Kurotsuchi Nemu
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Nom : Kurotsuchi Prénom : Nemu Âge : En apparence, une vingtaine d'année. Division Souhaitée : Douzième division Je vous en prie!
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Comment suis-je Physiquement?
On m'a dit que j'avais le teint pâle et les joues roses. Mes yeux sont verts, sans aucune luminosité apparente, et assez allongé, je crois qu'on dit en amende, mais je ne connais pas tellement le dialecte humain de la description... Mes sourcils sont fins, et tout aussi noirs que ma chevelure, qui elle, une fois détachée, m'arrive aux reins avec des reflets métalliques, cependant, ce n'est pas le cas. Je la noue en une tresse méticuleuse avec pour attache un nœud rouge de soie. Hélas, j'ai deux mèches trop courtes pour rester nouées, c'est pourquoi elles retombent toutes deux de part et d'autres de mon visage, encadrant ma frange raide, elle même cachant mon front. Mon maitre dit que j'ai un nez en trompette bien trop petit pour rester intact lors d'un combat, et qu'au prochain coup, il sera surement cassé. Mon visage est rond et se termine en pointe pour le menton, qui est très fin lui aussi.
Mon cou est très petit, et les artères sont assez voyantes car je n'ai quasiment que la peau qui les recouvre, c'est pourquoi je porte un ruban pourpre sur celui-ci. Il m'arrive de temps à autres, parce que les autres shinigamis me poussent à le faire, de me regarder dans un miroir sous toutes les coutures. Nue, je peux alors remarquer que je suis plutôt mince, sans être maigre malgré la fragilité apparente de mes poignets et chevilles, et que ma poitrine prends des formes généreuses. J'ai le dos droit, avec une chute de rein très marquée, ce qui d'après Rangiku-san, rendrait fou les hommes, bien que je ne comprenne pas pourquoi, et un fessier juste assez rond pour me permettre d'être bien assise sur mes talons lors des réunions officielles. Mes cuisses sont assez rebondis je dois dire, mais j'ai les mollets plutôt musclés ce qui fait un contraste entre les deux qui n'est pas très plaisant à voir je dirai. Je sais que je ne mesure pas plus d'un mètre septante, et que jamais je n'atteindrai ce niveau d'ailleurs...
Je ne porte que l'habituel shikakushô, par dessus un Yukata blanc de soie, bien que le mien soit légèrement plus court que la moyenne, car bien plus pratique pour se déplacer rapidement sans être gêné par les longs pans du vêtement. C'est pourquoi il m'arrive aux cuisses et se referme sur elles. Je le ferme avec un hobi de soie blanche, sans nœud, et le termine par une ceinture pourpre en son centre. Sur les mains, j'ai des mitaines qui couvrent leurs dos et se terminent au milieu de mes avant-bras, bien qu'inutile, cela reste un élément de mon style vestimentaire. Évidemment, je porte des tabis blanches recouvrant aussi mes chevilles et enserrés dans des gétas à rubans plus longs, de sorte que je les croise sur mes jambes pour les noués au niveau de mes genoux.
Aurais-je oublier de mentionner le fait que je porte le brassard de lieutenant sur mon bras gauche? Ainsi qu'une main forreuse? Et bien c'est fait à présent...
Je tiens à préciser que je ne suis qu'un robot, bien qu'ayant forme humaine, mes émotions ne m'appartiennes pas, et ne sont pas réelles, pour autant, d'après mon Maitre, je suis une empotée. Mais d'autres m'ont souvent dit que j'étais gentille et dévouée, voir parfois légèrement soumise. Je ne suis pas très douée pour comprendre les gens, après tout, on ne m'a pas faite pour ça. Mes seules qualités, je dirais que je suis un bon bouclier humain, et d'après Le 20e siège, je suis très douce, mais je ne sais pas si c'est vrai, ou si il n'essaierai pas de prendre du grade par mon biais. Il n'y a pas grand chose à dire sur mon caractère possible, je n'en ai pas de réel, alors à quoi servirait-il de dire que je ne suis qu'un bouclier humain dans lequel coulent un nombre incalculable de poison injecté par mon maitre?
J'ignore tout de ce que les gens appelles émotions, et parfois, quand on me demande de les comprendre, j'acquiesce, mais uniquement parce que c'est la seule chose que je sais faire. Mais je suis sure d'un de mes sentiments, c'est l'affection que je porte à mon Maitre, Mayuri-sama. Elle est sans faille!
J'ai été créer dans le laboratoire de Mayuri Kurotsuchi. D'abord un véritable échec, ce n'est qu'au bout de six fois qu'il parvint à me fabriqué ainsi, en combinant l'adoption des membres et celle des âmes. En premier temps, mon maitre et père testa les résistances de mon corps, cherchant les failles possibles, puis, il m'enseigna le kido, le Hakudo, et les maniement du sabre. Je ne fus pas envoyée à l’académie, puisque je n'étais pas humaine, et que ma capacité d'enregistrement des données est bien plus rapide que celles des autres. Rapidement, il vit en moi le moyen de ne pas avoir un pauvre idiot de shinigami dans les pattes, et il me forma de sorte que je puisse atteindre rapidement le poste de vice capitaine. Je lui doit toute mon existence, ainsi que respect et adoration.
J'ai rencontré bon nombre de personne dans mon existence, les shinigamis soldats, leurs superieurs... J'ai appris qu'être l'ami de quelqu'un ça voulait dire supporter ses jérémiades tout le temps, boire avec cette personne et l'aider en cas de problème. C'est ce que Rangiku-chan à dit, mais ensuite, j'ai écouté la version d'Hisagi-kun, et ce n'était pas pareil, et ainsi de suite, donc j'en conclus que la vision de chaque chose dépends de la personne qui la vit. Il y a quelques temps, je me suis battue contre un Quincy avec mon Maitre, et le quincy nous à vaincu parce que j'étais trop faible, mais j'ai décidé de l'aider à survivre, parce qu'il possédait l'étincelle de loyauté envers Kuchiki-san, que Hinamori Momo m'a un jour décrite. J'ai été sévèrement punie ce jour là, mais je n'en voulais pas à mon Maitre, il avait raison de me punir, parce que j'avais laissé en vie un ennemi, alors j'ai souris, parce qu'encore une fois, mon Maitre me prouvait qu'il s'occupait de ma conduite.
Même si les gens disent que c'est bizarre que j'agisse ainsi, je peux d'ors et déjà les rassurer, c'est normal. J'ai toujours peur que mon maitre créer une autre que moi, plus parfaite, et qu'il m'abandonne comme une mod-soul. Alors, quand il me gronde, il s'occupe de moi, et quand il me frappe, il me touche comme un père le ferait avec sa fille insolente. Je me sens bien quand il le fait, parce que ça prouve que je compte encore pour lui, et que j'ai toujours une raison d'être. Alors quoi que Mayuri-sama fasse, je le suivrais, parce qu'il est mon créateur, parce qu'il est mon père, et qu'il est la seule personne qui compte vraiment pour moi. Et même si la trahison d'Aizen nous emmenés sur le chemin de la mort, je serais à ses cotés, pour servir de bouclier s'il le faut.
Nom du Zampakutô : Koutashi Kogane
Type de votre Zampakutô: égyptien.
Description du Zampakutô non libéré : Semblable à un simple katana, la lame est courte, bien qu'un superbe cobra soit gravée sur son tranchant. Le manche est recouvert d'un simple tissus de soie blanche, légèrement vieillit. En revanche, tout cela est camouflé dans un fourreau fait en bois d'acajou, bordé d'argent et d'or, sur lequel quelque hiéroglyphes sont marqués. Ma lame mesure environ quatre-vingt centimètres.
Et version humanoide, Koutashi Kogane est un jeune homme à la peau mate, aux habits beiges et noirs déchirés qui devaient autrefois être un pantalon bouffant à l'orientale. Il a des chaussures de tissus noirs assortis, ses mollets, son ventre, ses avant-bras ainsi que la partie inférieure de son visage sont recouverts par des bandages usés, flottant gracieusement. Son visage est exotique et bien dessiné, ses yeux d'un doré éclatant et ses cheveux noirs en bataille, à peine retenu par des bandages entourant ici et là sa chevelure ainsi que son front, comme un bandeau.
Description du Zampakutô Shikai : En mode Shikai, ma lame double sa taille, son tranchant s'aiguise au plus, et le serpent gravé disparait alors, d'ailleurs, celle-ci se courbe légèrement, et ressemble à présent à une lame-faucille. Le manche n'est plus celui d'un katana, mais il est plus large, doré, et c'est la tête d'un cobra royal qui orne son sommet.
Techniques Shikai :
1ere technique : hebi no kage. Cette technique d'espionnage est assez pratique, puisque le zampakuto se change en petite couleuvre et qu'il me permet de voir de par ses yeux. Cependant, une fois repéré, la couleuvre se dissipe et reprends sa position initiale de katana.
2eme technique : Futö Koutashi Kogane. Cette technique est une simple technique de soin. Les rubans blancs semblable à des rouleaux de papyrus qui recouvrent le manche de mon zampakuto s'animent et s'enroulent là où mon corps en a besoin. Cela peut arrêter n'importe quelle blessure pendant environ trois heures, je ne sens plus rien. Cependant cette technique n'est là que pour me permettre d'aller me faire soigner, ou empêcher quelqu'un de succomber à ses blessures.
3eme technique : Hachūrui āmu. Je pointe mon zampakuto sur mon ennemi, et celui-ci brille un instant, le temps de muter avec mon bras, puis, de ma manche jaillissent trois serpents. L'un part s'attaquer au buste de mon ennemi, précisément son cœur, et les deux autres s'attaquent à ses jambes pour ensuite s'enrouler autour de ses chevilles et l'enfoncer sous terre.
4eme technique : Atama no hébi. L'une des plus étrange, car je n'aime pas la sensation que produit ma tresse en s'allongeant et en se changeant en une vipère, dont la queue représente ma tête, et le bout de la tresse, la sienne. d'autant plus que ma peau se change en écaille d'acier, et je trouve ça légèrement écœurant. Pourtant, elle est très pratique car en cas d'attaque par l'arrière, ma tresse vient s'enrouler autour de mon assaillant et à le choix entre tenté de l'étouffer ou le mordre.
Description du Zampakutô Bankai : Mon Zampakuto se divise en deux sceptres, le bâton du berger, bien que couvrant une partie affutée, tandis qu'un Fléau prends place pour l'autre, de même que l'esprit de mon arme apparait quelques seconde au dessus de moi. C'est un immense cobra Royal, environ 5 mètres de haut pour trois de large, cependant, il n'a pas la figure d'un serpent, mais bien celle d'un pharaon, assez semblable d'ailleurs au visage de mon maitre.
Techniques Bankai :
Suna arashi : Avec le bâton du berger, que j'agrandis considérablement et plante dans le sol, des particules de sables se forment tout autour et forment ensuite une tempête de sable qui perturbe la vision de mes ennemis. Avec cette tempête de sable, je peux aussi camoufler ma présence, ou encore induire des ennemis lointain en erreur. Si l'envie m'en prenais, je pourrais aisément en attraper quelques un et les faire voltiger à l’intérieur jusqu’à l'inconscience, mais je me déconcentre vite, et souvent, j’oublie de les maintenir en l'air.
Sabaku no Mira : Toujours grâce au bâton de berger, je frappe le sol et forme cinq clones de mon zampakuro sous sa forme humaine. Ils sont ensuite recouverts du même ruban de papyrus vieillit par le temps, et prennent l'apparence de momies. je ne peux les maintenir en place que pendant quatre minutes et 32 secondes pour le moment. Mais ils se battent avec moi et me permettent de me reposer un temps. Lorsqu'ils sont blessé, ce n'est pas du sang qui coule, mais de l'acide sulfurique.
Hebi no uta : Avec le fléau, je créer le chant du serpent qui est une technique illusoire. je réunis tous les serpents déjà utilisés dans mes précédentes techniques et en forme d'autres avec les lanières, et ensemble, nous nous mettons à siffler, plongeant notre ennemi dans un état second. C'est la même transe que recherche les moines tibétains dans la musique,c'est une crise de panique je dirais, puisqu'ils sont incapables de faire le moindre mouvement, mais cela ne dure pas très longtemps non plus. Savez-vous ce que c'est que d'avoir la langue fendue en deux et de siffler? c'est une sensation véritablement insupportable, et après, j'ai les lèvres qui vibre encore un moment...
(Ultime) Haka no pharaon : Avec le bâton de berger, je forme des signes sur le sol, il m'en faut trois ou quatre, entourant un ennemi ou un objet que je cherche à caché, et je fait sortir de sous terre, et tout autour de l'objet ou de la personne, des piliers monstrueusement grands d'une pyramide. Elle est impénétrable, sauf si je commence à m'épuiser, ou que mon maitre, Mayuri-sama, y entre, puisqu'il est le seul à pouvoir y aller. Le tombeau du pharaon met en place toute une série de piège à l’intérieur de la pyramide, afin que celui que j'ai enfermé ne puisse en ressortir, ou que ceux qui souhaitent le piller ne puisse franchir les portes. Je peux d'ors et déjà dire que le premier sera un puits avec pics en fond. Puis, une fois le tombeau irrigué, j'utilise le fléau, et des gardiens reptiliens sortent des sangles, pour entourer la pyramides et former un grillage tout autour de celle-ci. Et enfin, des écailles modifient ma structures corporelles et m'entraine à l’intérieur de la pyramide, ou je deviens mi-humaine mi-serpent. Sous cette forme, je possède deux crochets injectant de nombreux poisons que mon maitre à créer, et mon cou est aussi extensible qu'un boa constrictor, me permettant d'atteindre un ennemi à 30mètres de l'emplacement où je me trouve.