Sujet: Siel Belphegor. {En attente de validation.} Lun 4 Oct - 23:06
« Belphegor, Siel »
'xxxxxIdentité ?
• Âge : Plus de 270 ans. • Race : Shinigami Exilé. • Citation favorite : "Hi. Miss Alice."
Siel après plus de cinquante ans passés dans l'El Hueco Mundo.
Siel actuellement. Soit après sa sortie du monde des Hollows..
'xxxxxDescriptions ?
• Physique :
La première chose qui choque lorsque l'on aperçoit Siel, dans le clair-obscure où il se cache si souvent, c'est son parfait immobilisme, telle les figures de cires que l'on peut trouver dans les musées. Cela n'aurait pas été un sujet d'étonnement s'il n'eut pas complété la scène presque surnaturel que représente l'ensemble du personnage décharné. Le jeune homme est particulièrement maigre, signe des dernières décennies hantées par ses démons intérieurs. Son front, volontairement caché sous un masque violacé et sales, lui donne quelque chose de mystérieux. Des plumes noires, certainement issus qu'un quelconque corbeau orne la coiffe en se dressant vers l'arrière de son crâne évoquant un oiseau de mauvais augure. Si vous avez la chance de voir ses yeux si souvent dissimulés. Vous verrez alors qu'ils paraissent ternes comme de la nacre sale. Bien que des reflets bleuâtres dansent en présence de lumières chatoyantes à l'intérieur. Son regard semble toujours vide comme perdu dans un monde qui n'existe pas. Son visage pâle est en lame de couteau, les joues creusées par la faim, les cernes par la fatigue qui marquent son état. Le reflet des tortures endurées.
Le cou est serré par une chainette sale en argent où une petite croix du même métal pend tristement. La chemise et le pantalon noir qu'il porte ne sont pas vraiment en meilleurs états que sa personne, c'est à peine si les lambeaux qu'il en reste suffise à couvrir entièrement son corps. Il arrive qu'on le croise d'ailleurs sans sa chemise. Comme quoi, c'est vraiment un accessoire ! Il est presque étrange le tissu usés de son pantalon arrive encore à tolérer le poids d'une seconde chaine d'argent, plus imposante qui elle-même soutient un petit livre à la reliure de cuir craquelée. Sur la couverture on peut lire le titre en petits caractères « apokalupsis ». Un ouvrage vraisemblablement ancien. L'ombre du chapeau qui orne la tête minée de notre homme fait ressortir avec contraste, les rides blanchâtres, les sinuosités froides, le sentiment pâle de ce faciès macabre. Enfin l'absence de tout mouvements dans le corps, de toute chaleur voir même d'humanité dans le regard ou la démarche, s'accordait avec le sentiment de démence triste qu'imprégnait la vue de cette ombre vivante et les dégradants symptômes qui caractérise la mélancolie. Tout ceci faisait un je ne sais quoi de funeste de ce corps tordu qu'aucun mot ne pourrait véritablement décrire.
Sur le dos trop droit pour sembler naturel de Siel, était disposé un sabre. Sabre qui au contraire de son porteur semblait incroyablement pur et éclatant.. Sa poignée était d'un noir de jet contrastant avec élégance avec la lame d'un blanc clair dénué de toute d'impuretés. Un long ruban de soie noire de près d'un mètre s'échappe de la poignée et flotte librement selon les gré de la brise.. Le sabre est parfaitement équilibré de telles sortes que le manier est un véritable plaisir. Il fend l'air avec une facilitée presque inquiétante, pas simplement l'air d'ailleurs..
Bien que l'objet semble proche de la perfection, personne ne peut s'empêcher de trouver de fixer l'homme foudroyé par le destin, les marques d'une douleur profonde, se lisant sur son visage comme dans un livre ouvert. Livre occulte, intriguant, captivant.. Vous, sauriez-vous y résister ?
• Psychologique :
Il est particulièrement difficile de décrire un personnage aussi complexe que Siel Belphegor. Que dire sur ce mystérieux protagoniste particulièrement lunatique. . Quoi que, des choses à dire, il y en a beaucoup hors la véritable question serait plutôt « Par où commencer ? ». Il est tellement imprévisible que donner une description valable sur la durée est un véritable casse-tête. J'essayerais donc de détailler sa manière d'agir selon ses différentes saute d'humeur, en espérant que dieu m'aide à trouver les bons mots, ou en inventer des nouveaux compréhensibles.
La plupart du temps, Siel est indifférent au monde qui l'entoure. Il n'esquisse pas le moindre sourire, à le regard perdu dans le lointain, marmonne quelques paroles incompréhensibles mais n'affiche pas pour autant de la tristesse ou un quelconque dégoût de l'environnement qui l'entoure. Une véritable expression de « rien », de néant, comme si il avait tellement vus d'horreurs, d'atrocités qu'il se retrouve maintenant blasé de l'intégralité de ce que la vie peut lui apporter. D'habitude lorsque les gens croisent un chiot ou un enfant joyeux dans la rue, ils ne peuvent s'empêcher de lâcher au moins un petit sourire en coin ou un signe d'amusement, Siel lui, passe sans même faire attention à l'existence de l'être en question. Il est dans ces moments, incapable d'exprimer la moindre pensée positive, ni même négative croyant, inconsciemment ou non, que de toute façon même la mort ne pourrait être pire que son errance. Souvent lorsqu'il se retrouve à arpenter ainsi les rues, perdu dans le vague, il pense activement à des choses diverses et variées, notamment au passé. La vie de cette ombre macabre, fut de nombreuses fois éprouvante même déchirante. Souvent, trop souvent même, Siel ne peut que se voir submerger par des scènes atroces qui ressurgissent de sa mémoire, de véritables flashbacks. Il les a vus tant de fois qu'elles ne le font même plus souffrir, elles sont juste là, omniprésentes dans son esprit. L'empêche lorsqu'il marche solitairement dans les rues de la petite ville de Karakura de voir l'enfant ou le chiot, voir même les foules qu'il peut avoir en centre ville. Il ne peut que visualiser ses scènes rayées qui tournent en boucle dans sa tête. Quand l'émotion arrive à l'étreindre de nouveau, le fantôme errant peut changer brusquement, abandonnant cette indifférence pour laisser place à autre chose, que ce soit de la tristesse, de la rage ou même du regret.
Effectivement sans prévenir, l'ange de la mort peut devenir subitement agressif voir même violent. La rage le prend aux tripes, si vous me permettez cette expression vulgaire, elle le ronge de l'intérieur et rapidement il ne peut plus la contrôler. Il se retrouve comme submergé par un raz-de-marée géant, un tsunami de colère et de haine viscérale refoulée, absolument indomptable.. Dans ces moments là, les gestes brusques, le regard de braise et les rabaissement verbaux de Siel suffisent tout le temps a éloigner les gêneurs qui peuvent entourer le shinigami enfin presque, les personnes ayant subit son courroux n'étant de toute façon plus en état de témoigner. Ils doivent tous fuir ou subir son courroux vengeur. J'espère que jamais vous ne connaitriez ce moment où vous vous sentez flotter dans les airs avec allégresse, alors que votre corps lui bouge avec une rapidité et une hardiesse presque animale pour détruire tout ce qui est à sa portée. Comme si tout devait disparaître sur l'ordre du divin lui même. Le véritable visage de l'homme, un esprit berserker. Le moment sacré, où la terre elle même tremble de peur devant la rage inhumaine d'un seul être. Il est arrivé de rare fois que Siel en arrive à ce stade, combattant par la suite tout ce qui se dressait devant lui, bien que le verbe « Pulvériser » soit plus adapté, juste pour faire sortir tout ce qui le ronge, le mange petit bouts par petit bouts.. Si vous pouviez sonder avec moi se cœur tout baigné de larmes, vous verseriez avec moi un pleurs. Cela rend-il ces actes de barbarie pour autant excusable ? Discutable mais ceci est une autre histoire.
Pour autant il ne faut pas prendre le pauvre bougre pour une personne cruel, loin de là. Si vous aussi vous auriez perdu la personne que vous aimiez, puis vos proches pour finir seul, pendant près de cent ans, je ne suis pas sûr que vous vous en sortirez dans un meilleur état. Malgré ces passades ou fréquenter le banni peut-être une mauvaise chose, voir simplement ennuyante lorsqu'il est perdu dans ses pensées, la compagnie de Siel peut parfois se retrouver plus que agréable. Ils est difficile de compter le nombre de fois ou l'ange de la mort prit le temps d'écouter des mortels tristes pour les consoler, ou sauva des innocents de créatures qu'ils ne pouvaient percevoir. Souvent un peu froid et oubliant de faire preuve de tact, il peut sembler aux premiers abords assez antisocial mais cache en dessous une âme pur. Si son grand malheur lui a bien enseigné une chose, c'est le poids de la douleur et par conséquent, la compassion, la générosité et la dévotion. Ces trois valeurs guident plus ou moins la vie de l'ermite aidant quand cela lui chante, les sans domiciles fixes, les personnes tristes qu'il remarque (Étrangement, souvent de jeunes filles !), ou la simplement la majorité de la population en continuant son travail de shinigami alors que plus rien ne l'y oblige.
Oui, malgré ses nombreux défauts assez pesant, son physique plus forcément des plus flatteurs et son caractère difficile et froid. Siel est une personne au fond vraiment pur, se complaisant dans ses principes, aimant jouer au héros même s'il n'en a plus vraiment l'étoffe. Peut-être est-ce ce qui lui permet de tenir bon ? De ne pas sombrer dans la folie, même après presque maintenant cent ans d'exil. Allez savoir. . Moi même, narrateur de son histoire, je ne sais que trop peu de choses sur ce sombre ange déchu.
'xxxxxHistoire ?
• Histoire :
Il y avait là, juste en face, à quelques centaines de mètres trois canonnières. Les trois barges avaient remontée le fleuve pour arriver jusqu'ici, transportant avec elles des pièces d'artilleries ainsi que mille hommes à ce que l'on en disait. Siel Belphegeor contemplait le spectacle autant avec peur qu'avec dégoût, c'était un des pavillons noirs. Les pirates du fleuves rouges, anciens rebelles Taiping sous les ordres de Liu Yongfu. Il se demandait comment lui, fils d'un missionnaire anglais reconvertit et d'une jeune chinoise, fille d'un clan déshonorée avait-il pu arriver ici ? Il voyait toute sa vie défiler devant ses yeux, de l'exclusion des terres familiales, le soulèvement du sud de la chine contre son empereur qu'il avait suivit aveuglement contre promesse de nourriture et d'aventure, puis sa reconversion en tant que pirate. Ils avaient pillésles tribus des montagnes contre foules de babioles et de dons des Annamites, avant d'aller harceler un corps expéditionnaire français sous les ordres d'un inconnus assez riche pour monnayer un contrat avec le capitaine. Siel avait suivit, une fois engagé au coté des pavillons noirs, on ne pouvait se séparer du corps de combat, sinon on encourait la peine de mort ainsi que la torture. Le jeune homme avait connu de ces gars qui avait essayer de se retirer avec les économies d'une décennie de crimes, Liu Yongfu les avaient fait exécutes devant leurs anciens camarades ''Pour l'exemple.''. Le pirate avait mangé malgré lui de ces horreurs depuis qu'il avait suivit le mouvement, il avait vus ses camarades tomber au combat les uns après les autres et pourtant, le fier bataillon du pavillon noir s'en était toujours sortis. Après chaque victoire, des jeunots comme lui venait rejoindre leurs rangs et ils étaient reparti pour un nouveau contrat. Cette vie, tantôt Siel Belphegor l'aimait et en profitait comme un pirate devrait le faire, d'orgies d'alcool, de carnage et de sexe. Puis lorsque le lendemain matin il décuvait et ce voyait affublé d'une atroce gueule de bois, il regrettait.
Tout ceci lui traversa la tête en deux ou trois minutes à peine. Il reprit ces esprits et admira le sombre spectacle. Les barges accostaient le long de la rive sinueuse et les hommes affluaient des trois bateaux. Une véritable marée humaine déferlait, ils étaient armés de fusil, de baïonnettes et de sabres et habillés d'uniformes bleues et rouges qu'ils avaient ornés avec des galons blanc. Ils semblait si fier d'aller se battre pour leurs pays, pour pouvoir transporter l'opium le long des fleuves asiatique et faire ainsi fortune. . Fiers et emplit de courage. Siel remarqua rapidement les révérant des nouvelles recrues, c'était un peu comme dans les rangs des pavillons noirs, c'était les plus amochés, les plus vieillis avec les mines les plus sombres. Eux savaient que ce n'était pas un jeu. Pendant tout le temps que le jeune pirate avait prit de son perchoir pour analyser la situation, les hommes avait afflué des bateaux et enfin le flot s'interrompît. Il ne restait plus que quelques hommes sur les barges pour mettre en place les pièces d'artillerie. A ce moment, lorsqu'il vit l'angle des canons changer pour se diriger vers lui et ses camarades de fortune. Le jeune pirate comprit la stratégie des français. Derrière eux, se tenait les montagnes et plus loin la rivière noire où ils seraient arrêtés par les tribus locales ou par l'empire chinois lui même. Dans les deux cas les pirates se verraient pliés à la peine de mort. La seul solution était de repartir vers le Vietnam, mais pour ça il fallait forcément passer par le fleuve rouge. Les français allaient d'une minute à l'autre commencer le bombardement, alors les pirates seraient forcés de descendre des vallons pour espérer avoir une chance de s'en sortir. Ils allaient devoir se confronter directement à sept cents hommes alors qu'eux même n'étaient que trois cents tout au plus et que le reste des pirates étaient partis en reconnaissance avec le capitaine. Le visage de Siel sembla se décomposer. Après tant d'années, tantôt de misère, tantôt de luxure, était-ce ça la fin ? Aussi pitoyable et grotesque ? C'est comme ça que les mondialement célèbres pavillons noirs, traqués par les sept grandes nations de l'Europe allaient finir ? La nausée sembla prendre le jeune pirate, il avait déjà mené à bien deux missions pour Liu, non pas que cela lui tienne vraiment à cœur, seulement Siel aimait l'argent et les honneurs. C'était là l'occasion de gagner les deux. Il allait prévenir ses frères de sang, prendre la tête du bataillon et écraser les français avec la fureur qui le caractérisait si bien au sein de la bataille. N'est-ce pas pour rien qu'il était surnommé ''Banyo* '' par ses congénères ?
* : Le banyao est l'hybride issu de l'accouplement d'un animal démoniaque et d'une humaine. Le banyao peut être de sexe masculin comme féminin . Il a l'aspect d'un humain, mais garde un petit signe trahissant son origine : des oreilles pointues, des yeux clairs, la langue fourchue, ou de petites cornes, qu'il cherchera à tout prix à dissimuler. Il excelle au combat, dispose d'un charisme rare et est capable d'effectuer des actions qui relèvent de l'exploit pour les humains.
Siel releva la tête fièrement, il souriait légèrement comme s'il sentait déjà la douce odeur de la victoire. Si comme on dit l'avenir est long passé, alors même en cette situation désespérée la victoire l'attendait. Il se retourna et se mit à courir, il avait peu de temps pour arriver au campement peu loin d'ici. Il sentait le vent le fouetter au visage et faire voler ses cheveux bruns en bataille, il oxygénait ses poumons et lui permettait de courir encore plus vite sans efforts. Lorsqu'il arriva enfin, il monta sur un empilement de caisse contenant les dernières provisions pillés la vieille et hurla au milieu de la foule, certains préparaient à manger, d'autres réparait les armes qui pouvaient encore l'être, d'autres encore étaient de corvées de linge, pourtant, le cris les arrêta tous net comme si c'était un ordre direct du commandant Liu lui même :
- « Pirates, soldats, fantassins, mercenaires, qu'importe comment vous préférez que l'on vous appelle ou qui vous êtes, j'en appelle à la bannière du Pavillon Noir elle même ! Les français sont en contre-bas des vallons, au rives du fleuve rouge et ils s'apprêtent à nous bombarder ! »
Tout le monde fixait à présent Siel Belphegor, il était connu par tous, au moins de nom pour ses exploits et sa chance fabuleuse sur le champs de bataille. Il avait survécu à tout les assauts et toutes les embuscades jusqu'ici, très peu pouvait se vanter de cette exploit. Tout le monde avait aussi déja entendu de son style de combat plutôt inhabituel armé de deux arbalètes deux poings modifiées par ses soins pour pouvoir recharger très rapidement grâce à un habile système composé de ressorts, de ficelles et de petits engrenages, c'était surement pour cela que personne n'osait l'interrompre, par peur des représailles encourues.
- « Nous ne pouvons repartir vers la rivière noir sur peine de mort, seul une poignée d'entre-nous pourraient en sortir vivant. La seul solution est de rencontrer notre ennemi au corps à corps pour éviter leurs artilleries. Aiguisez vos sabres, ramonez vos fusil, enfourchez les chevaux, préparez l'attirail des lanceurs de feu grégeois. Je veux que dans cinq minutes, notre étendard soit levé du haut de la colline ou j'étais perché ainsi que nous y soyons tous ralliés et que dans les cinq suivantes nous commencions à enflammer et découper ces chiens de français qui osent nous déranger nous, le Pavillon Noir ! »
Aussitôt que ce bref discours soit finit, Siel fut acclamé par tous et le mot se répandit comme une trainée de poudre au sein du campement. En le nombre de minutes imparties, ils étaient tous là au sommet de la colline, arborant fièrement leur blason au dessus des français qui palissaient devant la vision des sombres soldats. La plupart des pirates asiatiques étaient vêtus de vêtement noir en lin et de protection de cuir souple leurs permettant d'avoir une mobilité sans pareils à défaut de protections vraiment efficaces. Ils étaient armés de ''Crocs de serpent'' des armes d'hast à la lame recourbée, De sabres, de fusils et même de boules de verre enflammées qui contenaient une huile persistante capable d'embraser l'eau elle même, ou même simplement de bâtons. Ils étaient trois cents ainsi armés à regarder avec dédain voir même pour certain amusement le détachement français. Il était temps de réduire le tout en amas de chair et de cendres.
- « A mon signal. . » prononça le jeune pirate tremblotant sur un ton trahissant à la fois l'excitation et la peur.
- « A l'assaut et pas de quartiers ! Brulés et tranchez moi ces porcs de français ! »
En réponse la horde de pirate assoiffé de combats, stimulée par l'adrénaline commença à dévalé la colline à une vitesse vertigineuse soulevant ainsi un épais nuage de fumée. Les français en réponse serrèrent leurs rangs, les baïonnettes en avant, prêt à recevoir la charge ardente. Comme si quelques piquants hérissés pouvaient arrêter une vague destructrice prête à engloutir toute forme de vie devant elle. On voyait la figure des soldats du corps expéditionnaire se liquéfier. Dans les cinq premières rangées, on pouvait presque sentir résonner dans sa propre tête la pensée collective « Fuir, je dois fuir, je dois partir ! ». Pourtant, aucun d'entre-eux ne bougea, soit ils mourraient ici, soit le commandant les rattraperaient, les tortureraient avant de les saigner comme des porcs. On entendit les premiers chocs entre les deux masse, comme si des dizaines de canons détonnaient en même temps. C'est à cette instant même que l'enfer ce déchaina.. Juste après le choc, on entendit les premiers tirs d'artilleries et les premiers cris d'agonie. Les pirates tombaient par lots de cinq à dix à chaque impacts. Ils étaient encore plus douloureux d'observer les mutilés que les morts dans les cratères, ils avaient les membres arrachés, disloqués voir des têtes défigurées. Par chance, personne n'avait le temps de les regarder mourir à petit feu dans les trous fumants laissés par les boulets de canon. Les pirates avaient déviés la première ligne de baïonnette à coups de sabres pour passer aux cœur des lignes ennemis et ainsi éviter plus de dégats de l'artillerie, menés par Siel lui même. Certes, ils retrouvaient à présent encerclés par le corps expéditionnaire français mais au moins, à présent, ils n'avaient plus à se soucier des tirs des canonnières et même les tirs de fusils se faisaient pour la marine bien plus ardus. Les pirates du pavillon noir avaient traversés maintes batailles et avec le temps, avaient appris à manier les armes comme une extension de leurs propres membres et réussissaient à tenir un cercle, Siel au milieu commandant la troupe, que les français ne pouvaient percer. Les pirates restants au contact de leurs ennemis, les soldats restés sur les canonnières ne pouvaient se permettre d'utiliser l'artillerie, trop peu précise, cela risquaient de faire autant de perte dans les rangs du pavillon que dans leurs propres rang.
Alors que la bataille faisait rage et que le tumultes était à son comble, plusieurs des pirates entendirent une balle siffler près de leurs oreilles, ils se retournèrent empreints par la peur et le soulagement d'avoir étés épargnés avant de constater que l'on des leurs tombaient à genoux. La balle avait atteint Siel Belphegor, le démon à l'arbalète, entre les deux yeux. Depuis le début de la bataille, au milieux de la mêlée, le « banyo » avait transpercé de ses traits mortels des dizaines de dizaines de français, les touchants presque toujours mortellement, tirant sans relâche tout en enchainant les assauts avec ses pieds pour éloigner les opposants de son corps maigrelet. Touché, cette danse funèbres venait de s'arrêter. Un filet de sang coula le long du visage du jeune homme avant qu'il ne tombe les genoux à terre. Il essaya de prononcer quelques mots mais ils furent étouffés dans un immonde gazouillis, une remontée de sang le long de sa gorge. Il cracha un filet du liquide rougeâtre annonciateur de mort avant de s'écrouler la face contre le sol. Un silence de mort empli quelques secondes le champ de bataille. Le pavillon noir venait de perdre au même moment la bataille. La rage succéda au vide et les pirates reprirent le combat avec une haine décuplée, ils savaient qu'ils étaient condamnés mais ils n'étaient pas près à mourir sans laisser cinq fois plus de morts du coté de leurs adversaires ! L'honneur du détachement pirate lui pouvait encore rester immortel s'ils arrivaient à illustrer leurs morts avec férocités et bravoure.
Siel Belphegor se releva avec peine, il regarda brièvement le carnage autour de lui avant de se rendre compte que son propre corps était à ses pieds. Un homme le traversa même littéralement sans pour autant qu'il ne ressente la moindre douleur, ni même le toucher, ainsi donc c'était ça la mort ? Il contempla le triste spectacle autours de lui, les pirates continuaient de combattre avec hardiesse alors qu'ils tombaient les uns après les autres. Ils avançaient au sein du regroupement ennemi dans une valse de lames, de flammes et de coups mortels. Telle une vague déchainée et solitaire luttant contre le reste des océans. Étais-ce vraiment de la bravoure, une démonstration de courage ou simplement de la bestialité encouragée par l'instinct de survie ? Siel Belphegor, ou au moins ce qu'il en restait, une âme spectatrice du désastre en face de lui se posait toutes ces questions. A vus de nez, il restait encore environ cent-cinquante hommes et femmes du pavillon noir contre le quadruple de français. Quand tout d'un coup, l'air se plissa près de Belphegor laissant s'ouvrir une espèce de portail circulaire et noirâtre d'où s'échappait un main squelettique et blanche comme la mort. La terre sembla trembler lorsque la bête qui était en train de sortir de là poussa un cri plus proche du mugissement qu'autre chose. Siel avait d'abord cru à un tir d'artillerie pour ébranler ainsi le sol, pourtant elle avait arrêtée de tirer depuis un bon bout de temps. Lorsqu'une tête digne ressemblant à celle qu'un quelconque animal féroce de légende sortie de la faille, suspendue à près de six mètres du sol, l'ancien pirate comprit ce qui avait pu provoquer ça..
Personne autour de lui ne semblait réagir, comme s'il était le seul à pouvoir voir la terrible bête qui sortait du néant, avec une lenteur exaspérante, membres par membres, laissant l'angoisse monter dans le cœur de Siel. Une fois entièrement sortie, le jeune homme regarda avec dégoût la chose. Elle avait une silhouette un peu près humanoïde si on oubliait le fait qu'elle faisait six mètres de hauteur avec en plus des ongles ressemblants plus à des griffes, une sorte de masque apparemment en os qui dévoila deux rangées de dents plus que imposantes et des yeux rougeâtre suintant le mal.
- « Shinigami où es-tu ? Montre toi donc ! J'ai atrocement faim. » dit d'une voix gutturale la chose qui semblait apparemment animé d'une conscience malgré son apparence bestiale.
L'ancien pirate qui en avait vus passé de belles et qui était littéralement déjà passé par la mort elle même tremblait pourtant de tout son long devant la chose. Qui aurait cru qu'un tel monstre pouvait existe en dehors des récits, des mythes et des légendes ? Certainement pas lui en tout cas. Il n'avait juré qu'à travers ses carreaux d'arbalète, sa chance et son intelligence pour se sortir de toutes les situations possibles et imaginables. Jamais il n'avait adressé de prières à un quelconque dieu ou esprit. Il avait toujours jugé que seul les faibles comptaient là-dessus pour s'en sortir. Alors que finalement ils n'avaient pas complètement tords, des esprits étaient vraiment là, dans notre monde cachant leurs présences à nos yeux aveugles. Siel tomba sur les fesses, le visage figé dans une expression de peur. La terrifiante bête se tourna vers lui avant d'ajouter:
- « Oooh ? Ton âme à l'air bien gouteuse. Seulement je préfère manger les chiens telles que toi quand ils sont consumés par le regret et le remords. Alors nous allons jouer à un petit jeu très amusant. . » Juste après ces mots, la bête qui c'était rapproché de Belphegor; dessina un «0 » sur sa joue gauche qui se mit à saigner par la même occasion. - « Maintenant admire. ».
L'effet ne tarda pas à se faire sentir. Quelques secondes seulement après les derniers mots de l'humanoïde, un pirate tomba près de Siel, la gorge tranchée. Le « 0 » changea doucement en « 1 », déchirant de nouveau la peau du jeune homme, tout en refermant d'une manière censément douloureuse l'ancien « 0 », sous le regard ravit de la titanesque bestiole. Le petit manège dura ainsi jusqu'à ce que le n° « 591 » s'affiche. A ce moment Belphegor était étendu au sol, la joue baignant dans une flaque de sang du aux changements de chiffre dans sa chair par la faute de l'affliction qui le touchait. Les chiffres changeaient à une vitesse alarmante. La boucherie qui se déroulait autour de lui et du monstre avait atteint un point de sauvagerie rarement vue. Il ne restait plus qu'une trentaine de pirates, toujours en cercle serré autours du cadavre de Siel, eux même entourés par une montagne de corps. Les français c'étaient détachés des pirates pour battre en retraite sur les canonnières. Avant même que le restant du paviollon noir ne puisse réagir, un tir d'artillerie retentit, puis une explosion, soufflant les derniers pirates encore debout. On voyait encore par ci par là des français se faire calciner à cause des dernières attaques des pirates alliant le sabre et les tirs de feu grégeois. On voyait des hommes et des femmes à l'agonie lâcher leurs derniers souffles. Ce fut un génocide. Siel se releva chancelant. Le nombre sur sa joue était devenu « 666 ». Il avait six-cent-soixante-six morts sur la conscience. Des morts qu'il avait provoqué, dont il était responsable. Les larmes commencèrent à se mêler au sang sur sa joue. Il regrettait et aurait voulu pouvoir se Hara-kiri plutôt que d'affronter cette vérité, hors malheureusement pour lui, il était déjà mort. Même cette honneur lui avait déjà été prit. Il pleurait à présent à chaude larmes. Il avait précipité la mort de toutes ces personnes et il allait être dévoré par un esprit surement à cause de ses méfaits.
A quelques mètres de la seulement, alors que la bête géante allait empoigner Siel pour le dévorer purement et simplement. Une porte en bambou sortie de nul part laissant apparaître la silhouette d'un homme d'une trentaine d'année environ baigné de lumière. Il avança de quelques pas avant de lancer au monstre sur un petit air amusé:
- «Tu te rappelle de moi Eater Remorse ? Tu m'as échappé une fois il y a bientôt dix ans. Depuis tu as eu un certains nombres de mes camarades Shinigami, sans compter le nombres d'âmes que tu as pu avaler. Manque de chance pour toi, aujourd'hui nous t'avons retrouvé et cela sonne pour toi la fin de ton existence misérable. »
A peine ces mots finis, l'homme aux cheveux blond et à l'allure assez androgyne se déplace à une vitesse incroyable au coté de Siel qui ne comprenait absolument plus rien. Comment étais-ce possible pour un homme de se déplacer pratiquement instantanément d'un point à l'autre ? Ou alors, peut-être n'étais-ce pas un homme ? Siel c'était plus ou moins calmé, des dizaines de questions sans réponses traversaient son esprit, tout cela n'avait aucun sens. L'arrivant dégaina une lame, ressemblant fortement à un katana japonais. Alors que Siel semblait tout juste reprendre ses esprits il se prit au milieux du front le plat du pommeau, laissant un sceau lumineux sur son front avant de le faire disparaître entièrement.
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Deux-cent-cinquante ans seront bientôt passés depuis ces évènements. Après son arrivée à la Soul Society grâce au Shinigami l'ayant sauvé d'une mort définitive et certaine contre le Hollow Eater Soul, il erra un an dans le Rukongaï rassemblant les informations sur tout ce qu'il ne comprenait pas. Il réussit à intégrer l'académie des Shinigami et bien que mauvais en Zanjustsu, la maitrise du sabre des anges de la mort nomme « Zanpakuto » il entra dans la seconde division du Gotei 13 en seulement trois ans grâce à une aptitude exceptionnel au kido. Malgré ces facilitées et sa dévotion dans cette voix, il préféra intégrer une division plutôt que l'ordre prestigieux des Nécromanciens. Après avoir servit plusieurs années dans la seconde division, en tant successivement que chef des messagers puis des geôliers et après avoir acquis une maitrise certaine du Kidô, du Shunpo ainsi que les bases de l'Hakuda il demanda une affectation dans la 3ème division suite au départ d'Urahare Kisuke de la 2nd, en tant que Lieutenant cette fois. Il fut un brillant élément, suivant Rose avec dévotion, reconnaissant envers son sauveur sur le champs de bataille du fleuve rouge. Peu avant l'exil d'Urahara et de son ancienne capitaine, Yoruichi, il tomba amoureux de la 3ème siège de la 3ème division, chargés de la traque de certain hollows particulièrement dangereux. Leurs amours fut aussi puissant qu'éphémère. Elle mourut en mission un mois et demi après qu'ils se proclament officiellement en couple, en essayant de capturer le hollows nommé « Grand fisher ». Les rapports rapportèrent que Grand Fisher c'était replié dans l'El Hueco Mundo. Plus tards, un mois environ, un commando fut élu pour aller au coeur de l'Hueco Mundo pour traquer ces esprits damnés. Ashido Kano fut élu pour diriger les opérations et accepta la demande de Siel pour les accompagners, anciens amis d'académie ils connaissaient mutuellement les capacités de l'autre. L'un ne jurait que par la maitrise du sabre alors que l'autre était un kidoiste depuis maintenant cent cinquante ans. On ne revit jamais le fameux commando, la liaison avec eux fut rapidement perdu.
Siel Belphegor était là, assis sur une branche d'un arbre gigantesque constitué d'une matière étrange , cette forêt immense s'étendait sur des centaines de centaines de kilomètres. Cela faisait déjà plusieurs heures qu'il traquait un hollow, un huge hollow plus précisément, depuis tout à l'heure la créature avalait ses confrères, comme si elle cherchait une source d'énergie. Ce comportement étrange chez un huge hollow qui n'ont pas besoin d'avaler leurs confrères car leurs évolutions est stoppée posait des interrogations à Siel. Des hollows, il en avait vus des milliers si ce n'est au moins un million. Il savait que lorsqu'une de ces vils créatures adoptait ce comportement c'était pour changer de forme, devenir un Gillian voir même un Adjuchas. A moins que. . Le shinigami errant avait peut-être une idée sur ce que projetait de faire la créature. Peut-être l'avait-il sous-estimé finalement. Belphegor continua donc sa filature, passant de branches en branches avec rapidité et agilité, l'entrainement de la 2nd l'aidait encore aujourd'hui, après tant d'années. L'huge hollow s'arrêta, son arrêt s'accompagna d'un brusque relâchement de reiatsu, Belphegor afficha un large sourire, il avait eu raison. L'air se plissa en face de la bête, laissant apercevoir un long tunnel sombre d'où s'échappait un peu de lumière. La bête s'y engouffra. Siel pensa brièvement à Ashido, son ancien compagnon d'arme et amis, il devait encore être là, quelque part. Seulement au fond de lui, Bel était certain que cette fois c'était sa chance. Il effectua un Shunpo vers la bouche géante qui commençait déjà à se refermer. Maintenant soit il trouvait la sortie soit il se retrouvait emprisonné dans le dangaï. Quitte ou double. Avant de disparaître entièrement, pensa que ça maison maintenant, était l'El Hueco Mundo. Aussi hostile que soit se monde. Il venait d'y vivre près de cent ans. Tout ce qu'il possédait était entassé dans une caverne, prisonnière dans la forêt noirâtre qui supportait le désert ou était implanté l'étrange palais blanchâtre. Son seul ami était lui aussi quelque part dans ce monde. Décidément il reviendrait. Une fois que Grand Fisher sera tombé car il avait beau avoir retourné l'Hueco Mundo, en long et en large, tout en évitant les nombreux getos ou la mort était certaine et jamais, au grand dieu non jamais il n'avait retrouvé la moindre trace de ce maudit Fisher. Siel remuant encore et toujours ces méninges sur cette affaire avançait à grand pas dans le couloir sombre, le passage pouvait se refermer à tout moment et le condamner alors à errer dans le dangaï. Hors survivre dans cette entre monde est impossible. La lumière était du jour était incroyablement proche et étincelante, voir même littéralement éblouissante. Siel ferma les yeux couru à toutes vitesse vers cette source lumineuse. C'était pour lui comme une libération. A peine sortie, Bel se remit en tête de retrouver le hollow qui lui avait permit de s'échouer ici. Une petite ville apparemment. Il aurait bien assez de temps pour trouver quelques informations sur cette bourgade, il était temps de commencer une nouvelle étape de sa vie.
'xxxxxZanpakutō ?
•Nom : Kusanagi (Trancheuse d'herbe). •Type : Vent & Maléfice. •Scellé : Kusanagi à l'état scellé est un Tanto. Le Tanto est une dague, un poignard japonais qui cependant, contrairement à ces deux objets auxquels il est apparenté dispose d'une garde nommée Tsuba. Le Zanpakutõ de Suel est donc un sabre court (Une trentaine de centimètres) et droit. La lame argentée et pâle, semble légèrement émoussée, pour autant cela ne l'empêche pas de trancher et de transpercer fabuleusement facilement la chair. La garde du sabre est de la forme d'un Heartagram (Fusion d'un coeur est d'un pentagramme, deux pointes du pentagramme sont arrondies pour former un coeur) et de couleur noire. La poignée est aussi sombre que la garde mais, elle est ornée d'un laçage en soie blanc autour de ce qui semblerait être une peau de requin ou de raie. Si on fait un tant soit peu attention, il est possible de remarquer qu'une broche, représentant une croix chrétienne dorée est attachée entre les bandes de soie.
Siel utilise son zanpakuto en forme scellé qu'en début de combat, après avoir provoqué un brouillard rougeâtre, puis dissimulant son énergie et donc sa position grâce au Kido. Il passe ensuite derrière son adversaire et tente de l'assassiner en un seul coup meurtrier. Si cette attaque échoue, il rengaine Kusanagi est combat grâce à une habile combinaison de Kidô et de technique de corps à corps nommés Hakuda.
•Shikaï :
"Tombe, Kusanagi."
Le shikaï de Siel est à son image. Silencieux un instant, assourdissant et furieux le suivant. Sous sa forme libérée, le zanpakutô de notre Shinigami est un Jitte aux même couleur que sous sa forme précédente. C'est une arme similaire au Sai des ninjas mais, est plus longue tel un katana et elle ne possède qu'une seule «griffe» La fonction principale du Jitte est de bloquer la lame de l'adversaire, pour le désarmer voir même la briser. Sous cette forme, Kusanagi est incapable de trancher, car elle est dépourvue de véritable "pointe". Ce qui permet de dominer un adversaire sans lui infliger de blessures fatales.
Kusanagi possède deux capacités. Une passive et une active. La première est l'absorption spirituel. À chaque coup reçus, parés ou simplement proche de la lame, Kusanagi peut absorber l'énergie (Physique ou Spirituel.) du coup pour l'assimiler et l'additioner à sa réserve de reiatsu propre. Siel peut ensuite grâce au pouvoir du Jitte relâcher cette énergie sous forme de courats d'airs, le vent. Des vents de différentes natures (Rafales tranchantes, tourbillons protecteur autour du Shinigami, vague déferlante..), plus ou moins pressurisé, rapide et véloce.
•Bankaï : {Non découvert pour l'instant.}
•Techniques :
• Larmes de Jade : C'est un technique de Kidõ unique à Siel. Elle permet de former des éclats de Reiatsu, semblables à des éclats de Jade particulièrement effilés. Plus les éclats sont petits, plus ils peuvent être nombreux. L'attaque est à la base relativement lente (Comme une projection de cailloux.) mais si elle est utilisée conjointement avec le Shikaï de Belphegor, alors les éclats peuvent projetés dans une vague de vent et la rendre bien plus dévastatrice.
Aucune autres techniques dévoilées pour l'instant. ~ (Si ça ne dérange pas, bien sûr.).
Dernière édition par Siel! Belphegor le Ven 15 Oct - 17:08, édité 7 fois
Kurosaki Ichigo [Staff™]Héros / National Kid du RP
Nombre de messages : 1652 Âge : 40 Double compte : Daï,humain ultime Date d'inscription : 20/12/2008 Fiche Technique : Shinigami Daïko wa kono ore da!!!
Feuille de personnage Nom du zanpakutô/Nature du pouvoir: Zangetsu Niveau: Shinigami Daïko / LVL 21 Reiatsu: (16000/16000)
Sujet: Re: Siel Belphegor. {En attente de validation.} Mar 5 Oct - 11:38
Bienvenue. Shinigami,Shinigami exilé ou Vizard?
Invité Invité
Sujet: Re: Siel Belphegor. {En attente de validation.} Mar 5 Oct - 12:01
Shinigami Exilé. C'est écrit dans ma fiche près des deux images représentants Siel.
Kurosaki Ichigo [Staff™]Héros / National Kid du RP
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Sujet: Re: Siel Belphegor. {En attente de validation.} Mar 5 Oct - 12:38
Ta fiche me semble très bien même s'il y'a des (rares) fautes.La représentation de ton Shikai est assez originale,je n'ai encore jamais vu de jitte.J'aime bien pour résumer
Je te valide donc.bon courage et bon rp
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Sujet: Re: Siel Belphegor. {En attente de validation.}