Komaji débarque enfin ~

Décrivez votre perso physiquement et moralement :

Nom :
Komaji / Surnommé : Koma ou Kom - prononcé "comme"

Prénom :
Ikari

Age :
20ans

Description Morale :

Ikari n'est pas quelqu'un au comportement facile. Pour le moment, il se tient à carreaux devant son créateur et les autres Arrancars. Mais détrompez-vous, il ne restera pas indéfiniment comme cela, attendant avec impatience de pouvoir devenir plus fort afin de pouvoir lui aussi se faire respecter. Ses idéaux n'ont rien à voir avec ceux de son créateur voir même de ses congénères – les autres Arrancars qui eux, cherchent à prouver au monde entier ou à eux-mêmes qu'ils sont les meilleurs dans une quête de puissance ou de gloire. Son plus gros problème est qu'il est colérique, lorsqu'il est trop frustré ou autre, il change complètement et deviens agressif pour un petit rien. C'est son côté "boule de nerf" qui prends le dessus sur le côté pacifiste. Il est un peu à double tranchant, d'ailleurs plutôt crû dans sa façon de parler, ceci lui attire bien des problèmes et pas des petits non, des bien gros problèmes lorsqu'il en vient à des paroles offensantes envers les autres Arrancars, ce qui lui vaut des combats à répétition. Double tranchant parce qu'il est aussi très gentil ainsi que sociable. Mais avant tout, il est borné, un tantinet léger et très facile à manipuler ou à engrainer. N'ayant jamais eu d'amis ou de petite copine, il suffit de très peu pour le faire changer de bord. D'ailleurs c'est l'unique raison pour laquelle il n'a jamais protesté quoi que ce soit contre Aizen son créateur, car sans lui il n'aurait pas autant de personne à côtoyer – les autres Arrancars même si la plupart il ne les aime pas. Donc c'est un peu mitigé dans sa tête, il n'aime pas tout ce qu'est Aizen mais le vénère quand même pour lui avoir enlevé la forme Hollow et rendu une forme plus "pseudo-humaine". Le vénérer. Pour combien de temps? Allez savoir.

Quand à son côté pacifiste me direz-vous ; en clair il ne déclenche jamais de bagarre. C'est toujours l'autre personne qui commence à le titiller ou à l'énerver pour que ça en finisse ainsi. De plus, il n'est pas si porté que sa sur la violence - sauf quand son côté colérique prends le dessus- et aime faire des choses simples. Il est aussi pas mal fainéant, un bon glandouilleur dans l'âme qui aime se prélasser pendant des journées entières à ne rien faire d'autre qu'être allongé dans l'herbe à regarder le ciel et se poser des questions sur le monde qui l'entoure.


Description Physique :

Une partie de ses cheveux recouvrent ses douces joues jusqu'au niveau du menton tandis que l'autre partie derrière suit le court du vent, une coupe légèrement électrique - on pourrait penser qu'il a mis les doigts dans la prise à son réveil. Cheveux d'une couleur bleu si clair qu'on pourrait s'y méprendre à du blanc. Ses yeux noirs-violets, une couleur assez sombre et plutôt atypique. Il a d'ailleurs une cicatrice à l'œil gauche ressemblant à une marque de griffure ainsi qu'un tatouage en forme d'étoile au dessus de l'œil. Ses traits - nez bouche oreilles - sont légèrement fins, sa bouche cache une dentition parfaite puisqu'il ne fume ni ne bois. Presque aucun signe particulier, mis à part un tatouage d'ouroboros - non pas vis à vis du point de vue biblique ou mythologique mais parce qu'il trouvait ça plutôt beau et en voulait un. Le tatouage repose en plein milieu de son dos. Son corps est très musclé, notamment au niveau des abdominaux où l'on remarque avec facilité ses multiples entraînements physiques. Une taille ni trop grande ni trop petite - la moyenne - et un poids plutôt correct voir très légèrement fin, ce qui fait qu'il est dans l'exacte moyenne morphologique : ni trop gras, ni trop grand. Le juste milieu. Il a toujours un trou au milieu de son ventre - mais vraiment au plein milieu entre les abdominaux et les pectoraux, légèrement au-dessus du nombril. Sa signature énergétique est d'une couleur rouge - signe peut-être du fait qu'il est colérique - et possède encore un morceau de son masque hollow qui est dissimulé par ses cheveux, allant du sommet du front épousant tout le flanc droit de son visage jusque sous les cheveux - mais s'étendant encore jusqu'au niveau de l'oreille presque. Et du fait qu'il est souvent encapuchonné, c'est plutôt rare de remarquer directement que c'est un Arrancar, passant presque pour un humain "normal".





Biographie

Before I was human

Ikari était né dans la ville de Karakura, une ville qu'il aimera particulièrement bien une fois plus grand. Ses parents travaillaient tout les deux dans le restaurant familial, pendant qu'ils géraient les affaires et faisaient tourner la boutique, le jeune Komaji était confié à son oncle qui vivait aussi ici. Triste histoire de cet oncle, qui était dans la police et qui, du jour au lendemain, avait tout perdu suite à une affaire de corruption au sein de sa brigade. Après le divorce de sa femme, et après avoir perdu sa maison ainsi qu'une bonne partie de son budget, le brave homme récupéra sa part lors de certaines perquisitions, afin de pouvoir continuer à vivre. Mais il se trouve qu'un jour, il s'était mis un bon paquet dans les poches à l'intérieur d'une baraque qui était surveillée et filée par le secteur spécial anti-banditisme. S'en suivi d'un aller-retour en prison, et n'ayant plus de travail ni de logement, il créchait chez sa sœur - la mère d'Ikari- le temps de se remettre sur pied. Il vivait un peu aux crochets de la famille, mais était toujours présent lorsqu'il fallait éduquer le môme, et il revenait moins cher qu'une baby-sitter.

Le père Komaji était le patron, ainsi que le chef de cuisine. La mère jonglait entre la salle et le bar, ils travaillaient plus de quatorze heures par jour. Petit-à-petit, Ikari développait plus de sentiments avec son oncle qu'il voyait comme un père, plutôt que son propre père qui n'était quasi jamais présent à la maison. Tout se passait bien dans ce petit cocon merveilleux qu'était la famille Komaji. Le jeune homme était très studieux et voyait passait de classes en classes sans aucune complication. Chaque personne de sa famille proche l'influençait sur son futur ; Le père voulait que son fils soit cuisinier comme lui, histoire de pouvoir reprendre le flambeau une fois qu'il prendra sa retraite, la mère aurait voulu voir son fils avocat ou docteur, quelque chose de classe et assez pointu niveau études, tandis que l'oncle lui parlait souvent de ses histoires au sein de la police. A force d'en regarder des émissions et de voir autant de cruauté dans la ville - et dans le monde - il trouva l'idée bonne et souhaita commencer un cursus de formation au sein de la police nationale. Ce qui n'était pas un si mauvaise idée après tout, juste qu'après ça, le père Komaji l'avait un peu à la mauvaise. Il fallait avouer qu'il picolait énormément au travail, et s'emportait pour un rien. Un vrai caractère de cochon le père Komaji, de plus lorsqu'il se mettait la mine - bourré - ce qui arrivait souvent - tout les jours que Dieu fait - il devenait agressif pour un oui pour un non.

Seize ans, il comptait finir ses études et commencer la police. Il y avait des offres et il pouvait suivre un cursus de deux années avant de pouvoir rentrer au sein d'une autre école qui le formerait définitivement. C'était en gros pour apprendre les bases, chose qu'il souhaitait faire. De son côté, le père avait vendu l'affaire familiale après une grosse dispute avec sa femme, sois disant sa tenue vestimentaire - tailleur et chemisier - faisait prostituée. Paraît-il quelle draguait les clients pour le pourboire, chose qu'il n'appréciait pas. Ils ne s'aimaient plus, et Ikari vivait dans une guerre entre ses deux parents, restant avec son oncle comme seul ami, la seule personne qui pouvait le comprendre. Sur un autre coup de nerfs, père Komaji décida de gicler l'oncle dehors, il ne travaillait pas et vivait au dépends de l'argent qu'il se faisait lui et sa femme. Mère Komaji elle, péta sa crise de nerfs aussi et commencèrent tout les deux à s'insulter mutuellement. Ce fut la descente aux enfers pour tout le monde : L'Oncle avait quitté la maison, et jour après jour il substituait à ses besoins primitifs pour survivre. Il commençait par voler de la nourriture, puis après il mendiait, et son argent finissait dans un supermarché, à acheter des bières bas de gammes coûtant quelques centimes chacune par vingtaine. Le père, buvait de plus en plus et avait donc vendu son restaurant. Il s'engueulait tout les jours avec sa femme avant de la gicler elle aussi, sans aucun scrupule. En fait, elle n'était même pas au courant : Un soir, en rentrant après être passée dans une agence de recherche d'emploi, elle trouva ses vêtements et ses "merdes" comme disait le père Komaji, devant la porte. Même pas emballé hein, jeté à même le sol.

Ikari qui travaillait paisiblement au salon entendait ses parents s'engueulait comme jamais. A vrai dire il l'avait cherché à virer son frère ainsi (le frère de la mère du jeune homme si vous n'avez pas suivi) sans même lui donner de préavis histoire qu'il trouve autre chose.

Il commença gentiment à lui dire de dégager, gentiment signifiait plutôt "sans trop d'insultes" , mais elle persista. Après tout, elle avait acheté et financé la plupart des choses dans cette maison elle aussi, elle avait le droit à sa part ! Et comme d'habitude, Ikari était au salon en train de faire ses cours devant la télévision, reposant ses yeux sur les documentaires intéressant du corps humain ou de la faune et la flore. Ce genre de trucs. Mais comme d'habitude, il ne pouvait pas trop se concentrer et faisait tout comme. Il tentait de suivre la discussion sans rentrer dans le débat, parce qu'avec son père c'était comme frapper dans un mur = ça ne servait à rien et faisait très mal.

Justement, le compte à rebours. C'est à ce moment précis que tu t'imagine tout ce qu'il peut faire une fois le chronomètre fini. Que comptait-il faire ? Aurait-il le "courage" s'il on peut utiliser ce terme pour le faire ? Allez savoir, apparemment ce n'est pas ça qui l'avait dérangé. Une fois à trois, le vieil homme bourru attrapa sa femme par les cheveux et la traîna dans toute la maison, jusqu'à arriver vers la porte pour la faire dégager. Il se trouve que dans la hâte, elle récupéra un objet contondant et le lui explosa sur la tête. Il s'agissait d'une petite statuette en pierre, assez fébrile - donc pouvant se casser facilement - mais étant quand même plutôt lourde. Le front ensanglanté, Ikari voyait maintenant son père comme un démon. Ses yeux avaient virés au rouge et l'instant d'après, il rua de coups son ex-femme jusqu'à ce qu'il lui plaça un coup de pied dans le ventre, et qu'elle fut projetée contre une lourde armoire. La tête la première contre l'angle du meuble, Ikari était en larmes, tandis que le père commençait à comprendre son acte.

Ni une ni deux, la police était très vite arrivée. Les appartements n'étaient pas trop espacés et on les entendait dans tout le bâtiment avec la résonance. Les deux années qui suivaient, avant sa majorité, il les passa dans une famille de noble voulant bien "l'adopter" , sa famille d'accueil étaient en plus pas mal connu , donc il pu terminer son apprentissage de parfait policier tout en étant pas mal aidés par des gens de la haute société. De plus, comme ils étaient connus, c'était parfait pour être pistonné. Mais le jeune homme se sentait mal, après avoir appris le décès de son oncle en hiver, mort de froid. Plus de mère, un père en prison, et celui qu'il considérait comme son père était mort. Pas de frère ni de sœur, plus de famille et dans celle qu'il vit, ils n'ont rien en communs. Pas de petite copine, pas d'amis. Il sortait rarement puisqu'ils instauraient un couvre-feu et leur fille était intouchable. Les filles de la haute classe, étaient réservés à des fils prodiges, à des fils d'hommes d'affaires, les fils à papa comme on les appelait. Pas à un fils d'ivrogne ayant tué sa propre femme, fils voulant être "que" policier. Manque d'ambition disaient-ils, mais bon.

C'est donc à dix-huit ans qu'il pu enfin quitter cette maison, remerciant encore les braves personnes qui lui avaient évité de finir dans un institut avec des jeunes sans familles. Ce genre d'endroit en plus n'était que très peu fréquentable, une famille de riche c'était parfait pour pouvoir avoir sa tranquillité. Mais bon, pour y aller il du passer deux mois et trois semaines à réviser ses cours dans cet Institut. Partageant sa chambre avec un type dont le père et la mère s'étaient tués dans un accident de la route. Le gosse était dépressif, sale histoire.

Majeur, et vacciné, Ikari pouvait enfin travailler dans la police. Il passa deux années à faire les examens, et comme il avait très bien révisé depuis assez longtemps, il passa directement comme nouvel recrue et n'avait que très peu de choses à s'occuper. En fait, il passait le temps au bureau à répondre aux appels téléphoniques ou à classer les dossiers. Mais lors des entraînements de tirs ou de combat rapproché, il mettait ses compétences à rudes épreuves et s'en sortait avec brio. Petit à petit, il prenait de l'ampleur le gamin. Et à vingt ans, alors qu'il commençait à devenir un policier prometteur malgré qu'il s'énerve facilement lors des interrogatoires et en venait aux mains, il vit sa vie s'éteindre.

Une affaire toute bête, un braquage d'épicerie - une plutôt grande épicerie, pas un vulgaire truc de quartier - avec hommes cagoulés et arme à feu. Voulant jouer les héros afin de sauver une femme à l'intérieur, il se prit une balle dans l'œil. Le nerf optique relié au cerveau fut coupé sur le choc, ses nerfs fonctionnaient encore pendant une dizaine de seconde et son œil clignait tout seul suite à cela. Puis, le bruit de camion d'ambulance et la triste nouvelle...

"23h12" heure du décès.

Mais Komaji rongé par un sentiment de haine et de vengeance ne comptait pas mourir ainsi. Il se voyait parterre allongé, tandis que lui était plus ou moins un fantôme avec une chaîne dans le ventre. Une chaîne qui se consumait tant la rage le consumait lui-même. Il avait beau courir de partout en criant, voir les larmes chaudes couler le long des joues de ses équipiers, il avait beau essayer de montrer qu'il était là, personne ne le voyait. Puis, il sentit une horrible douleur le ronger, et sa chaîne n'était plus...

And then I became an Arrancar

Komaji était devenu ce que l'on appelle un Hollow. Ayant une forme monstrueuse tout noire avec un masque blanc sur la tête et un trou en plein milieu du ventre. Il se nourrissait principalement d'âme humaine pendant un bon bout de temps pendant ses aller-retour entre l'autre monde et celui-ci. Mais le problème est qu'il fut plutôt rapidement projeté à un niveau au-dessus, celui de Gillian puis d'Adjuchas. En l'espace de cinq années - qui en vaut beaucoup plus - il avait changé d'apparence pour prendre celle d'un animal félin, une sorte de chat énorme masqué avec une grosse paire de griffes rétractables. A présent, le monde normal n'avait plus aucune ressource envisageable pour lui, c'était trop "fade" tandis que les autres Gillian et Adjuchas avaient un goût bien meilleur. Il se battait, avant tout pour survivre mais pour devenir plus fort et éviter de se faire marcher dessus par ses congénères dans une quête de celui qui voulait être le plus fort. Lui, ce n'était pas ça qu'il recherchait, il voulait tout simplement montrer aux autres qu'il avait son mot à dire et sa place parmi eux. Et s'ils n'étaient pas contents, ils se faisaient déchiqueter par sa paire de griffes lors de ses assauts furtifs, rapides mais avant tout efficace. Puis, il y eu Aizen et le Hogyoku qui changea tout les Adjuchas présent en Arrancar. Des guerriers à la hauteur des Shinigami pour la guerre qu'il préparait. D'un côté ça avait du bon puisque maintenant il avait récupéré sa forme "humaine" mis à part le bout de masque qu'il avait, le "Hollow-Hole" ainsi qu'un pouvoir puissant. D'un autre côté, il n'aimait pas tant que ça se train de vie, tuer pour exister n'était réellement pas son truc préféré, il fallait l'avouer. Parmi les Arrancars il y avait aussi ceux que l'on appelait les "Espada" dont deux qu'Ikari connaissait. Grimmjow, la panthère. Un homme avide de violence et de puissance. Komaji ne pouvait absolument pas se le blairer, ils se cherchaient souvent l'un l'autre avant que Grimmjow le laisse quasi mort dans le désert de sable fin, lui ayant griffé l'œil avec ses griffes - d'où la cicatrice. Presque mort car il ne pu finir le travail empêché par des Adjuchas qui voulaient s'occuper de lui. L'autre homme en question n'était ni plus ni moins qu'Ulquiorra en personne. Il reflétait un peu ce qu'était Komaji, un solitaire. Koma' n'aimait pas cet homme non plus à cause très certainement de son attitude et de sa "gueule" de dépressif.

Sinon à part ça, il flânait dans Karakura et de temps en temps rentrait à Hueco Mundo tuer quelques Adjuchas pour s'entraîner et garder la forme. Surtout quand ceux-ci le cherchaient pour pouvoir se nourrir d'un être plus puissant qu'eux. Gagnant très certainement un gain de force supplémentaire pour qu'ils deviennent un jour peut-être comme lui, s'ils ne meurent pas avant. Chose qui arrivait très souvent d'ailleurs lorsqu'un ou plusieurs Adjuchas s'attaquait à un Arrancar - voir même des fois à des Espadas en groupe, mais uniquement les plus timbrés-

Komaji n'était pourtant pas très apprécié des siens. Ils comptaient le faire changer de bord car il ne se battait pas au nom d'Aizen contre le Shinigamis et autres, mais passait son temps à se battra face à des Arrancars ou Hollow. Il aurait rêvé d'être Shinigami, car pour lui ils représentent tout ce qu'il recherche. Surtout la fraternité car les Shinigamis s'entre-aide pour éradiquer la menace tandis que les Arrancars préfèrent y aller seul pour prouver leurs force. Mais aussi l'amitié car les Shinigamis sont soudés et on l'esprit d'équipe, ayant des divisions et pouvant se voir tout les jours dans leur monde.

Son histoire ne fait que débuter, et le chemin sera long ainsi que semé d'embûches.

Uniquement pour les Arrancars :

Nature du pouvoir :
Maléfice porté sur les illusions.
Plus l'ennemi est faible - ou Ikari fort - et plus l'attaque en question sera puissante envers l'ennemi. Aucune de ses attaques ne "blesse" réellement l'ennemi, même s'il ressent - par exemple - que sa peau est tranché au niveau du dos, il ressentira la douleur mais n'aura pas la peau tranchée. Ses attaques sont non-physiques mais lui permettent de pouvoir affaiblir son ennemi - de le déstabiliser afin de l'attaquer réellement. Par contre, pour utiliser la moindre technique il faut que notre personnage ai pu extraire du sang de son ennemi - puisqu'il y a son Reiryoku - et l'ai combiné avec le sien (le plus simple est de le combiner à l'une de ses blessure - à Komaji - ou d'y goûter.) Aussi, petite précision, plus son Reiatsu est faible - ou plus Ikari est blessé, et moins les techniques fonctionnent. Seconde précision, les attaques peuvent durer "éternellement" mais pour faire simple, chaque tour de RP enlèvera du Reiatsu pour ses attaques. Si elles ne sont que très peu puissante, elles agiront pendant un post entier, mais pour les plus longues elles en enlèveront à chaque tour.

Petite précision supplémentaire : Comme les illusions se portent aussi sur le mental, le lien du sang est extrêmement importante car c'est le seul moyen pour qu'une de ses illusion fonctionne. S'il le faut, je rajouterais qu'il faut que mon personnage reprenne du sang de l'adversaire pour continuer son petit jeu, ça ne me dérange pas. De plus, l'auto-modération aura un rôle très important pour un pouvoir comme celui-ci sachant que la plupart des attaques que j'enverrais ce sera l'ennemi qui "choisira" où es-ce qu'il souhaite les prendre.

Description du Zanpakutô non libéré :

Son Zanpakutô n'est ni plus ni moins que la très célèbre Masamune Japonaise. Une épée assez longue - quasiment un mètre de lame - pour un manche assez traditionnel de couleur noir. La garde est dorée ce qui en fait une lame magnifique pour tout ceux qui on eu le "plaisir" de pouvoir la voir de près. Son fourreau est de couleur noir et est assez grand pour pouvoir y rentrer toute la lame.

Le nom de son Zanpakutô est : Genkaku Kichigai (cf: Illusion - Folie)



Techniques non libéré :

• Byouki : (Cf: Maladie)
  (300/100)
  L'art de la maladie. Bien sûr elle n'est toujours pas réelle puisque toutes ses attaques sont portées sur l'illusion. Plus l'ennemi est faible - ou plus Komaji est fort - et plus la maladie aura tendance à être puissante. Elle peut aller d'un simple "coup de barre" jusqu'à une envie de vomir, une sensation de chaleur - comme la fièvre - ou le fait d'avoir très froid.
  
  
• Genshi : (Cf :Hallucination visuelle)
  (25/Clones)
  Une hallucination visuelle qui fait que l'adversaire voit d'autres Komaji armé. Ils attaquent en groupe et font que l'adversaire tape dans le vide. Aucun de ses clones ne peut blesser l'adversaire et à chaque fois que l'ennemi peut les "tuer" en leur donnant un simple coup. En clair, c'est une attaque non-offensive qui épuise l'ennemi petit à petit. Dépendant du niveau de l'adversaire et du niveau de Komaji, l'adversaire peut en voir un très petit nombre (2) jusqu'à une vingtaine. Ikari quand à lui les voit aussi et les contrôlent par la pensée, plus il est fort plus il peut en générer mais chacun de ses personnages idylliques lui enlèvent un gain de Reiatsu. Donc plus il y a de clones visuels, plus cela lui coûte du Reiatsu.
  
  
• Kizu : (Cf : blessure)
  (300/100)
  Cette fois-ci, l'ennemi ressent une douleur "aléatoire" sur une partie de son corps. Elle peut être une petite brûlure (comme lorsqu'on se brûle avec le mégot d'une cigarette) jusqu'à la plus violente, ressentir sa chair tranchée ou un os fracturé. Bien sûr, l'ennemi en question n'a rien de ça mais le ressent comme si c'était vrai. Cette illusion peut durer assez longtemps, tout dépends du niveau encore des deux personnes. A savoir qu'actuellement il lui est impossible de pouvoir lui faire ressentir un os brisé vu le niveau qu'il à. La douleur la plus puissante pourrait être celle d'une coupure ou d'une entaille à même la chair.[/i]
  
  
• Kiri : (Cf :Brouillard)
  (200~300 de Reia , au choix des modos-admins)
  
  Komaji crache un épais nuage noir de sa bouche , afin de brouiller la vue de son adversaire créant un brouillard opaque. La technique ne fonctionne évidemment que si Komaji viens de récupérer du sang , et plutôt rapidement même , il faut que ce soit frais pour que le brouillard fonctionne réellement puisque ses illusions s'affaiblissent avec le temps. Cette brume ténébreuse lui permet en outre de fuir le combat ou se cacher pour pouvoir attaquer en douce lorsque l'ennemi ne s'y attend pas.
  
  
• Kaibutsu no yōna sakkaku (Cf : Illusion Monstrueuse - D'après Waru Tsuyosa) (500+500+500 de Reia)
  
  Komaji invoque au prix d'un bon nombre de son énergie spirituelle , un monstre qui possède plusieurs effets.
  Le premier est de terrifier sa cible , chose qui ne marche hélas pas toujours contre des guerriers téméraires , mais les plus faibles ont la plupart du temps les chocottes.
  Le second effet est que le monstre en question , illusoire tout de même , peut attaquer la personne - n'ayant aucune technique propre , uniquement des coups physiques notamment grâce à ses mains dotées de puissantes griffes
  Le troisième est qu'il peut servir de bouclier à Komaji , se recevant les coups données par son adversaire.
  
  Voici exactement l'apparence physique du monstre en question > clique ici
  
  Maintenant , fixons des limites pour la créature bestiale :
  
  
• Il a une assez bonne résistance mais reste tout de même vulnérable et bien sûr , tuable.
  
• Il mesure 1m80 tout rond , et pèse a peu près 77 Kilogrammes.
  
• Ses attaques sont lentes mais puissantes , un assez gros défaut d'ailleurs cette lenteur.
  
  
  
• Elle disparaît automatiquement après deux tours de RP (l'invocation ne compte pas)
  
• Aucune technique , mis à part frapper via ses griffes
  
• Je peut la faire disparaître quand bon me semble
  
• Elle me coûte 500 de Reiatsu (pour l'invocation) + 500 par tour.
  Donc pour deux tours : 500(invocation)+500(1er tour)+500(2nd tour) = 1500 de Reiatsu , ça me paraît plutôt correct pour un truc pareil non ?)
  
• Je dois l'invoquer pile après avoir récupéré du sang de mon ennemi pour que l'illusion fonctionne
  
• Il faut que Komaji ai au minimum la moitié de son Reiatsu pour une technique pareille
  
  
  

Description de la forme libérée du Zanpakutô :

Kuusou ni fukeru
(cf: se faire des illusions - se forger des chimères)

A cet instant, son Zanpakutô disparaît intégralement et fusionne avec la main d'Ikari, lui offrant une paire de griffes redoutables comme lorsqu'il était Adjuchas , d'une longueur de trente centimètres. Ses cheveux deviennent plus long et irons jusqu'à toucher un peu plus bas que le haut de son dos. Les griffes en question sont très pratiques pour le corps-à-corps, d'ailleurs il ne peut qu'attaquer comme cela pour parvenir à extraire du sang de son ennemi et aussi pour le blesser-tuer. Elles ont beau être fines, elles sont aussi résistantes qu'un Zanpakutô standard mais infiniment plus maniable -puisqu'elles épousent parfaitement les gestes qu'il fait.

Techniques sous forme libérée: *

En outre le fait que ses attaques sont plus puissante, et fonctionnent plus longtemps, sa rapidité et son agilité sont augmentées. Ses bara, cero, hierro et sonido sont plus rapide et puissants.

Mais sa technique la plus puissante dans tout ça reste celle-ci :

• Okurinushi ni hensō :
  Retour a l'envoyeur.
  (800/400)
  Le terme ainsi que l'attaque est très simple mais cette fois-ci il ne s'agit pas d'une simple illusion. Cette fois-ci, la personne qui l'attaque ressent exactement la même chose. En clair s'il lui lance un Kidô lui empêchant de bouger, l'autre homme aura exactement pareil. Pour utiliser cette attaque assez puissante, il faut qu'il là prononce mais lui coûte du Reiatsu tant qu'elle est active. En clair, si Komaji l'utilise et se plante tout seul l'épée dans le pied l'autre personne en face la ressentira aussi.[/i]
  
  
• Genshi Saido no Bajoon (Cf: Hallucination visuelle Deuxième version)
  (50Reia/clone)
  
  La même technique que Genshi sauf que cette fois-ci les clones frappent plus fort , et son plus résistants. Ils disparaissent après deux ou trois coups maximum et ont une nouvelle faculté : celle de parler. Bien sûr , cette faculté ne sert qu'à duper l'ennemi se faisant passer pour Komaji.
  
  
• Kurou Handogun (Cf : Griffes Revolver)
  (400)
  
  Le zanpakutô de Komaji étant une paire de griffes , cette attaque permet de projeter comme un revolver , ses griffes à toute vitesse. Celle-ci repoussent immédiatement après avoir lancé son attaque. Je rappelle que Komaji n'a qu'un seul zanpakutô donc une seule paire de griffes chacune épousant l'un de ses doigts , donc le nombre maximum "d'armes de jet" est de cinq.
  
  
• Noberu Kurou (Cf : Allonger Griffes)
  (400/100)
  
  Tout est dans le nom. Komaji allonge la taille de ses griffes pour pouvoir avoir une meilleure portée. La taille fait le double de celle actuelle - la taille actuelle est de trente centimètres donc les griffes font maintenant soixante centimètres. Une fois ainsi , il peut très bien utiliser la technique ci-dessus pour pouvoir envoyer des griffes plus longes sur son ennemi , et le transpercer bien plus fortement.
  
  
• Henshin (Cf : Métamorphose)
  (400/200 par tour)
  
  Lorsqu'un ne suffit pas , pourquoi ne pas utiliser les deux ? Cette technique peut être considéré comme étant dévastatrice sur le plan de la bataille car en plein milieu d'un combat où notre cher Komaji possède qu'une seule main pourvu de griffes , cette fois-ci c'est une toute autre métamorphose. Enfin , métamorphose , le mot est plutôt grand pour la technique qu'il s'agit. En effet , cette fois-ci le processus rapide lui permet de pouvoir utiliser la dernière forme de sa Resurreccion , il s'agit là en fait d'un simple changement de l'aspect de son Zanpakutô. Les griffes sont entourés par un voile blanc et se dépose sur ses deux mains , ce qui lui donne à présent : Du poignet aux doigts , une lame. Il en possède deux , une à chaque main , cela dit ceci lui empêche de pouvoir utiliser ses doigts. Lorsqu'il est dans cette forme , il tire ses cero par la pointe de la lame.
  
  En gros ça donnerai deux mains dans ce genre : http://gamepadheroes.files.wordpress.com/2012/01/leonardwolf-sh3.png
  

Test RP :


Komaji
Le bount

En temps de crise, il fallait remédier face à l'ennemi. Même s'il s'agissait d'un type au pouvoir vraiment étrange. C'était un homme qui pouvait contrôler des espèces de pantins - on appelle ça aussi un Bountô mais ça Ikari ne le savait pas encore - et cet homme avait à son actif une multitude de marionnettes étranges ayant chacun un effet différent. Quel salopard me direz-vous ! A la base, Komaji était en train de se prélasser au bord du fleuve et voilà que cet hurluberlu venait gâcher tout ses plans. Oui, ses plans de la journée avaient déjà été tout établis. Au départ , il comptait rester allongé sur le banc à regarder l'eau ruisseler le long du fleuve, ensuite il comptait monter sur un sommet non-loin - l'endroit le plus haut de la ville - pur pouvoir regarder un coucher de soleil avant de s'allonger une fois la nuit tombé et contempler les étoiles. Mais voilà, il fallait qu'un enquiquineur gâche tout encore une fois comme trop souvent d'ailleurs. Fumier, il allait le payer par le prix de sa vie, c'était le châtiment à payer lorsqu'on venait le faire chier. Le type en question avait un drôle d'allure, non mais comment voulez-vous prendre quelqu'un au sérieux avec une gueule pareille? Il avait des cheveux oranges, des yeux blancs-bleu clairs, des piercings un peu partout et était suivi par des marionnettes louches dont la plupart avaient une drôle de tronche. L'homme en question lui avait dit être le seul rescapé du massacre des bountô, tant mieux pour lui ! Komaji n'écoutait que d'une oreille ses propos avant de l'envoyer chier, chose que le bountô n'apprécia pas du tout.

- J'étais tranquille avant ton arrivée. Alors tu prends tes clics et tes clacs avec ta sale gueule et tu dégage. Merci !

Mais non, apparemment il voulait vraiment se battre alors directement Komaji sorti son Zanpakutô et pointa le bout de la lame en direction de ce drôle d'homme tout en lui donnant un dernier avertissement. Rien à faire, lorsqu'on est borné on est borné et directement l'une de ses marionnettes rentra sous le sol. Intangibilité. La seconde avec sa gueule écrasée planait dans le ciel tandis que la dernière restait à côté de lui. Sous terre, sur la terre et dans les airs. En clair chacune avait sa force et attaquait avec un rôle différent. Le point commun était qu'aucune d'entre-elles n'avaient d'armes , ils devaient attaquer à main nues chose qui devait pas trop poser problème - chose à laquelle pensait Ikari avant de voir le bras de l'un d'eux - celui qui est sur la terre - se changer en hache. Ok. Donc ils pouvaient matérialiser leurs bras avec la forme qu'ils souhaitaient ? Ou était-ce uniquement chacun un type d'arme ? Allez savoir de toute façon ils mourront bien vite alors, ça ne changera rien à la donne.

Tout plaçant son Zanpakutô à la verticale devant lui, il regarda avec un grand sourire son ennemi avant de disparaître et réapparaître à ses côtés. Sonido. Directement il asséna un petit coup en diagonale sur le bras du maître des pantins avant que celui-ci ne disparaisse aussi plus loin et que ses deux acolyte - celui sous la terre et celui sur - ne l'attaquent simultanément. De loin il dirigeait tout son petit monde rien qu'avec... La pensée ? Certainement.

De toute façon c'était déjà fini pour lui au moment où il fut coupé au bras. Komaji s'entailla gentiment tout seul le bras et le sang du maître coula dans la plaie. Ses illusions pouvaient commencer mais avant tout il fallait pouvoir s'occuper des marionnettes avant de pouvoir s'occuper de celui qui en tire toutes les ficelles. Le traditionnel "axeman" , dans le style des bourreaux lui fonça dessus et commença a donner des grand coups - lent mais puissant - vers lui tandis que l'autre essayer de lui donner des coups de dague en sortant son bras du sol , tentant de le faire bouger dans tout les sens. Bordel ! C'était quoi cette merde?

Instinctivement , Komaji fit un sonido et resta dans les airs. L'autre bourreau resta au sol et la créature volante l'attaqua. Tant qu'il était en l'air , aucun des deux autres ne l'attaquaient. Pourquoi? Peut-être simplement qu'ils avaient leurs rôles respectifs et ne pouvaient en changer. C'était un bon point faible , car , en l'air il pouvait attaquer le maître des pantins une fois qu'il se serait débarrasser du...de... Allez savoir. On aurait dit une espèce d'homme-pigeon volant avec des ailes dans le dos et une sorte d'arc qui tirait des flèches en métal. Ces types avaient vraiment de drôles de pouvoirs via leurs poupées débiles. C'était chiant à en mourir de les affronter et il aurait préféré s'adonner à un beau combat contre un shinigami ou un vizard plutôt que ces êtres énervant. A ce moment là, Komaji lui gueula dessus.

- Mais t'est qui au juste pour venir me les casser en pleine journée ?

Et par réflexe l'autre homme lui donna son nom tout en continuant de laisser l'homme pigeon l'attaquer avec ses flèches.

- Meishou no kugutsu. Et toi, quel est ton patronyme ?

Mon "patronyme"? Il parle comme un ancêtre ce n'est pas possible...

Aucune réponse de la part de Komaji qui était bien plus concentré sur la chose en l'air. Ses flèches fusaient rapidement et le brave jeune homme était obligé de bouger de partout pour les éviter. Mais le pire était à venir lorsque celle-ci le toucha au niveau du bras. Il tomba directement à terre et à ce moment elle arrêta de tirer ses flèches. Les deux autres l'attaquèrent simultanément mais Komaji ne se laissait pas faire et utilisa encore un sonido pour venir "flotter" au-dessus du lac.

- Tu es rapide pour un shinigami, petit.

Un shinigami ?

A ce moment, et puisque c'était la fin pour lui, Komaji décida de lui expliquer.

- Écoute gars. Je sais pas de quel bled paumé tu viens, mais je ne suis pas un shinigami. TU VOIS PAS CETTE TENUE-LA ? C'EST CELLE DES ARRANCARS ABRUTI ! Donc, maintenant je vais te montrer c'est quoi notre race parce qu'apparemment tu viens d'une autre planète, ou peut-être que tu n'es jamais sorti de ta grotte l'ancêtre.

Je suis tombé sur un teubé ce n'est pas possible...

- Un...Arrancar ?

Là c'était clair, il sortait tout droit d'une grotte et n'avait jamais rien vu d'autre de sa vie que les Shinigami. Pour lui c'était encore nouveau tout ça, il avait du mettre deux cents ans avant de sortir parce que ce n'était pas tout récent. Toujours en contact avec le sang de l'autre homme, Komaji utilisa une de ses illusions préférées "Genshi". Simplement, il distrayait les autres pantins pour arriver jusqu'au maître. Il lui envoya un Cero et avant que celui-ci ne parte il avait déjà prévu de l'affaiblir via le biais d'une autre illusion. Kizu. Une blessure aléatoire quelque part sur son corps, l'autre homme senti comme une main lui pressant le ventre l'empêchant de respirer normalement. En même temps le Cero fonça sur l'homme et celui-ci se le pris sur le bras.

Les marionnettes avaient terminés d'attaquer les chimères, et pendant ce temps le maître avait été touché. Simultanément, "axeman" et l'autre bête qui attaquait sous le sol attaquèrent Komaji qui préféra s'envoler pour attaquer l'autre bestiole volante. Tout en évitant ses flèches il fit un sonido puis deux, trois quatre et cinq afin de lui faire tourner la tête. Rapidement il lui envoya un grand coup de Zanpakutô dans la tête qui se déchira et la créature disparu. Maintenant, en l'air, il pouvait facilement finir le travail. Kizu numéro deux. Cette fois-ci l'autre gars ressentait une entaille au niveau de la jambe chose qui l'empêchait de pouvoir courir dans tout les sens.

Kuusou ni fukeru

Le Zanpakutô - ou du moins la lame - disparu petit à petit dans une sorte d'halo blanc qui commençait à envelopper le bras de Koma. Puis, une fois complètement disparu ses doigts avaient bénéficié de longues griffes. Sa morphologie avait légèrement changé avec ses cheveux plus longs.

- C'est ça, un Arrancar. Un Hollow transformé en Shinigami. Mais ce qui est dommage, c'est que tu va mourir avec ton savoir. Okurinushi ni hensō !

A présent, il n'avait plus rien à faire de se prendre des coups. Plus il s'en prenait et plus l'adversaire recevait les mêmes. Et cette fois-ci l'illusion paraissait si réelle mais ne fonctionnait que dans un seul sens. Si Komaji recevait des coups, Meishou en recevait. Mais le cas contraire n'existait pas, Komaji ne pouvait pas être blessé si Meishou l'était. C'était bien évidemment le détenteur du Zanpakutô qui menait la danse et après s'être pris un coup dans le dos lorsqu'il posa pied à terre par Axeman, il fit un rapide sonido et arriva derrière Meishou.

*Shlarrk*

La gorge empalée par ses griffes, rentrant par la nuque et sortant par la gorge, l'homme venait de perdre la vie instantanément. Il lui restait quelques secondes à vivre mais c'était vraiment infime, de toute façon il était mort. Koma retira ses griffes et les poupées disparurent en même temps que le contrôleur. Et malgré la flaque de sang qui gisait au sol, Kom se rallongea sur le banc et flâna une deuxième fois. Tout comme tantôt avant l'arrivée de cet étrange homme.

Fini et j'ai rajouté un passage sur l'auto-modération qui aura un rôle important dans les pouvoirs de mon personnage.


"Petite précision supplémentaire : Comme les illusions se portent aussi sur le mental , le lien du sang est extrêmement importante car c'est le seul moyen pour qu'une de ses illusion fonctionne. S'il le faut , je rajouterais qu'il faut que mon personnage reprenne du sang de l'adversaire pour continuer son petit jeu , ça ne me dérange pas. De plus , l'auto-modération aura un rôle très important pour un pouvoir comme celui-ci sachant que la plupart des attaques que j'enverrais ce sera l'ennemi qui "choisira" où es-ce qu'il souhaite les prendre."

Alors je n'ai pas grand chose à redire sur cette fiche. Je voudrais juste que tu rajoutes dans tes techniques combien de reiatsu ça t'enlève par post pour la prolongation de la technique.
C'est tout !

Tu modifies ça, et je valide !

Byouki : 300 pour l'activation / 100 par tour.

Genshi : 300 pour l'activation / 200 par tour

Kizu : 300 pour l'activation / 300 par tour

Okurinushi ni hensō : 800 pour l'activation / 400 par tour.

Es-ce bon ?

Pour la deuxième technique, ça dépendra du nombre de clone non ?
Donc peut-être 50 de reiatsu par post par clone ? Ou peut-être moins ? Ça dépend combien en moyenne tu veux en faire apparaître, dans ce cas là tu peux mettre 25 par clone ?
Pour Kizu tu peux mettre 100, 300 ça fait beaucoup.

Adjugé vendu pour Kizu : 100 par tour.

Adjugé vendu pour Genshi : 25 par clones (Sachant qu'ils se cassent au moindre coup porté (donc le Reia va partir très vite) , et que je ferais en sorte de finir sur "100" "200" pour vous faciliter la tâche lors de la gestion du Reiatsu)

Donc pour mes deux techniques supplémentaires avant libération et mes quatre techniques après libération.
C'est parti mon kiki !

Avant libération


• Kiri(Cf :Brouillard) :
  (200~300 de Reia , au choix des modos-admins)
  
  Komaji crache un épais nuage noir de sa bouche , afin de brouiller la vue de son adversaire créant un brouillard opaque. La technique ne fonctionne évidemment que si Komaji viens de récupérer du sang , et plutôt rapidement même , il faut que ce soit frais pour que le brouillard fonctionne réellement puisque ses illusions s'affaiblissent avec le temps. Cette brume ténébreuse lui permet en outre de fuir le combat ou se cacher pour pouvoir attaquer en douce lorsque l'ennemi ne s'y attend pas.
  
  
• Kaibutsu no yōna sakkaku (Cf : Illusion Monstrueuse - D'après Waru Tsuyosa) (500+500+500 de Reia)
  
  Komaji invoque au prix d'un bon nombre de son énergie spirituelle , un monstre qui possède plusieurs effets.
  Le premier est de terrifier sa cible , chose qui ne marche hélas pas toujours contre des guerriers téméraires , mais les plus faibles ont la plupart du temps les chocottes.
  Le second effet est que le monstre en question , illusoire tout de même , peut attaquer la personne - n'ayant aucune technique propre , uniquement des coups physiques notamment grâce à ses mains dotées de puissantes griffes
  Le troisième est qu'il peut servir de bouclier à Komaji , se recevant les coups données par son adversaire.
  
  Voici exactement l'apparence physique du monstre en question > clique ici
  
  Maintenant , fixons des limites pour la créature bestiale :
  
  
• Il a une assez bonne résistance mais reste tout de même vulnérable et bien sûr , tuable.
  
• Il mesure 1m80 tout rond , et pèse a peu près 77 Kilogrammes.
  
• Ses attaques sont lentes mais puissantes , un assez gros défaut d'ailleurs cette lenteur.
  
  
  
• Elle disparaît automatiquement après deux tours de RP (l'invocation ne compte pas)
  
• Aucune technique , mis à part frapper via ses griffes
  
• Je peut la faire disparaître quand bon me semble
  
• Elle me coûte 500 de Reiatsu (pour l'invocation) + 500 par tour.
  Donc pour deux tours : 500(invocation)+500(1er tour)+500(2nd tour) = 1500 de Reiatsu , ça me paraît plutôt correct pour un truc pareil non ?)
  
• Je dois l'invoquer pile après avoir récupéré du sang de mon ennemi pour que l'illusion fonctionne
  
• Il faut que Komaji ai au minimum la moitié de son Reiatsu pour une technique pareille
  
  

Genshi Saido no Bajoon (Cf: Hallucination visuelle Deuxième version)
(50Reia/clone)

La même technique que Genshi sauf que cette fois-ci les clones frappent plus fort , et son plus résistants. Ils disparaissent après deux ou trois coups maximum et ont une nouvelle faculté : celle de parler. Bien sûr , cette faculté ne sert qu'à duper l'ennemi se faisant passer pour Komaji.

Kurou Handogun (Cf : Griffes Revolver)
(400~600 de Reia?)

Le zanpakutô de Komaji étant une paire de griffes , cette attaque permet de projeter comme un revolver , ses griffes à toute vitesse. Celle-ci repoussent immédiatement après avoir lancé son attaque. Je rappelle que Komaji n'a qu'un seul zanpakutô donc une seule paire de griffes chacune épousant l'un de ses doigts , donc le nombre maximum "d'armes de jet" est de cinq.

Noberu Kurou (Cf : Allonger Griffes)
(Je proposerais 400 Reia + 100/ tour , a vous de voir.)

Tout est dans le nom. Komaji allonge la taille de ses griffes pour pouvoir avoir une meilleure portée. La taille fait le double de celle actuelle - la taille actuelle est de trente centimètres donc les griffes font maintenant soixante centimètres. Une fois ainsi , il peut très bien utiliser la technique ci-dessus pour pouvoir envoyer des griffes plus longes sur son ennemi , et le transpercer bien plus fortement.

Toripurusero gensō (Cf : Triple Cero Illusoire)
(600 Reia ?)

Cette technique permet à Komaji de tirer trois Cero , un par la bouche et deux par les mains. Sur les trois , deux sont complètement illusoires et même s'ils touchent la cible , celle-ci ne ressent rien , le troisième par contre est bien réel et inflige d'assez corsés dommages , encore faut-il bien toucher sa cible là ou sa fait mal.



Je vous laisse discuter du coût en Reia pour les techniques. A vous de trancher

Voilàààà ! A vous de voir. Je vous ai laissé aussi le "droit" mais surtout le "pouvoir" de juger quant au prix du Reiatsu pour les techniques.

Ca me convient. Je valide les modifications.