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 Les Oursins Jaunes [Entrainement de Mars]

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Bave (inactif)
Fullbringer
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Bave (inactif)


Masculin Nombre de messages : 135
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Date d'inscription : 21/01/2011
Fiche Technique : La Fiche la Plus Originale du Forum

Feuille de personnage
Nom du zanpakutô/Nature du pouvoir: Waki / Zenko
Niveau: Humain Débutant / LVL 3
Reiatsu:
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MessageSujet: Les Oursins Jaunes [Entrainement de Mars]   Les Oursins Jaunes [Entrainement de Mars] EmptyMar 1 Mar - 11:04

Bave se promenait dans le parc, comme à son habitude, réfléchissant sur la comparaison entre la durée et les habitudes de vie des oursins jaunes des mers orientales de Papouasie nouvelle-guinée contre les poissons rouges absorbant régulièrement de l'aspirine. Son raisonnement était hélas bloqué au niveau de la question : « Les oursins jaunes ont-ils le même train de vie que les ours bruns des baies de nord du Canada ? ». En fait, les ours bruns n'ont pas le même train de vie au cours de leur vie, alors que les oursins observent une constante, à relier avec leur durée de vie, plus courte que celle des ours bruns, et donc proportionnellement inverse à la grandeur des poils des ours entre mâles et femelles. Cependant, si l'on compare le nombre d'abris que fabrique l'ours brun entre 1954 et 1955, on constate que l'ordre de grandeur est ici triplé par rapport à celui des oursins. De plus, si l'on rajoute -in à ours, cela fait oursin. Mais passons, car l'important ici est de donner le nombre de poissons rouges absorbant régulièrement de l'aspirine effervescente divisés par le nombre de poissons rouges amnésiques en mer Baltique. Ce quotient en en fait égal à 3,52, et l'on remarque ici une similitude avec le nombre d'abris construits par les ours bruns d'Amérique du Nord au cours de leur vie, qui est de 3,5. Cette ressemblance est expliquée par la consommation de thon rouge du Japon, denrée consommée par les trois êtres vivant dont nous parlons aujourd'hui. En effet, l'ours brun consomme le thon rouge en brochettes fumées ou cuites à l'eau, l'oursin le consomme cuit à la broche et quant au poissons rouges surexcités, ils les mangent assaisonnés d'épices telle la cocaïne ou l'héroïne, tous deux dérivés de la réduction d'oursin jaune en poudre et saupoudrés de sel marin iodé. Coïncidence ? Bave ne le pensait pas... Mais si vous voulez plus d'explications sur cette comparaison biologique et naturelle des êtres vivant supérieurs à d'autres, lisez « Bernadette et moi », écrit par Bave sous le pseudonyme de « J. Shirak ».

(Si vous avez réussi à lire tout ça à haute voix sans rire, s'arrêter, se demander ce que je raconte ou ni même sans reprendre son souffle si la phrase n'est pas finie, vous méritez toute ma gratitude.)

Laissant la Papouasie de côté, -il y reviendrait plus tard-, bébé se dirigea vers un terrain de basket-ball pour y faire une partie. Oui, aussi étonnant que cela puisse paraître, il savait jouer au basket-ball. Quelques maisons en bois blanc encadraient le terrain, et elles mêmes étaient entourées de pins. Une partie était en cours, et les équipes étaient composées de trois, et quatre joueurs respectivement. Les quatre joueurs, tous grands et fins, ridiculisaient l'autre équipe. Alors évidemment, avec son âme de chevalier et son honnêteté, Bave fut tout de suite du côté des joueurs en supériorité numérique. L'équipe des forts, comme il les surnomma, gagnait de 70 à 22. Il bondit au milieu du terrain, surprenant tout le monde, et faisant perdre le ballon à l'équipe des pas bons. Tous les joueurs le regardèrent avec des yeux effarés, et Bave en profita pour récupérer le ballon, se retourner et tirer. Il marqua, évidemment, un panier de trois points filtré. 73 à 22. Suivant des yeux le mouvement du ballon, les pas bons soupirèrent; ils allaient se faire exploser. Il remirent la balle en jeu, et commencèrent à avancer, lentement. Mais bébé était au taquet, et il intercepta une passe, puis bondit vers le panier, avant de marquer en s'accrochant au panier. 75 à 22. Remettant encore une fois la balle en jeu, les mauvais recommencèrent à avancer. Et Bave se réveilla.

(Vous avez vraiment cru qu'il pouvait faire ça ? Eh bien c'est vrai, mais là il dormait... Raté.)

Il avait charmé une jeune femme pour qu'elle l'héberge et qu'elle le nourrisse. Elle habitait un appartement de trente mètres carrés, un studio. Dans un coin, il y avait le lit à deux places, que la femme partageait avec Bave. Non, il ne la touchait pas. Bébé avait une morale très stricte, ne pas abuser des femmes qui l'aidaient, et de plus ça aurait été trop facile. Non, Bave aimait le défi. Là, il n'avait qu'à attendre en prenant la pose qu'elle sorte de la douche ... Mais comme dit précédemment, Bave n'aimait pas les femmes faciles, celle qui lui donnaient le sein trop facilement. (Oui je parlais de celles qui lui donnent le sein, de quoi auriez vous voulu que je parle ?) Dans le coin opposé au lit, la douche et les toilettes, et dans un autre coin, la table. Dans le coin qui restait, la cuisine, le tout dans un papier peint blanc et bleu. Mais au milieu de la pièce, c'était Bagdad. En effet, le centre de la pièce unique était recouvert de jouets divers. Comment cette jeune femme qui n'avait jamais gardé d'enfants pouvait elle avoir adopté Bave ? Car bébé vivait chez elle depuis environ un mois, et l'avait donc convaincu d'acheter une tonne de jouets. Mais il était temps que cela change. Il attrapa donc son sabre, qui ... Tiens, mais où était-il ? Bave plongea dans sa piscine ludique, et chercha pendant une matinée entière. Il ne le trouva pas. Il décida donc qu'il consacrerait une semaine à La Recherche Du Sabre Perdu ...

Lundi :
Il dormait.

Mardi :
Ouais mais nan là non plus il voulait pas y aller...

Jeudi :
Quoi il y a mercredi entre Mardi et Jeudi ? De quoi je me mêle ? Je connais ma semaine quand même ! Vous me saoulez... Tiens pour la peine je vous dis pas ce qui s'est passé Jeudi !

Vendredi :
Vendredi, le soleil était haut dans le ciel quand il se leva. Il s'étira en baillant et sauta hors du lit. Sa tutrice non légale était déjà partie travailler, et il décida qu'il n'en avait pas besoin pour trouver son sabre, qu'il avait cherché dans tout le studio le jour précédent. (Mais ça vous pouvez pas le savoir, messieurs Je-sais-tout !) Ne connaissant pas encore la notion de ce qui est bien et ce qui est mal, Bave prit la décision d'aller à la mairie pour se débarrasser de sa tutrice non légale. Arrivé, il prit une feuille de sa poche, et un pastel bleu qu'il tira de l'autre poche et écrivit une lettre de dénonciation.

« Mossieur Maire, nan. (Monsieur le Maire, le 20 février 2011 à 1h12. Je vous écris pour dénoncer ma maman actuelle, qui n'a pas le droit de m'héberger, de me nourrir et de me laver. En effet, elle me garde sans en avoir l'autorisation, empêchant peut-être une autre maman de m'avoir, comme elles le veulent toutes, puisqu'elles sont à mes pieds. Elle est donc pas gentille.)

Voilà papion. (Elle est donc en situation illégale et doit être examinée par un psychiatre, car elle a séquestré un enfant. Je demande donc d'avoir une autre maman soumise pour le moment, mais qu'elle me prépare juste des sandwiches pour les repas car je suis en mission. Merci monsieur le Maire. Bébé.) »

Bave signa en gribouillant un dessin en bas de page et monta sur une chaise pour attirer l'attention de la secrétaire en fonction. Elle le remarqua, et se pinça pour vérifier qu'elle ne rêvait pas. Un bébé sautait sur une chaise en agitant les mains dans lesquelles une feuille avec des gribouillis dessus virevoltait au gré des sauts de Bave. De plus l'étrange bébé poussait des gazouillis joyeux comme pour attirer à dessein l'attention de la secrétaire. Elle se leva de sa chaise et attrapa le bébé, qui lui tendait la feuille. Mais le temps de prendre la feuille et de la regarder, le bébé avait disparu...

Caché sous le bureau, Bave attendait son heure. Il entendit la femme soupirer, puis un chiffonnement et vit son papier atterrir dans la poubelle.

Bave : (murmurant) Da ! (Cette adulte n'a rien compris, elle devait lire et allez chercher la femme en tort ! Bon ,le plan A est raté, passons au plan B : fuir cet endroit et chercher Sophie !)

Il attendit pendant des heures, et soudain, la dame se leva à nouveau et alla aux toilettes. Alors Bave se précipita vers la porte, le plus vite possible. Mais tout ne se passa pas comme prévu; en effet, une vieille dame se présenta à la porte de la mairie juste quand Bave eut atteint le même point. Dévisageant la personne âgée, il lui dit :

Bave : Laiss ! (Laisse moi passer, personne que je ne connais pas !)

La dame ne le vit pas, et ouvrit la porte, laissant s'échapper par cette dernière un rayon de soleil semblant représenter la liberté après ces heures sous le bureau sous lequel bave avait vu des choses... (Je vous ferai pas de dessin, les choses qu'on peut voir sous une table quoi.... Une araignée, des morceaux de papier...) Bave réussit donc à s'enfuir après cette dure épreuve digne des plus grands « Mission Impossible ». Il s'endormit devant la porte de la mairie, sur son sabre.

Samedi :
Il se réveilla frais et en forme, toujours à la recherche de son sabre. Il courut dan tout Karakura, mais sans résultats... Il s'arrêta cependant devant un grand bâtiment en briques rouges, et décida d'y entrer pour y passer la nuit.

Dimanche :
Le bâtiment dans lequel il avait dormi cette nuit-là était le muséum d'histoire Naturelle. N'ayant rien à faire, à part retrouver son sabre, il décida de le visiter, car il l'avait pour lui tout seul. Il resta longtemps devant le squelette du dinosaure grand et pas beau comme il l'appela.

Bave : Petit Lu ! (Salut toi, comment tu t'appelles ?)

Dino : ... ...

Bave : Oh ! (Mais t'es pas drôle, réponds moi quand je te parles !)

Dino : ... ...

Bave : 'Pillon ? (Réponds ! S'il te plait ... On t'a déjà dit que t'avais l'air sympa ?)

Dino : ... ...

Bave : Gaaah gah ! (Pff, t'en vaut pas la peine, grand pas beau !)

Dino : ... ...

Bave : Bouh ... (Bon ben puisque tu me snobes, je m'en vais ! Tu as perdu la seule chance qui t'étais offerte d'avoir un ami ...)

Passant devant un squelette de lion, il décida de s'amuser un peu pour se consoler de la perte d'un ami qu'il venait de subir. Passant sous la barrière de sécurité, il attrapa un os de la jambe et se mit à courir dans tous les sens en agitant son os comme une épée. Avisant le luminaire qui pendait au plafond, il lança son os en sa direction. Manque de chance, il toucha le luminaire de plein fouet et le fit osciller dangereusement, jusqu'à ce qu'il se calme en grinçant. Soupirant de soulagement, Bave repartit de plus belle : il se mit le crâne du lion sur la tête, attrapa un autre os de jambe et se mit à courir vers les escaliers. Le squelette d'éléphant se trouvant à côté des escaliers, bébé sauta par dessus la rambarde et tomba sur la colonne vertébrale du pachyderme, qui malgré le poids plume de Bave, s'écroula dans un grand bruit et soufflant de la poussière sur tout le niveau. C'est le moment que choisit le luminaire pour se décrocher et s'éclater par terre, répandant du verre pilé aussi présent que la poussière. Décidant de changer d'air, désormais trop poussiéreux, Bave descendit les escaliers vers le niveau du monde sous marin. Des immenses squelettes de baleines, de requins et de poulpes peuplaient ce niveau. (Oui il y a un squelette dans un poulpe !) Mais ce n'était pas tout, le plus beau restait à venir... Traversant la pièce des antiquités, Bave se rendit dans celle des aquariums. Des requins à la mine patibulaire croisaient le regard de poissons rouges amnésiques, qui fuyaient en direction des pieuvres violettes ou vertes au points bleus. Avisant un requin marteau qui semblait le provoquer, bébé essaya de la frapper avec son os de lion, et fêla la vitre de l'aquarium. Un filet d'eau commença à suinter de cette fissure, et bave s'en détourna pour aller voir les poissons. Il ouvrit une petite porte à coté de l'aquarium et trouva une échelle qui menait en haut du bassin. Il allait pouvoir jouer avec ses amis les poissons ! Il plongea donc, et nagea à la poursuite des bancs de poissons. Quand il n'eut plus d'air, il remonta, et repris une grande bouffée d'oxygène avant de replonger à la suite de ses nouveaux amis. Dans un élan de battements de petites jambes, il réussit (miracle !) à attraper un petit poisson rouge, sans doute amnésique, et le fourra dans l'une de ses poches, puis remonta à toute allure à la surface, poursuivi par la police des poissons pour enlèvement d'un citoyen poisson. En tentant d'échapper à la justice poisson, il heurta la vitre de l'aquarium, le brisant et répandant l'eau de cet aquarium-ci dans la pièce entière. Le choc de l'eau heurtant les vitres des autres aquariums les rompirent tous, réunissant toutes les espèces et rétablissant la loi du plus fort. La célèbre pyramide reconstituée, avec tout en bas le plancton, les petits poissons, puis les espèces capables de se défendre, ensuite, les prédateurs, de plus en plus gros, et enfin Bave, tout en haut de la chaîne alimentaire. Le requin marteau à la mine patibulaire qui cherchait bébé quelques minutes avant réussit finalement à le retrouver, et ils se fixèrent pendant quelques secondes, se défiant du regard. Malgré le fait que le requin sentait qu'il était en infériorité en termes de puissance, il chargea quand même, et Bave attrapa son sabre, le brandissant face à son adversaire.

Bave : Da ! 'Pillon ! (Vil mécréant, requin sans scrupules ! Pourquoi m'attaques tu ? Tu va tâter de mon épée affutée pour pourfendre les coquins de ton espèce !)

La joute entre les deux chevaliers des mers commença, et dès le deuxième coup porta l'avantage à bébé, qui faillit désarçonner le requin. Mais bébé ne s'arrêta pas là, car il profita de cet avantage pour porter un coup retentissant sur la nageoire dorsale du requin.

Sophie : Pouetlouf (étouffé par l'eau).

Le requin tomba sur les fonds marins en tourbillonnant et en se noyant. (Oui un requin peut se noyer ! Mais c'est fou ça, vous me contredisez tout le temps ! C'est mon récit alors JE décide !) Bave se dirigea alors en crawl vers un objet qu'il avait repéré en entrant... un oursin jaune. Il s'extirpa de l'eau, monta les marches et quitta le musée avec son os de lion et son oursin jaune sous le bras.

(Oui alors pour ceux qui vont se dire « Oui mais il a toujours pas retrouvé son sabre ! », eh bien si vous aviez bien lu mon histoire très réaliste, vous auriez vu qu'il s'endort sur son sabre à coté de la mairie le jour numéro Vendredi.


Fin de « A la recherche du sabre perdu » !
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