche de Kazuo et ressorte d'un seul coup, lui conférant une aile noire, une aile faisant facilement penser à celle d'un corbeau, mais bien plus grande. Le masque de Kazuo aura prit le contrôle de toute la partie gauche de son visage, allant de la mâchoire à son front. Le masque de Kazuo laissera aussi paraître la moitié d'un bec de corbeau, un bec crochu, de quelques centimètres.

Spoiler:

Techniques sous forme libérée:

Un hierro de meilleure qualité, un cero et un bara plus puissant et un Sonido plus rapide. "La visión del cuervo" devient meilleure, Kazuo voit plus loin, plus précisément et arrive à mieux anticiper les coups de ses adversaires, c'est à dire, avoir de meilleurs réflexes et parer les coups plus facilement. De plus, il peut voir les flux sanguins de ses adversaires et donc arriver à voir avec facilité les artères importantes de ses adversaires."Grito ronco" devient légèrement plus puissant, et bien plus rapide. Quant à "Necrófagas", elle n'a aucune amélioration.

• Pluma de la intoxicación : Kazuo place son aile devant lui, la positionnant face à son adversaire. Il donne alors un coup d'aile et lance des plumes empoisonnées en direction de son adversaire. S'il se fait touché, l'adversaire de Kazuo se fait légèrement entailler par la ou les plumes et se fait infecter d'un poison qui sera complètement actif au bout d'une minute. L'adversaire de Kazuo sera alors dans un état d'ivresse, sera prit de vomissement et sa vue sera défectueuse, lui procurant une vision flou, et sera prit de vertiges.

PS : Je tiens à préciser que le roman que détient Kazuo n'a rien de spécial et ne contient aucun pouvoir, c'est simplement de la lecture. De plus, vous pourrez trouver de nombreuses choses similaires ou presque à la fiche de Sefirosu, comme ses pouvoirs, son aile ou autre. Je me suis bien mis en accord avec lui pour créer ce personnage et avoir ces points communs avec lui.

Coincé dans ce désert, je marchais, toujours dans cette même direction qui m'étais intuitive. Autour de moi, rien de spécial mis à part du sable. Le vent soufflait légèrement, et aucun signe de vie dans les alentours. Je lisais le chapitre huit, de mon livre sans nom. Un livre, dont la couverture était blanche, simple, sans titre. Je ne sais pas pourquoi, mais il fallait que je lui donne moi même un titre. "El maestro cuervo", voulant signifier, le maître corbeau. Ce nom me plaisait bien. Il identifiait bien ma personnalité, et voulait aussi signifier qu'il était miens. Le chapitre huit est un chapitre qui me plais particulièrement. Les phrases sont si bien écrites, dans un ordre parfait. J'ai continué à marché et suis tombé sur un Hollow. Il me regardais droit dans les yeux et commençait à pousser des cris. C'était un vulgaire Hollow qui avait plus ou moins l'apparence d'un serpent. Je continuais ma marche, lisant mon livre, l'air de rien. Je n'avais pas envie de sortir mon épée pour un vulgaire Hollow. Mais celui-ci se mit à bouger et m'encercla en quelques secondes. J'ai donc comprit qu'il voulait réellement faire de moi, sa proie. Le problème était tel que si nous comparions nos deux puissances, ce serait plutôt lui, ma proie. Le Hollow en question me fixa une nouvelle fois et poussa une fois de plus, un énorme cris dans ma direction. Je trouvais cela fascinant. On pourrait dire qu'en poussant leurs cris, les Hollow tentent une communication avec nous. Essayant de libérer leurs rage et colère, ce cri était fascinant. Je le sentais, il était fin prêt à m'attaquer. Je ne savais pas s'il me comprendrait ou non mais qu'importe, avant sa mort je voudrais lui citer un passage qui me plais. Il se mit alors à foncer dans ma direction, la bouche grande ouverte, comme si j'allait être son prochain repas.

• Je te trouve bien courageux. "Celui qui combat, peut perdre. Mais celui qui ne combat pas, à déjà perdu.", je dois t'avouer que c'est l'un de mes passages favoris. Disais-je au Hollow, le sourire au coin des lèvres.

J'ai lentement sortit mon Zanpakuto, et lorsqu'il arrivait à ma portée, il essaya de me donner un coup de mâchoire, que j'ai pu esquiver grâce au Sonido. J'ai par la suite inspiré un bon coup et le voyant charger dans ma direction une nouvelle fois, je n'hésita pas.

• Grito ronco..

J'ai poussé un énorme cri qui balança une énorme vague sonique en plein sur sa mâchoire. Le Hollow disparu, et je rangea alors mon arme, dans son fourreau. Cela ne m'avait absolument pas amusé. D'ailleurs je commençait à en avoir marre, de toujours croiser le même type de Hollow. N'existait-il pas, des personnes comme moi ? Possédant le même dont ? J'étais pourtant certain qu'un bon nombre de personnes comme moi existaient. Je ne pouvais pas être le seul à avoir retiré mon masque. Cela ne demande pas tant de réflexion. J'ai donc continué ma marche, et ai reprit ma lecture. Je n'avait pas de marque page, mais savait facilement m'y retrouver. Avant chaque combat je prends soin de regarder la page où j'en suis. La fin du chapitre huit approchait. J'ai continué ma marche, plongé dans mon livre, jusqu'à ce que je ressentit quelque chose d'inhabituel. Je me suis alors arrêté et ai refermé mon livre. Je l'ai rangé dans la poche de ma grande veste et ai doucement relevé la tête. Au loin, une personne, vêtue d'une longue veste blanche. J'avais enfin trouvé quelqu'un. Je ne sais pas quelle sera sa réaction lorsqu'il me verra, mais je dois aller voir qui est cette personne et rester prudent. La personne en question regardait aussi dans ma direction. J'aurait pu utiliser "La visión del cuervo" pour l'identifier mais je ne voulais pas offenser cette personne. Mon livre et mon Zanpakuto rangés, je m'approchais en direction de cette personne, que j'avais pu identifier comme étant un homme, à présent. Le vent s'était arrêté, et l'homme en blanc m'attendais, visiblement. D'un air calme, j'avançais, encore et encore..

Spoiler:

Bon bon bon, en l'absence de Sayuri, je me charge de sfiches.

Je n'ai pas grand chose à redire. La quantité est là. Les explications sont clair et on cerne correctement ton personnage. Le manteau rouge teinté du sang de ses victimes est un ajout intéressant pour ton personnage.

Passons à tes pouvoirs. Pouvoir inédit et original, j'aime bien Cependant on sent que tu n'oses pas trop te lâcher. N"hésite pas ! On sent que tu sauras gérer l'auto-modération.

Quelques exemples pour t'aider :

La visión del cuervo sous forme libéré : Pourquoi ne rajoute-tu pas la capacité à ta vision de pouvoir discerner le flux sanguin et donc les artères importantes. De plsu tu aimes ressentir la souffrance de tes ennemis. cette capacité t'y aiderait.

Grito ronco : Une copie du getsuga, c'est pas le top quand même. Avec ton pouvoir, pourquoi ne pas créer une vague sonique ayant pour son le cri d'un corbeau? cela pourrait même perturbé quelques instants ton adversaire en l'étourdissant non?

Bref, je te laisse changer cela si tu le souhaites et je te donnerais alors mon accord.

Je te remercie pour ton commentaire qui m'a bien aidé, et j'ai bien prit le soin d'éditer ma fiche.

Bon ben pour moi c'est ok. Il te reste à attendre le passage d'un admin.